Les médias anticléricaux finissent par se ridiculiser eux-mêmes, en parlant de « turpitudes » de l'Église. En fait, ils cherchent constamment à noircir l'Église, uniquement pour tenter désespérément de blanchir les institutions et autorités politiques et civiles, complètement empêtrées dans les pires scandales, que ce soit dans la finance, le social, l'économie, la précarité, la violence, la drogue, les révolutions, les guerres civiles, les guerres tout court, les attentats, les prises d'otages, les tortures, les massacres, les pillages, les viols, et on en passe. Cette société est tellement mal en point et tellement mal dans sa peau, qu'elle cherche à entraîner de force l'Église dans sa décadence et sa déchéance. Ils cherchent un arbre pour cacher la forêt des « turpitudes » des sociétés civiles.

N'ayons pas peur, et réjouissons-nous plutôt que les foules catholiques soient toujours des rassemblements paisibles, joyeux, sereins, pleins d'espoir, de prières et de chants. Ce sont des rassemblements de petits, de pauvres, d'humbles et de doux. Cela nous change d'autres rassemblements générés par la société civile, un peu partout sur la planète. Où ce ne sont que cris de colère, de haine, d'appels à la violence, de rejet des autres. Quand ce ne sont pas des cris de désespoir et de détresse humaine de pauvres gens exploités et spoliés par les appétits financiers des puissants. Ou des cris de douleur de gens blessés, tués, dont les biens sont pillés ou détruits, obligés de fuir et de s'exiler, affamés, sans abris.

En fait, plus les scandales enflent, ces scandales commis dans les sociétés civiles contre l'humanité souffrante, et plus les porte-voix de ces sociétés civiles que sont les médias enflent leurs attaques, dénigrements et persécutions contre l'Église. Celle-ci n'aurait rien à dire contre ces scandales bien réels et incessants des sociétés civiles, elle n'aurait qu'à se taire et à tendre l'autre joue contre des propagandes anticléricales. Que l'Église tende l'autre joue, passe encore, mais qu'on cherche en même temps à la faire taire, ce n'est plus acceptable. Le monde tourne trop mal aujourd'hui, pour qu'on tente de forcer l'Église à monter sur ce carrousel infernal, ou à ne pas le dénoncer.

N'ayons pas peur, et réjouissons-nous plutôt que des millions de catholiques, partout sur la planète, osent ramer à contre-courant des sociétés civiles, que ce soit par leurs prières à Dieu ou par leurs innombrables œuvres de charité, qui cherchent à apaiser les douleurs humaines provoquées par les injustices et dysfonctionnements gigantesques de tous les César sur la planète. Bienheureux soient les pauvres, les doux et les humbles, cela reste vrai aujourd'hui comme il y a 2000 ans. Ou peut-être encore plus vrai aujourd'hui, face au déferlement du paganisme matérialiste et de sa loi du plus fort.

"Benoît a démissionné pour grosse fatigue. François ne pourra régner longtemps sous la suspicion d’avoir collaboré à une dictature criminelle", dixit "Le Soir"...

Il fallait s'y attendre: à partir du moment où on s'est aperçu qu'un pape pouvait démissionner, c'est toujours bon à prendre pour déstabiliser et faire pression sur le suivant!

Dans la grosse artillerie du Soir, je lis ceci (entre autres);


"Le pape François ne peut attendre que d’éventuelles preuves surgissent pour l’accabler. Il devra, dès son intronisation mardi prochain, développer une parole forte et transparente sur son passé, et sur celui de son Eglise nationale. A défaut, il compromettra gravement son avenir de pape. Benoît a démissionné pour grosse fatigue. François ne pourra régner longtemps sous la suspicion d’avoir collaboré à une dictature criminelle."

Je voudrais d'abord dire que je continue à prétendre mordicus, comme au premier jour où Benoît XVI a annoncé sa démission, qu'IL l'a fait, profondément atteint par tous les attentats médiatiques dans le monde, à son égard! Comme l'on a voulu tuer Jean-Paul II de 3 balles, on a voulu tuer Benoît XVI de "balles médiatiques". C'est tout aussi douloureux. Benoît XVI EST tombé (sa démission en est la preuve), mais il n'est pas mort! Il est toujours vivant et actif ... espérons pour longtemps encore. Dieu seul en jugera, de la même manière qu'il en a jugé pour Jean-Paul II.

Ensuite je voudrais dire que le "journal SOIR" virulent comme beaucoup de nos journaux belges rendu malade par le poison de l'athéisme, fait partie de tous ces "navires" (dont parle le Rêve de don Bosco). Bien armés au travers de toutes les médisances, calomnies sussurés à l'oreille par l'ESPRIT du monde; (le Diable en personne), il attaque l’Eglise. Le navire de l’Eglise, tenu par le Pape SEMBLE désarmé ! Il n'y a aucun canon sur le grand vieux navire de 2000 ans.
L’Eglise SEMBLE ET SEMBLERA toujours désarmée ! Pourtant, n'oublions jamais que (comme le dit le rêve de don Bosco) c’est le grand Dieu vainqueur de l’Ancien Testament ! C’est le Dieu des armées ! le Dieu tout puissant qui est (SEMBLE)désarmé. Sans puissance. Faible comme un AGNEAU. PARCE QU'A LA VIOLENCE IL NE REPOND QUE PAR LA DOUCEUR, … ET PAR L AMOUR.

Depuis l'arrivée de François Ier, pas progressiste comme l'est devenue une bonne partie de l'intérieure de l'Eglise!!! la bataille, vous le remarquerez, se fait de plus en plus furieuse. Ah bien entendu que le monde qui s'éloigne tant de Dieu râle!! Que de morsures pour se défendre, que de bombes, de coups de canons en perspective!!! Ces bateaux ennemis agressent ce navire qui est désarmé. La menace écrite dans le Soir pour l'avenir du Pape François 1er en est la preuve, et cela devient réellement presque une lutte corps à corps (décrit dans le songe de don Bosco). C’est-à-dire que les petits bateaux (dont le SOIR) attaquent le grand voilier, sautent dans le voilier, dans le grand bateau et vlan, vlan, vlan … . Dans le rêve de don bosco c'est clair et c'est ce que nous vivons actuellement! C’est la bagarre qui a lieu dans le bateau lui-même. Ce sont les déchirures qui se produisent dans l’Eglise elle-même. C’est la pire de toutes les batailles ! Lorsqu’entre nous …. Il y a des critiques. Lorsqu’entre nous … il y a l’esprit de division. Que l’on soit attaqué de l’extérieur, comme le disait le prêtre qui a résumé le rêve de don Bosco, d’accord. Mais à l'intérieur... ne nous laissons pas faire. Ne laissons pas faire l’esprit du mal. Ne le laissons pas règner dans notre Eglise ! Supprimons l’esprit de critique.

NOUS chrétiens, heureux de la venue de François 1er, tout en gardant notre amour et confiance en Benoît XVI (toujours là avec nous dans la prière et de futures oeuvres d'écritures) ne nous laissons pas conter n'importe quoi. SUPPRIMONS L'ESPRIT DE CRITIQUE qui ne cherche qu'à rendre le monde spirituellement ingouvernable, et suivons résollument et avec confiance dans la toute puissance de Dieu, le Pape qui est avant tout Vicaire de Dieu! CONFIANCE - CONFIANCE - CONFIANCE.

Une seule façon; LA PRIERE, le retour à l'Eglise, Adoration, et Oraisons, l'obéissance au Pape.

Allons! remplissons les églises de notre présence, en semaine comme le WE, quand nous le pouvons. Seuls ou en famille. Et prions. Dieu, Jésus, Marie entendront et nous guideront.