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  • Bruxelles, 21 novembre : "Platon, toute la philosophie occidentale" avec Stéphane Mercier

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    Logo 'Philo à Bruxelles'.

    Bienvenue à notre prochaine conférence !

    Le mardi 21 novembre, à 19h30, sur le thème

    Platon : « Toute la philosophie occidentale… »

    Adresse sur place :

    Salle - FCE
    Rue du Cornet, 51
    1040 Bruxelles

    Depuis chez vous :
    Vous pouvez également suivre la conférence en direct ici.

    P.A.F. libre :

    Participez à l'enseignement de la bonne philosophie !

    Affiche de la conférence intitulée 'Platon : « Toute la philosophie occidentale… »' présentée par Stéphane Mercier. L'événement est organisé par 'Philo à Bruxelles' et se tiendra à 19h30 le mardi 21 novembre 2023. L'image montre le Mont des Arts de Bruxelles avec ses jardins au coucher du soleil.

    C’est un mot bien connu et souvent cité du philosophe anglo-saxon A.N. Whitehead que toute la philosophie occidentale se résume à des notes en bas de page à l’œuvre de Platon. Au-delà de l’hyperbole, une vérité indiscutable : Platon a toujours été considéré comme une des figures incontournables de la pensée en Occident. Les neuf tétralogies qui lui sont attribuées figurent parmi les monuments les plus fréquentés de la pensée grecque, partout où la culture grecque a rayonné.

    S’il est bien un classique parmi les classiques, c’est donc Platon, loué même par ceux qui regrettaient, fautes de textes, de ne pouvoir le fréquenter autant qu’ils l’auraient voulu. Mais comment retrouver son chemin dans l’œuvre foisonnante de Platon, qui continue d’inspirer les philosophes à vingt-cinq siècles de distance ? C’est à cette question que nous tenterons d’apporter quelques éléments de réponse dans cette deuxième conférence.

    InscriptionTélécharger l’affiche de Philo-a-Bruxelles 2023-2024

    Programme 2023-2024

    Le thème de cette nouvelle année est consacré aux « Classiques » de la Philosophie.

     

  • Sainte Elisabeth de Hongrie (17 novembre)

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    Du site de la Communauté franciscaine capucine de Mons :

    bio ste elisabeth de hongrie - Prière des Futurs Parents

    Ste Élisabeth de Hongrie, fille du roi de Hongrie née en 1207, est la patronne du Tiers-Ordre régulier et du Tiers-Ordre séculier (ou OFS, Ordre Franciscain séculier) 

    Sa vie

    Élisabeth est née à Presbourg, en 1207.
    Fille du roi de Hongrie, André II, et de Gertrude de Méranie.
    Elle est fiancée dès l’âge de 4 ans, avec Louis, le fils aîné du landgrave de Thuringe, Herman I.
    La cour de Thuringe est alors brillante, cultivée ; et Élisabeth y reçoit une éducation soignée, dans le château de Wartburg, forteresse qui domine la ville d’Eisenach.
    Dès son enfance, elle manifeste une grande piété, un esprit de pénitence, et un constant dévouement envers les pauvres qu’elle appelle « ses plus chers amis ».
    En 1221, âgée de 14 ans, elle épouse son fiancé, Louis IV, qui vient de succéder à son père, comme landgrave de Thuringe.

    Il semble que le couple soit très uni et en plein accord sur la place à accorder à la prière et à la charité envers les pauvres. Louis IV porte le surnom de Louis le Charitable.

    Ce prince, à la différence des courtisans, a toujours admiré sa vertu. Partageant la sollicitude de sa femme pour les misères du peuple, le landgrave lui laisse toute liberté de continuer ses exercices religieux; il l’aide même à fonder près de son château un hôpital de lépreux.

    À cette époque, les Frères mineurs nouvellement fondés, commencent à se répandre dans toute l’Allemagne et un certain frère Rüdiger d’Halberstadt rencontre la princesse et l’initie à l’esprit franciscain qui correspond si bien à ses propres aspirations.
    Près du château de Wartburg, elle fait édifier un hôpital, pour accueillir les pauvres et les lépreux.
    En 1227, Louis IV part pour la Ve croisade, mais tombe malade avant de s’embarquer, et meurt à Brindisi. Ses ossements sont rapportés en Thuringe.

    Restée veuve en 1227, Élisabeth a d’abord à souffrir des persécutions de ses beaux-frères qui, désirent le pouvoir et l’accusent de négliger les affaires de l’état et de dissiper en aumônes les trésors de l’État, la privent de la régence et la chassent brutalement avec ses quatre (ou trois?)* enfants de la résidence souveraine. Son oncle, alors évêque de Bamberg, lui offre un asile jusqu’au moment où on lui propose de reprendre le pouvoir, qu’elle refuse. Peu après elle décide de se consacrer totalement à la prière et aux bonnes œuvres et se met sous la direction spirituelle de son confesseur, Conrad de Marburg, auprès duquel elle vient résider, dans une humble habitation.
    Après avoir assuré l’avenir de ses enfants et confié leur éducation à de nobles amies, elle prend l’habit des pénitents (ce n’est pas encore le Tiers-Ordre de saint François).

    Elle utilise les revenus de son douaire pour la construction et la gestion d’un hôpital à Marbürg, l’hospice St-François, et vit dans la pauvreté, la prière et l’assistance aux pauvres et aux malades.
    Quelques unes de ses suivantes et de ses anciennes servantes vivent auprès d’elle, au service des malades.
    Conrad de Marburg, son confesseur, lui ayant interdit de demander l’aumône, elle doit travailler aussi pour assurer sa subsistance. Sous son influence, elle se livre à des mortifications qui abrègent sa vie. Épuisée par les malheurs, les fatigues et les mortifications, elle meurt à peine âgée de 24 ans, le 17 novembre 1231.
    Le pape Grégoire IX la canonise en 1235,.

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