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Eglise - Page 957

  • Banneux, Cité Notre-Dame de la Vie, 10 décembre : Concert de Noël

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  • Homélie du Père Michel Zanotti-Sorkine pour la fête de l'Immaculée Conception

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    Solennité de l'Immaculée Conception, Paroisse Saint-Vincent-de-Paul 'Les Réformés', Marseille le 8 décembre 2009. Site officiel et prédications

     
     
  • Retrouver l'espérance dans un monde en crise de foi

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    De Radio Vatican (Hélène Destombes) :

    Audience générale : "ne jamais perdre l'Espérance"

    « Ne jamais perdre l’espérance », qui est la « vertu des petits »: c’est l’appel lancé par le Pape ce matin lors de l’audience générale, tenue dans la salle Paul VI. François a initié ce mercredi (7 décembre) un nouveau cycle de catéchèse sur l’espérance chrétienne… Prenant appui sur le chapitre 40 du Livre d’Isaïe, autrement appelé le Livre de la Consolation, le Souverain Pontife a enjoint les fidèles à attendre dans la confiance e la venue du Seigneur.

    Le temps de l’Avent est celui de l’attente , un temps où le croyant est appelé à réfléchir sur le sens de l’espérance, « l’Espérance qui ne déçoit jamais », contrairement à l’optimisme, a précisé le Pape. Dieu lui-même nous enseigne à espérer, par la bouche de ses prophètes, à qui il demande d’encourager son peuple, de lui adresser une parole de Consolation. Isaïe assure ainsi au peuple d’Israël, alors en exil, que ses tribulations sont finies, que le retour sur sa terre est proche. Le prophète l’invite donc «  à préparer le chemin du Seigneur, en s’ouvrant à ses dons de Salut ». La consolation commence en effet « avec la possibilité de marcher sur le chemin de Dieu », une voie à préparer dans le désert, pour pouvoir retourner chez soi. La vie est souvent un désert, a encore reconnu le Pape, mais « si nous nous confions à Dieu, elle peut devenir une autoroute belle et large ». Il suffit pour cela de « ne pas perdre l’espérance, de continuer à croire, toujours, malgré tout ». C’est l’Espérance qui nous redonne le sourire, lorsque tout semble n’être que ténèbres autour de nous.

    Et qui sont ceux qui savent continuer à espérer ? « Ceux qui entourent Jésus à sa naissance » : les petits, « rendus grands par leur foi et leur espérance ». Laissons-nous donc enseigner l’espérance, la « vertu des petits », a exhorté le Pape. « Attendons avec confiance » la venue du petit enfant de Bethléem, « quel que ce soit le désert de nos vies, il deviendra un jardin florissant ».

  • Non, le pape ne viendra pas commémorer le centième anniversaire de la fin de la Grande Guerre en Belgique en 2018

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    C'est notamment ce que le pape a confié aux journalistes de Tertio venus l'interviewer durant 40 minutes le 16 novembre dernier. Cette interview qui s'est déroulée "dans une atmosphère détendue, avec humour et sans aucun signe d'excitation, de protocole ou de formalisme" est parue sur le site de ce magazine.  Il a également évoqué ses visites dans notre pays entre 1973 et 1979 (dans le cadre d'une organisation des amis de l'Université de Cordoba (Argentine) à l'époque où il était provincial. S'il a apprécié notre pays, il avoue avoir un faible pour Bruges qu'il considère être la plus belle ville de Belgique. Voici l'analyse proposée sur Radio Vatican par Xavier Sartre :

    Le Pape s'adresse aux catholiques flamands

    (RV) La laïcité, le fondamentalisme, les défis que doivent affronter les jeunes et l’Europe, le bilan du jubilé de la miséricorde : ce sont quelques-uns des thèmes qui ont été abordés par le Pape François dans un entretien accordé à l’hebdomadaire belge catholique de langue flamande Tertio, et publié ce mercredi 7 décembre 2016. Lors de cet échange réalisé en espagnol, le Pape a également parlé de l’aspiration à une Église synodale, et a donné des conseils aux prêtres.

    Pas d’annonce sinon quelques rappels fondamentaux. Tout d’abord la laïcité ne doit pas être confondue avec le laïcisme. Vouloir séparer la religion de la vie publique « est une conception désuète ». Pas question pour le Pape de fermer les portes à la transcendance. Cette vision des choses, explique-t-il, nous vient des Lumières, or l’ouverture à la transcendance « fait partie de l’essence humaine ».

    S’adressant à des lecteurs d’un pays marqué par le terrorisme islamiste, le Pape a répété que « nulle religion en tant que telle ne peut fomenter la guerre ». « Ce serait proclamer sa foi en un dieu de destruction, un dieu de haine » précise-t-il avant de rappeler : « on ne peut pas faire la guerre au nom de Dieu », « au nom de n’importe quelle religion ». François reconnait que « toutes les religions ont des groupes fondamentaux, toutes, même la nôtre ». Ces petits groupes, ajoute-t-il, « ont rendu malade leur propre religion ».

    La Belgique, comme d’autres pays européens, célèbre le centenaire de la Première Guerre mondiale. Le Pape reprend son concept de troisième guerre mondiale, dénonçant une fois de plus les fabricants d’armes qui les vendent à ceux qui nous combattent. Concernant l’Europe, il regrette, dans ce contexte de violence, qu’il n’y ait pas de vrais leaders politiques comme Schumann, De Gasperi ou Adenauer. « L’Europe a besoin de leaders qui aillent de l’avant »s’exclame-t-il, rappelant ce qu’il avait dit notamment à Strasbourg devant le Parlement européen.

    Jubilé et synodalité

    Le Pape, lors de cet entretien, est revenu sur le jubilé de la miséricorde, se félicitant que de nombreuses personnes se soient « senties appelées à se réconcilier avec Dieu » et à « sentir la caresse du Père ». Concernant la synodalité de l’Église, il affirme qu’elle « nait de la communauté », de la « base ». « Ou il y a une Église pyramidale, où ce fait ce que Pierre a dit, ou il y a une Église synodale, où Pierre est Pierre mais accompagne l’Église ». La synodalité, c’est donc « ne pas faire tomber du haut vers le bas mais écouter les Églises, les harmoniser et discerner ». Lors des derniers synodes sur la famille, il y a « une liberté d’expression très grande ». Chacun « a dit ce qu’il pensait sans peur de se sentir jugé ». « Pierre est le garant de l’unité de l’Église » et « a besoin d’avancer dans la synodalité », ce que font les orthodoxes.

    Alors qu’il a entamé une vaste réforme des médias du Vatican, le Pape a souligné que les moyens de communication « ont une responsabilité très grande », pouvant former « une bonne ou une mauvaise opinion ». « Les moyens de communication participent à la construction d’une société pour faire penser et éduquer ». Il met en garde cependant sur les tentations qui guettent les médias, notamment la calomnie qui « annule la personne ».

    Enfin, le Pape donne quelques conseils aux prêtres : qu’ils n’aient pas honte« d’avoir de la tendresse ». « Aujourd’hui, nous avons besoin d’une révolution de la tendresse en ce monde qui pâtit de la cardiosclérose ».

     

  • Sainte-Catherine : une église au milieu du village

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    Lu sur le site du Journal Le Soir (Pierre Vassart):

    Sainte-Catherine au milieu du village

    Il y a le quartier, chaleureux, où l’on se divertit. Il y a aussi le quartier où vivent de nombreux habitants, comme dans un village, à l’ombre d’une église qui a échappé au pire.

    Les femmes ne dansent plus en crinoline sur les pavés de la place Sainte-Catherine, mais c’est tout comme. Depuis quelques semaines, les restaurants du quartier, bien malmenés par la série noire qui a figé Bruxelles au cours de l’année écoulée, refont le plein. Et les Plaisirs d’hiver, qui drainent les foules, n’ont fait qu’amplifier le mouvement.

    Il faut aller voir les splendides jeux de lumière qui apportent à la façade de l’église Sainte-Catherine une vie mystérieuse. Il faut entrer dans l’un des multiples restaurants qui, du Marché aux Poissons à la rue de Flandre, proposent des mets de qualité, des produits de la mer ultra-frais – « On a la chance d’avoir les importateurs à proximité », commente le président de l’association des commerçants du coin Marc Withofs –, mais aussi « une cuisine multinationale », comme le souligne le commerçant. Ou profiter encore de l’ambiance des chalets variés qui s’étalent aux pieds de l’édifice religieux, le seul du Pentagone construit au cours du XIXe siècle, et par l’architecte Joseph Poelaert encore bien ! On ne pourra qu’arriver à ce constat : la place Sainte-Catherine et ses abords sont l’un des cœurs de la capitale, qui affiche en cette fin d’année une vitalité réjouissante.

    Les commerçants, d’ailleurs, ne s’y trompent pas. Est-ce les chiffres de fréquentation piétonne du quartier fournis par Atrium, l’agence régionale du commerce, qui les y incitent ? Ils sont nombreux à vouloir s’implanter dans le quartier. C’est qu’une moyenne de piétons de 8.229 par jour (à hauteur du 10 rue Sainte-Catherine), ou même de 3.674 par jour (à hauteur du 38 rue de Flandre) ont de quoi attirer. C’est ainsi, pour ne parler que des derniers à s’y être installés, qu’un glacier réputé s’est établi cet été sur la place, de même que, non loin de là, une nouvelle succursale d’une chaîne de magasins de nuit bien connue, qu’un boucher très réputé de la côte belge ou encore qu’un établissement qui propose des sushis, voire un autre qui surfe sur la vague du hamburger haut de gamme.

    Mais le visiteur de passage ne le soupçonnera sans doute pas : « le quartier est un petit village en plein cœur de Bruxelles, résume Marc Withofs. Tout le monde se connaît, se dit “bonjour”, et l’ambiance est chaleureuse. » Car il y a les commerçants, mais également de nombreux habitants dans ce quartier. « Il y a ceux qui y vivent depuis des années – le plus célèbre d’entre eux étant le chanteur Arno, qu’on peut y croiser en terrasse les belles après-midi d’été –, et puis il y a de nombreux nouveaux arrivants, qui se font assez vite aux petits désagréments, comme les odeurs des restaurants », poursuit le commerçant. Il n’y a en outre qu’à observer les enseignes des cafés : les néerlandophones ont fait du quartier leur point de chute, et on s’y salue en néerlandais comme en français ou en anglais.

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  • Laissons le Seigneur annuler nos péchés pour nous rendre vraiment neufs

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    De Radio Vatican :

    Le Pape appelle chacun à reconnaître ses péchés et à se laisser recréer par Jésus

    (RV) Laissons-nous transformer par Jésus, laissons-le nous recréer, en nous libérant de nos péchés : c’est ainsi que le Pape François s’est exprimé ce lundi 5 décembre 2016, lors de la messe matinale à la Maison Sainte-Marthe. Le Pape a mis en garde contre le fait de donner un peu de «vernis» à nos péchés sans en avoir vraiment honte dans le cœur. C’est seulement en donnant «un nom et un prénom» à nos péchés, a-t-il averti, que nous pourrons permettre à Dieu de nous faire femmes et hommes nouveaux.

    Le désert fleurira, les aveugles verront, les sourds entendront. La Première Lecture, tirée du Prophète Isaïe, «nous parle de renouvellement», a expliqué François. Tout sera changé «du laid au beau, du mauvais au bon». « Un changement, en mieux », c’était ce que le Peuple d’Israël attendait du Messie, a rappelé le Saint-Père.

    Le changement qu'apporte Jésus n’est pas un simple maquillage

    Jésus, a-t-il donc affirmé en mettant l’attention sur l’Évangile du jour, guérissait, «faisait voir aux gens une voie de changement, et les gens le suivaient pour cela», «parce que le message de Jésus arrivait au cœur».

    «Mais ce que faisait Jésus n’était pas seulement un changement du laid au beau, du mauvais au bon : Jésus a fait une transformation. Ce n’est pas une histoire de faire beau, ce n’est pas un problème de maquillage : il a changé tout de l’intérieur ! Il a changé avec une re-création : Dieu avait créé le monde ; l’homme est tombé dans le péché ; Jésus vient pour re-créer le monde. C’est ceci le message, le message de l’Évangile, qui apparaît clairement : avant de guérir cet homme, Jésus pardonne ses péchés. Il va là-bas, vers cette re-création, il re-crée cet homme de pécheur à juste, il le re-crée comme juste. Il le fait nouveau, totalement nouveau. Et ceci scandalise !»

    Face à cela, a affirmé le Pape, les docteurs de la Loi «commencèrent à discuter, à murmurer», parce qu’ils ne pouvaient pas accepter son autorité. Jésus est capable de faire de nous, pécheurs, des personnes neuves. C’est quelque chose dont avait eu l’intuition Marie-Madeleine, «mais elle avait une plaie à l’intérieur : elle était une pécheresse». Elle a donc senti que «cet homme pouvait guérir non pas le corps, mais la plaie de l’âme. Il pouvait la re-créer ! Et pour cela il fallait beaucoup de foi.»

    Ouvrir le coeur devant le Seigneur, dire les péchés «avec le nom et le prénom»

    Que le Seigneur «nous aide à nous préparer à Noël avec une grande foi», parce que «pour la guérison de l’âme, pour la guérison existentielle, il faut un grande foi». «Être transformés, c’est la grâce du Salut qu’apporte Jésus», a insisté le Pape François. Il faut vaincre la tentation de dire «moi je ne vais pas y arriver», et se laisser au contraire «transformer», «re-créer par Jésus». «Courage», c’est la parole de Dieu.

    «Tous nous sommes pécheurs, mais regarde la racine de ton péché, et que le Seigneur aille là-bas et la re-crée : et cette racine amère fleurira, fleurira avec les œuvres de justice : et tu seras un homme nouveau, une femme nouvelle. Mais si je me contente de dire "Oui, oui, j’ai des péchés, je vais me confesser", avec deux petites paroles, tout en continuant ensuite comme si de rien n’était, je ne me laisse pas re-créer par le Seigneur. Seulement deux couches de vernis et nous croyons que l’histoire se termine ! Non ! Mes péchés, avec un nom et un prénom : moi j’ai fait cela, ceci, cela, et j’ai honte dans mon cœur ! Et j’ouvre le coeur : “Seigneur, l’unique que j’ai. Recrée-moi! Recrée-moi!" Et ainsi nous aurons le courage d’avancer avec une vraie foi, comme nous l’avons demandé, vers Noël.»

    Toujours, a-t-il ajouté, nous «cherchons à cacher la gravité de nos péchés», par exemple ce qui touche à l’envie, à la jalousie, «une très mauvaise chose ! C’est comme le venin du serpent, qui cherche à détruire l’autre !»

    Laissons le Seigneur annuler nos péchés pour nous rendre vraiment neufs

    Le Pape a donc encouragé à «aller au donc de nos péchés et ensuite les donner au Seigneur, pour que Lui, Il les annule, et nous aide à aller de de l’avant avec foi». Et il a souligné ce passage, en racontant une anecdote d’un Saint, «studieux de la Bible», qui avait un caractère trop fort, avec tant de motifs de colère et qui demandait pardon au Seigneur, en faisant de nombreux renoncements et pénitences :

    «Le Saint, en parlant avec le Seigneur, disait : "Tu es content, Seigneur ?" "Non." "Mais je t’ai tout donné !" "Non, il manque quelque chose." Et ce pauvre homme faisait une autre pénitence, une autre prière, une autre veille. "Je t’ai donné cela, Seigneur. Ça va ?" "Non il manque quelque chose." "Mais qu’est-ce qui te manque, Seigneur ?" "Ce qui manque, ce sont tes péchés, donne-moi tes péchés !" C’est ce que aujourd’hui le Seigneur nous demande : "Courage ! Donne-moi tes péchés et je ferais de toi un homme neuf et une femme nouvelle !" Que le Seigneur nous donne la foi, pour croire à cela !».

  • Deux styles de catholiques ?

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    On voit dans l´Église ceux pour qui la porte ne s´ouvre que si l´on y frappe et ceux pour qui elle reste ouverte même si l´on n´y frappe pas. Ce n´est pas un avatar de la vieille opposition entre conservateurs et progressistes. Il n´y d´ailleurs pas à choisir entre les deux : dans les évangiles, Jésus donne raison aux uns aussi bien qu´aux autres.

    http://www.ktotv.com/video/00114768/y-aurait-il-deux-styles-catholiques-aujourd-hui

  • Le tombeau du Christ révèle ses premiers secrets

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    De Yoko Trigalot sur leFigaro.fr :

    Le tombeau du Christ livre ses premiers mystères

    Voir la video : http://bcove.me/wwb04ik2

    Ouvert pour la première fois depuis 200 ans, ce haut lieu de pèlerinage à Jérusalem, considéré par les chrétiens comme la tombe de Jésus, a révélé ses premiers secrets.

    Les travaux de restauration, entamés fin octobre, devaient permettre de consolider l'édicule de marbre aménagé au cœur de la basilique du Saint-Sépulcre, à Jérusalem, qui présentait des signes de délabrement. Le lieu, considéré par les chrétiens comme celui de la crucifixion, du tombeau et de la résurrection de Jésus Christ survenue vers l'an 33, a été détruit à plusieurs reprises au cours des siècles. Mais le Saint-Sépulcre est toujours considéré comme l'endroit le plus sacré du christianisme.

    Selon le Daily Mirror, les chercheurs ont découvert le lit funéraire sur lequel le corps de Jésus aurait été déposé trois jours durant. Cette dalle en marbre était protégée d'une seconde plaque totalement inconnue des experts. Depuis le XVIe siècle, elle servait à empêcher le vol par les pèlerins de morceaux de tombe, utilisés comme reliques. Cette dalle en marbre est gravée d'une croix qui daterait des croisades du XIIe siècle.

    «La chose la plus incroyable a été pour moi le moment où l'on a enlevé la première couche de poussière et qu'on a découvert une seconde dalle en marbre», déclare l'archéologue Fredrik Hiebert du National Geographic, partenaire du projet. «Cette dalle-là était grise et non de couleur crème comme la première à l'extérieur, et en plein milieu, il y avait une croix, superbement gravée. Nous n'avions aucune idée que nous allions trouver cela là», ajoute-t-il.

    Un projet de reconstruction virtuelle

    L'un des responsables des travaux menés par des experts grecs renchérit: «Nous étions tous très curieux, alors, nous avons regardé dans la tombe et avons vu de nombreux gravats. Elle n'était donc pas vide, même s'il ne s'agissait pas d'os et d'artefacts.»

    Le monument n'avait pas été ouvert depuis 1810 selon les scientifiques qui ont soulevé la plaque de marbre qui protège le tombeau du Christ. Les précédents travaux avaient été entrepris à la suite d'un incendie, a indiqué le Père Samuel Aghovan, le supérieur de l'église arménienne: «C'est émouvant, car c'est quelque chose dont nous parlons depuis des siècles».

    Pour les experts, archéologues et théologiens, cette récente découverte semble apporter la preuve que ce haut lieu de pèlerinage abrite bel et bien la tombe du Christ dont la construction fut commencée par l'Empereur Constantin au IVe siècle. La présence de cette dalle a permis aux chercheurs d'affirmer qu'il s'agit de la même tombe que celle que les croisés ont vénérée.

    Les scientifiques ont également profité de cette ouverture pour collecter des données qu'ils analyseront pour créer ensuite une reconstruction virtuelle de la tombe, accessible à tous.

  • Jean Vanier à l'honneur

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    De Gérard Leclerc sur le site de France Catholique :

    Jean Vanier

    L’actualité débordante de ces jours-ci sollicite l’éditorialiste qui n’a que l’embarras du choix. Pourtant, le mien s’est porté sur un événement qui n’a pas fait les grands titres, mais qui pourrait bien, en ce temps de préparation à Noël, toucher nos cœurs. En effet, cela aura été sans doute un des derniers gestes de Manuel Valls à l’hôtel Matignon. Il y a décoré Jean Vanier, le fondateur de L’Arche, de la croix de commandeur de la Légion d’honneur. Ainsi, les salons du Premier ministre ont accueilli une assistance tout à fait inhabituelle de personnes handicapées, celles qui entourent Jean Vanier tous les jours dans ses communautés en France et dans le monde. Pour avoir été accueilli à sa table de Trosly-Breuil dans l’Oise, haut lieu de L’Arche, plein de souvenirs, je puis témoigner, avec tant d’autres, de l’extraordinaire climat de fraternité et même de joie qui y règne.

    C’est ce climat qui a régné à l’hôtel Matignon, le temps de la cérémonie, et qui paraît bien avoir bouleversé Manuel Valls, pourtant bien pris par ses préoccupations et un agenda qui s’est précipité. C’est que les amis de Jean Vanier lui ont fait fête, l’embrassant et lui offrant des cadeaux fabriqués de leurs mains. Ils étaient trop reconnaissants de l’honneur fait à leur fondateur. De la part de ce dernier, il fallait évidemment attendre des propos de sagesse et d’humanité, comme lui seul sait les faire entendre, en vertu d’une vocation unique et d’une flamme intérieure que l’âge n’a nullement flétrie : « L’être humain est toujours en recherche de plus : il veut plus de pouvoir, plus d’argent, toujours plus, plus, plus… C’est la grande différence que nous avons avec les oiseaux. »

    On pouvait évidemment penser aux paroles évangéliques sur les oiseaux entourés de la Providence divine. Ce n’est pas le ton général des discours politiques. Mais il semble que Manuel Valls n’y ait pas été du tout insensible, puisqu’il a confié à ses hôtes, en les quittant : « Je ne peux pas vous dire pourquoi, mais ce vendredi soir restera pour moi un jour inoubliable. » Inoubliable, sans doute, parce qu’il fut une belle expérience de fraternité, loin des fracas du forum politique.

  • Désacralisations à Bruxelles : comment l'archevêché conçoit l'avenir

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    Lu sur le site de RTL.be

    Pourquoi désacraliser des lieux de culte? Voici la vision d'avenir de l’Archevêché de Malines-Bruxelles

    L'Eglise catholique se penche actuellement sur l'avenir de ses lieux de culte. Ces endroits sont parfois trop nombreux et coûtent cher à entretenir. C'est le cas notamment à Bruxelles, où elle envisage donc d'en "désacraliser" plusieurs. L'idée est de permettre leur transformation en école, en logement, et pourquoi pas, de les céder à d'autres cultes, comme s'en sont rendus compte Justine Sow et Xavier Gérard pour le RTL info 13h.

    Une Eglise bientôt transformée en logements, une autre en école catholique. Voilà quelques projets soutenus par l'Archevêché de Malines-Bruxelles. Plusieurs décrets de désacralisation ont été signés. Dans la capitale, l'Eglise veut s'adapter à la réalité moderne et urbaine.

    "Ce qui a été conçu et pensé il y a 100 ans ou il y a 200 ans ne se pense plus aujourd'hui de la même façon. Nous avons à Bruxelles une église tous les 1300 mètres, c'est beaucoup et dans certains endroits c'est peut-être un peu trop", estime Jean Kockerols, évêque auxiliaire de l’Archevêché de Malines-Bruxelles.

    L'Archevêché publie donc une liste de 20 Eglises dont l'affectation principale sera bientôt changée. Il y a la possibilité d'affecter un lieu à une communauté catholique d'origine étrangère. "C'est le cas de Notre-Dame de la Chapelle mise à la disposition d'une paroisse polonaise", indique Mgr Kockerols.    

    Un lieu de culte peut aussi se voir confier à une communauté chrétienne non-catholique. C'est le cas de l'église Saint-Paul à Uccle (Stalle) "dont l'affectation est partagée avec une paroisse orthodoxe roumaine".

    Un usage "pas inconvenant"

    Lorsque cela ne s'applique pas, la désacralisation intervient. "Mais quand rien de tout cela ne peut être mis en œuvre, il reste la solution de la désacralisation du lieu de culte, un acte juridique par lequel le lieu ne sert plus au culte mais désormais à un usage profane qui ne s'avère pas inconvenant... Pas question d'un dancing, par exemple", note encore Mgr Kockerols. "Nos priorités à cet égard vont au logement/habitat ainsi qu'à l'enseignement. Saint-Vincent de Paul à Anderlecht a été cédée pour l'installation d'une école."              

    À Watermael Boistfort, les 8.000 mètres carrés de l'Eglise Saint-Hubert devraient être reconvertis en appartements, tout en maintenant un lieu de culte à l'intérieur. 

    Conserver un usage religieux "tant que possible"

    Mais cette idée inquiète certains chrétiens, particulièrement attaché à leur église de quartier. "C'est un plan qui centralise les églises en quelques lieux, qui réduisent l'offre et les services et qui réduira tôt ou tard, et même très vite, la pratique catholique chrétienne à Bruxelles", explique pour sa part Véronique Hargot, membre du collectif inter-paroissial.

    L'Archevêché insiste: les désacralisations restent exceptionnelles. Dans la plupart des cas, l'Eglise conservera son rôle, mais pourrait être utilisée par d'autres communautés chrétiennes. "Dans toute la mesure du possible, nous essayons de conserver un usage religieux à ce bâtiment qui a été pensé pour cela", ajoute  l'évêque.

    La Région bruxelloise compte près de 110 paroisses. Un cinquième de ces clochers devraient donc recevoir une nouvelle affectation dans les prochaines années.

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    Communiqué du Collectif Inter-Paroissial

    Moins de paroisses, moins de fidèles  

    1. Supprimer le concept de paroisse et le nombre d’églises paroissiales ( 20 sur la liste de la note politique de l’archevêché + celles qui seront fermées dans un avenir proche) sur le plan pastoral porte atteinte à l’affection (et la fréquentation) qu’ont de milliers de Bruxellois pour leurs églises paroissiales. Moins de paroisses c’est à coup sûr, moins de fidèles. D’autre part, nous avons de sérieuses raisons de craindre que la suppression juridique des paroisses entraînera inévitablement la réduction du nombre de ministres du culte catholique rémunérés par l’Etat, des fabriques d’église et de l’intervention financière éventuelle des communes ainsi que la suppression du bénévolat dans nos paroisses. La lettre pastorale de nos évêques relève la vitalité de l’Eglise catholique à Bruxelles et sa croissance. Pourquoi réduire dès lors les lieux de vie paroissiale ? Celles-ci connaissent une hausse de leur fréquentation : plus de 140.000 pratiquants catholiques, en plus des nombreux visiteurs, priants isolés, touristes, visiteurs en quête de sens ou « sympathisants » occasionnels à l’occasion de mariages et de funérailles notamment.  Cela mérite un franc soutien de la part de nos autorités politiques mais aussi de nos autorités religieuses.

    2. Nos évêques nous invitent à être « en phase » avec notre temps : or ce temps est celui du « retour du religieux », des carences identitaires, du besoin de racines, de sens, mais aussi, celui des « villes en transition » avec leur retour aux liens et services de proximité et de voisinage, à la vie de quartier, leur culture locale, etc. :  pourquoi alors travailler à créer des entités pastorales de plus en plus grandes, anonymes et surdimensionnées ? Mgr Kockerols cite le Pape François qui « aime rapprocher deux réalités : miséricorde et proximité ». Mais alors pourquoi éloigner les églises des fidèles, sachant que les plus pauvres et les moins mobiles seront les premiers pénalisés ? Au nom de quelle miséricorde ?

    3. Le motif pour lequel nos évêques disent avoir engagé les paroisses à se regrouper en Unités Pastorales est qu’aujourd’hui, elles ne peuvent plus « offrir tout ce qui est nécessaire pour la vie chrétienne et une communauté chrétienne ». Pourquoi ne pas opter pour des solidarités inter-paroissiales souples et libres au sein des unités pastorales ou au-delà, pour suppléer d’éventuelles carences, plutôt que de supprimer les paroisses apparemment ou temporairement plus faibles ?

    4. Nous nous réjouissons de constater qu’un nombre croissant de nos églises paroissiales sont partagées avec d’autres communautés chrétiennes, y compris non catholiques. Ceci dit, pourquoi changer leur « affectation principale catholique », d’autant plus que les mouvements démographiques, sociologiques et urbanistiques de notre ville en modifie constamment le contexte pastoral ? Nous plaidons donc avec force pour qu’aucune décision irréversible ne soit prise quant à la réaffectation de nos églises.

  • 2e dimanche de l'Avent : Convertissez-vous !

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    Du Frère Jean-Christian Levêque o.c.d., cette homélie pour le 2e dimanche de l’Avent :

    « Convertissez-vous ! »

    A quelques semaines de Noël, Dieu ne ramène ensemble au désert, pour y entendre l’appel du Précurseur, une nouvelle invitation à nous convertir. Comme Marc et Luc, Matthieu commence son récit de la vie publique de Jésus en décrivant le ministère de Jean le « Baptiseur ».« En ces jours-là paraît Jean le Baptiste, qui proclame dans le désert de Judée : Convertissez-vous, car le Règne des cieux est là ! »

    Jean proclame. L’insistance est donc mise sur sa Parole, sur son message ; c’est ensuite seulement (versets 7 à 13) que Matthieu parlera de son baptême. Paradoxalement, Jean a choisi, pour prêcher le désert, le désert de Judée que nous avons traversé plusieurs fois ensemble, ces collines arides, toutes blanches de soleil, qui invitent à la solitude et au recueillement, à quelques kilomètres seulement de Jérusalem ou de Bethléhem. Jean ne s’est pas planté sur les places des villes ou aux grands carrefours, là où les gens sont forcés de passer ; il s’est enfoncé dans le désert… Ainsi tous ceux qui voudront l’entendre devront d’abord prendre la route et rompre avec la facilité.

    Car le langage de Jean est celui de l’authenticité et de l’effort :« Convertissez-vous, » proclame-t-il. Et c’est tout un programme de vie spirituelle. Car la conversion ce n’est pas seulement un changement de mentalité, mais toute une dé-marche vers Dieu. On imagine souvent que la conversion, c’est un instant privilégié dans une existence. C’est beaucoup plus que cela. C’est toute une vie qui part d’un instant de rencontre. La conversion, c’est un événement, mais plus encore un cheminement. Un retournement, certes, mais surtout un retour, qui dure toute la vie. Car il ne s’agit pas seulement d’un remords passager, qui ramène l’homme sur lui-même ou sur ses fautes, mais d’un pèlerinage d’amour, qui ramène l’homme vers Quelqu’un, vers Celui qui appelle, vers le Règne de Dieu, c’est-à-dire vers le Dieu qui crée la paix et la joie.

    Si l’on se convertit, c’est parce que « le Règne de Dieu est là », littéralement : « parce que le Règne de Dieu s’est rendu proche » définitivement. Le Règne de Dieu (des cieux), c’est l’établissement sur la terre, de l’autorité souveraine de Dieu, c’est, si l’on veut, la réalisation de son plan de salut. Ce Règne de Dieu est là (« il vous a atteints », dira Jésus (Mt 12, 28), parce que le Messie est là, qu’il s’est rendu tout proche, pour toujours. Et la rencontre de l’Envoyé de Dieu, personnellement, en foyer, en fraternité, en communauté, c’est la grande affaire d’une vie, c’est le moment à ne pas manquer, c’est le cheminement à ne pas refuser

    Après avoir ainsi résumé le message du Baptiste, Matthieu s’arrête un instant sur sa personnalité, un peu hors série, et sur son rôle dans l’histoire du salut. Nous ne nous appesantirons pas trop longtemps sur les sauterelles… Par les écrits des Esséniens nous savons que les sauterelles étaient comestibles. On les mangeait volontiers, soit bouillies, comme des crevettes, dans l’eau salée, soit séchées au soleil et confites dans le miel, soit pilées et mélangées à la pâte des galettes.

    Quant au vêtement du Baptiste (tunique en poils de chameau et ceinture de cuir), il rappelait étrangement celui du poète Elie ( 1 Rg 1,8), et Jean ne l’avait pas choisi au hasard. Par son habillement il annonçait son intention de placer toute sa vie dans le sillage du grand prophète de Yahweh. Et l’Evangéliste Matthieu renchérit, en insérant explicitement le Baptiste dans la lignée des prophètes : "Ce Jean est celui dont a parlé le prophète Isaïe : Dans le désert une voix crie : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers (Is 40,3).Comme le prophète qui annonçait le retour des déportés (6esiècle avant J.-C), Jean inaugurera les temps nouveaux : Dieu, par Jésus, va délivrer son peuple (nous tous) de tout esclavage spirituel.

    Puis Matthieu revient au message du Baptiste, et spécialement à sa sévérité envers les Pharisiens et les Sadducéens : « Engeance de vipères »… autrement dit «  : Vous ne produisez que des œuvres de mort ». Certes, ils viennent « en grand nombre » mais Jean ne veut pas que l’on se fasse baptiser uniquement par snobisme. « Produisez donc un fruit qui exprime votre conversion » : Dieu, en effet, ne se contentera pas de simples sentiments ni de pratiques purement extérieures : il veut des actes concrets, qui engagent l’homme tout entier. La foi elle-même doit se purifier de toute recherche de facilité : « N’allez pas dire en vous-mêmes : Nous avons Abraham pour père ! » Selon la doctrine juive courante, Israël profitait des mérites d’Abraham, mais, pour le Baptiste, compter sur ces mérites-là serait encore s’appuyer sur un privilège religieux : la conversion serait incomplète. Les vrais enfants d’Abraham sont tous ceux, (Israélites ou non), qui imitent sa foi et son engagement total dans le projet de Dieu.

    A travers les Pharisiens et les Sadducéens, c’est nous qui sommes pris à partie par le Précurseur. Car nous aussi sommes menacés par la routine, et nos retours vers le Seigneur restent trop souvent des engouements passagers. Nous aussi, nous risquons de nous sécuriser par les gestes religieux que nous posons ou par les idées que nous défendons, sans nous soucier suffisamment de porter du fruit par une vraie conversion du cœur et de l’intelligence.

    Comme elle est bienfaisante, cette rudesse de Jean, qui vient balayer avant chaque Noël toutes nos lenteurs, toutes nos paresses, toutes nos pauvres excuses, alors que les années passent et que s’alourdit en nous, d’Avent en Avent, le poids des occasions perdues d’aimer Dieu avec tout nous-mêmes.

    Mais combien plus puissante pour notre cœur est la promesse que Jean nous apporte et nous redit de la part de Dieu : « Le Messie vous baptisera dans l’Esprit et le feu ». Oui, Jésus qui vient va nous plonger, si nous le voulons, dans l’Esprit et le feu, dans l’Esprit qui est feu.

    Toutes les scories de notre intelligence et de notre affectivité, ce qui est en nous opaque à la grâce, rétif à la charité, tout ce qui nous rend sourds et aveugles, le feu de l’Esprit l’emportera, parce qu’il vient nous purifier.

    Mais en même temps, tous nos désirs impuissants de servir le Règne de Dieu, toutes nos espérances de pauvres, tous nos deuils assumés, toutes nos solitudes offertes, l’Esprit va les transformer en sa propre flamme, la flamme de Dieu, qui donne au monde lumière et chaleur.

  • Vingt-trois martyrs reconnus et de nouvelles béatifications en vue

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    "Recevant en audience, jeudi 1er décembre, le cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation des causes des saints, le pape François l’a autorisé à publier les décrets reconnaissant le martyre de vingt-trois serviteurs et de Dieu et le miracle attribué à l’intercession d’un quatrième, ouvrant ainsi la voie à leur prochaine béatification.

    Le pape a ainsi autorisé la Congrégation des causes des saints à reconnaître le martyre de :

    • Mgr Teofilius Matulionis (1873-1962), archevêque-évêque de Kaišiadorys (Lituanie), mort après 26 ans de goulag soviétique ;
    • le P. Vincente Queralt Lloret (1894-1936), prêtre lazariste espagnol, et ses 20 compagnons (dont 6 autres prêtres lazaristes, 5 prêtres diocésains, deux religieuses Filles de la Charité et 7 laïcs vincentiens), tués pendant la Guerre civile espagnole entre 1936 et 1937 ;
    • le P. Stanley Francis Rother (1935-1981), prêtre du diocèse de Tulsa (Oklahoma, États-Unis), assassiné au Guatemala par un escadron de la mort. Il devient ainsi le tout premier martyr des États-Unis.

    Le pape François a aussi reconnu un miracle attribué à l’intercession du P. Giovanni Schiavo (1903-1967), prêtre italien de la Congrégation de Saint-Joseph, missionnaire au Brésil.

    Huit « vénérables »

    Enfin, le pape a autorisé la Congrégation des causes des saints à reconnaître les vertus héroïques de huit serviteurs de Dieu, qui ne pourront être béatifiés qu’après la reconnaissance d’un miracle attribué à leur intercession :

    • le cardinal Guglielmo Massaia (1809-1899), capucin italien, ancien missionnaire en Ethiopie ;
    • le P. Nunzio Russo (1841-1906), prêtre du diocèse de Palerme (Italie), fondateur de la congrégation des Filles de la Croix ;
    • le P. José Bau Burguet (1867-1932), prêtre du diocèse de Valence (Espagne) ;
    • le P. Mario Ciceri (1900-1945), prêtre du diocèse de Milan (Italie) ;
    • Sœur Suzanne Aubert (1835-1926), religieuse française originaire de Saint-Symphorien-de-Lay (Loire) et missionnaire en Nouvelle-Zélande, fondatrice des Filles de Notre-Dame de la Compassion ;
    • Sœur Luz Casanova (1873-1949), religieuse espagnole, fondatrice des Dames apostoliques du Sacré-Cœur ;
    • Sœur Catherine-Aurélie Caouette (1833-1905), religieuse mystique canadienne, fondatrice des Sœurs adoratrices du Précieux Sang de l’Union de Saint-Hyacinthe ;
    • Sœur Leonia Nastał (1903-1940), religieuse polonaise des Petites servantes de la Bienheureuse Vierge Marie Immaculée."

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