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Comment des écoles suédoises appliquent radicalement la théorie du genre et font des émules en France

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Lu sur le Nouvel Obs :

Fille ou garçon, quelle importance ? En Suède, des écoles pour tout-petits d'un nouveau genre, certifiées LGBT (Lesbiennes, gays, bi et trans), ont ouvert leurs portes. Elles sont déjà cinq à Stockholm.

Inspirés par la théorie du genre, ces établissements refusent d'inculquer aux enfants toute notion de différenciation entre lessexes, afin de favoriser l'égalité entre les sexes."Le Figaro"a pu visiter l'une de ces écoles. Quelles méthodes ces établissements appliquent-ils ?

D'abord le choix d'un langage adapté. Les pronoms "lui" et "elle" sont bannis au profit d'un pronom neutre, utilisé dans le pays depuis quelques années seulement. De même, les expressions "les filles" ou "les garçons" ne sont jamais utilisées. Les enfants sont encouragés à se servir de manière indifférenciée des jeux traditionnellement associés à l'un ou à l'autre sexe.

Les livres "modernes", selon le mot de la directrice, pouvant traiter de l'homosexualité ou de la transexualité, ont quant à eux remplacé les livres "truffés de clichés sexistes".

"Le Figaro" rappelle également l'histoire de Pop, un enfant suédois qui avait fait parler de lui en 2009 : ses parents refusaient de révéler son sexe, toujours inconnu aujourd'hui. "Nous voulons que Pop grandisse librement, et non dans un moule d'un genre spécifique", avaient expliqué ses parents aux médias. En 2008, un programme de 12 millions d'euros a été mis en œuvre pour éliminer les stéréotypes sexués dans les écoles suédoises.


Une crèche de ce type est ouverte à Saint-Ouen : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/17/01016-20130217ARTFIG00157-sexisme-la-theorie-du-genre-fait-son-nid.php

Commentaires

  • La Suède semble réellement un pays sans pilote, où des apprentis sorciers irresponsables se complaisent dans l'expérimentation de n'importe quoi.

    À titre d'exemple, on y a reconnu une "religion" qui s'appelle le kopymisme (de l'anglais 'copy me'), qui est la soi-disant "religion" des pirates et copieurs sur Internet. Voir :
    http://www.lefigaro.fr/hightech/2012/01/04/01007-20120104ARTFIG00553-une-religion-pronant-la-copie-sur-le-net-reconnue-en-suede.php

    En ce qui concerne ce sujet de la différence sexuelle, on peut aussi noter que ce pays sans pilote est aussi de loin en tête pour le nombre de viols par habitant. Se classant même deuxième je crois au niveau mondial. Voir :
    http://www.courrierinternational.com/article/2009/06/18/champions-pour-la-liberte-des-moeurs-et-les-viols

    Ce qu'on a appelé la "libération sexuelle" en mai 68 a pris des proportions hallucinantes en Suède, du point de vue comportement et pornographie. Cette prétendue "libération sexuelle" est finalement devenue une vraie obsession pour les Suédois, comme une drogue dont ils sont devenus esclaves.

  • En Belgique aussi la théorie du genre fait des émules chez les élus. Pour preuve, l'exposition didactique uccloise, à l'initiative de l'échevin de l'égalité des chances Céline Frémault-de Crayencourt. On y appelle à "dé-construire certaines représentations sociales" et toute la page dont le lien suit fait l'apologie de la théorie du genre. De la part d'une élue CDH, ex-PSC, c'est dire à quel point plus personne en politique ne défend les valeurs chrétiennes. Influence des loges ?

    http://www.ucclebook.com/fille-ou-garcon-tous-egaux

  • Voilà pourquoi je ne vote plus CdH depuis longtemps! Espérons au moins qu'un "beau" jour, un politicien n'aura pas l'idée saugrenue de rendre ce genre d'école obligatoire, comme on a rendu la mixité obligatoire sous prétexte de faire diminuer le nombre de divorces : On a bien vu les résultats que cela a donné, mais on continue quand même! Perseverare diabolicum. Le diable a manifestement choisi la Belgique comme son terrain de jeu favori, comme le dit le Forum Laic Catholique Romain.

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