Certains catholiques critiquent l'Église sur la question de l'accès à l'eucharistie pour les divorcés remariés. Mais étrangement, on ne les entend jamais critiquer les autorités civiles pour leur banalisation et leur facilitation du divorce, pour leur politique de destruction des familles (ce qui frappe les catholiques comme les non catholiques). Ils voudraient que l'Église s'incline devant ce tsunami de destruction insensée des familles, comme si la volonté de César était plus importante que la volonté de Dieu.
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Or, la politique de divorce, menée par les autorités civiles, est l'un des pires fléaux humains, familiaux et sociaux qui existent. Il suffit pour s'en rendre compte de lire les faits divers relatant les drames liés à cette destruction des familles.
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Pourquoi ces bons apôtres critiquent-ils donc leur Église, la seule institution qui essaie encore de protéger les familles, d'éviter leur destruction, et ne critiquent-ils jamais cette politique des César qui nous gouvernent ? Ils voudraient apparemment que l'Église reconnaisse que le César a eu raison de banaliser le divorce, et donc l'Église devrait faire en sorte de le banaliser encore plus, pour faciliter encore plus la destruction des familles. Qu'est-ce donc que des catholiques qui demandent de vénérer César plutôt que Dieu ? Qu'est-ce donc que des catholiques qui sont pour la destruction des familles ?
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Nos César poussent aussi de plus en plus à la banalisation de l'euthanasie des personnes. Ces curieux catholiques sont-ils également d'accord avec cette politique, puisqu'ils semblent bien d'accord avec la politique de banalisation de la quasi euthanasie des familles que constitue le divorce ?