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Foi - Page 1015

  • Chine : nouvelles ordinations épiscopales illicites, sur fond de violence

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    imagesCAZM3FZS.jpgSans que cela soulève apparemment beaucoup de réaction chez les internautes, nous avons déjà traité ici Rome-Pékin et ici Ordination épiscopale illicite en Chine  de la récente consécration épiscopale illégitime intervenue le 29 juin dernier en Chine et voici que le régime communiste en remet une sérieuse couche dans l’indifférence totale d’un monde d’habitude si prompt à dénoncer les atteintes aux « droits de l’homme » et la liberté de conscience.

    Voici le nouveau pas franchi par la police chinoise, comme au  bon vieux temps des soviets persécuteurs de jadis et des hautes figures de la résistance catholique qui suscitaient alors notre admiration : les cardinaux Mindszenty,  Wyszynski , Beran et autres Stepinac . Mais qui s’en souvient ?

    CITÉ DU VATICAN - La police chinoise a «enlevé» quatre évêques catholiques appartenant à l'Église clandestine fidèle au pape, pour les contraindre à préparer l'ordination d'un autre évêque appartenant à l'Église officielle chinoise, a rapporté lundi l'agence catholique AsiaNews.

    «Des évêques de Guangdong [ont été] enlevés par la police pour les contraindre à une ordination illégale», écrit l'agence, affirmant que «quatre évêques ont disparu ces derniers jours, emmenés par la police, pour préparer l'ordination illégale de père Huang Bingzhang, qui aura lieu le 14 juillet à Shantou».

    Selon l'agence, les quatre évêques enlevés sont Liang Jianqsen, de Jiangmen, «qui sanglotait dimanche pendant qu'il était traîné par des représentants du gouvernement», Liao Hongqing de Meizhou, Su Yongda de Zhanjiang, eux aussi enlevés dimanche, et Giuseppe Junqi, de Guangzhou, «disparu depuis plusieurs jours».

    Quatre autres évêques fidèles au pape devraient participer à cette ordination et l'un d'entre eux, Mgr Paul Pei Junmin, désigné pour mener cette cérémonie, reste protégé par ses prêtres dans la cathédrale de Shenyang autour de laquelle «des policiers en uniforme et en civil contrôlent la situation», selon AsiaNews.

    Il y a une semaine, le Saint-Siège avait déclaré «illégitime» l'ordination sans son accord, le 29 juin, de Paul Lei Shiyin, un prêtre catholique chinois, en soulignant qu'elle «endommage l'unité de l'Église», et a confirmé son excommunication.

    Les 5,7 millions de catholiques chinois sont partagés entre une Église officielle, dont le clergé dépend des autorités, et une Église dite «souterraine» tirant sa légitimité de l'obéissance au pape.

    Début juin, l'ordination non autorisée par le Vatican d'un autre évêque à Wuhan, capitale du Hubei (centre), avait été reportée, mais l'Église officielle a assuré qu'elle se ferait ultérieurement.

    Elle a aussi défié le 24 juin le Saint-Siège en affirmant qu'elle souhaitait ordonner au moins 40 évêques «sans attendre».

    Le 30 juin 2007, dans une longue lettre aux catholiques chinois, le pape avait demandé à Pékin de garantir une «authentique liberté religieuse» et appelé à la «réconciliation», sous son autorité, du clergé divisé entre «officiels» et «clandestins».

    Il va de soi que seuls des consécrateurs agissant sous la contrainte ne tomberaient pas sous le coup de l’excommunication prévue par l’article 1382  du code de droit canonique.

    Voir aussi : Chine: un évêque refuse de présider une ordination illicite

  • Ces moines qui nous font du bien...

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    Le blog "juridique et culturel" de Denis Merlin mettait en ligne hier (fête de saint Benoît) ce commentaire :

    "En réplique involontaire au film "Le moine", un article du quotidien "Aujourd'hui en France" intitulé "Les moines nous font du bien". (Via le Forum catholique)

    Personne n'oblige les moines et les moniales à vivre leur vie.
    Sans le vouloir, mais par le seul exemple de leurs vies, les moines et les moniales nous rappellent que nous avons tous été créés sans notre consentement et qu'il n'est donc pas interdit de vouer sa vie entièrement à Dieu puisqu'il nous a créés par un décret éternel, librement et qu'il nous racheté non moins librement et plus admirablement encore.
    J'ajouterais à l'article du Parisien que les moines travaillent. Ils (et elles) cultivent la terre, construisent, sculptent, écrivent etc. Ils sont donc un exemple pour tous, ils travaillent pour nous, et ils nous montrent et nous démontrent que l'on peut vivre sans sexe dans une vocation qui n'est déjà plus de ce monde."
  • «Malheureuse es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde!»

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    Le site "Méditons l'Evangile d'aujourd'hui" propose cette réflexion sur les paroles sévères que le Christ adresse aux villes qui refusent de se convertir :

    Aujourd'hui, l'Évangile nous parle du jugement historique que Dieu fera sur Corazine, Capharnaüm et autres villes: «Malheureuse es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris le vêtement de deuil et la cendre en signe de pénitence» (Mt 11,21). J'ai médité ce passage à l'endroit où se trouvaient ces villes et où il ne reste que des ruines noires. Ma pensée ne m'a pas amené à me réjouir du sort qu'elles ont subi. Je pensais plutôt à nos villes, nos arrondissements, nos maisons,… le Seigneur est passé par là aussi, est-ce que nous lui avons prêté attention? Est-ce que je lui ai prêté attention?

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  • Heureux Scéens...

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    « Je n’ai pas encore 39 ans. Dans les Hauts-de-Seine, il y a des vocations, des ordinations. C’est un métier magnifique, prêtre, pourquoi ne parle-t-on que de ses difficultés ? On va dans les familles, on voit naître, grandir, on accompagne jusqu’à la mort, on est dans la vie des gens, même si le registre de parole avec le curé n’est pas le même qu’avec parents et amis... »

    Un prêtre heureux et optimiste s'exprime sur ce blog de Pascale Kremer: réconfortant!

  • Vietnam : une liberté religieuse toute relative

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    Les Vietnamiens sont peut-être plus libres aujourd'hui de vivre leur foi, mais cette liberté religieuse reste sujette au bon vouloir du gouvernement.

    C’est ainsi que, selon le père Bernardo Cervellera, directeur de AsiaNews, plus que de liberté religieuse, il faudrait parler d’une certaine tolérance religieuse. Le P. Cervellera a accordé une interview à l'émission de télévision « Là où Dieu pleure ».

    Q : Environ 10% de la population vietnamienne est catholique. Les choses se sont améliorées, mais peut-on parler de liberté religieuse au Vietnam aujourd’hui ?

    Père Cervellera : Il y a quelques améliorations. Par exemple, ces dernières années, les séminaires qui auparavant étaient limités à un nombre fixe de candidats, ont été ouverts et les vocations se multiplient. On observe aussi une certaine tolérance de la part du gouvernement envers, par exemple, l’assistance médicale fournie par les religieuses, l’éducation dans les maternelles etc. Je parlerais de tolérance, pas de permission. Dans un certain sens, il y a davantage de liberté, mais toutes ces libertés sont sujettes au bon vouloir du gouvernement qui tantôt les accorde, tantôt non.

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  • Éloge de la fidélité

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    imagesCAQY1EUO.jpgAbbaye Sainte Madeleine du Barroux (près de Vaison-la-Romaine, dans le Vaucluse), juin 2011 : lettre du Père Abbé Dom Louis-Marie (photo) aux Amis du Monastère, sur le mariage et la fidélité. Le mariage c’est, peut-être aujourd’hui encore, l’état de vie  le plus commun mais, au fond, la lettre vaut pour la conduite à tenir dans tous les états de vie légitimes :

    « Un journaliste demandait un jour à la bienheureuse Mère Teresa : « Qu’est-ce qui ne va pas dans l’Église, aujourd’hui ? – Vous et moi », répondit celle-ci du tac au tac.

    Une autre fois, un interlocuteur lui posa la question piège : « Le sida est-il une punition de Dieu ? » Elle le regarda bien droit dans les yeux, puis lui dit simplement : « Moi, Mère Teresa, je suis une pécheresse. Nous sommes tous pécheurs. Et tous, nous avons besoin de la miséricorde de Dieu. »

    « Il y a un péché que je n’ai jamais eu à confesser, reconnaissait-elle ailleurs, c’est d’avoir jugé quelqu’un. » Elle avait de qui tenir. Quand sa mère entendait l’un de ses enfants se plaindre d’un professeur, elle éteignait la lumière en disant : « Je ne paie pas l’électricité pour des enfants qui parlent mal des autres. »

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  • L'art des petits pas

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    Dans une note consacrée à sa participation au pèlerinage des pères (Vezelay-Cotignac) intitulée "Vous auriez pas vu ma Fin Véritable?", Koztoujours propose cette prière qu'il y a découverte; c'est une perle que nous vous proposons à notre tour :

    Seigneur, apprends-moi l’art des petits pas.
    Je ne demande pas de miracles ni de visions,

    Mais je demande la force pour le quotidien !

    Rends-moi attentif et inventif pour saisir

    Au bon moment les connaissances et expériences

    Qui me touchent particulièrement.

    Affermis mes choix

    Dans la répartition de mon temps.

    Donne-moi de sentir ce qui est essentiel

    Et ce qui est secondaire.

    Je demande la force, la maîtrise de soi et la mesure,

    Que je ne me laisse pas emporter par la vie,

    Mais que j’organise avec sagesse

    Le déroulement de la journée.

    Aide-moi à faire face aussi bien que possible

    A l’immédiat et à reconnaître l’heure présente

    Comme la plus importante.

    Donne-moi de reconnaître avec lucidité

    Que la vie s’accompagne de difficultés, d’échecs,

    Qui sont occasions de croître et de mûrir.

    Fais de moi un homme capable de rejoindre

    Ceux qui gisent au fond.

    Donne-moi non pas ce que je souhaite,

    Mais ce dont j’ai besoin.

    Apprends-moi l’art des petits pas !

  • Comment croire qu'il n'y aurait pas de résurrection pour nous ?

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    "Evangile au Quotidien" propose aujourd'hui ce beau commentaire :

                Un arbre arraché, coupé même sur le pied, puis replanté -- le saule, par exemple -- repousse et refleurit ; et un homme arraché de dessus le sol ne revivra pas ? Les semences moissonnées reposent, dorment dans les greniers et revivent au printemps ; et l'homme moissonné, jeté dans les greniers de la mort, ne revivra pas ? Un bourgeon de vigne, une branche coupée et transplantée, se ravivent et portent des fruits ; et l'homme pour qui tout a été créé, une fois tombé ne pourra pas se relever ?

               Contemplez aussi ce qui se passe autour de vous. Méditez sur le tableau de ce vaste univers. Je sème du blé ou toute autre graine ; il tombe, il pourrit et ne peut plus servir à la nourriture de l'homme. Mais de sa pourriture il renaît, il s'élève, il se multiplie. Je n'ai semé qu'un seul grain et j'en recueille vingt, trente et plus. Or pour qui a-t-il été créé ? N'est-ce pas pour notre usage ? Ce n'est pas pour elles-mêmes que toutes ces semences sont sorties du néant. Donc ce qui a été créé pour nous meurt et renaît, et nous, pour qui ce prodige s'opère tous les jours, nous serions exclus de ce bienfait ? Comment croire qu'il n'y aurait pas de résurrection pour nous ?

    Saint Cyrille de Jérusalem (313-350), évêque de Jérusalem et docteur de l'Église Catéchèses baptismales, n° 18, 6 ; PG 38, 1021

  • Lire en vacances : découvrir ou redécouvrir Marie Noël

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    imagesCAG4Y52R.jpgNée à Auxerre dans une famille très cultivée mais peu religieuse, Marie Noël, de son vrai nom Marie Rouget (1883-1967), resta célibataire et s’éloigna très peu de sa ville natale. Sa vie ne fut pas si lisse pour autant : un amour de jeunesse déçu (et l’attente d’un grand amour qui ne viendra jamais), la mort de son jeune frère un lendemain de Noël (d’où elle prit son pseudonyme), les crises de sa foi...tout cela sous-tend une poésie aux airs de chanson traditionnelle.

    Les admirateurs du génie de la muse d'Auxerre savent qu'il existe un mystère Marie Noël. D'où, bien des fables qui circulent à son sujet : les uns lui prêtant des aventures sentimentales qui n'ont jamais eu lieu que dans leur imagination ; d'autres faisant de cette fille d'humaniste, chargée de parchemins universitaires, une autodidacte ; d'autres encore, une institutrice, ou une bergère. Certains critiques, comme l’auteur de l’ « histoire littéraire du sentiment religieux en France », l'abbé Henri Bremond  (1865-1933), un moderniste de la première heure, ne voient en elle que « gaminerie angélique » …

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  • Un Congrès sur le volontariat catholique

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    "Un congrès rassemblera quelque 150 représentants des bénévoles catholiques d’Europe – évêques, responsables des conférences épiscopales et des grandes organisations caritatives - à Rome les 10 et 11 novembre 2011, dans le cadre de l’Année du volontariat de l’Union européenne, a annoncé aujourd’hui à la presse le cardinal Robert Sarah, président du conseil pontifical Cor Unum.

    La Commissaire européenne à la Coopération internationale, l'aide humanitaire et la réaction aux crises, Mme Kristalina Georgieva, a été invitée à la rencontre, qui rassemblera aussi des témoins comme Veronika Ottrubay, qui vit à l'Arche de Jean Vanier depuis 1985 et qui est responsable de « La Ferme » de Trosly : un témoignage de la « vie de foi » du volontariat catholique.

    Le volontariat représente en Europe quelque 140 millions de personnes : il s’agit de « mettre l’accent sur la contribution catholique à cette réalité » sur le vieux continent, et de réfléchir, a précisé le cardinal Sarah, à l’identité du volontariat catholique, dessiner un « cadre général » et identifier les « défis », les « rapports avec les institutions publiques »."

    C'est Zenit qui nous en informe, et, comme dans le cas de la Caritas, on constate le besoin de recadrer l'action caritative dans sa dimension, véritablement catholique. Tout l'article est à lire ICI

  • Elisabeth de la Trinité bientôt canonisée grâce à la guérison d'une malade belge ?

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    "Il y a une dizaine d’années, une femme malade s’est rendue au carmel de Flavignerot en fauteuil roulant pour prier la bienheureuse. Lors de sa prière, la quadragénaire, de nationalité belge, aurait alors réussi à se mettre debout et marcher sans aide.

    Cette guérison inexpliquée va faire l’objet d’une enquête de l’archevêché, qui va démarrer lundi à 18 heures à Dijon. Un « tribunal diocésain » va tâcher de réunir des témoignages et autres éléments tangibles permettant d’orienter l’enquête, qui pourrait durer plusieurs mois, voire plusieurs années. Cette instance est composée de Mgr Minnerath, archevêque de Dijon, d’un juge délégué de l’archevêché, Mgr Ennio Apeciti, d’un « promoteur de justice », le chanoine Paul Chadeuf, délégué du diocèse pour la vie consacrée et du père Yves Frot, qui remplira la tâche de notaire."

    C'est ce que rapporte "Le Bien Public" (Côte d'Or), qui précise : "Élisabeth de La Trinité, née en 1880, est entrée au carmel de Dijon à l’âge de 21 ans. Atteinte d’une maladie incurable, elle recueille ses prières sur des carnets et meurt le 9 novembre 1906. La Dijonnaise a été béatifiée par le pape Jean-Paul II le 25 novembre 1984."

    Elisabeth de la Trinité est une grande mystique comme en témoigne cette prière très inspirée reproduite ci-dessous :

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  • Des prêtresses ? Le patriarche de Lisbonne bat sa coulpe...

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    Après avoir fait des déclarations étonnantes au sujet de l'accès des femmes au sacerdoce que, selon le cardinal Policarpo, patriarche de Lisbonne, ne devrait pas rencontrer d'obstacle théologique, il est revenu sur ces déclarations en déclarant que l'ordination des femmes est "impossible" :

    "Le patriarche est revenu sur la « complémentarité de l’homme et de la femme dans l’histoire du salut », qui « atteint sa plénitude dans la révélation du Christ et de Marie », et sur le ministère sacerdotal, enraciné dans le Nouveau Testament, qui, a-t-il rappelé, dès le début, « n’était conféré qu’aux hommes ». 

    « Le fait qu’il n’y ait pas de femmes parmi ses successeurs et collaborateurs, a-t-il souligné, ne signifie pas minimiser la femme, mais rechercher la complémentarité entre l’homme et la femme qui se réalise pleinement dans les relations entre le Christ et Marie ».

    Selon le cardinal Policarpo, une des causes de la revendication du sacerdoce féminin est « la perte de conscience de la dignité sacerdotale de tous les membres de l'Église, réduisant l’expression sacerdotale à un sacerdoce ordonné ».

    Une autre cause serait, selon lui, « la compréhension du sacerdoce ministériel comme étant un droit et un pouvoir, sans percevoir que personne, ni homme ni femme, ne peut revendiquer ce droit, se trouvant à accepter l’appel de l'Église à ce service, qui inclut le don de sa propre vie ».

    Le magistère récent des papes, a-t-il rappelé, interprète cette tradition ininterrompue de n’ordonner que des hommes « non seulement comme un moyen pratique de procéder, qui peut changer au rythme de l’action de l’Esprit Saint, mais également comme expression du mystère de l'Église, que nous devons accueillir dans la foi ».

    « Nous sommes donc invités à respecter le magistère du Saint-Père, dans l’humilité de notre foi, à approfondir encore ce lien entre le sacerdoce ministériel et la qualité sacerdotale de tout le Peuple de Dieu et à découvrir le moyen féminin de construire l'Église, dans le rôle décisif de la mission de nos sœurs, les femmes », a conclu le cardinal Policarpo." (Zenit)

    Conclusion : même un cardinal devrait tourner sa langue 77 fois 7 fois dans sa bouche avant de s'exprimer, surtout sur des questions aussi délicates.