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Au rythme de l'année liturgique - Page 267

  • Un chapelet planétaire

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    Nous relayons bien volontiers cet appel venu de Bretagne :

    "Imaginez-vous ce qui pourrait arriver si tous les catholiques du monde priaient le chapelet le même jour en même temps… ! Nous avons l’exemple de 1573 quand l’Europe a été sauvée de l’invasion de la puissante flotte turque par la récitation du chapelet par tous les chrétiens !
    Donc, le Vendredi Saint, nous réciterons tous le chapelet en priant pour la paix et le retour des valeurs morales dans nos sociétés.
    Si possible, récitons-le entre 12 et 15 heures le vendredi…
    Et aussi, si possible, faites passer ce message à tous les catholiques que vous connaissez et demandez-leur de le faire passer à leurs amis et connaissances… Nous nous réunirons ainsi en récitant une des prières les plus puissantes qui existent, en un des jours les plus saints de l’année de notre Eglise.
    Que Dieu vous bénisse !"

  • Benoît XVI : "les chrétiens devraient rendre visible au monde le Dieu vivant"

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    EXTRAIT DE L'HOMÉLIE DE LA MESSE CHRISMALE DU JEUDI SAINT

    Basilique de Saint-Pierre, le 21 avril 2011



    Chers frères et sœurs, au centre de la liturgie de ce matin, se trouve la bénédiction des huiles saintes. [...] Il y a tout d’abord l’huile des catéchumènes. Cette huile indique en quelque sorte une première manière d’être touchés par le Christ et par son Esprit – un toucher intérieur par lequel le Seigneur attire les personnes à lui. Par cette première onction, qui est faite encore avant le Baptême, notre regard se tourne donc vers les personnes qui se mettent en chemin vers le Christ – vers celles qui sont à la recherche de la foi, à la recherche de Dieu. L’huile des catéchumènes nous dit: ce ne sont pas seulement les hommes qui cherchent Dieu.

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  • Tristes et abattus

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    georges_rouault_le_christ_aux_outrages.jpgIl est difficile d’échapper à la tristesse et à l’abattement quand les médias ne cessent d’évoquer des faits commis contre des enfants par des hommes consacrés, surtout lorsqu’il s’agit d’un évêque. La justice a beau prescrire de tels faits, les taches restent indélébiles à l’image du tort fait à d’innocentes victimes qui ne parviendront sans doute jamais à effacer ces horribles souvenirs de leur mémoire.

    Alors que nous nous apprêtions à vivre cette grande semaine en nous recueillant lors de l’évocation des évènements de la Passion et en nous apprêtant à goûter à la joie pascale, voilà que ces nuages viennent enténébrer à nouveau notre ciel intérieur. Nous avons beau savoir que cette campagne est délibérément entretenue par des médias qui savourent une joie mauvaise à l’idée du trouble qu’ils propagent dans les esprits et dans les cœurs, nous ne pouvons pas ne pas être atteints par leur battage.

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  • C'est l'insensibilité envers Dieu qui nous rend insensibles au mal

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    Lors de l'audience générale de ce mercredi, évoquant la somnolence des apôtres qui accompagnèrent Jésus au Jardin des Oliviers, le Pape a ajouté que "c'est l'insensibilité envers Dieu qui nous rend insensibles au mal". Par sa mort, le Seigneur "sent toute la souffrance de l'humanité" (le calice qu'il doit boire). Sa volonté est subordonnée à la volonté du Père et transforme cette volonté naturelle en un oui à la volonté de Dieu.

    Entrer dans la volonté de Dieu, a-t-il ajouté, "n'est pas un esclavage, mais c'est entrer dans la vérité, dans l'amour et dans le bien. C'est diriger notre volonté avec celle de Dieu". Le drame de Gethsémaní c'est "Jésus, avec son angoisse, (qui) se charge du drame humain, de notre souffrance, de notre pauvreté et les fait devenir volonté de Dieu ouvrant ainsi la porte du Ciel". (Vatican Information Service)

  • Jérusalem : dix mille catholiques à la procession des Rameaux

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    Sur le site de l'Oeuvre d'Orient

    Dimanche 17 avril, environ 10 000 catholiques (selon la police israélienne et l’AFP) ont défilé pour la procession des Rameaux à Jérusalem, qui ouvre la Semaine Sainte. Comme à l’accoutumée, elle a tiré son long du Mont des Oliviers jusqu'à la Vieille ville. Une journée de joie religieuse et de fierté, celle d’être chrétien dans un pays blessé. Ambiance.

    La procession des Rameaux est chaque année l’un des grands moments de la vie des chrétiens de Terre sainte.

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  • L'expérience d'une grande solitude

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    La Passion du Christ, comme la nôtre, n'est pas seulement l'expérience de la souffrance et de la mort, elle est surtout l'expérience d'une grande solitude. C'est Judas qui sort dans la nuit pour trahir. C'est Pierre, l'apôtre enthousiaste, qui renie son Maître. Dans nos vies, c'est l'heure où des êtres chers, des amis sur qui on comptait, nous abandonnent ou disparaissent.

    En grande solitude, Jésus ne joue pas aux héros. Son âme est profondément troublée. Il éprouve, tout comme nous, un sentiment de lassitude. Aussi, n'ayons pas honte d'avoir peur, voire, de connaître des moments de dépression ! Car, comme le dit Bernanos : « La peur est aussi la fille de Dieu, rachetée la nuit du jeudi saint. »

    Pourtant, Jésus n'est pas découragé, submergé par la peur. C'est l'heure où il se ressaisit. Abandonné de tous, il se sait toujours aimé du Père.

    Ainsi pour nous qui désirons vivre avec Dieu, les heures de pire solitude peuvent devenir, à notre insu, les heures de la plus grande communion. (Retraite dans la Ville)

  • L'homme au point d'intersection de deux champs de gravitation

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    "Dans son homélie du dimanche des Rameaux, Benoît XVI a commenté un concept développé par les Pères de l’Église, à savoir que l’homme se tient au point d’intersection entre deux champs de gravitation, entre le poids qui le tire vers le bas, vers l’égoïsme, le mensonge et le mal et l’amour de Dieu qui le tire vers le haut. Le Pape a relevé que, depuis toujours, et aujourd’hui plus que jamais, les hommes ont été remplis du désir d’être comme Dieu. Nombreuses sont les choses que l’humanité a pu réaliser : nous sommes capables de voler. Nous pouvons nous voir, nous écouter et nous parler d’un bout à l’autre du monde. Toutefois, la force de gravité qui nous tire vers le bas est puissante. Avec nos capacités, ce n’est pas seulement le bien qui a grandi. Les possibilités du mal ont aussi augmenté et se présentent comme des tempêtes menaçantes au dessus de l’histoire. Nos limites aussi sont restées : il suffit de penser aux catastrophes qui, ces derniers mois, ont affligé et continuent d’affliger l’humanité. Les grandes conquêtes de la technique ne nous rendent libres et ne sont des éléments du progrès de l’humanité que si nos mains deviennent innocentes et notre cœur pur, si nous refusons le mensonge, si nous sommes à la recherche de la vérité et de Dieu lui-même, si nous nous laissons toucher et interpeller par son amour, si nous reconnaissons avec humilité que nous devons être attirés vers le haut, si nous abandonnons l’orgueil de vouloir nous-mêmes nous faire Dieu. Nous avons besoin de Lui : il nous tire vers le haut, étant soutenus par ses mains, c’est-à-dire dans la foi – il nous donne la juste orientation et la force intérieure qui nous élève vers le haut. Nous avons besoin de l’humilité de la foi qui cherche le visage de Dieu et se confie à la vérité de son amour. Le cœur est le centre de l’homme où s’unissent l’intellect, la volonté et le sentiment, le corps et l’âme. Tout seuls, nous sommes trop faibles pour élever notre cœur jusqu’à la hauteur de Dieu. L’orgueil de pouvoir le faire tout seuls nous tirer vers le bas et nous éloigne de Dieu. C’est Jésus Christ qui nous élève à la hauteur de Dieu malgré toute notre misère.

    source : radio Vatican

  • Dimanche des Rameaux

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    Giotto._Christ_Entering_Jerusalem._1304-1306._Fresco._Capella_degli_Scrovegni_Padua_Italy._jpeg.jpgSix jours avant la Pâque juive, Jésus retourne à Jérusalem. La foule a tapissé le sol de Rameaux verts pour acclamer Jésus lors de son entrée dans la ville.

    C’est en mémoire de ce jour que les catholiques portent des rameaux (de buis, oliviers, lauriers ou palmiers, selon les régions). Ces rameaux, une fois bénis, sont tenus en main par les fidèles qui se mettent en marche, en procession : marche vers Pâques du peuple de Dieu à la suite du Christ.

    Le dimanche qui précède la fête de Pâques, appelé « dimanche des Rameaux et de la Passion », l’Église célèbre solennellement, avant la messe, l’entrée messianique du Seigneur à Jérusalem, telle que les quatre évangiles la rapportent : « La foule nombreuse venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre et ils criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur » (Jn 12, 12-13).

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  • Le Christ donne sa vie pour ses ennemis

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          Méditons profondément sur l'amour du Christ notre Sauveur, qui « a aimé les siens jusqu'au bout » (Jn 13,1), à tel point que pour leur bien, volontairement, il a souffert une mort douloureuse et a manifesté le plus haut degré d'amour qui puisse exister. Car il a dit lui-même : « Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jn 15,13). Oui, c'est bien là le plus grand amour qu'on ait jamais montré. Et pourtant notre Sauveur en donna un plus grand encore, car il donna cette preuve d'amour à la fois pour ses amis et pour ses ennemis.

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  • "Moi non plus, je ne te condamne pas..."

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    « Moi non plus, je ne te condamne pas »

          Un psaume dit : « Instruisez-vous, juges de la terre » (Ps 2,10). Ceux qui jugent la terre sont les rois, les gouverneurs, les princes, les juges proprement dits... Qu'ils s'instruisent, car il s'agit de la terre qui juge la terre, mais elle doit craindre celui qui est au ciel. Ils jugent leur égal : un homme juge un homme, un mortel un mortel, un pécheur un pécheur. Si notre Seigneur faisait retentir au milieu de ces juges cette sentence divine : « Que celui qui est sans péché lui jette la première pierre », est-ce que tous ceux qui jugent la terre ne seraient pas saisis de tremblement ?

          Aux pharisiens qui, pour le tenter, lui avaient amené une femme surprise en adultère...Jésus a dit : « Vous voulez lapider cette femme comme la Loi le prescrit. Eh bien, que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette la première pierre ». Pendant qu'ils le questionnaient, il écrivait sur la terre, pour « instruire la terre » ; mais quand il leur a donné cette réponse, il a levé les yeux, « il a regardé la terre et elle a tremblé » (Ps 103,32). Les pharisiens, confus et tremblants, s'en vont l'un après l'autre...

          La pécheresse reste seule avec le Sauveur : la malade avec le médecin, la grande misère avec la grande miséricorde. Regardant cette femme, Jésus lui dit : « Personne ne t'a condamnée ? -–Personne, Seigneur »... Mais elle reste devant un juge qui est sans péché. « Personne ne t'a condamnée ? -–Personne, Seigneur, et si toi-même tu ne me condamnes pas, je suis en sûreté ». Silencieusement, le Seigneur répond à cette inquiétude : « Moi non plus, je ne te condamne pas... La voix de leur conscience a empêché tes accusateurs de te punir ; la miséricorde m'incite à venir à ton secours ». Méditez ces vérités, et « instruisez-vous, juges de la terre ». (EAQ)

    Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
    Sermon 13

  • Dimanche de la Passion

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    Jésus lui dit :

    « Moi, je suis la résurrection et la vie.

    Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ;

    et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra jamais.

    Crois-tu cela ? » (Jean, 11)

    et pendant ce temps-là, le "Salon de la Mort" vient d'ouvrir ses portes à Paris...

  • Vivre la Semaine sainte et Pâques avec les enfants

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    Rendez-vous sur www.transmettre.fr pour découvrir le nouveau Dossier Transmettre : Vivre la Semaine sainte et Pâques avec les enfants. Il comprend une explication des différents jours de la Semaine sainte ainsi que des conseils pour la vivre avec les enfants et des réponses aux questions qu'ils se posent. Il comporte aussi un coloriage représentant le Triduum et un Chamin de prix illustré sous forme de petit carnet à monter et colorier.

    Autre nouveauté Transmettre : le Cahier de confirmation, adapté tant aux jeunes qu'aux asdultes.
     
    Et à l'approche des fêtes de la Foi, vous trouverez dans notre Boutique tous les guides pour préparer à la première communion et à la confession.
     
    Belle route vers Pâques !