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  • "Choisir l'homme" : la conclusion de l'Université de la Vie par Tugdual Derville

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    Université de la vie : évènement live avec Tugdual Derville (replay)

    Lundi 1er février 2016, Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA, concluait la dernière soirée de l’Université de la vie sur le sujet : Choisir l’homme ! Cette question cruciale qui se pose à l’Humanité mais surtout à chacun de nous.
     
    Déjà suivie en direct par 6.000 participants, plus de 1.200 internautes nous ont rejoints pour cette courte séquence inédite diffusée sur note site. Une innovation imaginée par Alliance VITA pour répondre à l’engouement suscité par ce cycle de formation original, et exposer à un plus grand nombre encore, les enjeux bioéthiques qui se posent d’aujourd’hui à notre société.

    Ce cycle de formation bioéthique portait cette année sur le thème « Panser la société, comment agir en faveur d’une culture de vie ? ». Rappelons que cette 11ème édition était retransmise pour la troisième année consécutive dans plus de 120 villes en France mais aussi à l’étranger : Canada, Etats-Unis, Angleterre, Belgique (Bruxelles et Liège), Allemagne, Suisse et Maroc.

  • Trisomie 21 : retour sur les propos choquants de Jacqueline Herremans

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    De genethique.org :

    TRISOMIE 21 ET PRÉJUGÉS 

    Jacqueline Herremans, Présidente de l’Association pour le Droit à Mourir dans la Dignité de Belgique (ADMD), a tenu la semaine dernière sur Twitter des propos suggérant que la personne trisomique est un poids pour l’ensemble de la société. Qu’elle ne mériterait pas de vivre. Plus loin, elle affirme que mettre au monde un enfant trisomique, c’est « créer du malheur ». Ce discours, culpabilisant pour les parents qui ont décidé de garder leur enfant trisomique, nie les nombreux témoignages de familles heureuses qui vivent avec des enfants trisomiques. En outre, « la sélection anténatale massive », dont ces enfants sont la cible, trouve dans ce discours sa justification.

    Jacqueline Herremans n’est pas la première à tenir de tels propos, condamnant les personnes trisomiques et leur famille. Jean Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, dans son dernier livre « Les premières victimes du transhumanisme » publié ce jeudi, cite la réaction d’un présentateur radio, il y a quelques années : « Mais pourquoi faut-il conserver les trisomiques qui sont quand même un poison dans une famille, il faut bien le dire ?! » Ce discours offensant, hélas répandu, impose une culpabilité injuste aux personnes atteintes de trisomie 21 et à leurs proches. L’idée du bonheur d’une personne atteinte de trisomie 21 est elle insupportable ?

    Derrière ces déclarations se profile en effet la question du bonheur d’une personne vivant avec une trisomie 21 et celui de sa famille. Une étude[1] menée par le Pr Skotko souligne que ces familles, malgré les difficultés réelles auxquelles elles sont confrontées au quotidien, conviennent dans leur très grande majorité que les aspects positifs sont plus nombreux et plus importants, notamment en termes de perspectives d’avenir, de solidité de la famille et du couple, de sens donné  à la vie.« Beaucoup de parents décriraient en priorité les joies et les récompenses qu’ils tirent de leur enfant atteint de trisomie 21 ».

    Voir la personne trisomique 21 comme source de malheur, n’est ce pas le résultat de préjugés et du rejet social plutôt que de ces caractéristiques en tant que telles ? L’accès au bonheur est-il proportionnel à l’état physique ou mental ? « Ma définition de normal a changé », « Je considère les gens avec moins de préjugés, mais vois le potentiel de chacun » témoignent des parents, considérant que leur perception de la vie est plus positive grâce à leur fils ou fille atteint de trisomie 21.

    [1] Having a son or daughter with Down Syndrome: perspectives from mothers and fathers, Brain G. Skotko, Susan P. Levine et Richard Goldstein. (29 juillet 2011)

  • Foliamusica à l’église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy, 132 à Liège) : violon et harpe, le dimanche 7 février 2016 à 16h30

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    Duo ZERBINA   

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    Camille BUGHIN  violon  & Gabrielle GARCIA  harpe

    PAGANINI – RAVEL – IBERT – MASSENET

    Entrée 9€ - Prévente 6€  - Gratuit enfant – 10 ans  

    Réservation : 0478 32 19 83

            SUIVI DU VERRE DE L’AMITIE OFFERT

    Organisation :

       FOLIAMUSICA  Belgique 2016

    www.foliamusica.be ou  Facebook Foliamusica

       Directrice artistique : Cécile Leleux  

     

     JPSC

  • Conflit syrien et crise des réfugiés : l'archevêque d'Alep pointe les responsabilités occidentales

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    Lu sur ihsnews.net :

    Deux témoignages de l’Archevêque d’Alep sur la situation syrienne et les responsabilités occidentales

    Nous vous proposons deux témoignages complémentaires donnés par Mgr Jean-Clément Jeanbart, archevêque d’Alep sur la situation et l’avenir de la Syrie. Loin de la langue de bois, il n’hésite pas à pointer du doigt les points qui font mal et les responsabilités occidentales, tant sur l’expansion du conflit syrien, que dans la crise des réfugiés.

    Source : Boulevard Voltaire

    De passage en France à l’occasion de la Nuit des témoins organisée chaque année par l’Aide à l’Église en détresse, l’archevêque grec-melkite d’Alep, Monseigneur Jeanbart, en avait gros sur le cœur.

    Après avoir décrit la situation dramatique que vivent les Alépins, l’évêque syrien s’est adressé au parterre de journalistes venus l’écouter.

    « Les médias européens n’ont cessé d’étouffer le quotidien de ceux qui souffrent en Syrie et se sont même permis de justifier ce qui arrive dans notre pays en reprenant des informations sans jamais les vérifier », a-t-il lancé, fustigeant notamment les agences de presse créées pendant la guerre, « détenues par l’opposition armée », à l’instar de l’Observatoire syrien des droits de l’homme, source incontournée des médias occidentaux.

    « Il faut que vous compreniez qu’entre l’État islamique et le gouvernement syrien, notre choix est vite fait. On peut condamner le régime pour certaines choses, mais vous n’avez jamais cherché à être objectifs », a-t-il encore accusé.

    À la question de savoir s’il avait pu expliquer sa position aux autorités françaises, Monseigneur Jeanbart a répondu qu’il avait essayé, avant de s’entendre dire qu’il fallait être « moins critique ».

    Pour lui, pourtant, l’Occident n’a cessé de taire les exactions de l’opposition armée, tout en accablant le gouvernement syrien et son président. « Bachar el-Assad a beaucoup de défauts, mais figurez-vous qu’il a aussi des qualités », a-t-il expliqué, « les écoles étaient gratuites, les hôpitaux aussi, les mosquées comme les églises ne payaient aucune taxe, mais quel gouvernement de la région fait des choses pareilles, soyez honnêtes ? Souvenez-vous aussi que si nous préférons aujourd’hui soutenir le gouvernement, c’est parce que nous redoutons l’instauration d’une théocratie sunnite qui nous priverait du droit à vivre sur notre propre terre. »

    « Oui, j’ai tenté de dire toutes ces choses aux autorités françaises, mais que voulez-vous attendre d’un Laurent Fabius qui se prend pour Dieu le Père, en décidant qui mérite ou non de vivre sur cette Terre ? » a-t-il finalement répondu, visiblement las (Laurent Fabius avait affirmé que Bachar el-Assad ne « mériterait pas d’être sur la Terre »).

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  • Beauraing, 21 février : Messe d'au revoir de Mgr Léonard à ses anciens diocésains de Namur-Luxembourg

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    Le dimanche 21 février,

    Mgr Léonard

    célébrera

    une messe d'au revoir

    à ses anciens diocésains de Namur-Luxembourg

    aux Sanctuaires de Beauraing

    à 15h45.

    Infos : 082.71.12.18 / ndbeauraing@gmail.com

  • Virus Zika et risques de microcéphalie : "Women on Waves" en campagne

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Avortements chimiques clandestins gratuits pour les mères porteuses du virus Zika : “Women on Waves” mobilise

    L’ONG néerlandaise Women on Waves, qui s’est fait une spécialité de fournir des pilules abortives en mouillant son bateau dans les eaux internationales au large des pays où l’avortement reste illégal, se mobilise pour venir en « aide » aux femmes latino-américaines infectées par le virus Zika. La maladie transmise par le moustique porteur du virus est soupçonnée de provoquer la microcéphalie chez les femmes enceintes et les autorités sanitaires de plusieurs pays, comme El Salvador, l’Equateur et la Colombie, ont recommandé de remettre à plus tard tout projet de grossesse alors que l’épidémie se répand. L’OMS a renforcé la panique en annonçant la probable infection de quelque 4 millions de personnes à travers le continent américain. Alors ? Avortements chimiques gratuits pour tout le monde !

    Women on Waves vient en effet d’annoncer son intention d’acheminer des pilules abortives vers la Colombie, la Bolivie, le Chili, la Guadeloupe, le Paraguay, le Venezuela, l’Argentine, le Suriname, le Guatemala, le Honduras, El Salvador, Panama, Haïti et la République Dominicaine : les femmes peuvent s’inscrire en ligne pour une consultation virtuelle pour demander les « médicaments » (ce que le Pr Lejeune appelait le « pesticide anti-humain »).

    Le virus Zika semble associé à la microcéphalie

    Dans ces pays, les femmes sont encouragées à se protéger des piqûres de moustiques et à éviter la conception. Mais les insecticides coûtent cher, la contraception n’est pas accessible à toutes et l’avortement est la plupart du temps interdit, regrette Women on Waves. Au lieu de distribuer des répulsifs à insectes et des moustiquaires, au lieu de souligner que le lien entre microcéphalie et Zika n’est pas établi avec certitude, au lieu de tenir compte qu’il y a quelque chose de pire que d’avoir un enfant microcéphale – c’est de le tuer – les féministes du groupe néerlandais préfèrent promouvoir l’avortement. Leur objectif premier.

    D’ailleurs elles soulignent bien le problème supplémentaire que représentent les convictions catholiques dans ces pays. Debora Diniz, qui a introduit un recours au Brésil pour demander la légalité de l’avortement en cas de microcéphalie du fœtus, a déclaré à Reuters : « Nous aurons bientôt une génération de femmes pauvres dont le destin sera de prendre soin à plein temps d’enfants extrêmement dépendants. »

    “Women on Waves” procure des avortements chimiques clandestins

    Les femmes, regrette Women on Waves, ont du mal à savoir si elles ont été infectées par le virus Zika qui le plus souvent ne provoque pas de symptômes visibles (dans 80 % des cas). Les tests coûtent cher – plus de 200 euros – et ne permettent pas de dépister le virus au-delà de la première semaine d’infection. « Les femmes sont obligées d’attendre une échographie pour savoir si leur bébé est atteint de microcéphalie »…

    Leur seule solution, à ce moment-là, affirme Women on Waves, sera de se procurer un avortement clandestins, et dangereux.

    L’idée est donc de donner des abortifs chimiques aux femmes malgré leur illégalité.

    Avortements gratuits pour tous en Amérique latine ?

    Sachant que l’avortement chimique est en principe limité au début de la grossesse – 7 semaines de gestation en milieu hospitalier, en France, au-delà c’est considéré comme trop dangereux – qui sont donc les femmes visées ? Women on Waves va un peu plus loin, et recommande l’avortement chimique jusqu’à 12 semaines de grossesse.

    Quoi qu’il en soit, la microcéphalie n’est en principe pas dépistée avant 32 semaines. Les femmes sont invitées à réclamer des pilules abortives si elles n’ont pas passé le cap des 9 semaines, pour laisser le temps de l’acheminement des comprimés.

    Autrement dit, l’ONG Women on Waves est en train de recommander à toutes les femmes enceintes d’un grand nombre de pays latino-américains de se fournir auprès d’elle pour pratiquer des avortements médicamenteux… préventifs. Sans même savoir si le bébé attendu est atteint.

    Voilà qui prend des allures génocidaires.

    Lire également le témoignage d'une jeune femme microcéphale : http://leblogdejeannesmits.blogspot.be/2016/02/le-virus-zika-justifie-lavortement-mais.html

  • Le pape François éprouverait de la sympathie pour la Fraternité Saint-PieX

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    Lu sur "le Salon Beige" :

    Selon Mgr Fellay, le pape François éprouve de la sympathie à l'égard de la FSSPX

    Extraits d'une conférence de Mgr Fellay prononcée aux Etats-Unis à l’occasion de la Marche pour la vie de Washington le 21 janvier 2016:

    Sur la situation actuelle de l'Eglise après le synode sur la famille :

    "Il y a un mot qui résume bien la situation de l’Eglise, c’est celui de confusion. Et le dernier synode sur la famille a été l’expression de cette confusion. Ce qui s’est passé autour du document final du synode est tout à fait caractéristique (…) Cela a abouti à un texte ambigu et au bout du compte, on ne sait pas quoi faire, quoi penser. Je crois que nous n’avons jamais été à ce degré de confusion dans l’Eglise. Plusieurs évêques progressistes ont exprimé des choses invraisemblables sur des notions fondamentales de morale, et ils n’ont pas du tout été repris par l’autorité qui les a laissé faire. A côté de cela, il y a des cardinaux, des évêques qui se sont dressés contre eux, ouvertement, publiquement. Cela aussi, c’est nouveau. Et nous pouvons nourrir l’espoir que c’est le début d’une vraie réaction, – mais il est grand temps ! »

    Cette situation me rappelle le message de La Salette. La Très Sainte Vierge Marie a annoncé des temps difficiles pour l’Eglise : des évêques contre des évêques, des cardinaux contre des cardinaux. Et si vous regardez l’histoire de l’Eglise, jusqu’à maintenant, vous ne trouvez pas de pareille situation. C’est vraiment tragique. Comment les fidèles peuvent-ils s’y retrouver ? Et même si aujourd’hui, le Saint Père venait à publier un document clair et précis, ce serait trop tard. Le mal est fait. Quand quelque chose est cassé, pour le réparer, cela demande beaucoup plus d’effort. C’est la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui"

    Sur une éventuelle régularisation de la FSSPX :

    "Il n’y a absolument aucun doute que le pape est personnellement impliqué dans notre dossier. Il nous connaît très bien et la façon dont il se comporte nous oblige à penser qu’il éprouve de la sympathie à notre égard… Cela peut sembler contradictoire ! Personnellement, je pensais vraiment que nous allions de nouveau être condamnés par Rome, mais c’est le contraire qui arrive (...)

    Il nous connaît depuis l’Argentine. Nous avons été en relation avec lui car nous avions des soucis administratifs. En Argentine, un concordat permet aux prêtres étrangers d’obtenir un permis de séjour à la condition que l’évêque du lieu l’accepte. Ce qui est, en soi, tout à fait normal. Évidemment, nous avions un problème avec un évêque local qui ne voulait pas de notre présence. Nous aurions pu demander une reconnaissance directement à l’Etat argentin, mais il en était hors de question : nous sommes catholiques et nous ne voulions pas être traités comme une secte.Alors, le supérieur de district d’Amérique du Sud a rencontré le cardinal Bergoglio pour lui exposer le problème. Sa réponse a été très claire : ‘vous êtes catholiques, c’est évident, vous n’êtes pas schismatiques ; je vais vous aider.’ Et il l’a fait ! Il a pris contact avec Rome, il a écrit une lettre en notre faveur au gouvernement qui, dans le même temps, recevait une missive de la nonciature disant exactement le contraire ! Et nous étions dans cette situation lorsqu’il a été élu pape (...)

    Il dit souvent publiquement qu’il ne faut pas se renfermer sur soi, qu’il ne faut pas rester entre nous mais prendre soin de ‘la périphérie’, etc. Et il voit que c’est exactement ce que nous faisons. Nous allons chercher les âmes là où elles se trouvent, nous essayons de les aider, et je suis à peu près sûr que le pape voit tout cela et qu’il en est satisfait. Peut-être qu’il n’est pas content de tout ce que nous faisons, mais de cet aspect-là, oui (...)

    Parfois, en l’observant, nous sommes perdus. Personnellement, je n’ai pas toutes les réponses, j’observe juste les éléments de sa personnalité. Il est inclassable, il est impossible de le placer dans une catégorie, il est tellement imprévisible. Mais, au bout du compte, en tant que pape, il a personnellement réglé notre situation en Argentine. La Fraternité Saint-Pie X a une relation étroite avec lui, un accès direct à lui, ce qui peut sembler fou dans la situation actuelle.

    Il est impossible de vous dire ce qui va se passer demain. Est-ce que nous allons être reconnus ? Sincèrement, je n’en ai aucune idée. Pourquoi ? A cause de la situation de l’Eglise ! A Rome même, certains veulent notre mort. Ils veulent que nous soyons condamnés ! Qui va l’emporter ? Le pape ou les autres ? Je suis navré de vous dire que je ne sais pas. Mais nous n’allons pas être paralysés par cette situation. Nous savons ce que nous avons à faire, alors nous continuons. Nous admettons que si certains éléments étaient acquis, comme la régularisation canonique, ce serait mieux. Il y a des discussions, il y a eu de nouvelles propositions, mais nous savons que nous avons des ennemis au sein du Vatican. Ce n’est pas nouveau."