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Rock, sexe, et révolution

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"Le Barde" poursuit son passage au crible du phénomène "rock". C'est la huitième partie de son analyse qui paraît ici : http://www.citeetculture.com/

En voici le fil pour ceux qui en auraient manqué l'un ou l'autre "épisode" : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.html

Commentaires

  • Le rock est une véritable liturgie satanique ou parfois luciférienne...Il s'agit d'une entreprise d'hypnotisation collective en vue de la possession des âmes et de leur perdition...Le rock est diversifié est n'est pas sans efficacité...toutes les tendances s'y retrouvent. Par ailleurs il y a une importance réelle donnée aux sons divers qui interfèrent réellement avec la vibration de la Parole de Dieu qui est La Vibration créatrice même...Mais il n'y a pas que le rock...par exemple les oeuvres du groupe appelé Dead can Dance...induisent des états de réveries qui mènent à l'étrange et conduit, in fine, à la dépression et parfois au suicide...De plus il s'agit d'une véritable contre-culture avec ses initiés et qui met en oeuvre une complexité croissante visant à l'initiation...Pour en prendre la mesure il faut surtout éviter de mépriser ses liturges sans pour autant les révérer. Il faut aussi savoir que l'expansion du rock précède de peu la remise en question des solennités liturgiques de nos célébrations du Mystère du Saint Sacrifice non sanglant de la Messe...Le parcours de monsieur Hadjaj Fabrice est révélateur à cet égard.

  • @ nsomwé ... Je ne suis pas sûr que la musique rock soit par nature 'diabolique'. Je crois même qu'il existe des groupes catholiques de musique rock, qui chantent Dieu et la foi à travers cette musique, plutôt qu'une autre.

    Je crois en fait que le Malin peut se servir de tout pour détourner l'homme de Dieu. Donc, selon moi, certaines musiques, dites classiques, traditionnelles ou populaires, peuvent aussi bien servir de véhicule aux idées et aux stratégies du Malin. Le chant « à bas la calotte » n'a pas besoin d'être mis en musique rock pour attiser la haine du catho.

    Enfin, c'est peut-être quand le Malin est le moins visible qu'il est le plus dangereux. Il y arrive même parfois à travers une piété de façade ayant oublié la charité du cœur. Nous ne connaissons pas le cœur de celui qui chante même merveilleusement en grégorien.

  • @nsomwé : attention aux généralisations...

    Je suis parfaitement d'accord avec le Pauvre Job et je tiens à préciser aussi que la chanteuse de Dead Can Dance, Lisa Gerrard, est catholique (autralienne d'origine irlandaise).

    Elle a collaboré au film "La Passion" en 2003
    "We heard about 'Passion' and thought, 'This is our movie,' " Gerrard says. "We both love Christ and thought this would be ideal for us."

    Voir par exemple l'article du Los Angeles Times : http://articles.latimes.com/2003/dec/07/entertainment/ca-popeye7

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