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La vaccination anti-covid19 : les raisons de douter

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Quelle garanties offre un vaccin pas comme les autres ? le mensuel « la Nef » ouvre quelques pistes pour un débat en toute transparence. La parole est à l’objectivité éthique autant que curative de la science médicale:

« Les vaccins contre le Covid 19 qui arrivent sur le marché ont été élaborés en un temps record et, pour certains, selon des techniques nouvelles dont les effets à long terme sont par définition inconnus. De tels vaccins tant attendus ne dispensent pas d’une juste réflexion morale, d’où le point de vue argumenté que nous sommes heureux de publier ici.

Le sujet du vaccin à ARN messager (ARNm) est sensible et mérite une évaluation morale particulière de la part de l’Église. D’autant plus se vérifie ici le lien entre évaluation éthique et nécessité de compréhension scientifique des processus vitaux se déroulant. D’autant plus semble se vérifier que les fondements de bioéthique sont inscrits au cœur même du vivant. C’est donc très précisément qu’il nous faut examiner la question, au cœur du fonctionnement de la cellule, au cœur du fonctionnement du coronavirus Covid 19, au cœur de celui du vaccin à ARN messager qui vient d’être mis sur le marché.

Quelle est donc tout d’abord sa nature ? S’agit d’un vaccin au sens traditionnel ? Ce qui est de fait habituellement transmis lors d’un vaccin classique est un virus dénaturé ou une partie d’un virus épuré qui, ne portant pas l’élément actif pathogène, dispose toutefois le corps à la fabrication anticipée d’anticorps adaptés grâce à une congruence de structure tridimensionnelle entre le virus pathologique et son leurre. Le corps va donc recevoir ce virus dénaturé comme un autre virus et provoquer là où il se trouvera des réactions finalement habituelles d’immunité et de fabrication d’anticorps. Aussi, le principe de la vaccination classique ne pose-t-il pas de problème éthique au sens où il respecte le fonctionnement naturel du système immunitaire humain. La spécificité du vaccin à ARNm est qu’il va demander à toutes les cellules dans lesquels il se logera de fabriquer la protéine d’une partie du virus (appelée la spicule) qui elle-même provoquera la réaction d’anticorps correspondant. Il s’agit là d’une technique qui ressemble à de la thérapie génique impliquant directement la maîtrise de la fabrication d’un ARNm par voie biochimique dépassant une simple fabrication plus traditionnelle de vaccin. De prime abord, la solution paraît plus simple car l’ARNm est une simple chaîne linéaire de nucléotides alors que le virus dénaturé qui doit être « conditionné » est une protéine tridimensionnelle qu’il faut rendre stable. Mais plusieurs remarques d’importance sont à noter du point de vue éthique […]

Lire la suite ici :  Réflexion sur la légitimité morale du vaccin contre le Covid 

La parole est à la défense…

JPSC

Commentaires

  • https://presse.inserm.fr/les-vaccins-a-arnm-susceptibles-de-modifier-notre-genome-vraiment/41781/

  • L'un des sous-titres de cet article de l'INSERM est: "Pas de risque pour notre matériel génétique." Pour exercer une profession paramédicale et, de ce fait, avoir fait de la biologie avec, en plus, un grand intérêt pour la génétique, je crois pouvoir dire sans me tromper que c'est là une affirmation présomptueuse et irresponsable. La génétique est un domaine où la recherche balbutie encore très largement. Sans parler de l'épigénétique dont on entend pas parler en ce qui concerne cette inoculation d'ARNm dans l'organisme. L'INSERM est une structure de recherche d'Etat, il a donc tout intérêt à dire ce que "politiquement", l'Etat veut qu'il dise. N'oublions jamais non-plus que les intérêts financiers de la vaccination sont colossaux. Ils pipent largement les dès en matière de morale dans cette affaire.
    Personnellement, je suis tombée dans la "marmite" (comme Obélix), du scandale sanitaire d'un soit-disant médicament qui a été prescrit à ma mère quand elle m'attendait: le Distilbène. Là aussi on disait "Pas de risque...", (comme dans le sous titre de l'article de l'INSERM. )
    Le Distilbène a pourri ma vie...
    Pour l'amiante non-plus il n'y avait "Pas de risque..."
    Ne soyons pas naïfs, analysons, réfléchissons. Le monde de la recherche n'est pas capable que du meilleur.

  • On a interdit aux chrétiens du monde de recevoir leur sacrement de Vie, l'Eucharistie, pour des raisons de "précautions sanitaires".
    On sait maintenant le pourquoi, la ruse utilisée pour faire accepter, au niveau mondial, le vaccin ARNm de fabrication artificielle.

    " On sait que la nature du procédé introduit ainsi un avant et un après dans le fonctionnement même de ce qu'il y a de plus intime dans le corps humain : on va le sommer de devenir, au niveau de ces cellules, une machine, une usine en vue de la fabrication d'un "artefact" alors que leur nature profonde est d'être une merveille d'autorégulation qui les fait tenir par elle-même.
    La finalité louable du vaccin à l'ARNm est de prévenir la maladie, sa nature profonde est d'être le premier procédé de TRANSHUMANCE déployé à grande échelle au cœur du vivant ... " (voir la Nef absolument) Il y a 4 points éthiques à considérés en vue du bien des générations à venir ???

    Là, nous traversons un carrefour au feu "rouge" ! Respect de la Vie non respecté.

  • Attention les complotistes anti vaccins et sectaires sont a nouveau de sortie ...ils reprennent des éléments faussés pour faire valoir leur thèses qui ne tiennent pas la route ....

  • Les sentences ne suffisent pas : il faut argumenter pour récuser le point de vue développé par un adversaire…

  • Il suffit de lire le premier commentaire !!!
    Tout a fait scientifique !!!
    Je ne me permettrais pas de critiquer si je n'étais pas moi même médecin et catholique

  • Si vous êtes médecin (et moraliste: objet de l'article), il faut être plus explicite et posée dans la motivation de vos jugements de valeur : quelques points d'exclamation ne suffisent pas à emporter une conviction .

  • Face à de telles campagnes anti-vaccin l‘idée d‘un passeport de vaccination devient particulièrement attrayante.
    A défaut de pouvoir prouver sa vaccination on se verrait interdit l‘accès à des activités essentielles: bureaux, magasins, écoles, crèches...etc.
    Après tout, il s‘agit de protéger la population.

  • Ce passeport de vaccination est un summum d'hypocrisie, de sournoiserie. On prétend que ce n'est pas obligatoire, mais on détruit la vie de ceux qui ne s'y soumettent pas.

  • A Philippe G

    Non, ce n’est ni sournois , ni hypocrite.
    C’est en fait très honnête: on attache des conséquences aux choix que certains font.

    La malhonnêteté est dans l’autre camp: celui de ceux qui prétendent que ce choix ne concerne qu’eux et se fichent du risque d’infection qu’ils représentent pour leur prochain.

  • Vous ne répondez pas à l’argument. Si l’on persécute les réfractaires, il est bien hypocrite de dire que ce n’est pas obligatoire.
    Quant à votre propre argument, il ne tient pas la route. De l’aveu même des promoteurs du vaccin, celui-ci est censé protéger l’individu à qui il est administré, mais n’empêche pas la transmission. Si c’est exact, cela signifie deux choses : la protection sera garantie à tout qui sera vacciné, peu importe ce que feront les autres ; et ceux qui ne seront pas vaccinés ne seront pas nécessairement plus dangereux que les autres.
    Personnellement, je n’ai pas d’opinion tranchée. Le débat doit rester ouvert. Seuls ceux qui ont peur de la vérité rejettent la discussion. Je vous signale que même les syndicats d’infirmiers ont exigé le respect de la liberté de leurs affiliés ; c’est pour le moins interpellant.
    Si je vous ai bien lu, vous trouvez « attrayante » l’interdiction d’accéder aux magasins essentiels, donc par exemple de se nourrir. Permettez-moi de ne pas partager ces inclinations génocidaires.

  • A Philippe G

    Vous avez raison pour ce qui est de la transmissibilité du virus par une personne vaccinée.
    Mais la protection de l’individu par voie de vaccination n”est qu’un des deux buts d’une politique de vaccination.
    L’autre est d’atteindre un niveau d’immunité collective qui suffise pour éradiquer le virus dans la population.
    Cela suppose une vaccination d’au moins 70 pourcents de la population.
    Les sondages sur l’acceptabilité de la vaccination semblent indiquer qu’on est loin du compte.

  • Se faire vacciner ou non est une question de confiance.
    Si on est convaincu que les sociétés pharmaceutiques sont dirigées par des philanthropes désintéressés, que la presse officielle est exempte de "fake news", que les autorités médicales au plus haut niveau sont totalement indépendantes du Big Pharma pour s'équiper de tel ou tel instrument coûteux indispensable pour continuer à être compétitif dans leur recherche, alors il faut impérativement se faire vacciner.
    Le problème pour les thuriféraires de la vaccination est justement qu'il y a de moins en moins de gens qui sont naïfs à ce point. Une société pharmaceutique est d'abord et avant tout une entreprise commerciale dont le but premier est de rentabiliser au mieux le retour sur investissement des actionnaires. Cela n'a en soi rien de choquant, mais on est en droit, connaissant la nature humaine, de se demander si cet objectif ne pèse pas beaucoup plus lourd que toutes autres considérations.
    Concernant la presse "main stream" qui nous dépeint sans cesse un monde que nous n'observons pas dans la vie réelle, il n'est pas étonnant que son discours soit de plus en plus inaudible en dépit d'un matraquage exaspérant. Pas étonnant que la profession de journaliste soit aujourd'hui une des plus déconsidérées.
    En toute logique, ceux qui se reconnaissent dans le groupe des sceptiques devraient s'abstenir de la vaccination.
    Il importe cependant que les plus malins des "vaccinophiles" soient vainqueurs. C'est pourquoi ils menacent de plus en plus les sceptiques de sanctions déguisées tout en respectant officiellement une liberté fictive.
    Relisons dare-dare 1984 de Georges Orwell et le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley avant qu'ils ne disparaissent des librairies au nom de la liberté d'expression pour le plus grand bien du peuple.

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