Toujours vigilante, Jeanne Smits rend compte de cette nouvelle proposition de loi :
Il aura fallu moins de quinze jours pour qu'une proposition de l'association « humaniste » belge (l'Association des libres penseurs humanistes) se traduise en proposition de loi. Elle sera présentée en ce mois de mai par deux sénatrices socialistes flamandes, Myriam Vanlerberghe et Marleen Temmerman sous la forme de deux textes de lois visant à légaliser l'euthanasie pour les mineurs d'une part, et pour les personnes en voie de devenir démentes et celles tombées dans un état d'inconscience permanent. L'initiative a été annoncée samedi dernier, à l'occasion d'un symposium organisé à Bruxelles pour marquer le dixième anniversaire de l'euthanasie en Belgique.
Plusieurs associations de libre-penseurs et de partisans de l'euthanasie entouraient à cette occasion le professeur Wim Distelmans, souvent cité sur ce blog : cet oncologue, spécialiste des soins palliatifs, est également l'un des grands promoteurs de l'euthanasie en Belgique.Lire ici : Belgique : euthanasie pour les mineurs et les déments, ça se précise
Commentaires
ces deux sénatrices ne se contentent pas d'être socialistes, elles sont aussi nationales...
@ gisbald ... Le national socialisme allemand l'avait rêvé et entrepris. Le socialisme belge va achever son œuvre. N'oublions pas que le plus grand partisan du national socialisme en Belgique fut De Man, le président du POB (le PS de l'époque).
Plus besoin donc d'inviter des enfants en déplacement à Auschwitz. Faisons-les visiter certaines cliniques belges, pour qu'ils se rendent compte de que fut cette idéologie déshumanisée, et de ce qu'elle peut encore produire aujourd'hui.
... et qu'antendons-nous pour réagir?
Jamais, les capacités d’un homme ne doivent entraîner à le classer « sous-homme » ou « rebus de l’Humanité ». Autant la vérité de Dieu doit être dite, le mal éradiqué, autant il faut dépasser les aspects humains qui nous dérange, et aller au-delà, au cœur de l’être, et y découvrir le plus important : l’Amour.
Il est bien clair que notre gouvernement (criminel), prend de plein droit l'autorité de décider par lui-même, sans Dieu, de ce qui est bon et de ce qui est mauvais, il dispose qu’un groupe d’hommes soit anéanti. Ces instances humaines, parlements démocratiquement élus pourtant, usurpent le droit de pouvoir déterminer qui a le droit de vivre et, inversement, qui peut se voir refuser ce droit sans faute de sa part. Ils créent des lois, et personnes ne bronchent. C'est criminel! Qui ne dit mot ... consent!
Voyez comme c'est devenu facile! On trouve sans aucunes hontes ni mauvaise conscience, des solutions « officielles » donc « légalisées » pour que les personnes handicapées, ne naissent plus, pour que les personnes souffrantes dans leur corps ou leur tête soient tuées au nom de lois eugénistes, que des personnes handicapées soient stérilisées, ou que des fœtus handicapés ou non soient tués avant de voir le jour. Jean-Paul II dénonçait farouchement cette hypocrisie criminelle, cette idéologie du mal nommée « progrès civil des sociétés et de l’humanité entière ». Il s’agit en réalité d’une extermination décidée par des Parlements élus démocratiquement. Et NOUS, pauvres moutons de Panurge, nous acceptons, et laissons faire! C'est le silence radio! personne ne bronche, personne pourtant, parmis les chrétiens fervents et influents ne réagit! Est-ce normal?
Ainsi vont les pays (dans le cas présent la Belgique) où Dieu en tant que Créateur est rejeté, et de plus en plus! et du même coup la source de détermination de ce qui est bien et de ce qui est mal. Jouir de la vie ; C’est devenu « pouvoir profiter de tout ce qui se présente, dans la possession totale de toutes ses facultés physiques et intellectuelles ». Si l’on n’est plus dans ce schéma, l’on devient indigne de vivre
La Croix du Christ représente le centre de notre vie. Qui est d'accord de cela?
Combien d'entre nous ne tentons pas de la fuire, ne fusse qu'en laissant tous ces crimes se commettre, ses lois sortir! Oui! Nous acceptons que ces lois sortent! Nous sommes tous des criminels. Cela nous coûtera cher.
En effet, nous a bien dit Jean-Paul II; « Quiconque cherche à fuir devant la Croix, n’y réussira pas et ne trouvera jamais la véritable joie. ». La souffrance que nous vivons nous est imposée. Personne ne nous a demandé si nous la voulions. Chaque souffrance est un morceau de la croix du Christ, chacun à sa manière doit porter ce morceau de croix avec courage. Chaque peine endurée avec patience devient prière et de cette prière jaillit une véritable source de richesses et de grâces. Face à la souffrance, nous les bien-portants nous avons un seul devoir et nous n'avons pas le choix! c'est celui de témoigner de ce qu’est le respect, l’amour fraternel, la tendresse, l'écoute silencieuse quand il le faut, une simple présence. Quand les deux antagonistes sont le BIEN et le MAL; on ne choisit pas le mal! Donc il n'y a pas de choix pour qui aime la VIE, l'Amour.
J'ai lu sur la vitrine d'un bâtiment SOCIALISTE au centre-ville de Bruxelles le slogan suivant, écrit en tout grand:
"CHOISIR C'EST UN DROIT".
Et bien c'est totalement FAUX, et c'est de l'INTOX!
Notre seul droit est de remplir nos DEVOIRS de citoyens et d'hommes et femmes responsable dans une société qui doit rester digne de ce nom.
N'acceptez pas de vous laisser tuer! N'acceptons pas de laisser tuer un frère ou une soeur! Réagissons! S'il-vous-plait.
Chers frères et sœurs, disait Jean-Paul II, vous qui souffrez dans votre corps et dans votre âme, je vous souhaite à tous de savoir reconnaître et accueillir l’appel de Dieu à être des artisans de paix par l’offrande de votre souffrance. C’est une demande exigeante, mais tournez votre regard avec confiance vers Jésus, le Serviteur souffrant, et demandez-lui la force de transformer en don l’épreuve qui vous atteint."
Et Jésus nous dit, tous les jours :
« Venez à moi vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai".