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Pour nous empêcher de mourir, on nous a empêchés de vivre des liens fondamentaux

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De l'Abbé Pierre Amar sur Padreblog

LA MORT VOLÉE

09 Mar 2021

C’est l’un des drames cachés de la crise sanitaire actuelle : de nombreuses familles n’ont même pas pu dire à-Dieu à l’être aimé. Derrière des protocoles sanitaires inhumains, c’est une grave régression sociétale qui s’est imposée dans le silence et les larmes. Des voix s’élèvent pour la dénoncer. Car il n’est pas trop tard.

Enfoncer la porte de l’hôpital. N’était-ce finalement pas la seule chose à faire ? C’est la question qu’on se pose en découvrant le témoignage poignant de Laurent Frémont. Ce jeune homme a courageusement pris la parole dans de nombreux médias (par exemple dans cette vidéo) pour raconter la mort de son père. Hospitalisé dans un service Covid en novembre 2020, Monsieur Frémont n’aura jamais pu revoir ses proches, malgré les nombreux tests (négatifs) que ceux-ci auront pratiqués. À sa mort, le médecin ordonnera même une mise en bière immédiate alors qu’il n’était même plus contagieux.

L’ADIEU AU VISAGE

Le témoignage de Laurent n’est hélas pas isolé. Bien sûr, on imagine que ceux qui travaillent dans les hôpitaux ne sont pas forcément malveillants et font ce qu’ils peuvent, parfois avec maladresse, coincés entre les mesures tombées d’en haut et la pression de devoir protéger tous leurs patients. Mais ici et là dans l’hexagone, des milliers de familles disent la même chose. Sans aucun fondement juridique, des interdictions de visites dans des services Covid de certains hôpitaux et cliniques – mais aussi dans certains Ehpad – sont trop nombreuses et les patients en fin de vie sont littéralement volés à leurs familles. Le tout dans une immense solitude et un grand désarroi, tant pour les proches que pour les patients eux-mêmes. Car ceux qui connaissent l’hôpital savent pourtant combien les visites participent au réconfort et bien souvent au rétablissement des malades.

Pire encore, l’adieu au visage est interdit. Laurent Frémont le présente comme « l’inhumanité ultime ». Il faut avoir connu des familles de disparus pour réaliser combien ce moment d’hommage est tellement important pour les familles. Il contribue au travail de deuil, permet des moments de grande complicité familiale, faits de « mercis » et de « pardons » qu’il n’est jamais trop tard pour échanger. Les prêtres sont souvent les témoins privilégiés de ces moments essentiels. De la même façon – sous la pression des pompes funèbres cette fois – les rites qui accompagnent la mort, comme la veille du corps, la célébration à l’église, la bénédiction au cimetière, ont parfois été négligés ou sabotés.

 

LA DOUBLE PEINE

On argumentera en disant que le Coronavirus est contagieux et qu’il peut se contracter au contact d’un cadavre. Mais là n’est pas la question. Devant l’absurdité et la cruauté, l’humanité doit réagir. Tout ce qui touche la mort concerne le plus intime de notre humanité. Depuis Antigone, il en va de ce que nous sommes, de nos sociétés, de notre civilisation.

Dès le confinement de mars 2020, la célèbre psychologue et écrivain Marie de Hennezel avait alerté l’opinion publique dans un livre poignant : « L’Adieu interdit » (Plon). Sur le sujet délicat et douloureux de la mort, Marie de Hennezel est une voix qui compte, notamment à cause de son célèbre ouvrage, « La mort intime » (Robert Laffont), préfacé par le président de la République de l’époque, François Mitterrand. De son côté, la comédienne Stéphanie Bataille a lancé une pétition (qu’on peut signer ici) intitulée : « Visiter un proche à l’hôpital ou en Ehpad quand on veut, c’est vital. Covid ou pas ». On a le sentiment, en la lisant, que les familles subissent un châtiment qui est une sorte de double peine : comme si la souffrance de la maladie ne suffisait pas, on rajoute l’épreuve de l’humiliation et de la déshumanisation.

Des croyants de nombreuses confessions témoignent également qu’ici et là, des aumôniers ont été interdits de visite, ce qui est contraire aux droits les plus élémentaires de la conscience humaine. Jusqu’en 1981, date de l’abolition de la peine de mort, même les condamnés à la peine capitale avaient droit à un prêtre !

VIVRE, C’EST RISQUER DE MOURIR

En mettant ainsi les malades sous cloche, en méprisant nos aînés dont certains sont véritablement reclus et terrorisés dans des Ehpad, notre société montre qu’elle marche sur la tête.

« Et le monde se souvint qu’il était fragile », écrivions-nous il y a un an. La crise sanitaire mondiale a soudainement remis en lumière une conviction oubliée : vivre est un risque quotidien. Vivre, c’est risquer de mourir. Or, pour nous empêcher de mourir, on nous a empêché de vivre des liens fondamentaux. Il est temps de nous réveiller et de dire qu’il y a des choses inadmissibles. Si l’on veut sauver des vies, on ne peut pour autant détruire les vivants ! C’est l’idée de Laurent Frémont lorsqu’il évoque ses contacts dans les milieux parlementaires afin d’instaurer pour les familles un « droit opposable », une faculté juridique de s’opposer aux services de santé pour les forcer à visiter un proche en fin de vie.

Allons-nous regretter l’ancien temps ? Quand on mourait chez soi, dans son lit, certes éloigné du relatif confort de l’hôpital mais entouré de ceux qu’on aime ? Quand on l’interroge, Laurent Frémont conclut d’ailleurs : « L’homme ne vit pas que de soins mais de liens ! ».

Commentaires

  • (suite)
    Ceux qui veulent vraiment savoir ce qui est vrai et ce qui est faux devraient donc s’intéresser aux procédures judiciaires déposées contre le port obligatoire du masque, les test PCR, les confinements, et bientôt les mixtures à thérapie génique. Les plus célèbres sont à présent bien connus :

    Reiner FUELLMICH - avocat allemand - droit international
    https://drive.google.com/file/d/1J7yk8B1FXS1iiWolevROWI6eZ-yb62mN/view (texte de la plainte 55 pages)

    Carlo BRUSA - avocat barreau de Paris
    https://drive.google.com/file/d/1yScCfY2sO6uxBxt-15WoBhdUPxdTwmkk/view (texte de la plainte 46 pages)

    Virginie DE ARAUJO RECCHIA
    Les lois fondamentales - Rapport (66 pages) - https://www.casimages.com/f/IEdPnDX0QUb

    Fabrice DI VISIO - plainte contre les confinements

    Alphalex Avocats. Avenue des Arts 6, 1210 Bruxelles - info@alphalex-avocats.
    https://alphalex-avocats.eu/plainte-commission-europeenne-lancee-par-action21-france-reaction-rhone-alpes-et-le-reseau-davocats-europeen-alphalex/

    La cerise sur le gâteau ! Voici ce qu’on dit au personnel soignant réticent à se faire vacciner (ça, on comprend bien pourquoi !) : ”Nous appelons les soignants à se vacciner, pas à soigner ». Un comble !
    https://reseauinternational.net/ordres-medicaux-nous-appelons-les-soignants-a-se-vacciner-pas-a-soigner/
    Commentaire :
    ”Ainsi, les personnels de la santé en France (et ailleurs) vont commencer à se rendre compte au service de qui ils travaillent. Il serait temps !”
    Après, ce sera au tour des autres, ceux qui forment le bras armé de ces gouvernements et qui doivent subir le même sort. Les vaccins risquent bien ”d’abîmer” tous ces gens là. Et après, que fera-t-on sans eux ? Il faut espérer qu’eux aussi d’ici là auront changé d’avis.

    Que chacun daigne prendre conscience de ce qui se trame ! Le grand tribunal pénal international de Nüremberg a établi que les nazis étaient coupables. Il a émis un code qui interdit les expériences sur des humains. Ceux qui le connaissent sont stupéfaits de constater qu’en l’an 2021, on est en train d’étouffer, d’écraser ce code, et donc de justifier le régime nazi et les expériences des médecins dans les camps de concentration. Car il en est ainsi d’un prétendu vaccin qui n’est pas un vaccin mais une thérapie génique et pathogène dont on ne connaît presque rien mais qu’on expérimente quand même sur un grand nombre d’humains avec, déjà, des effets stupéfiants.

    Qui donc, dans notre Eglise catholique, va prendre notre défense pour nous protéger contre le néonazisme ?
    Il ne faut pas douter qu’il y en ait encore mais, attention : ”Aujourd’hui comme alors !”

    Qui aurait pu s’imaginer :
    https://youtu.be/OJ8to3moT1s

    ”Reste avec nous Seigneur, car le soir approche et déjà le jour baisse (Lc 24/22)

  • La vérité, la réalité (connue de ceux qui l’aiment et donc qui s’en instruisent), c’est que de plus en plus de grands scientifiques mondialement connus, honorables, sérieux, compétents, sincères, crédibles dans le fait qu’ils ont tous comme point commun l’absence de ”conflits d’intérêts ” et qu’ils sont tous honnis par les médias dits ”mainstream”, ces scientifiques qui ont encore une conscience ainsi que l’amour de l’être humain et des moyens de guérir ses maladies et dont plusieurs sont de vrais catholiques qui prennent des risques en s’opposant au ”prince de ce monde”, ces scientifiques nous disent qu’ils sont obligés, en conscience professionnelle et humaine, de conclure et de nous aviser que beaucoup de mesures ahurissantes décidées et maintenues par la force des forces armées ne cherchent pas à nous empêcher de mourir (puisque interdiction de médicaments utiles - hydroxychloroquine - Azythromycine - ivermectine, ...) mais à nous empêcher de vivre , à nous faire mourir (masques ”gazants ” - Rivotril - Remdesivir - thérapies géniques déroulant, selon Alexandra Caude et d’autres, un « tapis rouge » mortel pour les variants du Sars-CoV2, réplique ”améliorée ” du Sars-CoV1).
    Pauvres gens qui préfèrent ne rien savoir, même pas par amour pour ceux qu’ils ont mis au monde ou pour ceux qui les ont mis au monde.!
    Bien sûr, les ”trolls” soudoyés soutiennent que ces grands savants ne sont que des complotistes, des négationnistes, des rassuristes, si pas des fascistes, des confusionnistes, .... etceteri, etcetera, ... Mais c’est à peu près le seul vocabulaire ”scientifique” qu’ils connaissent et emploient pour tenter d’étouffer les grands exposés des grands et vrais scientifiques.
    Et çà marche ! Tout simplement parce que le monde préfère le mensonge à la vérité, l’illusion à la réalité, la facilité à la difficulté. Pourtant, toute l’histoire de l’humanité nous apprend que le mensonge et l’illusion ne peuvent rien produire de réel puisque ce qu’ils proposent n’existe pas, n’est que mirage. Tandis que la Vérité ne peut que construire parce qu’elle est amour qui ne pense qu’à donner la vie et à la faire subsister, ce qui suscite de nombreux moyens et le développement des peuples.
    Nous sommes donc plongés dans le scénario apocalyptique de haine infernale dont l’objectif est bien de détruire la Sainte Eglise de NS Jésus-Christ et l’humanité entière (voir monument Georgia Guidestones). Cela doit nous faire penser à cette parole de NS Jésus-Christ : ”Et si ces jours n'avait été abrégés, nul n’aurait eu la vie sauve !” (Mt 24/22). On parle évidemment ici de la vie terrestre, et donc d’un quelconque cataclysme.
    Mais les ”trolls” ont beau se tortiller. Depuis les millénaires, c’est Dieu Trinité qui est Vérité absolue et l’unique propriétaire de l'univers visible et invisible. Il l’a bien démontré au temps de Noé. Bien sûr, ceux à qui nous avons à faire ne croient évidemment pas à Dieu, ni au temps de Noé, ni en Jésus-Christ qui atteste de l’époque de Noé, ni aux recherches et découvertes attestant de l’existence de l’Arche.

    Mais la vérité, la réalité a toujours submergé le mensonge et l’illusion. Et c’est cette certitude qui motive de grands avocats à entamer des procédures judiciaires devant les tribunaux du monde. Ces procedures sont des plus intéressantes pour connaître la vérité, la réalité car il faut bien admettre qu’un avocat ne va pas pouvoir gagner un procès en faisant valoir des arguments mensongés, illusoires, fallacieux, spécieux. Dans sa défense, tout doit être conforme à la réalité, l’avocat ne peut pas ”faire le troll”. Et bien sûr, un troll ne saurait jamais être un bon avocat.

  • ... merci bcp Emmaüs de nous aider à trouver où se cache la vérité, dans ce climat "provoqué" de la peur des autres, de l'arrachement à nos familles, à notre Eglise, à nos réjouissances, à l'expression de nos artistes ... et plus encore...

    Pourquoi ne voit-on pas le bout du tunnel ?
    Pourquoi ne pouvons-nous pas nous soigner dès les premiers symptômes, sinon avec un vaccin "programmé" presque "obligé" mais non performant pour les "variants" qui arrivent ?
    Pourquoi faut-il maintenant faire des tests salivaires encore plus souvent : 2x/semaine et 1x/semaine chez les enseignants et fonctionnaires ? On peut être porteur et non malade !!!
    Pourquoi ne peut-on plus utiliser les masques en tissu ? Il faut un filtre autorisé.
    Tout cela donne à penser que c"est pour alimenter les caisses des laboratoires, firmes pharmaceutiques et autres produits financiers investis. Ils assuraient une rente aux investisseurs ( fonds de pension et autres produits bancaires, assurances etc...). Ils fournissaient bcp d'emplois. Ce n'est plus le cas dirait-on.

    Si on parle d'une possible "allocation universelle" pour tout un chacun c'est que le système de protection sociale ne tient plus, pourrait-on penser. (?) J'espère pas.

    Pape François avait dit et écrit : "tout se tient" dans notre monde, notre terre, notre maison commune. Mondialisation oblige !

    Le Seigneur, lui, dit : - "Ne faites pas de ma maison un lieu de trafic".
    Les algorithmes en ce moment gèrent ce monde, mais ils n'ont pas d'âme ni de conscience.
    Alors, où allons-nous avec cette thèse du "virus Covid 19" ?

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