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Santé - Page 152

  • Le souvenir bien vivant du Professeur Lejeune, défenseur de la vie

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    images.jpgDépêche Zenit (29 août 2011)

    « Mon père a été un des grands défenseurs de la vie » : c’est ainsi que Clara Gaymard, la fille du professeur Jérôme Lejeune, évoque le combat de son père pour la vie et sa recherche sur la Trisomie 21.

    Présidente de General Electric France, elle est intervenue jeudi au Meeting de Rimini, organisé par le mouvement catholique italien Communion et Libération. A cette occasion, la rédaction française de Radio Vatican a diffusé le témoignage émouvant de Clara Gaymard.

    « Mon père était un homme d’espoir, d’optimisme, et il pensait qu’un jour ou l’autre on trouverait » des réponses à la Trisomie 21. C’était aussi « un homme de science et de foi », a-t-elle expliqué. « La science lui démontrait que la vie existait dès la conception. Son savoir et sa responsabilité de médecin lui disaient qu’il fallait protéger la vie et protéger le malade. Et sa foi lui disait que toute vie était sacrée et donc il s’est battu pour dire que toute vie vaut la peine d’être vécue et que toute vie doit être défendue quand on est un médecin, quand on est un savant et a fortiori quand on est un chrétien ».

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  • La lettre mensuelle de genethique.org

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    La Lettre mensuelle Gènéthique d'août 2011 -

    n°140 Sommaire :

  • Les USA et des diplomates de l'ONU promeuvent-ils l'avortement comme mode de contrôle des populations ?

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes Etats Unis et des diplomates de l'O.N.U. auraient fait la promotion de l'avortement comme mode de contrôle des populations.

    NEW YORK, 19 août (C-FAM) Le nouveau livre de la journaliste Mara Hvistendahl sur l’avortement sélectif en fonction du sexe de l’enfant montre comment les diplomates américains ont agit afin pour promouvoir l’avortement, souvent par le biais des institutions onusiennes, comme moyen de contrôler les populations dans les pays en développement.

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  • L'ONU, complice de la crise liée à l'avortement sélectif en Asie?

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLa sélection contre nature : Le choix des garçons au détriment des filles et des conséquences d’un monde plein d’hommes Par Susan Yoshihara, Ph.D.

    (2ème partie) : A quel point l’ONU est-elle complice de la crise liée à l’avortement sélectif en Asie ?

    NEW YORK, 19 août (C-FAM) Un nouveau livre a provoqué des grincements de dents parmi les partisans de l’avortement : l’auteur aborde la question de la responsabilité du Fonds de l’ONU pour le développement des 160 millions de femmes manquantes en Asie, avortés par préférence pour les garçons.

    Le livre de Mara Hvistendahl, La sélection contre naturelle : Le choix des garçons au détriment des filles et des conséquences d’un monde plein d’hommes est, d’après le Wall Street Journal, « l’un des livres les plus importants jamais écrits pour la campagne anti avortement » ; les qualités académiques du livre on reçu les acclamations de l’assistance entière lors d’un événement animé par l’économiste Nicholas Eberstadt, à l’American Enterprise Institute de Washington, USA.

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  • Sommaire du Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (19 août)

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    images (4).jpgPour accéder aux contenus, cliquer sur les liens suivants :

    Bulletin de l'I.E.B. du 19 août 2011

    Sommaire

  • Belgique : un % des décès est dû à la pratique de l'euthanasie

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    L'euthanasie est en hausse constante dans notre pays, c'est ce qu rapportent le Soir et le Vif d'aujourd'hui, mais selon ce dernier, "la progression constante des cas en Belgique ne représente cependant que 1 % des décès."
    ...mais, c'est promis, on fera mieux l'an  prochain!

  • La médecine et l'éthique

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    images (6).jpgSur le site de Liberté Politique, notre compatriote, le Docteur Ph. Schepens, membre ordinaire de l’Académie pontificale pour la Vie et ancien membre du comité directeur (1995-2004), Secrétaire général de la Fédération mondiale des médecins pour le respect de la vie humaine, s'attarde sur les défis éthiques de la médecine :

    "La médecine moderne fut fondée au 4ème siècle avant J.C. par Hippocrate. Les hommes et leurs familles ont toujours mis leur vie et la santé en toute confiance entre les mains de leur médecin. Cela a été et n'est possible que parce Hippocrate donna à ses disciples la mission de se tenir uniquement au service des êtres humains qui confient leur corps et leur santé entre leurs mains. La santé de la personne humaine est la loi suprême du médecin. Les médecins avaient, et ont toujours à suivre le fameux serment d'Hippocrate...

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  • Discours du Saint père Benoît XVI à l’Institut San Jose, œuvre active auprès des porteurs de handicaps (extraits)

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    Source : ZENIT.ORG

    "La jeunesse, nous l’avons rappelé en d’autres occasions, est l’âge où la vie se dévoile dans la personne avec toute la richesse et la plénitude de ses capacités, poussant à rechercher les buts les plus élevés qui lui donnent sens. C’est pourquoi lorsque dans une vie jeune apparaît la douleur, nous demeurons déconcertés et nous nous demandons peut-être : la vie peut-elle continuer à être grande quand la souffrance y fait irruption ? À cet égard dans mon encyclique sur l’espérance chrétienne, j’ai écrit : « La mesure de l'humanité se détermine essentiellement dans son rapport à la souffrance et à celui qui souffre. (…) Une société qui ne réussit pas à accepter les souffrants et qui n'est pas capable de contribuer, par la compassion, à faire en sorte que la souffrance soit partagée et portée aussi intérieurement est une société cruelle et inhumaine. » (Spe salvi, 38). Ces paroles reflètent une longue tradition de l’humanité qui découle de l’offrande que le Christ fait de lui-même sur la croix pour nous et pour notre rédemption. Jésus et, sur ses pas, sa Mère – Notre Dame des Douleurs – et les saints sont les témoins qui nous montrent comment vivre le drame de la souffrance pour notre bien et pour le salut du monde.

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  • Euthanasies à Bayonne : communiqué de presse de l'évêque de Bayonne, Lescar et Oloron

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    source : http://www.eglise.catholique.fr/

    "Accusé d'avoir délibérément provoqué la mort de plusieurs patients en fin de vie, un médecin urgentiste de l'hôpital de Bayonne vient d'être mis en examen.

    Comme on pouvait s'y attendre, cette triste affaire est « instrumentalisée » par des personnes ou des lobbies qui tentent de relancer le débat sur la légalisation de l'euthanasie.

    Or, il n'est pas concevable qu'un médecin, dont la vocation est de soigner les personnes qui lui sont confiées, puisse s'arroger le droit de supprimer un patient (malade incurable en fin de vie, personne âgée ou handicapée, etc.) au nom d'une compassion mal comprise (« j'ai trop souvent vu la pitié s'égarer » écrivait Antoine de Saint-Exupéry...).

    Certes, la confusion qu'entretiennent certains médias est telle que beaucoup de nos concitoyens se disent ou se croient favorables à l'euthanasie, alors qu'ils sont simplement (et tout à fait légitimement) opposés à l'acharnement thérapeutique.

    Moralement inacceptable, l'euthanasie, qui consiste à mettre fin à la vie d'un malade, est parfaitement illégale en France. L'acharnement thérapeutique (c'est-à-dire « l'obstination déraisonnable » par laquelle un malade est artificiellement maintenu en vie au prix d'actes inutiles et disproportionnés) est également interdit par la « loi Léonetti » du 22 avril 2005, qui impose au corps médical la prise en charge des malades en fin de vie et l'obligation de soulager leurs souffrances, mais la mise en oeuvre de cette loi se heurte, en particulier, à l'insuffisance des centres de soins palliatifs, dont le développement devrait être une des priorités des pouvoirs publics en France.

    D'une façon générale, la banalisation de l'euthanasie, et a fortiori, sa légalisation, est une « évolution » (ou plutôt, une terrible régression) à laquelle nous nous opposons au nom même du droit de chacun de vivre et de mourir dignement."
     
     
    + Marc Aillet,
    évêque de Bayonne, Lescar et Oloron,

    le 15 août 2011

  • Euthanasies à Bayonne : communiqué de presse de l'Alliance pour les Droits de la Vie

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    Communiqué de presse

    Paris, le 12 août 2011

    Les soupçons d’euthanasie qui pèsent  sur un médecin urgentiste de l’hôpital de Bayonne et les premières réactions à sa mise en cause par la justice appellent la réaction de l’Alliance pour les Droits de la Vie. Pour son président, le docteur Xavier Mirabel : « Les premiers éléments dont nous disposons suggèreraient qu’il s’agit  d’une dérive d’un médecin – ou d’une équipe- qui préfère administrer la mort à une personne âgée, arrivée aux urgences en fin de vie, plutôt que de lui prodiguer les soins appropriés auxquels elle a droit, et notamment le droit d’accès aux soins palliatifs, tel qu’il est prévu par la loi. Si ces faits sont confirmés, nous dénonçons fermement un triple scandale :

    • d’abord l’administration d’une mort violente par injection d’un poison  mortel à des personnes vulnérables ;
    • ensuite la pratique qui consiste à régler de cette façon une surcharge d’activité hospitalière ou un déficit de lieux d’accueil appropriés ou de soins palliatifs ;
    • enfin, les réactions de ceux qu’un pareil drame conduit à réclamer l’euthanasie, notamment celle des personnes âgées en fin de vie.

    A l’heure où notre société réfléchit aux défis posés par la dépendance, nous demandons aux pouvoirs publics de réaffirmer solennellement qu’une personne âgée est digne d’être soignée jusqu’au terme naturel de sa vie. »

  • La culture de mort progresse encore aux Pays-Bas

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    euthanasie21.jpgSelon  le  blog de Jeanne Smits, « aux termes d'une enquête réalisée auprès de plus de 1.600 personnes âgées de plus de 50 ans à la demande de l'émission Hollandse Zaken (« Affaires hollandaises »), il apparaît que (…) plus d'une personne interrogée sur trois (37 %) se dit prête à imaginer de demander l'euthanasie si elle considère sa vie « achevée » sans être très malade ou dépressive ; 32 % disent : je ne le pense pas maintenant, peut-être y penserai-je plus tard ; seuls 20 % n'arrivent pas à se l'imaginer. 72 % des interrogés affirment qu'ils peuvent imaginer qu'ils « ne voudront plus » (vivre) s'ils sont frappés par une maladie grave ou par la dépression grave (…).

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  • Pourquoi la Somalie meurt de faim

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    C'est (encore) sur AgoraVox :

    "Certes, la sécheresse est la cause primaire de la malnutrition, un élément déclencheur de cette catastrophe humanitaire. Cependant d’autres causes expliquent pourquoi en Somalie plus qu’ailleurs, ce drame n’a pu être endigué : les guerres tribales locales et l'absence d'Etat donc l’absence de protection des populations civiles et aussi des ONG sur place dont la sécurité n'est pas assurée, d’où de grandes difficultés à acheminer l'aide alimentaire. Les rebelles Shebab contrôlent la quasi-totalité des zones déclarées en famine. 20 ans de guerre civile menée par les milices des Shebab qui n’ont pas permis, durant plusieurs années, aux organisations humanitaires internationales de venir en aide à la population victime du désastre. L'organisation Al Chabaab, qui entretient des liens avec le réseau Al Qaïda, a interdit l'année dernière l'acheminement de l'aide alimentaire dans les régions sous son contrôle. Heureusement les ONG islamistes ont leurs entrées et la seule façon de faire passer l’aide est de passer par ces organisations en masquant l’origine des produits."

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