Nos évêques semblent profiter de cette épreuve médicale pour fermer les églises et réduire encore plus les pratiques religieuses et sacramentelles, alors qu'elles sont plus que jamais nécessaires! Pourquoi interdire à des parents de baptiser leur enfant alors qu'il suffit d'un peu d'eau (1 parrain et les parents) pour que la vie divine lui soit donnée en quelques minutes? . Vraiment un luxe en ce temps de stress immenses pour les familles? Idem pour un jeune ou un adulte qui le demanderait.
Au lieu de dire: multipliez les messes (en limitant à 10 fidèles espacés s'ils veulent plus de précaution) ils les suppriment. Au lieu d'encourager les aspersions d'eau bénite, ils demandent de supprimer les bénitiers; au lieu d'appeler à multiplier les lieux d'adoration, quitte à se relayer l'un après l'autre dans l'église, ils les interdisent! Etc
Ont ils encore la foi au Christ qui guérit, fortifie, console, apaise et donne la vie en abondance? N'est il pas venu pour les malades plus que pour les bien portant?
L'Eglise n'est elle soudainement plus "l'hôpital de campagne" comme certains se plaisaient à la décrire a il y a peu? En quoi leur discours (courage, fuyons) tranche t'il avec le discours sanitaire?

Que de dénigrment, Marie, Que de clichés. Informez vous ( aleteia. org fr , cathobel, info diocésaines, zenith.org ... ) . sur les initiatives inspirées qui fleurissent un peu partout. Chez les évêques aussi.