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  • Anne Junker expose ses illustrations à l'abbaye de Brialmont (Tilff)

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    L'exposition d'une illustratrice passionnée, tantôt pour l'édition, tantôt pour des commandes (faire-part et autres aquarelles), dont le plus grand bonheur reste d'illustrer des images au gré de ses envies et de son inspiration.

    Vernissage à l'Abbaye de Brialmont (Tilff) le samedi 7 mai, de 14h30 à 17h. L'exposition est visible du mardi 3 mai au samedi 28 mai 2022 (drink offert avec des produits du terroir)

    10% du prix des illustrations seront reversés aux bonnes œuvres de l'abbaye, notamment l'accueil de familles ukrainiennes.

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    Les infos pratiques:  

    Lieu : j'aurai le plaisir d'exposer mes illustrations dans le magasin de l'abbaye Notre-Dame de Brialmont. Si vous souhaitez mélanger art et nature, il y a des départs de balades depuis l'abbaye. Pour mélanger culture et culte, il y a des offices (horaires sur le site web).

    Vernissage: le samedi 7 mai de 14h30 à 17h.
    La boutique reste accessible aux clients du magasin durant le vernissage. Il est possible d'y faire des emplettes durant le vernissage ( livres, champignons, pains, cosmétiques, tisanes,...)

    Horaires du magasin :
    - Le mardi de 14h à 17h
    - Du mercredi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 17h

    L'adresse :
    Abbaye Notre-Dame de Brialmont,
    Château de Brialmont
    4130 Tilff.
    (à 12 minutes de Liège)

    www.annejunker.com

  • Les dégâts irréversibles du transgenrisme à l'adolescence

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    Du site "Pour une école libre au Québec" :

    Ados transgenres, des dégâts irréversibles

    Dans Dommages irréversibles, un saisissant essai jamais idéologique mais purement factuel, la journaliste Abigail Shrier au Wall Street Journal montre comment des adolescentes américaines décident de changer de sexe sous l’influence d’internet. Un phénomène qui pourrait bientôt toucher la France. Extraits publiés par Le Figaro. Quelques corrections orthotypographiques.

    La dysphorie de genre, anciennement appelée « trouble de l’identité de genre », se caractérise par un malaise profond et persistant vis-à-vis de son sexe anatomique. […]. Historiquement, elle n’a concerné qu’une infime partie de la population (environ 0,01 %) et presque exclusivement des garçons. Au cours de la dernière décennie, la donne a changé de façon spectaculaire. L’Occident a vu une augmentation subite du nombre d’adolescents affirmant souffrir de dysphorie de genre et s’identifiant comme « transgenres ».

    Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des adolescentes de sexe féminin à la naissance ne sont pas seulement présentes parmi ceux qui s’identifient ainsi, mais constituent la majorité du groupe. Pourquoi ? Que s’est-il passé ? Comment un groupe d’âge (les adolescents) qui avait toujours été minoritaire parmi les personnes concernées en est-il venu à constituer la majorité ?

    La solitude des ados à l’ère numérique

    Aux États-Unis, l’adolescence est pratiquement synonyme chez les filles d’angoisse de ne pas être physiquement à la hauteur. […] Les personnages des réseaux sociaux — c’est-à-dire les « amis » les plus intéressants pour les ados d’aujourd’hui et avec lesquels ils passent le plus de temps — ne présentent pas de telles imperfections. Soigneusement choisies et « facetunées » [au visage retouché], leurs photos définissent un standard de beauté qu’aucune fille réelle ne peut atteindre. Et elles sont constamment dans la poche des adolescentes, nourrissent leurs craintes de ne pas être à la hauteur, alimentent leur obsession pour leurs propres défauts ou ce qu’elles perçoivent comme tels, tout en les exagérant considérablement. Beaucoup d’adolescentes de la génération Z qui tombent dans les filets du phénomène transgenre appartiennent à la classe moyenne supérieure.

    Maternées par des parents pour qui « élever » est un verbe actif, voire l’œuvre d’une vie, elles sont souvent des élèves brillantes. Jusqu’à ce que la folie transgenre les frappe, ces adolescentes se distinguent par leur gentillesse, leur serviabilité et leur absence totale de rébellion. […] Internet ne leur laisse jamais un jour, ni même une heure, de répit. Elles veulent ressentir les émotions fortes de l’amour adolescent, mais la plus grande partie de leur vie se passe sur un iPhone. Elles essaient l’automutilation. Elles tâtent de l’anorexie. Les parents les envoient chez des psychiatres qui leur prescrivent des médicaments en guise de ouate pour amortir leurs humeurs, ce qui aide — à moins que ressentir quelque chose n’ait été le but.

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