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Belgique - Flandre : 50% des enfants belges adoptés par des couples gays

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Selon De MorgenLe nombre d'adoptions nationales (en Flandre) demeure relativement stable depuis des années. Il oscille entre 25 et 35 cas par an. En 2012, il y en avait 30. La moitié de ces enfants ont été adoptés par des couples homosexuels. Les parents qui abandonnent un enfant peuvent aider à déterminer dans quel environnement les enfants sont accueillis. "Beaucoup de gens pensent que la mère biologique n'a rien à dire, mais elle peut par exemple se prononcer sur les croyances religieuses que les parents adoptifs doivent avoir selon elle ou sur ce que sont leurs préférences relationnelles», explique la porte-parole d'un centre d'adoption flamand. Il est en fait plus facile, pour les couples homosexuels, d'adopter des enfants belges que des enfants étrangers étant donné l'opposition de nombreux pays à l'adoption d'enfants par des couples de ce type, même si la loi belge les y autorise.

D'après Jeanne Smits : "Les statistiques sont très différentes en Wallonie : seules deux adoptions « nationales » homosexuelles sur 46 en 2012. Une disparité auxquelles les autorités entendent s'intéresser bientôt, même si elles expliquent la grande proportion enregistrées en Flandre par le fait que de nombreux couples homosexuels ont fait leur demande en 2007-2008 (l'adoption homosexuelle étant légale depuis 2003) et que ceux-ci sont arrivés en « ordre utile » sur les listes des organismes concernés : c'est ce qu'avance Didier Dehou, directeur de l'autorité centrale belge pour l'adoption."

Voir : http://leblogdejeannesmits.blogspot.be/2013/01/flandres-la-moitie-des-enfants-adoptes.html

Commentaires

  • « Beaucoup de gens pensent que la mère biologique n'a rien à dire »

    Je ne sais pas ce que pensent les gens de ce droit de la mère biologique (et quid de son père biologique ?) mais il est certain que celui qui n'a rien à dire, qui n'a aucun droit, c'est l'enfant. Pour lui, c'est le coup de dés. Soit, il aura la chance d'être adopté par un père et une mère, soit il aura la malchance d'être adopté par deux pères, deux mères, un père seul ou une mère seule.

    Car on ne nous parle pas de l'adoption possible par des personnes seules, ce qui revient à fabriquer de toutes pièces en Belgique des familles monoparentales, en plus des familles homoparentales. Comme si le fléau du divorce (la « répudiation pour tous ») n'en fabriquait déjà pas assez. Notons qu'une majorité de pays étrangers refusent aussi que soient adoptés des enfants par des personnes seules, comme par des personnes de même sexe. Ces pays sont plus soucieux du bien et des droits de l'enfant que la Belgique.

    On ne voit pas non plus ce qui retient encore la Belgique, ce triste royaume du relativisme total, d'autoriser officiellement la polygamie. Il n'y a aucune raison, selon leurs critères, de considérer qu'un enfant serait plus malheureux dans une structure avec un nombre indéterminé d'hommes de 0 à n, et un nombre indéterminé de femmes de 0 à n. Puisqu'ils veulent le « mariage pour tous » et les « enfants pour tous », ils y passeront finalement.

  • Le pouvoir soumis à l'idéologie homosexualiste sait très bien ce qu'il fait. De tout temps, les enfants ont été les otages d'idéologies. Rappelons-nous simplement les Ottomans qui enlevaient les enfants à leurs parents naturels pour les convertir de force à l'Islam et les transformer en féroces janissaires. Cette pratique a garanti la perennité de l'empire ottoman durant des siècles. Plus près de nous, les enfants allemands furent enrôlés dans la Hitlerjugend pour en faire des soldats tout dévoués au Führer, ce furent les plus durs à combattre, préférant mourir au lieu de se rendre...

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