Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Au rythme de l'année liturgique - Page 206

  • Journée mondiale des Vocations (26 avril) : le message du pape

    IMPRIMER

     

    50281681.jpg26 avril : Message du Pape pour la Journée Mondiale des Vocations

    Message du pape (publié le 29 mars dernier) pour la Journée Mondiale des Vocations de ce dimanche 26 avril 2015 :

    Chers frères et sœurs,

    Le quatrième dimanche de Pâques nous présente l’icône du Bon Pasteur qui connaît ses brebis, les appelle, les nourrit et les conduit. En ce dimanche, depuis plus de 50 ans, nous vivons la Journée mondiale de prière pour les Vocations. Elle nous rappelle chaque fois l’importance de prier pour que, comme a dit Jésus à ses disciples, «le maître de la moisson envoie des ouvriers pour sa moisson» (cf.Lc 10, 2). Jésus exprime ce commandement dans le contexte d’un envoi missionnaire: il a appelé, outre les douze apôtres, soixante-douze autres disciples et il les envoie deux par deux pour la mission (Lc 10, 1-16). En effet, si l’Église «est par sa nature missionnaire» (Conc. Œcum. Vat. II Décret Ad gentes,n.2), la vocation chrétienne ne peut que naître à l’intérieur d’une expérience de mission. Aussi, écouter et suivre la voix du Christ Bon Pasteur, en se laissant attirer et conduire par lui et en lui consacrant sa vie, signifie permettre que l’Esprit-Saint nous introduise dans ce dynamisme missionnaire, en suscitant en nous le désir et le courage joyeux d’offrir notre vie et de la dépenser pour la cause du Royaume de Dieu.

    L’offrande de sa vie dans cette attitude missionnaire est possible seulement si nous sommes capables de sortir de nous-mêmes. En cette 52ème Journée mondiale de prière pour les Vocations, je voudrais donc réfléchir sur cet “exode” particulier qu’est la vocation, ou, mieux, notre réponse à la vocation que Dieu nous donne. Quand nous entendons la parole “exode”, notre pensée va immédiatement aux débuts de la merveilleuse histoire d’amour entre Dieu et le peuple de ses enfants, une histoire qui passe à travers les jours dramatiques de l’esclavage en Égypte, l’appel de Moïse, la libération et le chemin vers la Terre promise. Le livre de l’Exode – le second livre de la Bible –, qui raconte cette histoire, représente une parabole de toute l’histoire du salut, et aussi de la dynamique fondamentale de la foi chrétienne. En effet, passer de l’esclavage de l’homme ancien à la vie nouvelle dans le Christ est l’œuvre rédemptrice qui advient en nous par la foi (Ep 4, 22-24). Ce passage est un “exode” véritable et particulier, c’est le chemin de l’âme chrétienne et de l’Église entière, l’orientation décisive de l’existence tournée vers le Père.

    Lire la suite

  • Eglise vivante : ici aussi

    IMPRIMER

    Cette Eglise vivante, nous l’avons illustrée par trois vidéos sur des ordinations en Afrique. Le site « Pro Liturgia » nous renvoie par ailleurs à de  magnifique images de la Semaine Sainte célébrée à Evron (dans la Mayenne) par la Communauté Saint-Martin : cliquer ici. "Comme quoi, observe Denis Crouan, appliquer la lettre comme l’esprit de “Sacrosanctum Concilium”, c’est possible. A condition de le vouloir et d’avoir la formation ad hoc autant que le véritable 'sensus Ecclesiae'." Nous ajouterons que l'accès aux diocèses belges demeure, malheureusement, fermé à cette congrégation sans doute "trop classique" à leur goût.

    Paques-2015-1500x430.jpg

    Procession-Paques-1500x430.jpg

    JPSC

  • La Resurrection, une affirmation raisonnable ?

    IMPRIMER

    The_Resurrection_of_Christ_by-Jacopo-Tintoretto-3.jpg

    la Résurrection par Le Tintoret

    C'est en tout cas ce que pense Benoît Lobet :

    La Résurrection, une affirmation raisonnable

    Les lectures de ce troisième Dimanche de Pâques (année B) nous invitent à réfléchir de façon systématique à la Résurrection : dans le passage de l'évangile de Luc  (24, 35-48), Jésus ressuscité apparaît en effet avec un vrai corps, et l'insistance est mise sur la réalité de ce corps désireux de montrer ses plaies et de manger en présence des siens.

    La Résurrection du Christ - et la nôtre à sa suite - est le cœur de la foi chrétienne, qui n'existe pas sans elle (où l'on voit, du reste, que le christianisme n'est pas une morale ou un code de bonne conduite : la Résurrection est d'abord une affirmation, une "monstration", pas une éthique.)

    Chaque être humain, un jour au moins, se pose la question de son avenir, et de l'avenir de son espèce. La philosophie répond, grosso modo, de deux façons à cette question :

    Lire la suite sur le blog de Benoît Lobet

  • Sanctuaire de l'Enfant Jésus de Prague - Procession du 17 mai 2015

    IMPRIMER

    Chapelle de l'Enfant Jésus de Prague(Sanctuaire de Hozémont).JPG

    Le Sanctuaire de l'Enfant Jésus de Prague à Horion-Hozémont organise une procession le dimanche 17 mai 2015 à 9h30.

    (9h30 : Messe suivie de la procession / 12h15 : Pique-nique ou petite restauration / 15h : Office de l'Enfant Jésus de Prague et bénédiction des enfants).

    Renseignements : 04/250.10.64 -  http://jesusdeprague.blogspot.be/ - paroisse-saint-sauveur@hotmail.com

    Adresse : Eglise Saint-Sauveur / Place du Doyenné / 4460 Horion-Hozémont (autoroute Liège-Namur)

    L'église est accessible aux personnes à mobilité réduite et dispose de toilettes.

     JPSC

  • Eglise vivante : foi et liturgie populaire en Afrique

    IMPRIMER

    Une messe d’ordinations  à Lubumbashi (anciennement Elisabethville) :

    sacre épiscopal au Kwilu (Idiofa):

    et pour ceux qui ont de la mémoire... 

    JPSC

  • Miséricorde : le pape François rend publique la bulle d’indiction de son Jubilé

    IMPRIMER

    Lu sur le site de Radio-Vatican:

    RV5585_Articolo.jpg

    « (RV) La Bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde est en train d'être solennellement rendue publique ce samedi soir dans la basilique Saint-Pierre, à l’occasion des premières Vêpres du dimanche de la Divine Miséricorde célébrées par le Pape François. Dans ce texte le Saint-Père déclare l’ouverture, le sens et les conditions de l’Année Sainte. Au début du rite, avant la célébration des Vêpres, des extraits de la Bulle pontificale sont lus devant la Porte Sainte de la basilique Saint-Pierre, par Mgr Leonardo Sapienza, Régent de la Maison Pontificale et Protonotaire apostolique.

    Dans ce texte, le Pape François souligne que la miséricorde est l’architrave qui soutient la vie de l’Eglise, un idéal qui donne à notre foi sa crédibilité, le chemin qui relie Dieu à l’homme, car elle ouvre les cœurs à l’espérance d’être aimés pour toujours, malgré les limites de nos péchés. « Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux » : cette phrase de l’Evangile selon Saint Luc, est le fil conducteur de ce texte.

    Lire la suite

  • Week-End de la Miséricorde à Banneux, du 10 au 12 avril prochains

    IMPRIMER

     

    Cantalamessa306.jpg

  • Peut-on protéger militairement les chrétiens d’Orient ?

    IMPRIMER

     

    648x415_pape-francois-pendant-benediction-urbi-orbi-5-avril-2015-vatican.jpg

    Durant les fêtes de Pâques, le pape François a évoqué« l’immense tragédie humanitaire en Syrie et en Irak ». Il a appelé à la fin des persécutions et au climat de violences dans le monde au nom de la religion. Pierre Servent, spécialiste des questions de défense et de stratégie revient  dans le journal « La Croix » sur la distance qui existe entre l’incantation et les réalités géo-politiques :

    « En théorie, il pourrait y avoir trois possibilités. Premièrement, on envoie les chrétiens d’Orient au Liban, en Turquie ou ailleurs. Cela paraît impossible, y compris si l’on considère les capacités d’accueil de ces pays.

    Deuxièmement, on les protège in situ. Dans ce cas, il faudrait un très grand nombre de soldats avec des postures guerrières assez musclées pour pouvoir les protéger. Il faudrait éviter que se reproduise ce qui s’est passé en Bosnie dans les poches bosno-musulmanes en territoire à majorité serbe. Les casques bleus de la Forpronu devaient protéger un certain nombre d’entre elles, mais à Srebrenica, cela s’est terminé par l’exécution de 7 000 hommes et jeunes hommes. Et les autres poches ont été impossibles à défendre. 

    MANQUE DE TROUPES POUR UNE PROTECTION ONUSIENNE

    L’ONU n’a pas suffisamment de troupes. Et les casques bleus sont souvent dans des positions difficiles pour combattre, même si le président Chirac a fait évoluer le concept pour que l’on arrête de les attacher comme des chèvres à un piquet pour qu’ils se fassent dévorer…

    Ainsi, au Mali, il y a, aux côtés des Français, la Minusma, une force de l’ONU beaucoup plus musclée. En Irak, l’armée – 250 000 hommes – n’est pas en mesure de protéger les chrétiens, parce qu’elle a été complètement désorganisée l’été dernier et elle est en cours de reconfiguration.

    Troisième solution : faire bouger les différentes populations menacées, notamment les chrétiens qui ont fui Mossoul, mais aussi les Yézidis, visées par les djihado-terroristes et les chiites, pour les regrouper dans des endroits, en Syrie ou en Irak, où on pourrait les défendre. 

    UNE PROTECTION QUI SERAIT TRÈS COÛTEUSE

    Je n’en vois pas la faisabilité, d’autant plus que très souvent ceux qui sont restés veulent rester. On ne va pas les bouger de force, rajoutant la force à la violence ambiante.

    L’exclusion aérienne n’est pas envisageable non plus parce que le califat terroriste de Daech n’utilise pas d’avions de combat. Il a des combattants prêts à se faire sauter, à coups de mines et d’explosifs.

    Enfin, il faut tenir compte de l’aspect financier. Déployer des soldats coûte de l’argent que personne n’est prêt à mettre. Les contributeurs de l’ONU, et notamment les Américains, sont de plus en plus réticents, et la France déjà très engagée est limitée sur le plan budgétaire. Cet ensemble de facteurs fait que techniquement, sur le plan militaire, je ne vois pas de solution immédiate. » Propos recueillis  par Agnès Rotivel .

    Ref. Peut-on protéger militairement les chrétiens d’Orient ?

    JPSC

  • Homélie pascale de Mgr Monsengwo, archevêque de Kinshasa : renouveler les structures de notre société dans l’Esprit

    IMPRIMER

    RV4765_Articolo.JPG

    (RV) « On a enlevé le Seigneur du tombeau » C’est ainsi que s’est exprimé le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, Archevêque de Kinshasa lors de la messe de Pâques 2015 en République Démocratique du Congo. Le Cardinal Monsengwo est notamment revenu sur la figure de Marie Madeleine, qui « mue par l’amour et l’affection personnelle vis-à-vis du Christ, se rend très tôt au tombeau. Ce qu’elle y voit la remplit de frayeur et d’inquiétude : Qu’est devenu le Seigneur ? Elle court en aviser Pierre et Jean, qui aussitôt se rendent au tombeau ». A leur arrivée, a ajouté le cardinal Monsengwo, « Jean constate la même chose que Pierre, et « croit  que le Christ est ressuscité ».

    Tout en évoquant l’appel et le rôle prédominant de la femme au sein de l’Eglise et dans la société, l’Archevêque de Kinshasa s’interroge également sur le choix porté par le Seigneur sur la femme pour annoncer le « mystère pascal à l’humanité ». « Est-ce parce que la femme donne la vie et la conserve ? »

    Le Christ est vainqueur de la mort, conclut le cardinal Monsengwo, qui invite les fidèles à prier la Vierge Marie, Mère du Rédempteur et de l’Eglise, pour qu’elle puisse nous accompagner dans nos efforts à respecter nos engagements baptismaux. 

    Lire la suite

  • Regard sur la croix et la gloire

    IMPRIMER

    Témoins

    Resurrection Weyden.jpg

    Le regard porté sur le Christ ressuscité tout comme le regard porté sur le Christ en croix, nous incitent à penser : " le mal est ce qui n'aurait pas dû être ".  Semblablement, le regard porté sur le Christ en gloire nous invite à penser que le mal n'est pas lié métaphysiquement à la finitude de l'existence humaine.

    Le regard porté sur le Christ glorifié nous enseigne plutôt, à mon sens, que le mal n'est pas lié à la finitude, puisque nous contemplons en Jésus glorifié une nature humaine qui reste toujours marquée par la finitude ; nous ne sommes ni des anges, ni des éléphants, ni des tulipes, nous sommes une nature humaine circonscrite, déterminée, nous ne sommes pas n'importe quoi, et Jésus ressuscité n'a pas perdu les contours qui déterminent la nature humaine. Et pourtant " le Christ ressuscité ne meurt plus, la mort n'a plus sur lui aucun pouvoir ", c'est une humanité qui n'est plus infectée par le mal.

    Lire la suite

  • La Resurrection (Vêpres de Rachmaninov)

    IMPRIMER

    USSR Ministry of Culture Chamber Choir
    Conductor: Valeri Polyansky
    Recording 1986 Smolensk, Dormition of the Theotokos Cathedral
    Updated HD version

  • Sainte Nuit de Pâques: Vigile et Messe de la Résurrection

    IMPRIMER

    Traduction de l'Exultet : cliquer sur "lire la suite"

    semaine sainte2.jpg

    Lire la suite