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Persécutions antichrétiennes - Page 158

  • Assassinat d'un prêtre en Tunisie

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    Message de l'archevêché d'Alger :

    "De la part de l'archevêque de Tunis, Mgr Lahham, et par l'intermédiaire de la Nonciature Apostolique à Alger, j'ai la grande tristesse de faire part que le Père Marek Rybinski, sdb, membre de la communauté des Salésiens de La Manouba, a été tué ce vendredi matin, 18 février. Son corps aurait été trouvé, presque décapité, vers midi.

    Dès ce même jour, une messe pour le défunt sera célébrée à 18h30 à Tunis, présidée par Mgr Lahham. Nous confions le Père Marek Rybinski à la tendresse de Dieu, et nous nous unissons à la peine et à la prière de ses proches."

    sur le Salon Beige, à 18H31

  • PAKISTAN - Quiconque s’oppose à la loi sur le blasphème est « blasphème » et « ennemi de l’islam »

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    Lahore (Agence Fides) – Quiconque s’oppose à la réglementation controversée concernant le blasphème (à savoir les articles 295b et 295c du Code pénal pakistanais) « doit être considéré comme blasphème et ennemi de l’islam » : c’est ce qu’affirment les groupes radicaux islamiques qui entendent de cette manière rendre la loi irréformable et décourager toutes les voix qui s’élèvent pour en demander la révision ou l’abolition. La société civile pakistanaise enregistre avec une préoccupation extrême cette tendance qui, comme l’indiquent à l’Agence Fides des sources locales « placerait dans un angle les minorités religieuses, réduisant au silence tout désaccord ».

    C’est maintenant au tour de Sherry Rehman, la parlementaire du Pakistan People Party qui avait déposé une motion au Parlement afin de modifier la loi sur le blasphème, d’être victime de cette tentative. Un tribunal de Multan qui l’accuse et entend l’inculper cherche actuellement un commissariat de police en mesure de satisfaire cette intention et d’enregistrer un FIR (First Information Report), la plainte officielle déclenchant la procédure légale.
    « La situation s’aggrave. Les radicaux voudraient condamner à mort quiconque s’oppose à la loi sur le blasphème et personne ne semble vouloir les arrêter » déclare à Fides Joseph Nadeem, laïc catholique, responsable de la « Renaissance Education Foundation », une ONG qui gère des écoles à Lahore et promeut l’instruction pour des milliers d’enfants et de jeunes chrétiens et appartenant à d’autres minorités religieuses. « Nous espérons en l’aide de Dieu et dans les prières du Saint-Père Benoît XVI qui se montre proche de notre souffrance » ajoute-t-il.
    « Nous en sommes au paroxysme : qualifier de blasphème les personnes qui critiquent la loi sur le blasphème est absurde et devient une arme pointée à la tempe de nombreux chrétiens. Nous sommes indignés et préoccupés parce que l’extrémisme islamique hausse le ton » remarque, alarmé, en parlant à Fides Haroon Barket Masih, Président de la « Fondation Masishi » qui fournit l’assistance légale et matérielle à Asia Bibi et à sa famille.
    Le Père Bonnie Mendes, prêtre pakistanais (Coordinateur régional du Département Asie de la Caritas Internationalis) concorde sur le danger d’une montée de l’intolérance mais entend également signaler quelques notes positives : « Le dialogue interreligieux qui, malgré les tensions sociales, se poursuit à tous les niveaux ; le courage de certains musulmans. Par exemple, l’agent de police musulman blessé lors du guet-apens tendu aux frères Emmanuel en juillet 2010 – deux chrétiens accusés de blasphème et tués devant le tribunal de Faisalabad – a annoncé qu’il témoignera contre les meurtriers qui se trouvent encore en liberté ». (PA) (Agence Fides 18/02/2011)

  • Les évêques de Belgique demandent à l’UE de condamner la persécution des chrétiens

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    Dans un communiqué de presse la Conférence épiscopale de Belgique demande à l’UE de condamner la persécution des chrétiens dans le monde.

    Le 31 janvier dernier, les Ministres des Affaires étrangères des pays membres de l’Union européenne ne sont pas parvenus à un accord commun sur les persécutions contre les chrétiens au Moyen-Orient et dans le monde, bien que le Parlement européen et l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe aient demandé quelques jours plus tôt à l’UE de prendre clairement position en ce sens. Le Conseil des Ministres des Affaires étrangères de l’UE doit se réunir le 21 février prochain.

    « En vue de cette réunion les évêques de Belgique demandent que l’Union européenne condamne de façon claire et sans équivoque les persécutions contre les chrétiens dans le monde et que l’UE détermine par la même occasion une politique étrangère commune concrète en faveur des chrétiens persécutés. » (Catho.be)

  • Mobilisons-nous !

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    La représentante de l’Union Européenne (UE), Mme Ashton, juge la condamnation de la persécution des chrétiens politiquement incorrecte. Appel à une action avant le 21 février.

    Au cours de leur récente rencontre à Bruxelles le 31 janvier, les ministres des affaires étrangères des pays de l’UE ont rejeté une résolution condamnant les atrocités perpétrées contre les minorités chrétiennes en Egypte et en Irak.

    Bien que précédée d’une résolution sans équivoque du parlement Européen du 20 janvier et aussi d’une recommandation explicite du conseil de l’Europe le 27 janvier qui condamnaient énergiquement l’augmentation des attaques sur les minorités chrétiennes au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie; le conseil des ministres n’était pas d’accord sur la présence du mot « chrétien » dans leur projet de déclaration, cela en vue d’éviter un discours potentiellement « politiquement incorrect ».

    En dépit du fait que la majorité des actes de violences religieuses ces dernières années soient perpétrés contre des chrétiens et sans tenir compte du meurtre cruel de centaines de chrétiens pendant la période de Noël, la représentante de l’union européenne, Mme Catherine Ashton, a refusé de faire référence aux chrétiens dans une déclaration qui pourtant était supposée faire suite à celle du parlement et du conseil de l’Europe, condamnant les persécutions et la violence à leur encontre. Elle a été supportée par cinq ministres des affaires étrangères : Luís Amado (Portugal), Trinidad Jiménez (Espagne), Jean Asselborn (Luxembourg), Brian Cowen (Irlande, représenté son délégué permanent) and Markos Kyprianou (Chypre). L’Italie, la France, la Hongrie et la Pologne ont fortement insisté sur la nécessité de condamner la persécution des chrétiens de manière explicite.

    Le ministre des affaires étrangères Italien Franco Frattini a parlé d’un « excès de sécularisme » dans cette affaire. Le représentant de Malte David Casa a dit: “Comment est-il possible de condamner ces atrocités sans préciser les personnes qui en son la cible ?  Nous sommes devenus incapables de condamner les attaques sur nos frères chrétiens, quel jour de tristesse pour l’Europe ! »

    Le sujet sera discuté de nouveau au conseil des ministres le 21 février.

    Impliquez-vous !

    Pour préparer le conseil du 21 février, écrivez à votre ministre des affaires étrangères votre indignation (pour l’Espagne, le Portugal, l’Irlande, le Luxembourg et Chypre), votre soutien (pour l’Italie, la France, la Hongrie, la Pologne) et votre volonté de voir une prise de position claire sur le sujet (pour les ministres des affaires étrangères des autres pays).

    Steven VANACKERE
    Vice-Premier Ministre et Ministre des Affaires étrangères et des Réformes institutionelles
    Rue des petits Carmes 15
    B-1000 Bruxelles
    Tél: +32 (0)2.501.85.91
    Fax: +32 (0)2.501 32 13
    cab.ae@diplobel.fed.be

    Lisez plus sur : www.EuropeanDignityWatch.org

  • Pnom Penh ferme un centre d'accueil pour réfugiés

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    Le 15 février 2011, une page d’histoire a été tournée avec la fermeture, à Phnom Penh, du camp de réfugiés montagnards venant des Hauts Plateaux du Centre-Vietnam. Ce centre d’accueil fonctionnait depuis plus de dix ans sous le patronage du Haut Commissariat pour les réfugiés des Nations Unies. Il travaillait à réinstaller dans des pays tiers plusieurs milliers de ressortissants des minorités ethniques du Vietnam.

    L’initiative de cette mesure de fermeture appartient en dernier ressort au gouvernement cambodgien. (...) Dans un communiqué de presse publié le 14 février 201, l’organisation américaine Human Rights Watch (1) a vivement réagi à la fermeture du centre d’accueil des réfugiés et à l’expulsion d’une dizaine d’entre eux. Elle exprime sa préoccupation à leur sujet, estimant que le gouvernement vietnamien continue ses persécutions contre les Montagnards des Hauts Plateaux du centre, dont beaucoup sont chrétiens. (...)

    Par ailleurs, l’organisation humanitaire américaine a affirmé sa conviction que des Montagnards du Centre-Vietnam continuent d’endurer des persécutions de la part des autorités centrales. En 2010 encore, de nombreuses entraves au culte chrétien, aux assemblées domestiques, des contrôles intempestifs des activités religieuses ont été relevés en divers lieux.

    Notes

    (1) Communiqué rapporté par Radio Free Asia, le 15 février 2011.

    Eglises d'Asie (EDA)

  • Un évêque belge prie pour les chrétiens d’Orient

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    mons-harpigny.jpgLe vendredi 25 février 2011 à 19h00 en l’église Saint-Antoine de Charleroi (Ville-Basse) Mgr Guy Harpigny, évêque de Tournai, présidera une veillée de prière et d’information en union avec les communautés chrétiennes des différents pays du Moyen Orient.

    Cette initiative a été prise par le mouvement Pax Christi de Charleroi. Comme l’explique le site du diocèse « les chrétiens du Moyen Orient sont en danger ! Il y a eu les attentats de Bagdad, puis d’Alexandrie. Mais de manière permanente, ils vivent une situation très critique, liée à la montée de l’extrémisme islamique, qui veut éliminer la présence chrétienne de ces pays.

    Ils nous demandent de prier avec eux et pour eux, de parler d’eux pour faire connaître la situation.

    La veillée comportera un exposé du Père Samih Raad, prêtre melchite catholique du diocèse de Sidon (Liban) en service à la paroisse Saint- Jean Chrysostome à Bruxelles.

    Elle s’achèvera par un temps de convivialité

    Les personnes qui auraient besoin d’un covoiturage dans la région de Charleroi (aller, et /ou retour) peuvent le demander à l’abbé Robert Mathelart: telephone 071/35.12.69. e-mail : robert.mathelart@skynet.be

    Un exemple à suivre par d’autres diocèses.

  • Une agression contre les chrétiens de Turquie

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    47968.jpgIstanbul, 15 février 2011 (Apic) Des éléments nationalistes turcs ont attaqué l’église catholique Sainte-Marie de Trabzon (Trébizonde), sur la Mer Noire, annonce la presse turque mardi 15 février.

    C’est dans cette église que fut assassiné, le 5 février 2006, le Père Andrea Santoro, un prêtre fidei donum italien qui desservait cette paroisse comme curé depuis 3 ans.

    à découvrir sur le site de l'agence kipa/apic

    La raison de cette attaque serait la présence d'une croix bien visible pour signaler l'église. En réalité, l'église a été attaquée le 1er janvier par des milliers de gens qui voulaient enlever cette croix mais l'information n'a été que récemment divulguée dans le Turkish Hurriyet. Un cocktail molotov aurait été jeté dans le terrain de l'église. (http://news.am/eng/news/47968.html)

  • La dhimmitude, future condition des Européens ?

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    Sur le Salon Beige : "La dhimmitude, une pression indirecte pour adhérer à l'Islam"

    Lors du colloque sur les chrétiens d'Orient à Lille, ce week-end, Annie Laurent a évoqué la dhimmitude sans langue de bois :

    "L'Islam, rappelle t-elle, est un système politico-socio-religieux. Un tout globalisant, sans distinction des domaines. La laïcité y est un principe inconnu, y compris la distinction entre le pouvoir temporel et spirituel. Un Dieu transcendant, inaccessible même au Paradis, qui ne peut recevoir en aucun cas le nom de Père. Le Coran, parole de Dieu incréée préexistante au monde, consubstantielle à Dieu, ne peut donc en aucun cas être critiqué. C'est ce même Coran qui indique la position à tenir quant aux autres religions. "Vous êtes certes la meilleure communauté suscitée pour les hommes," indique la sourate 3 au verset 10. Le juif ou le chrétien, croyant en Dieu mais accusé d'avoir falsifié sa religion, reçoit un statut de dhimma, entre protection et assujetissement. En ce sens, l'Islam est tolérant - c'est à dire condescendant. C'est un contrat par lequel l'Oumma -la communauté musulmane- accorde l'hospitalité aux dhimmmi, à condition qu'ils acceptent la suprématie de l'Islam. Contrat léonin : en effet, il est totalement imposé par une partie à une autre, pour en faire des citoyens de seconde catégorie. Il s'agit en fait d'une pression indirecte pour adhérer à l'Islam. Si la dhimmitude est officiellement interdite par l'Empire Ottoman à la fin du XIXème siècle, elle est encore appliquée de facto dans la plupart des pays musulmans : blocages administratifs, interdiction d'évangéliser, interdiction d'épouser une musulmane etc.. Les chrétiens, regrette Annie Laurent, ont "parfois intériorisé leur situation de dhimmitude : ils mentent sur leurs conditions en disant que tout va bien, mais dès qu'ils peuvent parler en privé, montrent un autre discours".

  • Népal : les chrétiens réclament en vain au gouvernement l’autorisation d’enterrer leurs morts

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    Les chrétiens réclament en vain au gouvernement l’autorisation d’enterrer leurs morts

    10/02/2011

    La nomination, après des mois d’instabilité politique, d’un nouveau Premier ministre, le communiste Jhalanath Khanal, le 3 février dernier, n’aura laissé qu’un court répit à la controverse qui agite le Népal autour du droit des non-hindous à enterrer leurs défunts.

    Le 29 décembre dernier, les autorités de Pashupatinath, ville sainte hindoue, proche de Katmandou, ...

    lire la suite sur EDA

  • Un jeune chrétien torturé et tué par un riche musulman

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    Lahore (Agence Fides) – Imran Masih, jeune chrétien du Punjab a été torturé et tué par son employeur, un riche propriétaire foncier musulman. Il s’agit du énième épisode d’abus et de violence allant jusqu’au meurtre perpétré à l’encontre d’un membre de la communauté chrétienne au Pakistan.

    La nouvelle de ce grave épisode est parvenue à l’Agence Fides par l’intermédiaire de la « All Pakistan Minorities Alliance » (APMA), organisation engagée en faveur de la défense des droits des minorités qui lance un cri d’alarme : « De tels épisodes se succèdent dans un contexte de discrimination sociale et religieuse dans lequel les riches musulmans pensent pouvoir disposer de la vie des chrétiens qui se trouvent au dernier rang de l’échelle sociale et sont traités comme des objets, victimes sans défense des violences ». Le cas d’Imran Masih est emblématique et reflète un statut social intolérable dans le cadre duquel les cas de violences dénoncés représentent seulement la partie émergée de l’iceberg.
    Comme l’indique l’APMA, Imran Masih, 24 ans, résident dans le village de Nut Kallan était employé depuis deux ans comme chauffeur par Mohammad Masood, riche propriétaire du district de Gujranwala au Punjab. Le 5 février dernier, Imran ne s’est pas rendu au travail pour raisons de santé. Le lendemain, à son retour, il a été roué de coups et torturé jusqu’à ce que mort s’ensuive. Après quoi Masood et ses complices ont remis le corps d’Imran à son père, Lal Masih, lui aussi employé au sein de la même propriété, en affirmant que le jeune homme s’était suicidé.
    Le père ne croyant pas à cette version, notamment aux vues des nombreuses traces de coups présents sur le corps de son fils, s’est rendu au commissariat de police pour porter plainte pour meurtre. La Police locale a cependant cherché à l’en dissuader, suite aux pressions exercées par l’influent Masood.
    C’est seulement après l’intervention des militants de l’APMA, qui ont organisé une manifestation à Gujranwala, bloquant les rues et attirant l’attention des autorités, que la Police a accepté officiellement le dépôt d’une plainte pour homicide à l’encontre de Mohammad Masood et de deux complices.
    Imran Masih a été enterré le 8 février dans son village de Nut Kallan, au milieu du deuil et de la douleur de la communauté chrétienne.
    Des sources de Fides au Pakistan commentent : « Dans des cas comme celui-ci, nous ressentons le silence du gouvernement et des autorités civiles. Nous nous sentons comme des citoyens de deuxième catégorie. Le Ministre fédéral chargé des Minorités religieuses est une figure institutionnelle utile à la communauté chrétienne en ce qu’elle permet d’avoir un interlocuteur direct au gouvernement et d’attirer l’attention de la nation sur les conditions des minorités religieuses. C’est pourquoi nous espérons que le Ministère ne sera pas supprimé par le gouvernement ».
    En effet, après la démission du gouvernement de Raza Gilani, au cours des deux derniers jours, on attend la formation d’un nouvel exécutif comptant moins de ministères. Probablement, le Ministère chargé des Minorités religieuses sera supprimé et transformé en un Département du Ministère pour les Affaires religieuses. (PA) (Agence Fides 10/02/2011)

  • "Le sort des Coptes serait bien pire..."

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    images.jpgDans Famille Chrétienne

    Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient à l’IFRI :

    « Si les Frères musulmans prenaient le pouvoir en Égypte, le sort des Coptes serait bien pire » Alors que les manifestations continuent place Tahrir au Caire, le vice-président égyptien Omar Souleiman a accepté de dialoguer avec des représentants des Frères musulmans, seule véritable force d’opposition dans le pays. Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient au sein de l’Institut français des relations internationales (IFRI), analyse pour nous la situation en Égypte, les forces en présence et revient sur la situation des Coptes au pays des pharaons. Lire la suite ici

  • Un chrétien afghan risque d'être mis à mort pour apostasie

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    Selon Christian Today, Sayyed Moussa, l’Afghan arrêté en mai pour conversion au christianisme, s’est vu signifier qu’il serait mis à mort dans les trois jours s’il refusait de se convertir à l’islam. L’article est du 7 février.

    Toujours aucune nouvelle de la Croix Rouge, pour laquelle Sayyed Moussa travaillait depuis 15 ans…

    sur le blog d'Yves Daoudal