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Les humains, une plaie pour la planète ?

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Il semble bien que oui si l'on s'en réfère aux propos de Sir David Attenborough épinglés par Jeanne Smits:

« Nous sommes une plaie sur la Terre. Cela se jouera sur les quelque cinquante années à venir. Ce n'est pas seulement le changement climatique ; c'est une question de place, juste de place : celle qu'il faut pour faire pousser la nourriture nécessaire à cette horde gigantesque. Soit nous limitons notre croissance de la population, soit le monde naturel le fera pour nous, et le monde naturel le fait pour nous à l'heure où je vous parle. »

C'est ce qu'a déclaré Sir David Attenborough, réalisateur de films et de documentaires télévisés sur la nature à Radio Times, cité par le Daily Telegraph.

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Commentaires

  • Cet homme ne fait que traduire, à la manière d'aujourd'hui, la théorie nazie de "l'espace vital" nécessaire à la bonne évolution des "races supérieures", en éliminant le maximum d'individus des "races inférieures". Il faut noter qu'il est né en 1926, et a donc été plongé, enfant et adolescent, dans le bain empoisonné de ces théories raciales, nées au 19ème siècle en Grande Bretagne avec le darwinisme social, et répandues partout en Europe. Ce sont en fait ces idéologies barbares qui sont une vraie "plaie" pour la planète et pour tout ce qui y vit. Mais le problème est que ces adeptes de "l'espace vital" se prennent eux-mêmes pour des bienfaiteurs de l'humanité. Ils sont donc persuadés d'avoir raison de professer de telles idées, et cela peut les mener à une sorte de fanatisme pour les imposer à tous de gré ou de force.

  • Le nombre d'enfants qu'un adulte voudrait avoir est une décision essentiellement personnelle et démocratique.
    Le nombre réel d'enfants peut être différent et est mesuré par le taux de fécondité. Celui-ci peut s'effondrer lorsque l'industrialisation s'installe dans une région.
    Les démographes disent que la population mondiale va se stabiliser vers 2050 entre 9 et 10 milliards d'habitants, pour ensuite décroître.
    D'autre part, les pesticides et les parasites tuent les abeilles, qui sont pourtant indispensables pour l'agriculture.
    On peut donc prévoir des conflits en matière de production alimentaire analogues à ceux que l'on connaît dpuis 40 ans dans la production pétrolière.
    Les réseaux sociaux vont avoir du pain sur la planche.

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