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Le latin envahit les States

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jpg_1349408.jpgC’est Sandro Magister qui le souligne: le « melting pot » américain absorbe aujourd’hui une dose massive  de latinos (latin en castillan) et ce n’est pas sans conséquence sur leur culture, notamment religieuse :

« Parmi les nominations clés à la tête de diocèses importants qui ont marqué la phase récente du pontificat de Benoît XVI, il n’y a pas seulement celles d’Angelo Scola à Milan, de Charles J. Chaput à Philadelphie, de Rainer Maria Woelki à Berlin, d’André-Joseph Léonard à Malines-Bruxelles, de Timothy M. Dolan à New-York. Il y a aussi celle de José H. Gómez à Los Angeles (photo).

Trois des nominations qui sont mentionnées ci-dessus concernent des dirigeants de l’Église catholique aux États-Unis. Ceux-ci sont désormais l’un des principaux pays du catholicisme mondial, aussi bien au point de vue de la quantité qu’à celui de la qualité.

Il y a aujourd’hui 77,7 millions de catholiques aux États-Unis. Mais les dynamiques qui se manifestent actuellement donnent à penser qu’ils seront 110 millions au milieu du XXIe siècle.

L’une de ces dynamiques est celle des flux migratoires. Déjà aujourd’hui un catholique sur trois, aux États-Unis, est originaire d'Amérique latine, parle espagnol ou portugais et fréquente de préférence des églises dans lesquelles il trouve des fidèles également venus du sud.

L'actuel archevêque de Los Angeles est lui-même l’un d’eux. Il est Mexicain, natif de Monterrey. Il fait partie de l'Opus Dei. Précédemment il a été archevêque de San Antonio, au Texas. Los Angeles et San Antonio : deux noms emblématiques ». La suite ici :Les États-Unis redécouvrent leur langue maternelle: le latin

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