EN BELGIQUE, CHACUN POURRA PRÉCISER L'UTILISATION QUI SERA FAITE DE SON CORPS APRÈS LA MORT
synthèse de presse bioéthique de genethique.org
26 juin 2020
En Belgique, chaque citoyen est donneur présumé « après son décès à moins de s’y être opposé explicitement de son vivant ». Dans les faits, « les médecins ne prélèvent pas d'organes sans autorisation explicite ».
A partir du 1er juillet, les modalités de dons pourront être fixées sur le site masanté.be. Le don pourra être effectué en vue d’une transplantation de personne à personne ou pour être utilisé comme « matériel corporel humain ». Dans ce cas, le patient pourra préciser son utilisation soit :
- Pour un patient qui en aurait besoin
- Pour la production de médicament ou de traitements innovants
- Pour la recherche scientifique.
Commentaires
Je vais hurler comme les pro-avortements; mon corps m'appartient !