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Bruxelles : les pro-avortement font le choix de la violence

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Communiqué de l'asbl Génération pour la Vie

 

Bruxelles : les pro-avortement font le choix de la violence

Afin de rendre hommage aux 19.000 victimes de l'avortement de l'année écoulée l'asbl Génération pour la Vie a organisé vendredi 16 décembre, une manifestation pacifique devant le centre IVG « Aimer Jeunes », situé rue Saint Népomucène à Bruxelles. Les participants – essentiellement des étudiant(e)s - ont été violemment pris à partie par des activistes d'extrême gauche et des militant(e)s « féministes » (matériel endommagé par des individus cagoulés, coups, jets de légumes) forçant la police anti-émeute à intervenir. Parmi les victimes : une femme regrettant son avortement qui a subi une pluie de tomates et d'insultes lors de son témoignage.

Défendre le droit à la Vie pour tou(te)s ferait-il peur ? Il semblerait que oui, à tel point que les partisans du « droit » à l'avortement en aient oublié un principe démocratique élémentaire : la liberté d'expression. Dans un état de droit, chacun doit pouvoir exprimer ses opinions sans craindre pour sa sécurité. En se comportant de la sorte les pro-avortement montrent bien où se situe l'intolérance...

L'asbl Génération pour la Vie demande donc au centre « Aimer Jeunes », financé par le contribuable, de se désolidariser publiquement des violences commises et formule le vœu qu'à l'avenir un véritable débat démocratique puisse s'ouvrir sur la question de l'avortement.

 

Pour plus d'informations  : Antony Burckhardt - Président - 0032/491 22 19 30 - contact@generationpourlavie.com

Commentaires

  • Il faut malheureusement constater que les partisans de la peine de mort pour les bébés à naître, sont assez cohérents avec eux-mêmes. Quand on est prêt à user de la violence la plus terrible envers un bébé, pourquoi hésiterait-on à en user vis-à-vis de ceux qui s'opposent à ces meurtres légalisés ? Ces meurtres qui se commettent sans jugement, selon le bon plaisir de la mère, ou le plus souvent sous la pression de son entourage.

    Comment une société peut-elle être contre la peine de mort pour un criminel endurci, avec toutes les garanties possibles d'une Justice équitable, mais en même temps tolérer la peine de mort infligée à un bébé, ne disposant même pas d'un avocat pour défendre son droit premier le plus fondamental, le droit à la vie ?

    Il faut peut-être chercher la réponse à ce paradoxe dans la morale relativiste prônée par l'athéisme. En effet, un athée court le risque d'être un jour ce condamné à mort, il ne souhaite donc pas que ce risque existe. Par contre, il ne risque plus jamais d'être le bébé dans le ventre de sa mère, qu'il a été. Une loi en faveur de l'avortement libre ne le dérange donc pas.

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