Sur son blog, l'abbé Eric de Beukelaer, fait une opportune mise au point sur les circonstances et les modalités qui ont conduit la "Fédération des Scouts Catholiques" à se muer en fédération "Les Scouts". On y apprend que : "...la question de l’identité du mouvement fut posée lors d’une assemblée « Sensaction » du 26 novembre 2005. 77 animateurs y participaient, ainsi que 48 cadres du mouvement. Il y fut posé la question du maintien de la référence catholique dans le nom de la fédération. A cette interrogation, 40 animateurs répondirent « oui » pour 26 « non » et 11 abstentions. Par contre, 25 cadres du mouvement dirent « non » contre 12 « oui » et 11 abstentions. Le désir de supprimer la référence catholique émanait donc – à l’époque, en tout cas – principalement des cadres du mouvement et non pas des animateurs. En chiffres absolus le maintien l’emportait d’ailleurs d’une voix (52 « oui » pour 51 « non »)."
C'est éclairant, mais plus éclairant encore l'aveu, par les responsables du mouvement, de motivations telles que : «Les responsables de dossiers qui nous mettent en rapport avec le monde extérieur (partenaires, monde politique, publics différents) pointent le risque de frein d’avancement de ces dossiers». L'abbé commente : "Cela fait réfléchir au pluralisme convictionnel, tel qu’il est parfois pratiqué par d’aucuns. De plus, cela signifie que la décision de supprimer la référence catholique, aurait aussi été une question de sous. Je sais bien que l’argent est le nerf de la guerre, mais… il n’est pas un des moteurs de l’idéal scout."
Effectivement, il aurait mieux valu interroger "la base" plutôt que de lui imposer ce reniement.
Les cas de jeunes femmes chrétiennes enlevées, contraintes à épouser des hommes musulmans et à se convertir à l'islam sont plus de 700 chaque année. Et de nombreux autres échappent à ce dénombrement parce qu'ils ne font pas l'objet de plaintes. C'est ce qu'indiquent à l'Agence Fides des sources de l'Eglise locale, impliquées dans la lutte contre ce phénomène, aujourd'hui revenu à l'honneur des chroniques au travers du cas de Farah Hatim, jeune catholique enlevée, convertie et contrainte à contracter un mariage islamique dans la ville de Rahim Yar Khan, dans le sud du Punjab (voir Fides 07, 08, 09/06/2011).

Chers amis priants,
… ou « Come on, Holy Spirit » : c’est la même chose.
Après le repas au bord du lac, Jésus ressuscité dit à Simon-Pierre : « Simon, fils de Jean, m'aimes-tu plus que ceux-ci ? » Il lui répond : « Oui, Seigneur, je t'aime, tu le sais. » Jésus lui dit : « Sois le berger de mes agneaux. »