Il y a un très large consensus dans les pays européens et au sein des gouvernements pour ne pas autoriser la culture des OGM. Si on peut comprendre les regrets des scientifiques, le principe de précaution est tout de même recevable. Il y a suffisamment de littérature soulignant les dangers à long terme de certaines innovations scientifiques pour n’autoriser que très progressivement l’utilisation de ces nouvelles technologies, après des tests sérieux..."
Santé - Page 157
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Monsanto à la conquête de l'Europe...
"L’affaire de la commercialisation du maïs Monsanto vient de connaître un nouveau rebondissement : après l’échec de la tentative de la Commission Européenne pour interdire son interdiction, la multinationale reprend son combat avec l’aide de la Cour de Justice Européenne. -
Monsanto : le cynisme du capitalisme cannibale
"Monsanto a fait de la chute des réserves internationales de maïs et du désastre causé par le froid dans les cultures de céréales du nord du pays son argument principal pour imposer les semences commerciales de maïs transgénique au Mexique en présentant ses graines manipulées comme la solution pour pallier à la raréfaction de la graminée,et à la pénurie.
La firme va même plus loin : dans une conférence de presse, le président de la multinationale en Amérique Latine, José Manuel Maduro, a osé affirmer que ".... la décision du Mexique de ne pas les autoriser [les transgéniques] a contraint ce pays à importer 10 millions de tonnes de maïs et c’est la raison pour laquelle une décision rapide est nécessaire." Monsanto est déterminé à imposer l’épi de la mort." découvrir la suite ICI -
Si l'on investissait dans la lutte contre la malaria les fonds consacrés à la planification familiale...
Une vidéo excellente, réalisée dans des milieux du Population Research Institute, circule sur la façon dont les États-Unis devraient tenir leur promesse de 2008 de financer intégralement les programmes contre le paludisme.
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Les consommateurs européens n'ont pas le droit de savoir
"Sans le savoir, on mange régulièrement de la viande issue du clonage. Malgré la volonté des députés d’informer les consommateurs sur l’origine de cette alimentation, le Conseil européen a refusé d’imposer un étiquetage des produits dérivés du clonage.