
Santé - Page 156
-
Du bon usage des cellules souches adipeuses
La Banque de cellules souches adipeuses de Saint-Luc propose l’autotransplantation aux patients atteints de non-consolidation osseuse (post-traumatique, après exérèse d’une tumeur) ou plaies après radiothérapie. Cette technique consiste à prélever de la graisse sur le patient puis d’en extraire des cellules souches (adultes) qui permettront de reconstruire les os et de guérir les plaies. Six patients à ce jour ont déjà bénéficié d’une autogreffe de cellules souches adipeuses. Ce programme est unique en Belgique et en Europe. L’unité de thérapie cellulaire ne délivre actuellement ses greffes qu’aux patients des Cliniques Saint-Luc.
Source : Bulletin de l'I.E.B. d'après La Lucarne, UCL, février-mars 2011.Le Bulletin de l'I.E.B. de ce mois propose également une réflexion sur le génome humain offert pour 7500 euros par DNAVision (Charleroi) et sur les implications éthiques de ce séquençage disponible à un prix de plus en plus bas... -
Le traumatisme post-avortement
France : l’ancienne Secrétaire Nationale vie, famille, santé du Parti Chrétien Démocrate a donné une conférence sur le thème du traumatisme post-avortement ou Post Abortion Syndrom le 2 avril dernier. Nouvelles de France vous propose de revivre cette soirée organisée par les Étudiants Pro-Vie grâce à trois videos mises en ligne sur son site :
-
Trois millions d'enfants morts-nés ne comptent pas aux yeux de l'ONU
"Près de trois millions d'enfants meurent chaque année pendant l'accouchement ou dans les dernières semaines précédant la naissance, plus que tous les décès dûs au SIDA. L'ONU ne les prend même pas en compte. Une étude récente indique que l'une des raisons de ce silence réside dans la politique en faveur de l'avortement.
«À une époque où les efforts mondiaux en faveur de la santé maternelle sont mis en avant, l'aspiration d'une femme à avoir un bébé vivant est absente de l'ordre du jour de la santé dans le monde", affirment les auteurs d'une étude dans la prestigieuse revue médicale "The Lancet".Lien permanent Catégories : Actualité, Bioéthique, Défense de la Vie, Famille, International, Santé, Société 0 commentaire -
Monsanto à la conquête de l'Europe...
"L’affaire de la commercialisation du maïs Monsanto vient de connaître un nouveau rebondissement : après l’échec de la tentative de la Commission Européenne pour interdire son interdiction, la multinationale reprend son combat avec l’aide de la Cour de Justice Européenne.Il y a un très large consensus dans les pays européens et au sein des gouvernements pour ne pas autoriser la culture des OGM. Si on peut comprendre les regrets des scientifiques, le principe de précaution est tout de même recevable. Il y a suffisamment de littérature soulignant les dangers à long terme de certaines innovations scientifiques pour n’autoriser que très progressivement l’utilisation de ces nouvelles technologies, après des tests sérieux..."
-
Monsanto : le cynisme du capitalisme cannibale
"Monsanto a fait de la chute des réserves internationales de maïs et du désastre causé par le froid dans les cultures de céréales du nord du pays son argument principal pour imposer les semences commerciales de maïs transgénique au Mexique en présentant ses graines manipulées comme la solution pour pallier à la raréfaction de la graminée,et à la pénurie.
La firme va même plus loin : dans une conférence de presse, le président de la multinationale en Amérique Latine, José Manuel Maduro, a osé affirmer que ".... la décision du Mexique de ne pas les autoriser [les transgéniques] a contraint ce pays à importer 10 millions de tonnes de maïs et c’est la raison pour laquelle une décision rapide est nécessaire." Monsanto est déterminé à imposer l’épi de la mort." découvrir la suite ICI -
Si l'on investissait dans la lutte contre la malaria les fonds consacrés à la planification familiale...
Une vidéo excellente, réalisée dans des milieux du Population Research Institute, circule sur la façon dont les États-Unis devraient tenir leur promesse de 2008 de financer intégralement les programmes contre le paludisme.
-
Les consommateurs européens n'ont pas le droit de savoir
"Sans le savoir, on mange régulièrement de la viande issue du clonage. Malgré la volonté des députés d’informer les consommateurs sur l’origine de cette alimentation, le Conseil européen a refusé d’imposer un étiquetage des produits dérivés du clonage.