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Santé - Page 152

  • L'ONU, complice de la crise liée à l'avortement sélectif en Asie?

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLa sélection contre nature : Le choix des garçons au détriment des filles et des conséquences d’un monde plein d’hommes Par Susan Yoshihara, Ph.D.

    (2ème partie) : A quel point l’ONU est-elle complice de la crise liée à l’avortement sélectif en Asie ?

    NEW YORK, 19 août (C-FAM) Un nouveau livre a provoqué des grincements de dents parmi les partisans de l’avortement : l’auteur aborde la question de la responsabilité du Fonds de l’ONU pour le développement des 160 millions de femmes manquantes en Asie, avortés par préférence pour les garçons.

    Le livre de Mara Hvistendahl, La sélection contre naturelle : Le choix des garçons au détriment des filles et des conséquences d’un monde plein d’hommes est, d’après le Wall Street Journal, « l’un des livres les plus importants jamais écrits pour la campagne anti avortement » ; les qualités académiques du livre on reçu les acclamations de l’assistance entière lors d’un événement animé par l’économiste Nicholas Eberstadt, à l’American Enterprise Institute de Washington, USA.

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  • Sommaire du Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (19 août)

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    images (4).jpgPour accéder aux contenus, cliquer sur les liens suivants :

    Bulletin de l'I.E.B. du 19 août 2011

    Sommaire

  • Belgique : un % des décès est dû à la pratique de l'euthanasie

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    L'euthanasie est en hausse constante dans notre pays, c'est ce qu rapportent le Soir et le Vif d'aujourd'hui, mais selon ce dernier, "la progression constante des cas en Belgique ne représente cependant que 1 % des décès."
    ...mais, c'est promis, on fera mieux l'an  prochain!

  • La médecine et l'éthique

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    images (6).jpgSur le site de Liberté Politique, notre compatriote, le Docteur Ph. Schepens, membre ordinaire de l’Académie pontificale pour la Vie et ancien membre du comité directeur (1995-2004), Secrétaire général de la Fédération mondiale des médecins pour le respect de la vie humaine, s'attarde sur les défis éthiques de la médecine :

    "La médecine moderne fut fondée au 4ème siècle avant J.C. par Hippocrate. Les hommes et leurs familles ont toujours mis leur vie et la santé en toute confiance entre les mains de leur médecin. Cela a été et n'est possible que parce Hippocrate donna à ses disciples la mission de se tenir uniquement au service des êtres humains qui confient leur corps et leur santé entre leurs mains. La santé de la personne humaine est la loi suprême du médecin. Les médecins avaient, et ont toujours à suivre le fameux serment d'Hippocrate...

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  • Discours du Saint père Benoît XVI à l’Institut San Jose, œuvre active auprès des porteurs de handicaps (extraits)

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    Source : ZENIT.ORG

    "La jeunesse, nous l’avons rappelé en d’autres occasions, est l’âge où la vie se dévoile dans la personne avec toute la richesse et la plénitude de ses capacités, poussant à rechercher les buts les plus élevés qui lui donnent sens. C’est pourquoi lorsque dans une vie jeune apparaît la douleur, nous demeurons déconcertés et nous nous demandons peut-être : la vie peut-elle continuer à être grande quand la souffrance y fait irruption ? À cet égard dans mon encyclique sur l’espérance chrétienne, j’ai écrit : « La mesure de l'humanité se détermine essentiellement dans son rapport à la souffrance et à celui qui souffre. (…) Une société qui ne réussit pas à accepter les souffrants et qui n'est pas capable de contribuer, par la compassion, à faire en sorte que la souffrance soit partagée et portée aussi intérieurement est une société cruelle et inhumaine. » (Spe salvi, 38). Ces paroles reflètent une longue tradition de l’humanité qui découle de l’offrande que le Christ fait de lui-même sur la croix pour nous et pour notre rédemption. Jésus et, sur ses pas, sa Mère – Notre Dame des Douleurs – et les saints sont les témoins qui nous montrent comment vivre le drame de la souffrance pour notre bien et pour le salut du monde.

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  • Euthanasies à Bayonne : communiqué de presse de l'évêque de Bayonne, Lescar et Oloron

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    source : http://www.eglise.catholique.fr/

    "Accusé d'avoir délibérément provoqué la mort de plusieurs patients en fin de vie, un médecin urgentiste de l'hôpital de Bayonne vient d'être mis en examen.

    Comme on pouvait s'y attendre, cette triste affaire est « instrumentalisée » par des personnes ou des lobbies qui tentent de relancer le débat sur la légalisation de l'euthanasie.

    Or, il n'est pas concevable qu'un médecin, dont la vocation est de soigner les personnes qui lui sont confiées, puisse s'arroger le droit de supprimer un patient (malade incurable en fin de vie, personne âgée ou handicapée, etc.) au nom d'une compassion mal comprise (« j'ai trop souvent vu la pitié s'égarer » écrivait Antoine de Saint-Exupéry...).

    Certes, la confusion qu'entretiennent certains médias est telle que beaucoup de nos concitoyens se disent ou se croient favorables à l'euthanasie, alors qu'ils sont simplement (et tout à fait légitimement) opposés à l'acharnement thérapeutique.

    Moralement inacceptable, l'euthanasie, qui consiste à mettre fin à la vie d'un malade, est parfaitement illégale en France. L'acharnement thérapeutique (c'est-à-dire « l'obstination déraisonnable » par laquelle un malade est artificiellement maintenu en vie au prix d'actes inutiles et disproportionnés) est également interdit par la « loi Léonetti » du 22 avril 2005, qui impose au corps médical la prise en charge des malades en fin de vie et l'obligation de soulager leurs souffrances, mais la mise en oeuvre de cette loi se heurte, en particulier, à l'insuffisance des centres de soins palliatifs, dont le développement devrait être une des priorités des pouvoirs publics en France.

    D'une façon générale, la banalisation de l'euthanasie, et a fortiori, sa légalisation, est une « évolution » (ou plutôt, une terrible régression) à laquelle nous nous opposons au nom même du droit de chacun de vivre et de mourir dignement."
     
     
    + Marc Aillet,
    évêque de Bayonne, Lescar et Oloron,

    le 15 août 2011

  • Euthanasies à Bayonne : communiqué de presse de l'Alliance pour les Droits de la Vie

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    Communiqué de presse

    Paris, le 12 août 2011

    Les soupçons d’euthanasie qui pèsent  sur un médecin urgentiste de l’hôpital de Bayonne et les premières réactions à sa mise en cause par la justice appellent la réaction de l’Alliance pour les Droits de la Vie. Pour son président, le docteur Xavier Mirabel : « Les premiers éléments dont nous disposons suggèreraient qu’il s’agit  d’une dérive d’un médecin – ou d’une équipe- qui préfère administrer la mort à une personne âgée, arrivée aux urgences en fin de vie, plutôt que de lui prodiguer les soins appropriés auxquels elle a droit, et notamment le droit d’accès aux soins palliatifs, tel qu’il est prévu par la loi. Si ces faits sont confirmés, nous dénonçons fermement un triple scandale :

    • d’abord l’administration d’une mort violente par injection d’un poison  mortel à des personnes vulnérables ;
    • ensuite la pratique qui consiste à régler de cette façon une surcharge d’activité hospitalière ou un déficit de lieux d’accueil appropriés ou de soins palliatifs ;
    • enfin, les réactions de ceux qu’un pareil drame conduit à réclamer l’euthanasie, notamment celle des personnes âgées en fin de vie.

    A l’heure où notre société réfléchit aux défis posés par la dépendance, nous demandons aux pouvoirs publics de réaffirmer solennellement qu’une personne âgée est digne d’être soignée jusqu’au terme naturel de sa vie. »

  • La culture de mort progresse encore aux Pays-Bas

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    euthanasie21.jpgSelon  le  blog de Jeanne Smits, « aux termes d'une enquête réalisée auprès de plus de 1.600 personnes âgées de plus de 50 ans à la demande de l'émission Hollandse Zaken (« Affaires hollandaises »), il apparaît que (…) plus d'une personne interrogée sur trois (37 %) se dit prête à imaginer de demander l'euthanasie si elle considère sa vie « achevée » sans être très malade ou dépressive ; 32 % disent : je ne le pense pas maintenant, peut-être y penserai-je plus tard ; seuls 20 % n'arrivent pas à se l'imaginer. 72 % des interrogés affirment qu'ils peuvent imaginer qu'ils « ne voudront plus » (vivre) s'ils sont frappés par une maladie grave ou par la dépression grave (…).

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  • Pourquoi la Somalie meurt de faim

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    C'est (encore) sur AgoraVox :

    "Certes, la sécheresse est la cause primaire de la malnutrition, un élément déclencheur de cette catastrophe humanitaire. Cependant d’autres causes expliquent pourquoi en Somalie plus qu’ailleurs, ce drame n’a pu être endigué : les guerres tribales locales et l'absence d'Etat donc l’absence de protection des populations civiles et aussi des ONG sur place dont la sécurité n'est pas assurée, d’où de grandes difficultés à acheminer l'aide alimentaire. Les rebelles Shebab contrôlent la quasi-totalité des zones déclarées en famine. 20 ans de guerre civile menée par les milices des Shebab qui n’ont pas permis, durant plusieurs années, aux organisations humanitaires internationales de venir en aide à la population victime du désastre. L'organisation Al Chabaab, qui entretient des liens avec le réseau Al Qaïda, a interdit l'année dernière l'acheminement de l'aide alimentaire dans les régions sous son contrôle. Heureusement les ONG islamistes ont leurs entrées et la seule façon de faire passer l’aide est de passer par ces organisations en masquant l’origine des produits."

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  • Pressions des pays occidentaux sur les pays d'Amérique Latine pour leur imposer la libéralisation de l'avortement

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes procédures internationales de suivi des droits de l’homme utilisées comme menace contre les pays d’Amérique Latine
    NEW YORK, 5 août (C-FAM) – Les gouvernements des pays occidentaux utilisent les nouvelles procédures de la Révision périodique universelle (RPU) pour faire pression sur les pays d’Amérique Latine afin qu’ils libéralisent leurs législations sur l’IVG.

    Le Salvador, Costa Rica, le Chili, le Brésil, la Bolivie, Belize and l’Argentine font parties des pays récemment pris pour cibles grâce à la procédure RPU: les pays Européens ont recommandé à ces pays de reformer leur législation concernant les “droits” à l’avortement et à la contraception.

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  • USA : des signes d'espoir malgré les progrès de la culture de mort ?

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    Dans "Spirit and Life", le Président de Human Life International commente la décision prise aux USA concernant le remboursement obligatoire de la contraception et de la stérilisation volontaire dans toutes les offres d'assurance maladie. (http://www.hli.org/)

    Notre traduction :

    "Nous avons commencé ce mois d'août août par un véritable lundi noir. Tôt dans la journée, nous avons appris avec stupeur l'annonce du Ministère de la Santé et des Services humains que le remboursement de la contraception et de la stérilisation volontaire dans toutes les offres d'assurance maladie serait obligatoire. Peut-être a-t-on cru que cette annonce passerait discrètement inaperçue aloirs que tous les pays se concentraient sur la question de la dette. (cliquer sur "lire la suite")

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  • USA : La liberté de conscience des médecins menacée par l'administration de B. Obama

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    Nous lisons sur RADIN RUE : http://www.radinrue.com/breve5982.html sous le titre : "Obama s'attaque à la liberté de conscience des médecins"

    L’Eglise Catholique des Etats-Unis s’offusque avec force contre de nouvelles restrictions imposées aux médecins dans leur liberté de conscience. L’administration de Barack Obama, sort ainsi un nouveau projet gouvernemental, qui va obliger tous les hôpitaux américains, c’est-à-dire également catholiques, de pratiquer des interventions de stérilisations et de distribuer des produits anticoncéptifs.

    CardinalDiNardo.gifLa nouvelle directive législative passe outre le minimum même de la conscience personnelle, en tendant à rendre obligatoire le remboursement de la contraception et de la stérilisation volontaire dans toutes les offres d’assurance maladie elle cloisonne les hôpitaux catholiques qui ne « s’enferment » pas uniquement aux personnes partageant la foi catholique, bien au contraire il s’agit d’institutions de santé très importants surtout pour ceux qui ne peuvent pas se permettre le luxe de soins en cliniques privées. Ainsi le cardinal Daniel DiNardo, président le département de la Défense de la Vie au sein de l’Episcopat américain a publié hier un communiqué dans lequel il explique que les nouvelles dispositions empêchent les non-catholiques de fréquenter les institutions hospitalières catholiques.

    Dans ce texte du Cardinal on peut ainsi lire que l’Eglise catholique réfute le projet du qui exige des partenaires de la santé notamment dans les établissements privés couvrent la stérilisation chirurgicale féminine et tous les médicaments et des dispositifs approuvés par le FDA comme les contraceptifs, y compris les médicaments qui peuvent attaquer un enfant à naitre par l’implantation dans l’utérus de la mère. Pour palier aux régles de la conscience nos institutions pourraient agir librement seulement envers un catholique, pour respecter sa conscience, ce qui veut dire que seuls les catholiques pourraient alors fréquenter nos institutions, a continué le Cardinal DiNardo.