Selon le journal « La Croix » "le pape François a exhorté samedi 18 avril la communauté internationale à agir face à la succession des épisodes tragiques marquant l’afflux de migrants tentant au péril de leur vie de gagner l’Italie depuis l’Afrique du nord.
« Je voudrais exprimer ma gratitude à l’Italie qui a entrepris d’accueillir les nombreux migrants cherchant refuge, au prix de leur vie », a déclaré le souverain pontife.
Son appel est intervenu une semaine après le naufrage de quelque 400 personnes en Méditerranée. Selon les garde-côtes italiens, plus de 11 000 candidats à l’immigration en Europe ont débarqué dans les six derniers jours, et des centaines d’autres continuent d’arriver sur les côtes italiennes
Les derniers arrivants, un groupe de plus de 450 réfugiés dont 50 enfants, deux nouveau-nés et deux femmes enceintes, ont débarqué samedi 18 avril au matin à Messine en Sicile, après avoir été secourus par la marine italienne, alors que l’opération Triton de surveillance et de secours en Méditerranée est régulièrement critiquée..."
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JPSC
Commentaires
Le pape François est un saint homme, mais toute l'Europe avec toute se bonne volonté ne saurait accueillir toute la misère du monde.
La seule solution valable sur le long terme est de développer dans "le tiers monde" les économies locales; c'est une "justice sociale" planétaire, comme le réclame le pape. "Priorité aux pauvres" du monde.
Mais cette "justice sociale planétaire" n'est possible et n'a de sens que en référence à une réelle fraternité car fils d'un Même Père. Les socialismes utopiques et autres marxismes athées ont depuis longtemps fait la preuve de leur incompétence; ils ont depuis longtemps montré leurs limites par le népotisme et la corruption.
Le SEULE solution du développement matériel des pays "pauvres" est leur développement spirituel.
Simple bon sens,l'Europe ne peut accueillir toute la misère africaine ou alors, elle et sa civilisation disparaîtra. Qui aura le courage de le dire. Jean-Paul II et Benoît XVI parlaient d'un droit à ne pas émigrer. Ils disaient qu'il fallait tout faire pour fixer les gens dans leur patrie.