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"Christianophobie" : la culture polémique

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Sur "Liberté politique",  Thierry Boutet et Antoine Besson reviennent avec un certain bon sens sur les débats suscités par la programmation, au Théâtre de la Ville de Paris, de la pièce de Castellucci :

"Depuis quelques semaines l’art déchaîne à nouveau les passions, y compris religieuses! La pièce de Romeo Castellucci « Sur le concept de visage du fils de Dieu » est jouée au 104 (théâtre de la Ville de Paris) et suscite une forte polémique sur le thème de la christianophobie.

Les protagonistes en sont nombreux. Il y a les comédiens. Ceux qui manifestent, armés d’œufs, d’huile ou de banderoles et  imposent leurs convictions et leurs jugements sans rien écouter d’autre que leurs propres cris. Il y a les priants amassés devant le théâtre ; ils implorent et chantent le Dieu outragé. Il y a aussi les intellectuels qui sermonent, aplaudissent, raisonnent et font la morale aux autres. Enfin, il y a les autres, qui ne s’intéressent que de très loin à la polémique, haussent les épaules ou cherchent à s’y retrouver au milieu de cette cacophonie..."

Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/

Commentaires

  • Il faut peut-être relever qu'il n'y a pas vraiment christiano-phobie (ou plus souvent catho-phobie) puisqu'il est clair qu'il n'y a aucunement 'phobie' (c'est-à-dire, 'peur') du christianisme. En effet, les chrétiens ne font pas 'peur', puisqu'ils sont gens qui professent et pratiquent l'amour des ennemis, le pardon des offenses, la non violence.

    Il s'agirait donc en fait plutôt d'un sentiment de 'christiano-haine', non pas d'une 'peur' du christianisme, mais d'une 'haine' du christianisme. Par qui et pourquoi cette 'haine' est-elle entretenue et propagée ? Cela revient à se demander pourquoi des gens sont-ils endoctrinés contre ces préceptes de « l'amour des ennemis, le pardon des offenses, la non violence ». Ou pourquoi des gens sont-ils endoctrinés contre le Christ ?

    Et pourquoi utilisent-ils l'alibi de l'art, ou d'un simili-art, pour entretenir et propager de manière très vulgaire et provocante cette 'christiano-haine' ?

    Il est en tout cas certain que ces gens doivent être les premiers à être présents dans nos prières. Le Christ n'est pas venu d'abord pour les bien portants. Et qui de nous d'ailleurs peut-il se déclarer assez bien portant que pour ne pas avoir besoin de l'aide du Christ ?

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