“Homoparentalité” : la piste des cellules souches
Article rédigé par Pierre-Olivier Arduin, le 31 mai 2013 pour Liberté Politique
Les personnes homosexuelles n’ont aucun pouvoir de procréation entre elles, leur « relation » étant par définition stérile. Comment les lobbies homosexuels veulent-ils satisfaire le « droit à l’enfant » qu’ils revendiquent pour leurs membres ? Comment souhaitent-ils faire abstraction de la complémentarité des sexes et mettre en oeuvre ce « droit à l’enfant » en le déconnectant de la sexualité ?
LA REPONSE à ces questions tient essentiellement dans le recours aux techniques de procréation artificielle qui ont multiplié à l’infini les possibilités d’engendrer. Le droit à la fabrication artificielle d’enfants est la condition indispensable pour rendre effectif ce droit à l’enfant.
Le terme d’une construction
Avec l’assistance médicale à la procréation, l’enfant n’est plus fondamentalement un don à accueillir mais le terme d’un projet de construction volontariste. Pourquoi se priver de ces moyens pour satisfaire à présent le projet parental des « couples » de même sexe ? Les biologistes et les médecins ont simplement besoin de briques appelées gamètes (ou cellules sexuelles) pour fabriquer l’enfant programmé.