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  • Journée pour la Vie en Italie : pour le pape, toute vie est sacrée

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    D'Anita Bourdin sur zenitorg :

    «Toute vie est sacrée!»: appel du pape François pour une « culture de la vie »

    Journée pour la vie en Italie

    Le pape François lance un appel en faveur d’une « culture de la vie » et d’une « éducation à la vie » des nouvelles générations : « Toute vie est sacrée ! » s’est exclamé le pape par trois fois après l’angélus de ce dimanche 5 février 2017, place Saint-Pierre.

    Le pape a invité à prier pour les enfants en « danger de mort » par interruption de grossesse et pour les personnes « en fin de vie ». « Que l’amour défende le sens de la vie », a encore dit le pape. Il a invité les jeunes à se préparer à construire « une société accueillante et digne pour toute personne ».

    Voici notre traduction, de l’italien, des paroles du pape François.

    AB

    Paroles du pape François après l’angélus

    Chers frères et sœurs, aujourd’hui, en Italie, nous célébrons la Journée pour la vie, sur le thème « Femmes et hommes pour la vie dans le sillage de Sainte Teresa de Calcutta ».

    Je me joins aux évêques italiens pour souhaiter une action éducative courageuse en faveur de la vie humaine. Toute vie est sacrée!

    Faisons progresser la culture de la vie en réponse à la logique du rebut et au déclin démographique. Soyons proches et ensemble prions pour les enfants qui sont en danger d’interruption de grossesse, ainsi que pour les personnes qui sont en fin de la vie – toute vie est sacrée! – afin que personne ne soit laissé seul et que l’amour défende le sens de la vie.

    Rappelons-nous les paroles de Mère Teresa: «La vie est beauté, admire-la! La vie est vie, défends-la ! », que ce soit pour l’enfant à naître, ou pour la personne qui est près de mourir: toute vie est sacrée!

    Je salue tous ceux qui travaillent pour la vie, les professeurs des universités romaines et ceux qui collaborent en vue de la formation des nouvelles générations, afin qu’elles soient en mesure de construire une société accueillante et digne pour toute personne. (...)

  • Quand la Dernière Heure dénonce "le suicide de l'Eglise catholique"...

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    L'éditorial de Géry De Maet (2 février) :

    Le suicide de l’église catholique

    La petite communion serait sur le point de disparaître. Une réflexion est en tout cas engagée dans ce sens dans le diocèse de Bruxelles. Le but serait de retarder l’âge d’un an ou deux. En attendant une suppression pure et simple ? L’explication de l’Église est que les enfants ne connaissent plus leur histoire sainte. Un constat qui rejoint celui de parents invités voici peu par Pascal Vrebos. Ils se plaignaient eux aussi que les enfants ne recevaient plus d’éducation religieuse même dans les écoles catholiques. Il n’y a pas de quoi s’étonner quand l’exemple vient d’en haut. Depuis son élection, le nouveau pape semble davantage préoccupé par l’accueil aux migrants que de revitaliser la pratique des fidèles. François avait d’ailleurs passablement choqué en déclarant au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo que si un ami insultait sa mère, il devait s’attendre à recevoir un coup de poing. Comme charité chrétienne, il y a mieux ! Depuis lors en Belgique, le trop fougueux monseigneur Léonard a été écarté au profit d’un cardinal si transparent que la plupart des fidèles seraient bien en peine de citer son nom. L’Église catholique de Belgique s’est également illustrée en bradant son patrimoine religieux au motif que plusieurs églises n’accueillent plus de fidèles. La voici qui s’applique à supprimer des sacrements. De quoi laisser le champ libre aux autres cultes qui, aux dernières nouvelles, n’envisagent pas de retarder l’âge de la circoncision.

  • Le pape contesté sur des affiches placardées dans Rome

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    Lu sur diakonos.be :

    DES MANIFESTES CONTRE LE PAPE FLEURISSENT LES MURS DE ROME. INÉDIT ET HISTORIQUE.
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    De temps à autre, des manifestes non-autorisés apparaissent sur les murs de Rome, c’est-à-dire des affiches qui ne suivent pas les règles d’affichage imposées par la Commune. Il s’agit d’une version moderne de ces billets que les romains mécontents affichaient sur Pasquino, la statue mutilée qui se trouve près de la Piazza Navona pour protester contre les injustices et exprimer leur malaise.

    Le dernier cas de publication de ces manifestes – irréguliers – et irrévérencieux concernait le Ministre de l’Education Nationale, Valeria Fedeli il y a quelques mois à peine. Mais que les murs de Rome se couvrent de dizaines de manifestes contre le Pape, c’est une grande nouveauté.

    Ca s’est passé aujourd’hui et c’est l’agence de presse Kronos qui nous en informe en ces termes :

    « Ce matin, des dizaines de manifestes protestant contre le Pape François et son action sont apparus un peu partout sur les murs de Rome. On peut y voir une photo en gros plan du Pape fronçant les sourcils avec une expression particulièrement sombre. Au bas de l’affiche, sur un fond violacé, on peut y lire en italien mâtiné de dialecte romain : « Hé, François, tu mets sous tutelle des Congrégations, tu chasses des prêtres, tu décapites l’Ordre de Malte et les Franciscains de l’Immaculée, tu ignores des Cardinaux… Elle est où ta miséricorde ? ». Le poster est anonyme et ne contient ni signature ni symboles mais on peut facilement faire le lien avec les milieux conservateurs qui manifestent chaque jour davantage leur opposition au magistère, aux mesures et à la ligne pontificale du pape Bergoglio ».

    Source : Marco Tosatti, La Stampa

  • Ordre de Malte : le pape enlève tout pouvoir au cardinal Burke

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    De Nicolas Senèze sur le site du journal la Croix :

    Mgr Becciu nommé délégué spécial du pape auprès de l’Ordre de Malte

    Le substitut de la Secrétairerie d’État accompagnera l’Ordre de Malte dans le « renouveau spirituel et moral » demandé par le pape

    Le pape François a nommé samedi 4 février le substitut de la secrétairerie d’État, Mgr Angelo Becciu, son délégué spécial auprès de l’Ordre de Malte

    Le pape François a nommé samedi 4 février le substitut de la secrétairerie d’État, Mgr Angelo Becciu, son délégué spécial auprès de l’Ordre de Malte après la crise que celui-ci a traversé en interne et avec le Saint-Siège.

    Dans une lettre envoyée samedi 28 janvier au conseil souverain de l’Ordre de Malte, le pape avait annoncé la prochaine nomination d’« un délégué spécial » chargé du « renouveau spirituel et moral de l’Ordre et, en particulier, de ses membres qui ont professé le vœu d’obéissance, chasteté et pauvreté ».

    A lire : Le pape engage l’Ordre de Malte sur la voie d’un « renouveau spirituel et moral »

    Mise à jour de la constitution de l’Ordre

    « Vous agirez en étroite collaboration avec (…) le lieutenant par intérim, pour le plus grand bien de l’Ordre et la réconciliation de toutes ses composantes, religieuses et laïques », écrit le pape dans la lettre de nomination de Mgr Becciu, envisageant aussi l’éventualité d’une mise à jour de la constitution de l’Ordre.

    A lire L’Ordre de Malte veut « restaurer la confiance »

    « Vous aurez, en particulier, la charge de toutes les questions relatives au renouvellement spirituel et moral de l’Ordre, en particulier les membres profès, afin qu’il réalise pleinement le but "de promouvoir la gloire de Dieu par la sanctification des membres, le service à la foi et du Saint Père et l’aide du prochain" ».

    Le pape enlève tout pouvoir au cardinal Burke

    Le pape confirme bien, en outre, que, jusqu’à la fin de son mandat, c’est-à-dire « à l’issue du chapitre extraordinaire qui élira le grand maître », Mgr Becciu sera son « seul interlocuteur pour toutes les questions relatives aux relations entre le Siège apostolique et l’Ordre », enlevant de fait tout pouvoir au cardinal Raymond Burke, cardinal-protecteur de l’Ordre.

    A lire Démission à l’Ordre de Malte, le pape François face à ses adversaires

  • Quand Fillon rime avec désillusion...

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    De Frédéric Aimard sur le site de France Catholique :

    Fillon : la désillusion

    Après sa primaire, la présidentielle semblait «  imperdable  » pour la droite. Désormais, pour cause de «  Penegate  », l’hypothèse d’un désastre électoral devient envisageable.

    On a à peine besoin de rappeler les faits tant le feuilleton occupe les conversations. Le complot qui a préparé l’attaque médiatico-judiciaire contre le candidat désigné de la droite est palpable. On en connaîtra un jour les organisateurs. Cela dit, les faits enflent sous nos yeux. La semaine dernière on parlait d’une rémunération de 500 000 euros pour Penelope Fillon en tant qu’assistante parlementaire de son mari. Désormais la somme en cause est portée à 900 000. Pourtant, Vincent Goyet, un ancien assistant parlementaire filloniste, démontre de manière assez convaincante que, rapportée au nombre d’années concernées, la rémunération serait de l’ordre d’un net mensuel de 1521 euros par mois…

    Dans le meilleur des cas, la justice reconnaîtra que l’argent public, ou celui provenant de conférences ou conseils aux entreprises, a été versé conformément à la loi sur la transparence du financement des partis.

    Dans le pire des cas, elle établira que cet argent a été versé moyennant des emplois fictifs distribués à la femme, aux enfants, aux proches de l’homme politique ou qu’il y a abus de bien social...

    Certes les sommes en cause sont infinitésimales par rapport à celles évoquées dans la condamnation, le 2 février en première instance, de l’industriel et sénateur LR Serge Dassault, à la suite d’un redressement fiscal de 19 millions d’euros. Certes, on est loin des détournements et mensonges de l’ancien ministre de l’Économie Jérôme Cahuzac. Certes encore, beaucoup d’autres parlementaires travaillent «  en famille  » et cette pratique a même été utilisée par le Front national au Parlement européen (mais là, les règles sont plus strictes et le Parlement demande, depuis le 31 janvier, à Marine Le Pen, de rembourser 298 400 € euros versés à ses collaborateurs, qualifiés par elle d’assistants parlementaires, alors qu’ils effectuaient d’autres tâches politiques). Il n’empêche que ce train de vie d’un présidentiable qui n’a que la «  rigueur  » à la bouche est choquant pour de nombreux électeurs de toutes tendances.

    La réussite du meeting à La Villette le 29 janvier, où François Fillon a longuement fait acclamer sa femme par 15 000 militants, de nombreuses réunions en province, où il se montre déterminé et très offensif, la distribution de 3,5 millions de tracts… tout cela lui permettra-t-il de tenir les «  15 jours  » qu’il a demandés à ses pairs avant d’envisager un éventuel «  plan B  » pour la présidentielle  ? Et que se passera-t-il ensuite ou d’ici-là  ? Personne n’en sait rien. Même pas les juges qui ont pourtant toutes les cartes en mains.

    Mais ce que l’on sait c’est que le programme politique de redressement du pays, sur lequel des experts ont travaillé depuis plus de trois ans, et dont on pouvait espérer qu’il constituerait une expérience volontariste pour sortir notre pays de la crise, eh bien  ! ce programme est d’ores et déjà sorti de l’actualité. Soit que le président ne s’appellera pas Fillon, mais Macron grâce à une Marine Le Pen à 25 % au premier tour, soit qu’une incroyable résilience et la chute toujours possible de ses concurrents amènent François Fillon jusqu’à l’Élysée, mais avec une autorité tellement diminuée que tout deviendrait beaucoup plus difficile à mettre en œuvre.

    Alors, dans l’un ou l’autre cas, faute de pouvoir réformer l’administration du pays, la tentation sera d’en revenir au pur pragmatisme et à une politique de révolution sociétale, pour faire «  moderne  », qui ne manque pas d’adeptes à droite aussi.

    Lire également : a-tout-un-chacun/l-affaire-fillon

  • Être sel de la terre par des actes; prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine pour le 5e dimanche du temps ordinaire

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    Être sel de la terre par des actes / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (223e)
    Prédication (archive du 9 février 2014) pour le 5e dimanche du temps ordinaire

    http://www.delamoureneclats.fr / Références bibliques : http://aelf.org/

    Évangile : Sermon sur la montagne. Le sel de la terre et la lumière du monde (Matthieu 5, 13-16)

    Comme les disciples s’étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Vous êtes le sel de la terre. Si le sel se dénature, comment redeviendra-t-il du sel ? Il n’est plus bon à rien : on le jette dehors et les gens le piétinent. Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors en voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux. »