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Santé - Page 155

  • Le Prix International Roi Baudouin remis au Dr Denis MUKWEGE

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    Peter Piot, Président de la Fondation Roi Baudouin (FRB) et ancien Directeur exécutif de l’ONUSIDA, et Margot Wallström, sous-secrétaire générale des Nations Unies et Représentante spéciale du Secrétaire général sur les violences sexuelles dans les conflits armés, ont remis le Prix International Roi Baudouin pour le Développement 2010 - 2011, hier, au Docteur Denis Mukwege, Directeur de l’hôpital de Panzi (Bukavu), qui travaille inlassablement pour traiter et défendre les femmes victimes de violences sexuelles en République Démocratique du Congo. Le Prix lui a été remis en présence du Roi Albert II et de la famille royale de Belgique, et, entre autres, de Louise Arbour, Présidente de l’International Crisis Group et ancienne Haut commissionnaire aux droits de l’homme des Nations Unies. (fasozine.com)

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  • African Day

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    En Italie, pour 100.000 enfants qui viennent au monde, 12 mères meurent pour diverses causes. Au Sud Soudan, cette proportion est de 2.054/100.000 soit 170 fois plus. A l’occasion de la Journée mondiale pour l’Afrique qui sera célébrée le 25 mai, l’Association Médecins avec l’Afrique CUAMM descend dans les rues en Italie afin de promouvoir le droits des mères africaines à un accouchement gratuit et sûr. Du 25 au 29 mai, ce sont des centaines de bénévoles qui participeront à des dizaines d’événements faisant partie d’une seule et unique grande fête voulue afin d’exprimer la solidarité et l’engament vis-à-vis du continent ami. L’African Day, événement promu à l’occasion de la Journée mondiale pour l’Afrique instituée pour commémorer la fondation de l’Organisation de l’Unité africaine le 25 mai 1963, est organisé par les groupes locaux de Médecins avec l’Afrique-CUAMM en collaboration avec les autres réalités du monde de l’associationnisme et du bénévolat. (AP) (Agence Fides 24/05/2011)

  • Le gouvernement italien veut combler le vide juridique sur la fin de vie

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    fin_de_vie_Corbis.jpgCombler un vide juridique oui, mais dans un tout autre sens que la loi belge en la matière. Selon Anne Le Nir, la correspondante à Rome du journal « La Croix » le gouvernement italien veut combler le vide juridique sur la fin de vie. Les députés italiens doivent prochainement étudier un projet de loi interdisant l’euthanasie.

    Le texte permettra aux citoyens de renoncer par avance à des thérapies « disproportionnées » en cas de perte de leur capacité de compréhension.

    En Italie, le cas d’Eluana Englaro, tombée dans le coma en 1992 et décédée en 2009, après l’interruption de l’alimentation et l’hydratation artificielles, demandée par son père, a mis au jour un vide législatif en matière de fin de vie.

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  • L'engagement de l'Eglise dans la lutte contre le SIDA

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    « Dans de nombreuses régions d’Afrique subsaharienne, en particulier dans les zones les plus reculées et où le revenu moyen est particulièrement bas, les seuls à fournir les thérapies antirétrovirales et à intervenir en faveur des victimes indirectes sont les dispensaires et les stations médicales appartenant à des congrégations, à des ordres et à des instituts religieux ainsi qu’à un certain nombre d’ONG d’origine chrétienne ». C’est ce que souligne S.Exc. Mgr José L. Redrado Marchite, O.H, Secrétaire du Conseil pontifical pour les Services de Santé, rappelant l’engagement pastoral du Conseil pontifical en question en matière de lutte contre le SIDA, d’assistance et de soutien aux victimes, en particulier aux veuves et aux orphelins et ce depuis sa création.

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  • Le "transhumanisme" : reconfigurer l'humain ?

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    Sur genethique.org

    Venu des États-Unis, le transhumanisme est un mouvement prônant l'utilisation des innovations techno-scientifiques afin d'accroître les capacités physiques et intellectuelles de l'homme. Les tenants de ce courant de pensée appellent de leurs voeux une reconfiguration de l'humain grâce à la convergence de plusieurs technologies (convergence NBIC) que sont les nanotechnologies, les biotechnologies, l'informatique et les sciences cognitives (Cf. Synthèse de presse du 03/03/11). L'informaticien américain Ray Kurzweil et l'ingénieur Eric Drexler, spécialiste des nanotechnologies, font, entre autres, partie des théoriciens et promoteurs de ce mouvement.

    Parmi les options envisagées par les transhumanistes pour améliorer l'humain se trouvent le fantasme d'une médecine offrant les moyens de nous "autoréparer" pour éliminer totalement la maladie, mais aussi celui d'une "autoproduction" par laquelle les êtres humains seraient "délivrés" de la nécessité de la naissance par l'utérus artificiel ou le clonage. Si l'ectogenèse (reproduction humaine en dehors du corps de la femme) n'est aujourd'hui pas possible techniquement, certains, comme le philosophe Henri Atlan, pensent que l'utérus artificiel sera mis au point d'ici la moitié du XXIe siècle.

    Atteindre une forme d'immortalité via le téléchargement de notre conscience sur un support numérique est l'ultime fantasme des transhumanistes. Selon Jean-Michel Besnier, professeur de philosophie à la Sorbonne et auteur du livre "Demain, les posthumains", l'idéal transhumaniste "d'un esprit autonome, dégagé des contraintes imposées par le corps, culmine dans le désir de débarrasser l'humain du poids de la naissance, de la maladie et de la mort". En cela, le transhumanisme apparaît avant tout comme le symptôme d'une désaffection pour l'humanité.  "Pour eux, après Auschwitz, l'homme n'est plus désirable. Ce n'est pas seulement le progrès, mais l'espèce humaine elle-même qui est périmée. Il faut donc éradiquer ce qui la caractérise : la fragilité, la finitude, le désir lui-même", explique Jean-Michel Besnier.

    Si les thèses des transhumanistes semblent appartenir à la science-fiction, elles s'appuient toutefois sur des aspirations et des tendances implicitement présentes dans l'ensemble de la société. Les partisans de ce courant estiment que lorsque les possibilités techniques d'un dépassement de l'humain seront rassemblées, les gens y adhéreront naturellement, voulant échapper à la maladie et la mort... A ce titre, ils invitent à s'interroger sur ce que nous voulons vraiment faire de la médecine, des sciences et techniques.

    Une Association française transhumaniste a été créée récemment en France. En début d'année, elle a tenu une première conférence dans les locaux de la Sorbonne, à Paris, pour faire connaître ses thèses au public français.

    http://www.genethique.org/revues/revues/2011/Mai/20110519.2.asp

  • Une australienne diagnostiquée en état de mort cérébrale se réveille

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    En Australie, Gloria Cruz, une femme de 51 ans, victime d'un accident vasculaire cérébral dans son sommeil, le 7 mars 2011, s'est réveillée après presque 3 semaines de coma, rapporte « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Jérôme Lejeune.

    Les médecins du Royal Darwin Hospital où elle avait été emmenée en urgence l'avaient diagnostiquée en état de mort cérébrale. Ils avaient expliqué à son mari Tani que son cas était « sans espoir » et qu'elle allait probablement mourir dans les 48 heures.

    Bien qu'un médecin ait alors recommandé de retirer le respirateur pour laisser Mme Cruz mourir, son mari avait refusé : « un miracle pourrait encore se produire ». Il avait demandé un délai de 48 heures aux médecins. Plus tard, un médecin l'avait appelé pour demander de nouveau son accord pour débrancher le respirateur.

    Après 2 semaines, un tube a été inséré dans la bouche de Gloria Cruz pour lui permettre de respirer et le respirateur a été éteint. Trois jours plus tard, elle s'est réveillée de son coma à la grande surprise du personnel de l'hôpital.

    « C'est un miracle », s'est exclamé un médecin extrêmement surpris. « Je suis heureux que mon diagnostic ait été faux », a-t-il dit au mari de la patiente. Ce dernier a expliqué que sa famille n'a jamais perdu espoir. Mme Cruz est aujourd'hui en voie de guérison.

    Sources : Ntnews.com (Nigel Adlam) 11/05/11 - The Australian.com.au 11/05/11

  • Quand la culture de mort progresse en Belgique...

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    C'est la bonne nouvelle que la Libre s'empresse de nous mettre en ligne en ce gris dimanche de mai :

    "Le nombre de femmes qui avortent à la maison en absorbant la pilule abortive mifepristone a augmenté de près de 2% de 2.625 en 2008 à 2.935 en 2009, ressort-il de chiffres de la Commission nationale d'évaluation de la loi relative à l'interruption volontaire de grossesse.

    En 2009, 18.870 avortements ont été enregistrés en Belgique. La plupart des grossesses (82%) ont été interrompues dans des centres d'avortement, les autres dans des hôpitaux. Dans trois quarts des cas, l'avortement se fait par aspiration de l'embryon. Entre 2008 et 2009, l'utilisation de la pilule abortive mifepristone a augmenté de 15,44% à 17,15%.

    La gynécologue et sénatrice Marleen Temmerman (sp.a) indique dans une réaction que l'utilisation de la pilule abortive est, dans les premières semaines de grossesse, une alternative toute aussi sûre. "Il est important que les femmes soient bien accompagnées et informées sur ce qui les attend", explique Marleen Temmerman. C'est pourquoi elle n'est pas favorable à ce que de telles pilules soient disponibles en vente libre. "Le temps de réflexion reste une étape importante du processus. Pas seulement sur le plan médical, parce qu'il peut toujours y avoir des complications, mais surtout au niveau psychologique", conclut-elle." 

    La dernière phrase constitue un aveu qui mérite d'être relevé...

  • "Je voulais mon enfant, pas qu'on me l'enlève"

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    C'est dans "Nouvelles de France" :

    "Un drame s’est déroulé lundi matin à Lille. Une jeune femme enceinte de quatre mois s’est rendue à l’hôpital Saint-Vincent pour subir un cerclage du col de l’utérus, elle a en réalité subi un curetage et a perdu son bébé. Que s’est-il passé ce matin là ? Arrivée à l’hôpital, une stagiaire sage-femme donne à la jeune femme deux comprimés de Cytotec, qui permettent un curetage sans traumatisme et qui sont susceptibles de provoquer un avortement. En réalité ces comprimés étaient destinés à la patiente de la chambre voisine. La sage-femme n’a pas vérifié l’identité de la patiente avant de les administrer. Ainsi, cette dernière, qui était venue pour éviter un accouchement prématuré, a subi, contre son gré, un avortement. La jeune femme de 28 ans, qui a déclaré qu’elle voulait avoir son enfant, a indiqué au quotidien La Voix du Nord qu’elle envisageait de déposer plainte. Le Groupe hospitalier de l’institut catholique de Lille (dont dépend l’hôpital Saint-Vincent), a réagi en indiquant qu’il allait organiser une « commission de retour d’expérience »."

  • France : refus légal de la "gestation pour autrui"

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    "Dans le Quotidien du médecin, le Dr Agnès Noizet, praticien hospitalier au Centre d’assistance médicale à la procréation (AMP) de l’hôpital de la Conception à Marseille, se réjouit de ce que l’Assemblée puis le Sénat aient choisi de refuser de légaliser la gestation pour autrui (GPA). Avec cette pratique, c’est en effet "vers une instrumentalisation de la femme que l’on risque d’évoluer". "Certes, le but en est louable, puisqu’il s’agit d’avoir un enfant, mais tout usage du corps de l’autre reste répréhensible. Tout est donc techniquement possible, le seul frein, le seul guide, c’est le droit qui oblige à respecter les grands principes d’éthique, car tout ce qui est techniquement possible n’est pas nécessairement humainement souhaitable", note-t-elle en précisant que la GPA contredit les grands principes d’éthique médicale et humaine : ne pas nuire et respecter la non-patrimonialité du corps humain.

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  • Nouveau succès obtenu grâce au recours à des cellules souches adultes

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    Alors que des pressions incroyables sont exercées sur les législateurs pour qu'ils autorisent la recherche sur les cellules souches embryonnaires qui nécessitent la destruction d'embryons humains, les succès obtenus en utilisant les cellules souches adultes qui ne posent aucun problème éthique se multiplient :

    "Une opération chirurgicale à partir de cellules souches adultes s'est avérée vitale pour une une fillette de 10 ans qui avait développé, à l'âge d'un an, un caillot de sang dans le vaisseau reliant son intestin et son foie, ce qui était potentiellement mortel en cas d'hémorragie.

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  • Télévie, téléthon et consorts

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    L'élan de générosité que suscitent les campagnes en faveur du "télévie" ou du "téléthon" est sans doute admirable mais, malheureusement, est exploité à des fins qui ne sont pas acceptables. En effet, la recherche qui recourt à la destruction d'embryons humains pour expérimenter des thérapies utilisant des cellules souches embryonnaires bénéficie aussi des fonds récoltés. C'est pourquoi il vaut beaucoup mieux se renseigner de façon objective et faire bénéficier de sa générosité des oeuvres qui sont respectueuses de la vie humaine.

    Nous vous suggérons, en particulier, d'aider la fondation Jérôme Lejeune qui lutte contre la trisomie 21 et contre les autres maladies de l'intelligence : fondationlejeune.org

    Par ailleurs, un ami, sur Facebook, se fait l'écho de cette prise de position courageuse des évêques du Dakota du Nord :

    Mgr Paul A. Zipfel (Bismarck) et Mgr Samuel J. Aquila (Fargo) appellent les fidèles catholiques des deux diocèses de cet État. Dans une déclaration commune du 10 mars, ils invitent les curés, les prêtres et les fidèles laïcs à être prudents et à ne donner en aucun cas à des personnes ou des institutions en opposition à l’enseignement de l’Église sur la vie et le mariage.

    Parmi les institutions auxquelles les catholiques doivent refuser tout don, Amnesty International qui a adopté, en 2007, une position pro-avortement et à l’UNICEF qui soutient désormais officiellement la contraception et l’avortement.

    D’autres associations, moins connues en France, sont signalées par les évêques comme indignes de recevoir des aides financières des catholiques : March of Dimes qui est favorable à la recherche sur les cellules souches embryonnaires, le diagnostique pré-implantatoire pour les embryons et l’obligation de la couverture contraceptive dans les contrats d’assurance santé ; le Susan G. Komen for the Cure qui travaille à la lutte contre le cancer du sein chez les femmes mais qui finance Planned Parenthood, l’avorteur n° 1 aux États-Unis, et refuse d’admettre la relation désormais établie entre cancer du sein et produits contraceptifs ; the American Association of University Women qui finance des bourses d’études pour les plus pauvres par des foires aux livres mais qui soutient fermement les “droits” à l’avortement et au “mariage” gay et combat de droit des parents sur l’éducation de leurs enfants…

    Deux évêques courageux, mais surtout deux vrais pasteurs qui protègent leurs troupeaux des loups !

  • L’ONU demande des milliards pour un plan de vaccination anti-MST

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    C-Fam.jpgBy Susan Yoshihara, Ph.D.

    NEW YORK, 6 mai (C-FAM) L’ONU est sur le point de demander aux gouvernements de financer la vaccination de toutes les jeunes filles du monde contre la MST HPV, le papillomavirus. La compagne controversée pourrait coûter jusqu’à $300 par personne et un total de quelques milliards.

    La liste des dignitaires qui ont lancé la campagne de l’ONU mi-avril inclut une éminente first lady africaine, les dirigeants du fonds de l’ONU pour le développement (UNFPA), l’Association Américaine contre le Cancer, et le fabricant de contraceptifs PATH.

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