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Rien de tel que l'école catholique...

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Dans "De Standaard" du 14 février 2012 (Maxie Ecker)

'Over seks willen we alles weten'(= Nous voulons tout savoir sur le sexe)

Chlamydia in opmars bij jongeren (= La chlamydia (une MST) augmente chez les jeunes)

("Chapeau" de l'article :)

MECHELEN - In welke vormen en maten kun je condooms kopen? Hoe zeg ik dat ik veilig wil vrijen? De leerlingen van het Sint-Romboutscollege nemen geen blad voor de mond. 'Open over seks praten beschermt hen tegen soa's.'

(trad. : MALINES: Dans quelles formes et tailles acheter des préservatifs? Comment dire que je veux avoir des rapports sexuels en toute sécurité? Les élèves du Collège Saint-Rombaut ne ​​mâchent pas leurs mots. Un dialogue ouvert sur ​​le sexe les protège contre les MST.)

L'article, photo à l'appui, explique comment ces jeunes apprennent à se servir de préservatifs qu'ils enfilent sur des pénis en plastique, car, comme le souligne leur professeur de religion, "les jeunes parlent ouvertement de sexe, plus que jamais. Une bonne évolution, je pense"... C'est pour la bonne cause. Pour endiguer la chlamydia.

Commentaires

  • Ils veulent tout savoir sur leurs facultés sexuelles ? Bon sang, et moi qui croyais que l'école avait été créée pour approfondir et enrichir ses facultés intellectuelles. Est-ce que ce sacré Charlemagne avait tout faux ? Cela ne m'étonne plus que l'école aille à vau l'eau, si la barre à franchir a été placée plus bas que la ceinture.

    Notez bien que la sexualité, sa compagne la tendresse, et sa finalité (la transmission de la vie) les intéressent apparemment très peu. Je me demande même si on leur apprend que l'homme est une espèce vivante sexuée, qui a entre autre pour vocation de transmettre le témoin de la vie aux générations suivantes.

    Non, ils veulent savoir comment se procurer du plaisir en pratiquant le sexe, en se servant pour cela de quelqu'un (ou quelque chose ?), sans autre finalité que leur propre satisfaction, et si possible sans courir le risque des maladies contagieuses. Ils veulent donc devenir des consommateurs de sexe, comme ils peuvent devenir des consommateurs d'alcool, de tabac, de drogue, de voiture, etc... en s'imaginant que cela fait d'eux des adultes. Cela ne fait d'eux que des consommateurs, plus ou moins accros et asservis au produit.

  • Pardonnez-moi, Pauvre Job, la plupart des jeunes ne demandent rien de tout cela en milieu scolaire...et s'offusquent que des adultes -surtout s'ils sont professeurs de religion- aillent le leur proposer! Quand on leur donne une haute image de l'amour, ils pensent le plus souvent que ce n'est pas pour eux, qu'ils n'en sont pas capables, que ça ne se passe comme ça que dans les meilleurs films... mais leurs yeux s'illuminent et l'on peut à ce moment-là leur permettre d'écrire... Les jeunes ont souvent des désirs plus sain(t)s que bon nombre d'adultes! N'ayez pas peur de la jeunesse! Quant à ses mauvais maîtres et ses faibles pasteurs, nous savons bien ce que Jésus en pense!

  • @ jeanne jourdain ... Vous avez tout à fait raison. Les jeunes ont des aspirations bien plus nobles et élevées que celles que veut nous faire croire cette « éducation mai 68 » par l'école, qui supplante carrément le rôle éducatif des parents. Comme si ceux-ci étaient des incapables ou connaissaient moins bien leurs enfants que l'enseignant. Mais on les tient cependant toujours pour responsables des conséquences de ce que font leurs enfants. Si cette éducation amène leurs enfants à faire n'importe quoi, ce n'est pas l'enseignant qui paiera les pots cassés éventuels, ce sont bien les parents.

  • LES EVEQUES
    Je croyais naïvement que les évêques avaient le devoir de contrôler ce qu'on enseigne dans les écoles catholiques.Après l'absence de contrôle et de décision concernant le drame des abus, voici une autre défaillance.

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