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Eglise - Page 1683

  • Célébration pontificale à Bruxelles suivant la forme "extraordinaire" du rite romain

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    Cathobel Invité par la Fraternité Sacerdotale Saint Pierre, Mgr Léonard célèbrera, le dimanche 30 janvier à 18H30, à l'ancien couvent des Minimes, une messe pontificale selon la forme extraordinaire du rite romain, c'est-à-dire selon la forme liturgique en vigueur avant les réformes liturgiques de l'après-concile.

    Depuis le motu proprio "Summorum pontificum" publié par Benoît XVI, le 7 juillet 2007, le "rite tridentin" a retrouvé son droit de cité dans la liturgie catholique.

  • Le mariage à l'église n'est pas un droit

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    "On dit souvent, a observé le pape, « qu'en admettant les couples au mariage, les pasteurs devraient procéder avec largesse, le droit naturel des personnes à se marier étant en jeu ». Mais en même temps, le pape a rappelé que « le droit à contracter un mariage présuppose que l'on puisse et que l'on entende le célébrer vraiment, c'est-à-dire dans la vérité de son essence, comme cela est enseigné par l'Eglise. Personne ne peut vanter le droit à une cérémonie nuptiale ».

    A ce sujet, a-t-il continué, un sérieux discernement « pourra éviter que des impulsions émotives ou des raisons superficielles ne conduisent les deux jeunes à assumer une responsabilité qu'ils ne sauront pas honorer par la suite ».

    Discours aux membres de la Rote romaine pour l'inauguration de l'année judiciaire. "Toujours en ligne"

  • Comment va la France Catholique?

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    Sur le blog "Benoît-et-moi", on trouve un état des lieux de la France catholique après la visite du Pape de septembre 2008. Quid de la laïcité positive de Nicolas Sarkozy? Un article de la revue des jésuites "Civiltà cattolica". (22/1/2011)

    Un passage significatif :

    "Il convient de noter l'avis de Rémi Brague, professeur de philosophie médiévale à la Sorbonne, il s’exprime avec force sur l'idée que nous nous faisons aussi à l'étranger, de la crise de l'Eglise en France: "Ce que disent les groupes de pression est présenté comme la voix de l'Eglise et du peuple chrétien. Les discours et les slogans de ces lobbies continuent de faire rage dans les médias dans une sorte de jeu de miroir: les médias ne s’adressent qu’aux représentants de ces groupes de pression, qui à leur tour répondre selon le scénario déjà préparé pour eux dans la couverture médiatique de la réalité. La réalité effective des choses est peut-être plus grave que ce que disent certains groupes de pression, mais en même temps n'est pas aussi grave que les médias la décrivent parfois ".

  • Témoignage d'une musulmane sur soeur Marie-Simon Pierre, la miraculée de Jean-Paul II

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    Cliquer sur le lien suivant : Bourdin_RMC_18012011

     

  • Très rare, en déduit le patron de la police judiciaire...

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    Au cours des quatre dernières années, il y a eu, en fonction des années, entre 6 et 15 plaintes visant des religieux pour des faits de mœurs. Est-ce beaucoup ? Est-ce peu ? Pour le commissaire Paul Van Thielen, qui a livré ces chiffres devant la Commission spéciale relative au traitement d’abus sexuels et de faits de pédophilie dans une relation d’autorité, on peut donc dire qu’il s’agit là de "faits exceptionnels"."

    "C’est donc très rare", en déduit le patron de la police judiciaire fédérale.

    Suite sur LaLibre.be

    Encore importe-t-il de faire la différence entre faits de moeurs et faits de pédophilie, et de ne pas confondre dénonciations et plaintes avec faits avérés.

  • Venezuela : L’Eglise ne renoncera pas à faire entendre sa voix

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    Les évêques en appellent à un « réveil moral »

    ROME, Mardi 11 janvier 2011 (ZENIT.org) - « L'Église ne renoncera pas à faire entendre sa voix » au Venezuela, titre Radio Vatican. Les évêques en appellent à un « réveil moral ».

    « Participer à la vie politique du pays est un droit pour tous, et l'Église vénézuélienne ne compte pas se laisser intimider. La Conférence épiscopale vénézuélienne a annoncé son intention de continuer à exprimer son point de vue. Les évêques ont le droit de prononcer des jugements moraux sur les questions concernant l'ordre politique et les droits fondamentaux de l'homme », explique la même source.

    Radio Vatican rappelle qu'il y a quelques mois, le cardinal Jorge Urosa s'était attiré les foudres du gouvernement d'Hugo Chavez qu'il avait accusé « d'acheminer le pays vers une dictature marxiste ».

    Le président avait répondu en le traitant de « troglodyte » et en demandant la « révision du Concordat ».

    En inaugurant l'assemblée ordinaire de l'épiscopat, Mgr Ubaldo Santana, Président de la Conférence, a estimé que les évêques et le clergé avaient « le devoir de contribuer au réveil moral des forces nécessaires à la construction d'une société juste et fraternelle et de prononcer un jugement moral sur l'ordre politique lorsque le demandent les droits humains fondamentaux de la personne ou le salut des âmes ».

    Le discours du Président de la Conférence épiscopale évoque plusieurs questions sensibles, souligne Radio Vatican : « l'intolérance religieuse, les élections et les nouvelles lois, les grands défis pour la pastorale, la fracture au sein de la société et le service prophétique des plus faibles ».

    Tout en appelant au calme, Mgr Santana a dénoncé sans détours une radicalisation du projet politique du président Chavez, ajoute la radio du pape : « le contrôle de l'État sur l'économie a été renforcé, des pouvoirs exceptionnels ont été attribués au président pour lui permettre de gouverner par décret ».

    La nouvelle chambre issue des récentes élections devra, selon lui, s'efforcer de « créer des consensus ».

  • Benoît XVI infléchirait-il la ligne de son pontificat ?

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    C'est ce que semble affirmer Luigi Accatoli dans le Corriere delle Sera :

    Le pape s'ouvre aux protestants, son pontificat est fort
    Luigi Accattoli
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    Benoît XVI a nommé un protestant - le Suisse Werner Arber, prix Nobel de médecine - à la tête de l'Académie pontificale des Sciences : c'est une petite nouvelle qui augure bien de la santé du Pontificat de Benoît XVI, dont cette décision et d'autres de ces dernières semaines montrent qu'il n'est nullement apeuré ou replié sur lui-même comme persistent à le dépeindre certains interprètes remplis de préjugés contre lui.
    Sans troubler la grande ombre du Pape Wojtyla, dont Benoît a fait annoncer l'autre jour, la béatification en un temps record; et sans évoquer des questions complexes telles que le nouvel encadrement pour les questions financières adopté le 30 décembre - et il s'agit là de deux pas en avant d'un certain poids - on peut aussi rappeler deux autres récents actes importants dans le domaine de l'œcuménisme, qui permettent d'encadrer dans un contexte cohérent la nouveauté d'un président protestant de l'Académie des Sciences.
    Le premier de l'an, Benoît a annoncé la convocation d'une quatrième «journée» inter-religieuse à Assise en Octobre prochain, pour le vingt-cinquième anniversaire de la première et, hier, il a institué un «ordinariat» destiné à accueillir les anglicans qui entreront dans l'Eglise catholique, plaçant à sa tête, et donc dans une situation comparable à celle d'un évêque, un prêtre marié.
    Pour en revenir au président Calviniste de l'Académie des sciences, pour comprendre l'esprit de cette décision sans précédent, il convient de rappeler la conviction exprimée par le cardinal Ratzinger à plusieurs reprises que "même en dehors de l'Eglise catholique il y a beaucoup de vrais chrétiens, et il y en a beaucoup de vraiment chrétiens."
    Mais il y a une raison plus spécifique, tenant au fait que le nouveau président de l'Académie est un médecin: et le cardinal Ratzinger avait soutenu en plusieurs occasions importantes que les chrétiens de toutes dénominations "devraient s'efforcer de rendre ensemble témoignage sur les grands enjeux moraux".
    Le pape Benoît espère trouver dans la personne du réformé Werner Arber un allié pour un "témoignage commun" dans le domaine plus "chaud" de la bioéthique.

    © Copyright Corriere della Sera, 16 Janvier 2011; traduction de Béatrice Bohly sur son site "Benoît et moi"

  • Un protestant à la tête de l’Académie pontificale des sciences

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    Benoît XVI nomme le Suisse Werner Arber

    ROME, Lundi 17 janvier 2011 (ZENIT.org) - Benoît XVI a nommé président de l'Académie pontificale des sciences, le prix nobel Werner Arber, professeur émérite de microbiologie à l'université de Bâle (Suisse), a rapporté la salle de presse du Saint-Siège, le 15 janvier dernier.

    Protestant, il est le premier non-catholique appelé par un pape à la tête de cette institution vaticane au sein de laquelle des scientifiques non-croyants ont toutefois déjà été admis, rappelle le quotidien italien Avvenire.

    Le professeur Arber est né à Gränichen (Suisse) le 3 juin 1929. Biologiste moléculaire, il a reçu le prix nobel de physiologie et de médecine en 1978, en même temps qu'Hamilton O. Smith et Daniel Nathans.

    Après avoir accompli des études à Zurich et à Genève, il s'est rendu aux Etats-Unis où il a travaillé avec Joe Bertani, Gunther Stent, Joshua Lederberg et Salvador Edwards Luria.

    Il s'est consacré de manière particulière à l'étude des bactériophages. Son œuvre est liée à la découverte de l'enzyme de restriction, outil important en génie génétique.

    « A Genève », rappelle une note de la salle de presse du Vatican, « il commença en 1960 ses recherches sur les modifications induites dans l'ADN du phage et observa que la restriction était accompagnée d'une dégradation du même ADN. Les fragments ainsi obtenus peuvent s'unir à d'autres fragments d'ADN différents, créant ainsi un nouvel ADN recombinant ».

    Les conséquences de cette découverte ont conduit, entre autres, à l'utilisation de cultures de bactéries, traitées de manière adaptée, pour la production d'hormones comme l'insuline et des enzymes rares.

    Le professeur Arber a recouvert différentes charges dans des organismes scientifiques au niveau international et a été président de l'International Council for Science (ICSU).

    Nommé académicien pontifical en 1981, il est conseiller de l'Académie pontificale des Sciences depuis 1995.

  • Et la béatification de Pie XII ?

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    papa_pio_xii.jpgBenoît XVI vient d'annoncer la béatification de son prédécesseur Jean-Paul II, le 1er mai prochain. Celle de Pie XII, dont le procès est en cours,  n'aura donc pas lieu en même temps, comme l’avaient été celles de Pie IX et Jean XXIII.

    Pourtant jusqu’à la mort de Pie XII, en octobre 1958, l’univers politico-médiatique avait rendu  à ce pontife un hommage appuyé et unanime : de l’inoxydable hebdomadaire « Paris-Match », dont l’édition spéciale commémorative du pontificat titrait en couverture : « depuis vingt ans, un saint régnait sur l’Eglise », jusqu’au premier ministre israélien de l’époque, Golda Meir, déclarant à la tribune de l’ONU : « nous pleurons un grand serviteur de la paix et de la charité. Pendant les dix années de la terreur nazie, quand notre peuple a souffert un martyr effroyable, la voix de ce pape s’est élevée pour condamner les bourreaux et pour exprimer sa compassion envers les victimes. »

    Mais cinq ans plus tard, pendant le concile Vatican II, une pièce de théâtre, Le Vicaire, œuvre du dramaturge allemand Rolf Hochhuth, lance la polémique qui retourne l’opinion publique contre le pape défunt, en l’accusant d’avoir couvert par son silence le génocide des juifs perpétré par les nazis : la controverse devient publique et elle sera alimentée, depuis 1964 (avec le livre de l’historien Saul Friedländer :Pie XII et le Troisième Reich) jusqu’à nos jours. 

    Dans « Lumière du monde », son récent (2010) livre d’entretien avec le journaliste allemand Peter Seewald,  Benoît XVI prend position comme suit (pp. 148-149) :

     « Pie XII a sauvé la vie de milliers de Juifs en faisant par exemple ouvrir les couvents et les monastères romains –ce que seul le pape en personne peut faire- et en proclamant leur extraterritorialité, ce qui n’était pas totalement sûr du point de vue du droit, mais que les Allemands ont toléré tout de même. Une chose est très claire : à l’instant même où il aurait émis une protestation publique, on n’aurait plus respecté l’extraterritorialité et les milliers de personnes qui avaient été mises en sécurité dans les monastères romains auraient été déportées.

    «Dans cette mesure, l’enjeu était simple : c’étaient les nombreuses vies humaines que l’on ne pouvait sauver autrement. On a découvert tout récemment que dès 1938, alors qu’il était secrétaire d’Etat, Pacelli a écrit à des évêques du monde entier leur demandant d’agir afin que l’on accorde généreusement des visas aux juifs qui émigraient d’Allemagne. Il a tout fait à l’époque pour sauver des vies. Bien entendu, on peut reposer sans cesse la question ‘ pourquoi n’a-t-il pas protesté plus clairement ?’. Je crois qu’il a vu quelles conséquences aurait une protestation ouverte. Il en a beaucoup souffert personnellement, cela, nous le savons. Il savait qu’il aurait dû parler, mais la situation le lui a interdit.

    « Et voilà qu’une autre catégorie de gens plus malins que les autres affirme aujourd’hui qu’il a certes sauvé beaucoup de personnes, mais qu’il avait sur les juifs des conceptions démodées et qu’il n’était pas à la hauteur de Vatican II » et il ajoute prudemment : « mais là n’est pas la question ». Où est-elle alors ?

    Quelle fut la véritable action du pape Pacelli contre les crimes de guerre de l’Allemagne nazie et fasciste ?

    À défaut de lire un livre comme "Pie XII. Biographie", d’Andrea Tornielli (un des meilleurs vaticanistes actuels (paru aux Éd. du Jubilé, 2009, 810 pages), il faut écouter certains témoignages directs comme on en trouve sur Internet :

    http://www.youtube.com/watch?v=ktbco4knUq8&feature=related

  • Création d'un ordinariat pour les anglicans

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    CITE DU VATICAN, 15 JAN 2011 (VIS). Selon les dispositions de la constitution apostolique Anglicanorum Coetibus du 4 novembre 2009, et après consultation de la Conférence épiscopale d'Angleterre et du Pays de Galles, la Congrégation pour la doctrine de la foi a érigé un Ordinariat personnel pour les anglicans désirant entrer dans la communion catholique. Il prend le nom d'Ordinariat personnel Notre Dame de Walsingham et son territoire correspond à celui de la Conférence. Son saint patron est le bienheureux John Henry Newman.

      Le communiqué de la Congrégation rappelle qu'un ordinariat est une structure canonique et que, en l'occurrence, il permet aux ex anglicans d'être en pleine communion avec l'Eglise catholique tout en conservant leur caractère anglican. Avec cet ordinariat spécifique la Constitution apostolique Anglicanorum Coetibus tend à la conservation au sein de l'Eglise catholique des traditions liturgiques, spirituelles et pastorales anglicanes, tout en garantissant aux nouveaux groupes de fidèles et à leurs prêtres d'être pleinement intégrés.

      Pour des raisons doctrinales, l'Eglise catholique n'admet pas l'ordination épiscopales d'hommes mariés. Ceci dit, la Constitution apostolique prévoit, à certaines conditions, l'ordination comme prêtres catholiques de ministres anglicans mariés. Aujourd'hui à Londres, Mgr.Vincent Nichols, Archevêque de Westminster, a ordonné au sacerdoce catholique trois ex évêques anglicans, Andrew Burnham, Keith Newton et John Broadhurst. Ce même jour, Benoît XVI a nommé le Révérend Newton premier Ordinaire de Notre Dame de Walsingham. Ces trois prêtres prépareront les premiers groupes de fidèles qui, à Pâques, seront reçus au sein de l'Eglise catholique avec leurs pasteurs. De même accompagneront ils les ministres anglicans se préparant à leur ordination catholique pour Pentecôte.

      La création de cet ordinariat va de pair avec l'engagement dans le dialogue oecuménique qui continue d'être une priorité pour l'Eglise catholique. L'initiative ayant conduit à la Constitution Anglicanorum Coetibus et à la création de l'Ordinariat personnel est le fait de groupes d'anglicans ayant déclaré partager la foi catholique exprimée dans le Catéchisme de l'Eglise catholique, et reconnaître le ministère pétrinien comme voulu par le Christ pour l'Eglise. Pour eux est arrivé le moment d'exprimer une unité implicite par une communion visible".
    OP/                                                     VIS 20110115 (360) 

  • La prochaine rencontre interconfessionnelle pour la paix à Assise...

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    Le blog (à recommander!) "Benoît et moi" tente de convaincre ses lecteurs du bien-fondé de cette initiative qui devrait se concrétiser en octobre prochain. Il fait écho à des objections sérieuses formulées par des lecteurs de ce blog, dont celle-ci, émanant d'un correspondant belge :

    "Ces démarches initiées par Jean-Paul II ont-elles abouti à un réel progrès de la paix dans les relations internationales au cours des deux dernières décennies?
    Ces démarches ont-elles apporté aux communautés chrétiennes minoritaires, dans les pays musulmans particulièrement, un surcroît de sécurité et de tranquillité?
    Ces démarches ont-elles freiné la guerre qui fait rage contre la vie et la famille (avortements, promotion de l'idéologie du genre, banalisation des perversions sexuelles...)?
    Et je pourrais continuer en vous entretenant notamment de la guerre sourde menée quotidiennement dans mon pays, la Belgique, contre l'Eglise.
    Dans le climat de relativisme et d'indifférentisme où la société vit aujourd'hui, j'ai peur que le signal donné à Assise soit un mauvais signal : celui d'un rassemblement de représentants de toutes sortes de religions et confessions qui semblent s'équivaloir et tenir un discours de paix que dément absolument le spectacle que le monde nous donne et auquel nombre de ces religions sont associées. "Les dieux des païens sont des démons" proclamait saint Paul. Cette proclamation semble se situer à l'opposé de ce que notre Eglise propose aujourd'hui et qui s'apparente plutôt à une espèce de message confusionniste "où tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil".
    Personnellement, je ne peux souscrire à cette initiative et elle me déçoit profondément."

    Cette intervention est à rapprocher d'une lettre adressée au pape par plusieurs intellectuels italiens de renom : Francis Agnoli, Lorenzo Bertocchi, Roberto de Mattei, Corrado Gnerre, Alessandro Gnocchi, Camillo Langone, Mario Palmaro.

     

  • Le site belge des prochaines JMJ

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    slidecontent1.pngUn site est ouvert permettant aux jeunes Belges de découvrir les prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse qui auront lieu à Madrid en août 2011 sur le thème : "Enracinés et fondés dans le Christ, affermis dans la foi" (Colossiens, 2, 7) : http://madrid2011.jmj.be/