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Défense de la Vie - Page 96

  • Les Mistrals gagnants : un film merveilleux d'Anne-Dauphine Julliand

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    En espérant le  voir programmé sur les écrans belges...

    (Source) Imad, 6 ans, souffre d’une insuffisance rénale sévère. Tugdual, 8 ans, a été opéré d’une tumeur de l’aorte, à l’âge de 3 ans. Ambre, 9 ans, a une maladie cardiaque sévère. Camille, 6 ans, a un neuroblastome, et Charles, 9 ans, une épidermolyse bulleuse... Quand on découvre ces terribles pathologies, chez des enfants si petits, on s’imagine que l’on va voir un film affreux. Mais c’est tout le contraire  !

    Elle avait tiré de la maladie et du décès de sa fillette Thaïs un livre, Deux petits pas sur le sable mouillé, publié aux éditions Les Arènes, qui avait bouleversé plus de 350 000 lecteurs. Puis, pour prolonger son témoignage, Anne-Dauphine Julliand a voulu montrer comment des enfants vivent, au quotidien, leur terrible maladie.

    En filmant à hauteur d’enfants, elle nous fait partager la vie quotidienne de ces cinq enfants, qui, malgré les soins intensifs et les souffrances, vivent leur vie avec un bel appétit.

    On est fasciné par ces bouilles rigolardes, ces regards pleins d’intensité et ces sourires désarmants. Les soins médicaux deviennent des jeux, quand les enfants ne sont pas occupés… par le foot, les répétitions théâtrales ou les courses, à travers les couloirs de l’hôpital, avec un copain. «  Quand on est malade, ça empêche pas d’être heureux  », affirme Camille, montrant ainsi son formidable détachement face à sa situation de jeune cancéreux. «  Quand je serai mort, je ne serai plus malade  », ajoute-t-il ensuite avec malice. Quant à Charles, il explique  : «  Ma peau est fragile comme des ailes de papillon.  »

    Devant le personnel médical, tendre et plein d’humour, ces enfants nous donnent une extraordinaire (et souvent très drôle  !) leçon de vie sur la manière dont il faut aborder les épreuves  : avec autant de courage que de légèreté, en vivant au jour le jour. Impressionnant  ! ■

    Documentaire français (2016) de Anne-Dauphine Julliand, avec Ambre, Camille, Charles, Imad et Tugdual (1h19). (Adolescents) Sortie le 1er février 2017.

    http://www.allocine.fr/video/player...

    N.B. Ce film merveilleux est projeté dans plus de 70 salles en France et a déjà connu un très grand succès lors des pré-projections, avec le soutien du chanteur Renaud. A ne pas manquer, sous aucune prétexte !

    http://madame.lefigaro.fr/celebrite...

    http://www.avoir-alire.com/et-les-m...

  • Les encouragements du pape aux jeunes qui marchent pour la vie

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    D'Anne Kurian sur zenit.org :

    Etats-Unis: le pape remercie les jeunes de la Marche pour la Vie

    Un « témoignage impressionnant » pour « nos frères et sœurs les plus vulnérables »

    Marche pour la Vie, Etats-Unis © Facebook The March for Life

    Marche Pour La Vie, Etats-Unis © Facebook The March For Life

    Le pape François remercie les jeunes qui ont participé à la Marche annuelle pour la Vie le 27 janvier 2017, aux Etats-Unis, pour leur « témoignage impressionnant ». Dans un message signé du cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin, il encourage à défendre « nos frères et sœurs les plus vulnérables ».

    Assurant les dizaines de milliers de « jeunes de tous les Etats-Unis » réunis à Washington, de sa « proximité dans la prière », le pape est « profondément reconnaissant pour ce témoignage impressionnant au caractère sacré de toute vie humaine ».

    Le message, publié par Radio Vatican au lendemain de l’événement, cite l’exhortation apostolique Amoris Laetitia (83) : « La valeur d’une vie humaine est si grande, et le droit à la vie de l’enfant innocent qui grandit dans le sein maternel est si inaliénable qu’on ne peut d’aucune manière envisager comme un droit … la possibilité de prendre des décisions concernant cette vie ».

    Le pape François souhaite que cette Marche « où de nombreux citoyens américains prennent la parole au nom de nos frères et sœurs les plus vulnérables, contribue à une mobilisation des consciences pour la défense du droit à la vie et pour des mesures efficaces afin d’assurer sa protection légale ».

  • Quand une Femen repentie demande pardon aux chrétiens

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    De Philippe Oswald sur aleteia.org :

    Femen : leur fondatrice au Brésil demande pardon aux chrétiens

    Spectaculaire revirement de Sarah Winter, fondatrice des Femen au Brésil en 2012 : elle présente ses excuses aux chrétiens pour les offenses des ultra-féministes et devient pro-vie. 

    « Ce n’est pas une chose facile à faire, mais je demande pardon aux chrétiens pour nos protestations féministes… Nous sommes allées trop loin. » Répercutée quelques jours après Noël par le site LifeSiteNews, la repentance dans une vidéo YouTube de Sarah Winter, pseudonyme de militante de Sara Fernanda Giromini, fondatrice des Femen au Brésil puis militante du mouvement pro-bisexualité « Bastardxs », remonte au mois d’octobre dernier. Un mois après la naissance de son deuxième enfant, elle a exprimé son repentir pour l’avortement de son premier enfant, et a reconnu que la récente naissance du deuxième avait changé son regard sur le droit à la vie.

    « Des comportements offensants »

    Ce revirement a fait beaucoup de bruit au Brésil où « Sarah Winter » avait notamment défrayé la chronique en posant à moitié dénudée avec une autre fille, toutes deux s’embrassant devant l’église de Notre-Dame de la Candelaria à Rio de Janeiro, en janvier 2014. Une photo devenue un emblème de la militance homosexuelle et antichrétienne au Brésil.

    La repentance de Sara ne concerne pas seulement les agressions contre les lieux de culte et « les comportements offensants » contre les chétiens dont les Femen se sont fait une spécialité partout dans le monde, mais aussi leur militance pour l’avortement. Après la naissance de son fils, elle a écrit sur sa page Facebook : « Je me suis repentie d’avoir eu un avortement et aujourd’hui je demande pardon. Il y a un mois hier que mon bébé est né et ma vie a un sens nouveau. J’écris ceci pendant qu’il dort sereinement sur mes genoux. C’est la sensation la plus extraordinaire du monde ».

    « La destruction de la famille et de toutes les valeurs morales »

    Tournant le dos au mouvement dont elle a été l’une des dirigeantes (mais qu’elle a quitté dès 2013 en dénonçant son « business »), elle accuse les Femen de former une secte qui « promeut la destruction de la famille traditionnelle et de toutes les valeurs morales de la société ».

    « Dans un ouvrage de témoignage publié récemment, Vadia não ! Sete vezes que fui traída pelo feminismo, (Pas salope ! Sept fois trahie par le féminisme), la jeune femme explique de quelle manière les activistes du mouvement l’ont poussée à consommer des drogues, avoir des relations non consenties avec des inconnu(e)s, alors même que le mouvement prétend combattre pour le droit des femmes » (Infochrétienne .com).

    Elle-même est devenue une militante pro-vie et lance un vibrant plaidoyer à l’intention des femmes : « S’il vous plaît, vous qui cherchez désespérément à avorter, réfléchissez, faites attention. Je regrette énormément l’avoir fait. Je ne veux pas qu’il vous arrive la même chose ».

    Sarah Giromini milite à présent dans un groupe appelé « Pro-Femme » qui rejette le féminisme et l’idéologie du genre. Elle a écrit deux livres de témoignage et donne des conférences au côté d’une psychologue évangélique, Marisa Lobo.

    En France, le modèle de Marianne…

    Rappelons qu’en France, le mouvement Femen a multiplié les provocations et profanations notamment en 2013 à Paris, à la cathédrale Notre-Dame, le 12 février 2013, et en l’église de la Madeleine, le 20 décembre (Aleteia). C’est malheureusement la figure de proue des Femen, l’Ukrainienne Inna Schevchenko, qui a servi de modèle au dessinateur du timbre « Marianne » lancé il y a trois ans, avec la bénédiction du président de la République…

  • Enfin une décision de la Cour européenne des droits de l'homme qui pose le respect de l'enfant et de ses droits comme limite à la réalisation des désirs d'enfant !

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    D'Aude Mirkovic sur FigaroVox (source) :

    ... enfin les droits des enfants ! 

    GPA : "La Cour européenne des droits de l'homme protège enfin les droits des enfants !"

    La CEDH a conclu qu'un Etat n'avait pas à reconnaître comme parents les personnes ayant acheté un enfant. Aude Mirkovic s'en félicite, mais invite à ne pas baisser la garde car la Cour s'est fondée en l'espèce sur l'absence de lien biologique entre les "acheteurs" et l'enfant.

    Un Etat n'a pas à reconnaître comme parents les personnes ayant acheté un enfant : voici, en substance, ce qui résulte de la décision rendue hier, le 24 janvier 2017, par la Cour européenne des droits de l'homme dans l'affaire opposant à l'Italie deux de ses ressortissants, Paradiso et Campanelli.
    Il aura quand même fallu cet arrêt de la grande chambre pour invalider une décision rendue en simple chambre il y a un an dans la même affaire et qui disait…. exactement l'inverse ! Si les droits de l'homme et sans doute ceux de la femme se portent bien, il n'en va visiblement pas de même des droits de l'enfant, même si cette affaire pourrait marquer un avant et un après dans la prise en considération, enfin !, des droits de l'enfant comme limite à la réalisation des désirs des adultes.
    En l'espèce, le principal intéressé est un enfant, fabriqué en Russie pour la vente : conçu de gamètes inconnus, porté par une femme engagée à le livrer dès sa naissance, l'enfant est remis à un couple d'Italiens contre son prix, 50 000 euros très exactement.

    Alors que le couple demande, sans complexe, aux autorités italiennes l'enregistrement du certificat de naissance russe les désignant comme parents, le gouvernement italien place l'enfant en vue de son adoption dans une famille d'accueil. Qu'à cela ne tienne, le couple se plaint devant la Cour européenne des droits de l'homme, compréhensive en matière de gestation pour autrui puisqu'elle a déjà condamné (trois fois à ce jour) la France pour avoir refusé, précisément, la transcription sur les registres français d'état civil des actes de naissance des enfants nés de cette pratique à l'étranger.

    Alors que, il y a un an, la cour européenne condamnait l'Italie en raison de l'atteinte portée à la vie familiale des requérants, la grande chambre retrouve la raison pour refuser de reconnaître quelque vie familiale que ce soit dans une situation résultant d'un tel achat d'enfant. S'il suffisait, en effet, de s'occuper d'un enfant pour que naisse une vie familiale protégée par le droit, tous les trafics d'enfants pourraient fleurir et se développer en totale impunité. Au contraire, estime la cour, en exigeant le respect des règles sur l'adoption internationale, "le législateur italien s'efforce de protéger les enfants contre des pratiques illicites, dont certaines peuvent être qualifiées de trafic d'êtres humains". Et la conception d'un enfant délibérément privé de parents pour le rendre disponible à la vente méconnaît sans conteste les règles de l'adoption internationale, laquelle vise à venir en aide à des enfants privés de leurs parents par les malheurs de la vie et non à fabriquer des enfants sans parents.

    A défaut de vie familiale, la cour estime que la vie privée des époux italiens est bel et bien concernée. Pour autant, l'atteinte qu'elle subit du fait de la décision d'éloigner l'enfant et de le confier à l'adoption est justifiée comme poursuivant le but légitime de la "défense de l'ordre" et la protection des "droits et libertés" de l'enfant. Autrement dit, le gouvernement italien n'a pas violé la convention européenne des droits de l'homme en retirant un enfant à ses acheteurs pour le confier à une famille d'accueil en vue de l'adoption. On respire !

    Enfin une décision de la Cour européenne des droits de l'homme qui pose le respect de l'enfant et de ses droits comme limite à la réalisation des désirs d'enfant ! Pourquoi ne pas s'en féliciter, sans réserve ?

    Le soulagement pour l'enfant concerné et tous les autres menacés comme lui est réel. Pour autant, nulle raison encore de baisser la garde car les enfants sont loin d'être tous à l'abri : la cour européenne s'appuie fortement dans l'affaire commentée sur le fait que l'enfant n'était lié biologiquement à aucun de ses acheteurs. Justement, elle se montre bien trop compréhensive dès lors que l'un des clients de la mère porteuse, en général un homme, a fourni ses gamètes pour la conception de l'enfant. En témoigne la troisième condamnation de la France, le 19 janvier dernier, fondée en grande partie sur le lien biologique unissant l'enfant à l'homme l'ayant commandé à la mère porteuse.

    Le fait d'avoir fourni un spermatozoïde donnerait-il donc tous les droits à un homme sur l'enfant à venir, au point de lui imposer une gestation pour autrui pour venir au monde ? Si la France voulait vraiment protéger les enfants de la GPA, elle ferait appel des condamnations iniques subies à répétition : elle pourrait ainsi contraindre la grande chambre à remettre l'enfant au cœur des décisions, comme l'Italie l'a fait hier. Il y aurait alors vraiment un avant, et un après. Pour l'heure, en attendant la France, merci l'Italie !

    Paru sur Figarovox, 25 janvier 2017

  • Le vice-président américain s'est joint à la marche contre l'avortement à Washington

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    D'Etienne Jacob sur le site du Figaro :

    Washington: le vice-président américain se joint à la marche contre l'avortement

    Des dizaines de milliers d'opposants à l'interruption volontaire de grossesse ont défilé dans la capitale américaine pour la 44e édition de la «March for Life», en présence de Mike Pence, premier vice-président des États-Unis à assister à l'événement.

    «Nous voici à un tournant historique.» C'est avec ces mots que Mike Pence, a qualifié vendredi la «March for Life», grand rendez-vous annuel des militants opposés à l'IVG. Premier vice-président à assister à l'événement, l'ex-gouverneur de l'Indiana a prononcé un discours d'espoir pour des dizaines de milliers de militants venus manifester dans les rues de Washington. «La vie est en train de gagner», a scandé le numéro deux de l'Administration Trump.

    La manifestation a pris une tournure particulière cette année, les militants étant galvanisés par la victoire de Donald Trump, le 8 novembre dernier. En effet, la Maison-Blanche et le Congrès sont désormais contrôlés par des opposants à l'avortement. Ce nouveau contexte politique favorable était source d'espérance pour les milliers de personnes rassemblées sur le National Mall, grande esplanade au sud de la Maison-Blanche. «Nous avons espoir que soient adoptées des lois pour protéger les enfants à naître, des lois qui prennent en compte toutes les femmes qui vivent une crise de grossesse, ne savent pas vers qui se tourner et ignorent qu'il existe des alternatives à l'IVG», a confié à l'Agence France-Presse Carol Bracken, une des participantes. Venue de l'État du Connecticut, cette enseignante de 57 ans tenait une pancarte affichant: «L'avortement arrête un cœur et en brise un autre.»

    Les militants ont brandi des pancartes pour s'opposer à l'avortement.

    Les manifestants venus de tous les États-Unis ont défilé entre la Maison-Blanche et la Cour suprême, deux institutions dont ils attendent désormais beaucoup. Ils ont notamment appelé le nouvel exécutif à cesser de financer Planned Parenthood, le plus grand réseau de planning familial des États-Unis.

    «Soutien total» de Trump

    «L'heure est vraiment arrivée pour nous de restaurer le respect de la vie», affirmait Michael O'Dea, un responsable d'une association catholique de l'État du Michigan proposant une couverture santé alternative à l'Obamacare. L'assistance était notamment composée de centaines d'élèves d'établissements scolaires catholiques.

    Dans un tweet vendredi, Donald Trump a assuré de son «soutien total» les participants à la «March For Life», qui se dit être le plus grand événement mondial contre l'avortement.

    Le président leur avait déjà donné satisfaction lundi en signant parmi ses tout premiers décrets une interdiction de financement des ONG internationales qui soutiennent l'avortement. Le Républician doit aussi nommer jeudi à la Cour suprême un magistrat qu'il a promis de choisir parmi les opposants à l'avortement.

    La «Marche pour la vie» se déroule six jours après que la «Marche des femmes» a rassemblé dans la capitale fédérale un demi million de femmes souhaitant défendre leurs libertés fondamentales. La «Women's March» a surpris par son ampleur et la «March for Life» entendait faire de même. Donald Trump a assuré jeudi que les opposants à l'IVG pourraient surpasser en nombre les femmes qui avaient manifesté après son investiture. «Vous ne pourrez rien lire là-dessus», avait-il dénoncé, accusant les médias de ne pas couvrir l'événement en raison de la partialité qu'il leur prête.

    Objectif: la Cour suprême

    La «Marche pour la vie» marque un anniversaire considéré comme funeste par ses participants: l'arrêt «Roe v. Wade» de la Cour suprême qui a légalisé l'avortement en 1973 dans tous les États-Unis. Pour sa 44e édition, le cardinal Timothy Dolan s'est également exprimé depuis New York ainsi que Kellyanne Conway, influente conseillère du nouveau maître de la Maison-Blanche et mère de famille catholique.

    Le cortège devait marcher jusqu'à la colline du Capitole. Les manifestants seront alors invités à faire pression sur leurs représentants au Congrès. Mais l'œil des manifestants sera aussi tourné vers l'édifice en face: la Cour suprême américaine, appelée à trancher en dernier ressort les questions toujours passionnelles aux États-Unis touchant à l'avortement.

    Les participants de la «Marche pour la vie» savent que si Donald Trump se retrouvait en position de nommer un deuxième juge conservateur au cours de son mandat, leur rêve de renverser «Roe v. Wade» pourrait devenir réalité. «J'espère que l'avortement va devenir illégal, car je considère que c'est un meurtre», espérait Katelyn Goodwin, une lycéenne de 17 ans.

    Une banderole pour la 44e édition de la «March for Life».
  • USA : une grande démonstration pro-life attendue à Washington

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    Lu sur le site de LaLibre.be :

    Les opposants à l'avortement comptent déferler sur Washington

    Galvanisés par le président américain Donald Trump, les militants anti-avortement entendent faire une démonstration de force en défilant vendredi à Washington, dans un nouveau contexte politique qui leur est favorable.

    Les manifestants venus de tous les Etats-Unis marcheront entre la Maison Blanche et la Cour suprême, deux institutions dont ils attendent désormais beaucoup.

    Cette "Marche pour la vie" se déroulera six jours après que la "Marche des femmes" a rassemblé dans la capitale fédérale un demi-million de femmes souhaitant défendre leurs libertés fondamentales.

    La "Women's March" a surpris par son ampleur. La "March for Life", qui se présente comme le plus grand événement mondial contre l'avortement, entend faire de même.

    Le nouveau président américain a d'ailleurs estimé que les opposants à l'avortement pourraient surpasser en nombre les femmes qui ont éclipsé son investiture tenue la veille.

    "Il y aura 300, 400, 500, 600.000 personnes", a affirmé jeudi M. Trump à Philadelphie (nord-est). Et "vous ne pourrez rien lire là-dessus", a-t-il dénoncé dans la foulée, en accusant à l'avance les médias de ne pas couvrir l'événement en raison de la partialité qu'il leur prête.

    "Beaucoup de gens s'attendent à ce que ce soit la plus grande +Marche pour la vie+ depuis longtemps", a de son côté assuré à l'AFP Chris Gast, de l'association Right to Life of Michigan (RLM).

    L'antenne de RLM de la ville de Grand Rapids, dans cette région des Grands Lacs, dépêchera à elle seule 12 autocars, a-t-il affirmé.

    Le vice-président en vedette 

    La "Marche pour la vie" marque un anniversaire considéré comme funeste par ses participants: "Roe v. Wade", l'arrêt emblématique de la Cour suprême qui a légalisé l'avortement en 1973 dans tous les Etats-Unis.

    Pour sa 44e édition, le rassemblement annuel se présente sous de nouveaux auspices favorables aux "pro-life", ainsi que se présentent les opposants à l'interruption volontaire de grossesse (IVG).

    Ils ont obtenu lundi un gage de fidélité du nouveau président américain, qui a signé parmi ses tout premiers décrets une interdiction de financement des ONG internationales soutenant l'avortement.

    Les "pro-life" devraient bientôt obtenir un autre motif de satisfaction: Donald Trump nommera le 2 février au neuvième siège de la Cour suprême un magistrat qu'il a promis de choisir parmi les opposants à l'avortement.

    Si la "Marche pour la vie" se veut indépendante, elle accueillera en vedette le vice-président Mike Pence, qui prendra la parole à la tribune.

    Parmi les autres intervenants figurent des élus républicains, le cardinal Timothy Dolan de New York (nord-est) et Kellyanne Conway, influente conseillère du nouveau chef de l'exécutif et mère de famille issue d'un milieu catholique.

    Le cortège, qui se réunira sur les pelouses publiques au sud de la Maison Blanche, marchera jusqu'à la colline du Capitole. Les manifestants seront alors invités à faire pression sur leurs représentants au Congrès, à solide majorité républicaine.

    Mais l'oeil des manifestants sera aussi tourné vers l'édifice en face, la Cour suprême américaine, appelée à trancher en dernier ressort les questions toujours passionnelles aux Etats-Unis touchant à l'avortement.

    Les participants de la "Marche pour la vie" savent que si Donald Trump se retrouvait en position de nommer un deuxième juge conservateur au cours de son mandat, leur rêve de renverser "Roe v. Wade" pourrait devenir réalité.

  • France, délit d’entrave IVG : VITA dénonce un texte redoutable pour la liberté d’expression et la liberté d’information des femmes

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    Délit d’entrave IVG : VITA dénonce un texte redoutable pour la liberté d’expression et la liberté d’information des femmes

    DelitDentraveIVG

    Après avoir échoué à trouver un accord hier en Commission mixte paritaire sur le texte,  les députés viennent de voter une nouvelle version qui cumule les modifications adoptées en première lecture d’une part par les députés, d’autre part par les sénateurs.

    A ce stade, on aboutit à un texte redoutable pour la liberté d’expression et la liberté d’information des femmes concernées. Non seulement l’objectivité de l’information est en jeu, mais également toute prévention  des pressions qui incitent à l’IVG, qui sont actuellement niées et passées sous silence. En mélangeant les deux versions, les députés élargissent considérablement le champ d’application du délit. Toute personne « cherchant à s’informer sur une interruption volontaire de grossesse », même en dehors des lieux où s’effectuent les IVG et même si elle n’envisage pas une IVG pour elle-même, pourrait s’estimer victime de pressions. Tout réel débat sur l’avortement serait ainsi censuré.

    Pour Caroline Roux, coordinatrice des services d’écoute d’Alliance VITA :

    « Autant le débat que le texte auxquels aboutissent les députés sont surréalistes. En  accompagnant quotidiennement des femmes qui se posent la question de poursuivre une grossesse, nous mesurons combien cette censure de l’information est une grave injustice pour les femmes déjà confrontées à une information publique non objective et tronquée. En effet le gouvernement n’hésite pas à désinformer les femmes sur son propre site officiel en niant la réalité de l’IVG et de ses conséquences. Est-ce qu’une femme qui témoigne des séquelles douloureuses laissées par un avortement va être condamnée pour « dissuasion » ? Ce délit entrave gravement  le droit de s’exprimer librement. Il fragilise tous ceux qui œuvrent pour que les femmes soient librement aidées à éviter l’IVG quand elles le souhaitent, mission sociale que les pouvoirs publics n’assument pas. C’est le vrai scandale qui doit être dénoncé. Aborder la réalité de l’IVG sans cacher ses conséquences, c’est une question de justice et d’humanité. »

    Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA, annonce :

    « Sans réponse du gouvernement à propos de son site officiel dont nous estimons qu’il désinforme les femmes, nous allons lancer une action en justice pour obtenir le retrait de la vidéo de son expert qui nie toute séquelle psychologique à long terme de l’IVG. C’est un scandale, au regard de la vérité, mais surtout un déni très douloureux de ce que vivent certaines femmes. Nous demandons par ailleurs aux candidats de l’élection présidentielle de s’engager formellement contre la dizaine de mesures législatives et réglementaires qui sont venues banaliser le recours à l’IVG, un acte désormais gratuit alors que ceux qui encadrent une grossesse jusqu’à son terme ne le sont pas. Pareille discrimination est très symbolique de la pression pour l’avortement effectuée par le gouvernement. »

    Alliance VITA a adressé le 30 novembre 2016 un recours au ministère de la Santé. Par une lettre recommandée adressée à la ministre de la Santé Marisol Touraine, par son avocat Maître Hugues Hourdin, Alliance VITA demande officiellement que soient retirées du site Internet du gouvernement dédié à l’IVG (www.ivg.social-sante.gouv.fr), les informations inexactes ou non objectives sur l’avortement, pouvant induire en erreur les personnes qui consultent ce site. L’association avait lancé la veille une campagne de sensibilisation et de prévention de l’IVG à destination des hommes, en levant le voile sur les malentendus qui persistent sur la sexualité, la contraception et la grossesse ; ils expliquent beaucoup des avortements subis par les femmes à contrecœur, et qui pourraient être évités.

  • L’Église américaine se félicite de la décision de Trump sur l’avortement

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    De Marie Malzac sur Urbi & Orbi (journal La Croix) :

    L’Église américaine salue la décision de Trump sur l’avortement

    Peu après la signature par le nouveau président américain Donald Trump d’un décret pour interdire le financement des organisations internationales promouvant l’avortement, l’Église américaine s’est félicitée de cette décision.

    Dans une déclaration publiée lundi 23 janvier, le cardinal Timothy Dolan, archevêque de New York et chef du Comité pour les affaires « pro vie » de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, a salué le décret signé par le nouveau président Donald Trump le même jour afin de retirer des « impôts des contribuables les fonds accordés aux ONG internationales qui promeuvent ou pratiquent des avortements à l’étranger (souvent en violation des lois du pays d’accueil même) ».

    Le pape François a mis en garde à plusieurs reprises contre les organisations internationales qui imposent leurs vues dans les pays où elles opèrent.

    > À lire : Les décisions du pape sur l’avortement en trois questions

    « Il s’agit d’un pas bienvenu vers le rétablissement et le renforcement de politiques fédérales importantes qui respectent le plus fondamental des Droits de l’homme, le droit à la vie –, de même que le consensus de longue date et bi partisan contre l’obligation faite aux Américains de participer à l’acte violent d’avorter », ajoute le cardinal Dolan.

    Plusieurs organismes « pro vie » ont salué ce décret en rappelant que l’une des promesses de campagne du nouveau président était justement de ne plus « obliger les contribuables » à financer l’avortement.

    Soutien du président de l’Académie pontificale

    Sur son compte Twitter, le nouveau président de l’Académie pontificale, Mgr Vincenzo Paglia, a indiqué qu’il fallait « remercier Dieu lorsque les chefs d’État confirment des politiques qui reflètent l’engagement pour la protection de la vie et la dignité humaine ».

    Mgr Paglia se trouve en ce moment aux États-Unis avec pour mission, confiée par le pape, de rappeler « l’amour de Dieu pour les familles et la vie », à l’occasion d’une initiative de neuf jours de prière en faveur de la vie, du 21 au 29 janvier, organisée par l’épiscopat.

    Le nouveau président américain suscite l’enthousiasme d’une partie des catholiques américains mais provoque du rejet chez les autres.

    Eviter les jugements hâtifs

    Quant au pape, dans une interview accordée au quotidien espagnol El Pais la veille de ce décret, il se veut prudent. Il invite ainsi à se méfier des « populismes » qu’engendrent les crises et poussent à élire des « sauveurs » et à s’entourer de « barbelés », allant jusqu’à citer l’exemple de l’élection démocratique d’Adolf Hitler en 1933. Concernant le nouveau président américain, à qui il a écrit vendredi, le pape recommande toutefois d’éviter les jugements hâtifs et d’attendre de voir ce qu’il fera.

    Le premier décret signé par Donald Trump, à peine trois jours plus tôt, contre la loi Obamacare, réforme de l’assurance maladie qui a permis une couverture santé à près de 20 millions de personnes, lui avait aussi valu une réaction des évêques, négative cette fois. Dans une lettre aux membres de la Chambre des députés et au Sénat, ils ont demandé qu’une alternative soit donnée avant de supprimer cette loi, dans une lettre adressée aux membres de la Chambre des députés et au Sénat.

    Vers une nomination d’un juge anti-avortement à la Cour suprême

    Donald Trump s’est par ailleurs engagé à nommer très prochainement à la Cour suprême un juge farouchement opposé à l’IVG. À terme, a-t-il expliqué, le nouveau rapport de force qu’il compte instaurer à la haute juridiction pourrait déboucher « automatiquement » sur l’annulation de l’arrêt « Roe V. Wade »

    ... Mais est-il bon que la cause de la défense de la vie soit identifiée à un personnage aussi contesté ? Et quelle sera l'ampleur du "retour de manivelle" quand les démocrates reviendront au pouvoir, après les quatre ans (si tout va bien...) d'exercice du mandat présidentiel par Donald Trump ?

  • Plein succès pour la Marche pour la Vie à Paris

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    C2x_ePwXUAA2BK0.jpgD'Emmanuelle Lucas sur le site du journal La Croix :

    La Marche pour la vie fait le plein à Paris

    Plusieurs dizaines de milliers de marcheurs ont défilé dimanche 22 janvier à Paris pour demander notamment le retrait du projet de loi sur l’extension du délit d’entrave à l’IVG.

    Des ballons oranges, jaunes, bleus. Des familles, des poussettes et trois générations au coude à coude. La 11e édition de la Marche pour la vie qui s’est déroulée dimanche 22 janvier à Paris a fait le plein. Une foule de 50 000 personnes selon les organisateurs s’est élancée de la place Denfert-Rochereau, noire de monde sous le soleil, au nom de la lutte contre l’IVG.

    Alors que le cortège s’élance sur les boulevards, il flotte comme un faux air de Manif pour tous. À la sono, le même tube de Stromae, « Papaoutai » (« papa où t’es ?). Des religieuses prennent des photos. Quelques religieux en habit et prêtres en col romain sont présents dans le cortège, tandis que 21 évêques ont soutenu la manifestation.

    Samedi, l’un d’entre eux, celui d’Avignon, Mgr Jean-Pierre Cattenoz, a d’ailleurs célébré la messe lors de la Veillée pour la vie. « Il a salué tout ce que nous devons à Jean-Paul II, qui a su parler à toute une génération de jeunes aujourd’hui parents », raconte Jean-Pierre Maugendre, l’un des organisateurs historiques de la Marche pour la vie.

    Relais de génération

    Car ce dimanche, c’est bien un relais de génération qui s’opère. « La génération qui, il y a quarante ans, s’est levée contre la loi de 1975 a eu des enfants qui défilent aujourd’hui à ses côtés, notre force est démographique ! », résume Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Jérôme Lejeune, co-organisatrice de la manifestation.

    Ainsi Max, 18 ans, tient un stand de tee-shirts à l’effigie de la Marche. Il a fait ses premières armes de militants lors des manifestations de 2013 contre la loi Taubira. « Je viens d’une famille catholique. Je n’avais jusqu’alors pas vraiment conscience qu’il fallait mener ce combat. »

    Alice, 27 ans, fait aussi partie de la génération Manif pour tous. Avec son mari, elle s’est lancée dans une procédure d’adoption. « La question de la vie, on se l’approprie forcément en devenant adulte, estime la jeune femme. J’ai réfléchi à l’éducation que je voulais donner à l’enfant que j’accueillerai et je sais que ce qui compte à mes yeux, c’est qu’il puisse vivre libre et faire des choix en conscience. »

    Retrait du projet de loi sur le délit d’entrave

    Comme beaucoup de manifestants, la jeune femme a donc les yeux tournés vers l’Assemblée nationale, où le projet de loi sur l’extension du délit d’entrave à l’IVG doit être débattu en commission mixte paritaire mardi 24 janvier avant un examen en séance publique jeudi 26. Le retrait du texte est l’une des revendications de la marche de dimanche. Forte de sa mobilisation réussie, le mouvement voudrait désormais peser dans les débats.

    En cette année électorale, certains politiques avaient fait le déplacement. Christine Boutin et Philippe de Villiers étaient présents derrière les banderoles, tandis que le nom de Marion Maréchal-Le Pen a été acclamé, « pour son courage ».

    Le défilé a aussi fait une large place aux débats sur la fin de vie. Viviane Lambert, mère du patient paraplégique Vincent Lambert, présente, a été elle aussi applaudie. « Vincent est bien vivant, il essaie de communiquer. Il est notre espoir, il est notre combat. Faites-le lui entendre ! », a proclamé un organisateur dans un haut-parleur, avant de demander la réécriture de la loi Claeys-Leonetti, instaurant de manière encadrée, un droit à la sédation profonde et continue. Un texte qu’il a qualifié de « la loi sur l’euthanasie passive ».

  • Nous ne voulons pas financer l'avortement illégal en Afrique : signons la pétition

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    Nous ne voulons pas financer l'avortement illégal en Afrique

    18.584 personnes ont signé. Aidez-nous à augmenter ce nombre 20.000 signatures.

    Pour la première fois, un cardinal a appelé à signer une pétition de CitizenGO. C’était le 18 janvier 2017, il y a deux jours. Cette pétition même que vous pouvez signer à votre tour.

    Le cardinal Napier, évêque de Durban en Afrique du Sud a appelé, dans un Tweet, les pays occidentaux à arrêter de tuer les bébés africains. C’est que les agences occidentales, soi-disant de développement, utilisent l’argent du contribuable pour financer illégalement des avortements clandestins en Afrique.

    Un nouveau rapport révèle que la fondation « Marie Stopes International (MSI) », le plus grand « fournisseur » mondial d'avortement dans le monde, procède à des avortements clandestins en Ouganda et dans de nombreux autres pays africains.

     «Il n'y avait pas d'aide pour les femmes», explique Désiré Kirabo, l'ancien directeur d'une clinique de Marie Stopes International (MSI) à Hoima, en Ouganda. "Le seul service fourni est l'avortement."

    En fait, la fondation Marie Stopes International reconnait elle-même procéder à des avortements illégaux : Paul Cornellisson, directeur du programme MSI pour l'Afrique du Sud a déclaré, en 2017 devant les participants à une conférence : «Nous faisons des avortements clandestins partout dans le monde ». C’est pourquoi, en 2012, la Zambie a interdit à MSI d'opérer sur son territoire après que l'organisation ait commis plus de 500 avortements illégaux dans ce pays.

    Désiré Kirabo raconte que la clinique MSI dans laquelle il a travaillé en Ouganda a procédé à des avortements sur des jeunes filles mineures, a omis de signaler des viols et des violences sexuelles et a jeté les bébés dans les toilettes.

    Et qui paye pour ces avortements ? C’est le contribuable. A travers les programmes de développement des pays occidentaux !

    - En France, c’est l’Agence Française de développement,

    - Au Canada, c’est le « Global Affairs Canada »

    - Aux Etats-Unis, c’est la « United States Agency for International Development (USAID) »

    - Au Royaume-Uni, c’est le « United Kingdom Department for International Development (DFID) »

    Et nous pourrions continuer cette liste d’organismes nationaux dont l’objectif officiel est d’apporter une aide médicale et alimentaire aux pays les plus pauvres et qui détournent l’argent du contribuable pour tuer des enfants dans le sein de leur mère.

    Personne n’est au courant car officiellement ce n’est pas leur mission. À l'insu des contribuables occidentaux, leurs programmes nationaux de développement dépensent l'argent des contribuables pour financer l'avortement illégal dans les pays africains. L'USAID ou l’Agence française de développement ne sont pas autorisés, légalement, à utiliser leurs financements pour payer les avortements à l'étranger, mais Désireé Kirabo signale que sa clinique MSI cache les preuves de leurs pratiques abortives quand les inspecteurs viennent en visite !

    Voilà ce que l’on peut lire dans un rapport de 2012 produit par l’Agence française de développement et ironiquement intitulé : « Les femmes et les enfants d’abord…»  [voir page 21 du document ci-dessous]. Au-delà de la phraséologie technocratique, il faut comprendre : nous finançons illégalement l’avortement illégal…

    « Les partenariats avec les autres agences de coopération viseront à favoriser les cofinancements ou les délégations de fonds au bénéfice des pays prioritaires et de la simplification de l’aide. Ils seront également l’occasion d’échanger sur les approches et de promouvoir les savoir-faire français, notamment concernant la planification familiale, dans le cadre des engagements pris au Sommet du G8 à Muskoka et du Partenariat de Ouagadougou en matière de planification familiale. L’AFD continuera à développer une collaboration active avec les fondations philanthropiques (Fondation Bill & Melinda Gates, Fondation William & Flora Hewlett, Aga Khan…), d’autres bilatéraux (USAID, KfW, AusAid, JICA, Espagne, Belgique, Monaco,…), la société civile (Equilibres & Populations, Mouvement français pour le planning familial, AMREF, Marie Stopes International, IPPF, PSI, PESINET, MDM etc.).» 

    Le savoir-faire français en matière de Planning familial, on sait ce que cela signifie. Hélas ! A cet égard, je vous invite à lire, dans la revue « Cahiers Libres », l’excellent article de Marianne Durano, jeune normalienne et agrégée de philosophie (voir ci-dessous). Marianne a appelé le Planning familial en 2015 pour tester leur « soutien » et la manière dont il procédait face à une femme en détresse. Lisez cet article. Lisez-le vraiment, c’est éloquent !

    Et il en va de même pour la Belgique, la Suisse, le Canada et plus généralement, pour l’ensemble des pays occidentaux.

    Pour rappel, Marie Stopes, la fondatrice de MSI, était une eugéniste britannique radicale. Aujourd'hui, son organisation continue de cibler les non-Européens pour développer la pratique des avortements clandestins en Afrique. Ce n'est pas un hasard si, parmi les 37 pays où MSI opère, 16 sont des pays africains. Il y a une volonté de tuer. De contrôler les populations. Et c’est, sans doute, ce que l’Agence française de développement appelle pudiquement, dans son rapport, la «transition démographique » !

    Continuer à financer le MSI est une forme d'oppression culturelle et d'impérialisme occidental contre les peuples d'Afrique. Là précisément, où l'avortement est rejeté par la population, à une écrasante majorité. Cela doit cesser ! 

    Plus d'informations:

    "Aujourd’hui j’ai appelé le Planning familial" par Marianne Durano

    http://cahierslibres.fr/2015/01/aujourdhui-jai-appele-le-planning-familial/

    "Les femmes et les enfants d’abord…" : rapport de l'AFD

    http://www.dphu.org/uploads/attachements/books/books_1595_0.pdf

    WATCH the bombshell KILLING AFRICA report here!

    Exposing the MSI Mission in Africa

    The Stream EXCLUSIVE: Killing Africa: Stop Taxpayer Funding of Illegal Abortions in Africa

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  • Les défenseurs de la vie défilent aujourd'hui à Paris avec le soutien du pape

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    LA MARCHE POUR LA VIE REÇOIT LE SOUTIEN DU PAPE

     de genethique.org

    Dans une lettre adressée par la nonciature apostolique, représentation officielle du pape en France, au président de la Marche Pour La Vie qui est prévue à Paris dimanche 22 janvier, le Saint Père rappelle que « l’Eglise ne doit pas avoir de cesse d’être l’avocate de la vie, et ne doit pas renoncer à annoncer que la vie humaine doit être protégée sans condition, depuis le moment de la conception jusqu’à la mort naturelle »[1].

    Le Pape « salue cordialement les participants à cette manifestation » et les encourage « à œuvrer sans relâche pour l’édification d’une civilisation de l’amour et d’une culture de la vie ».

    [1] Discours aux évêques allemands en visite ad limina, le 20/11/2015.

    Sources: Marche pour la Vie (18/01/2017)

  • Embryon, qui es-tu ?

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    Blanche Streb, directrice des études d'Alliance VITA