Patrimoine religieux - Page 206
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Un voyage au Liban du 27 mai au 3 juin
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Vol à la chapelle Notre-Dame de Cambron
Estinnes-au-Mont : un ciboire volé Un vol par effraction a été commis entre le jeudi 17 janvier (17h) et le samedi 19 janvier (9h) en la chapelle Notre-Dame de Cambron, située rue Rivière à Estinnes-au-Mont (entité des Estinnes, entre Binche et Mons).
Le cadenas et les serrures ont été forcés. On a volé un ciboire en argent datant de la fin du 18ème siècle ou du début du 19ème. Cet objet d’art est répertorié et photographié dans le répertoire photographique du mobilier des sanctuaires de Belgique.
Sa description : ciboire, fausse-coupe avec Epis et Raisins, poinçons français (1797-1809) et R, argent, hauteur 37.5 cm, répertorié M 92192’72 (IRPA).
Toute personne qui pourrait donner des renseignements sur cet objet et ce vol est priée d’avertir :
M. Pascal VANDEVYVER (SAGEP) t. 069 64 62 43
e-mail : pascal.vandevyver@evechetournai.be -
L'abbaye de Fongtgombault reprend l'abbaye Saint-Paul de Wisques
L’abbaye bénédictine Saint-Paul (photo) de Wisques (Nord-Pas-de-Calais) qui fut fondée par l’abbaye de Solesmes en 1889, vient de publier le communiqué suivant que rapporte le blog « Salon beige » :
"L’abbaye saint Paul, depuis sa fondation par l’abbaye saint Pierre de Solesmes, en 1889, s’est peu à peu développée jusqu’à compter une soixantaine de moines, dans les années 60 : elle a même essaimé aux Pays-bas, (1901-1920) fondant l’abbaye Saint Paul d’Oosterhout, qui elle-même eut trois abbayes – filles en Hollande : à Egmond, Slangenburg et Vaals.
Mais comme tout vivant mortel, l’abbaye a vu, depuis quelques années, ses forces diminuer et ses effectifs se réduire tout doucement ; au point qu’il était sérieusement envisagé de la fermer, comme il a été fait pour l’abbaye de Belval, l’an dernier, et de voir ses moines dispersés dans d’autres abbayes de la Congrégation.
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Une exposition à Anvers, du 2 février au 5 mai : "Splendeurs médiévales"
Splendeurs médiévales
ExpositionSeniors, Adultes (18+)02.02.13 - 05.05.13Ouvert tous les jours de 10 h à 17 h sauf le lundiLes plus beaux manuscrits du Musée Plantin-MoretusLe Musée Plantin Moretus présente ce printemps ses plus beaux manuscrits enluminés. Ces textes écrits à la main sur parchemin, illustrés d’initiales chamarrées et de bordures subtiles sont un véritable régal pour les yeux.
Au début du XVIe siècle, Christophe Plantin commence à collectionner d’anciens textes bibliques et classiques. Un siècle plus tard, la collection s’enrichit de merveilleux ouvrages : bibles, missels et livres d’heures provenant des quatre coins de l’Europe.
À la fin du XVIIIe siècle, la dernière génération de Moretus acquiert les perles de la collection. Dès cette époque, les manuscrits enluminés sont en effet considérés comme des chefs-d’œuvre exquis d’un passé médiéval lointain et exotique. Parallèlement, on réutilise des feuillets en parchemin comme page de garde ou liseuse.
L’exposition Splendeurs médiévales présente quarante exemplaires majeurs et représentatifs de manuscrits enluminés, une sélection opérée par le Musée Plantin-Moretus et Illuminare - le Centre d’Étude d’Art médiéval (KU Leuven). Une nouvelle étude artistique de Lieve Watteeuw et Catherine Reynolds est à la base de cette exposition.
Ouvert tous les jours de 10 h à 17 h sauf le lundi.
Transport
Tram 3, 9, 15. Bus 22, 25, 26. Le musée se trouve à distance de marche de la Groenplaats.
Tarif
€ 8 / € 6 / € 1 / Gratuit
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C'est encore le temps de Noël....
MALMEDY
PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE
Célébrée par M. l’abbé Claude Germeau
DIMANCHE 13 JANVIER 2013 À 18 HEURES
ÉGLISE DES CAPUCINS
Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy
OCTAVE DE LA FÊTE DE L’ÉPIPHANIE
Propre grégorien de la Fête
Kyriale IX « cum jubilo ». Credo III
Motet « Venite adoremus » de Pietro-Alessandro Yon (1886-1943)
chanté par Jean-Marie Taslent (ténor solo)
Motet traditionnel « Adeste fideles » à deux voix
Noël malmédien « Puer nascitur » à deux voix
d’Olivier Lebierre (1851-1914)
Cantique « Zu Bethlehem geboren » (Köln, 1637)
Extrait pour flûte (Albert Schäffer) et orgue (Léonard Aussems)
de l’œuvre de Jean-Marie Leclerc (1647-1716)
Avec tous nos vœux d’heureuse année 2013
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Invoquer Allah : les chrétiens malais rejettent l'ordonnance du sultan de Selangor
ASIE/MALAISIE - La Fédération chrétienne de Malaisie entend « exercer notre droit constitutionnel sur l’usage du nom Allah »
Kuala Lumpur (Agence Fides) – Les chrétiens de Malaisie n’observeront pas l’interdiction d’utiliser le terme Allah imposée hier par une ordonnance du sultan de l’Etat de Selangor (voir Fides 09/01/2013). Les églises en Malaisie font front commun : dans un communiqué envoyé à l’Agence Fides, la Fédération chrétienne de Malaisie (CFM) réaffirme son « droit constitutionnel » d’appeler Dieu par le terme Allah, rappelant que le mot en question est présent dans les Bibles en langue malaise depuis plus de 400 ans. La Fédération, constituée en 1985, est un organisme œcuménique qui rassemble les principales églises protestantes et orthodoxes et la Conférence des Evêques catholiques.
Le communiqué note que « Allah est un mot arabe utilisé par toutes les communautés chrétiennes de langue Bahasa Malaysia » citant les chrétiens des groupes ethniques Orang Asli, Baba, les chrétiens qui vivent dans les provinces de Saba et Sarawak, ainsi que tous ceux qui vivent en Malaisie péninsulaire.
Le Président de la Fédération chrétienne, réaffirme que, « conformément à l’article 11 de la Constitution fédérale de la Malaisie, nous affirmons le droit de toute personne de professer et de pratiquer sa propre religion et, dans ce contexte, la liberté des églises d’utiliser la Bible en langue Bahasa Malaysia, dans le cadre de toutes nos célébrations liturgiques et de nos rencontres de culte ».
Au cours de ces trois dernières années, les églises et le gouvernement de Malaisie se sont confrontés, notamment dans le cadre d’une procédure judiciaire, sur la question de l’usage du terme Allah qui, selon certains, devait être exclusif de l’islam. Les chrétiens, en réaffirmant leur droit légitime, ont remporté la cause devant le tribunal en 2009. Afin de renforcer leur position, les églises se réfèrent à des documents historiques tels que le Dictionarium malaico-latino et latin-malaicum » édité en 1631 et réédité récemment. Le texte, qui contient le mot Allah comme traduction de Dieu, représente la preuve historique que les missionnaires chrétiens tels que Saint François Xavier, ont joué un rôle fondamental dans l’échange de connaissance et de culture entre l’Europe et le sud-est asiatique. (PA) (Agence Fides 10/01/2013)
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Verviers, 22 janvier : conférence de Jean-Pierre Delville sur l'évolution de la musique sacrée
VERVIERS : mardi 22 janvier à 20h00
au Temple protestant, rue Laoureux
Conférence par l’abbé Jean-Pierre Delville
Prêtre – Musicien – Professeur d’histoire du christianisme et de théologie à l’UCL
« Traditions musicales »
l’évolution de la musique sacrée dans les différentes confessions chrétiennes.
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Un lexique des termes religieux
Même si les définitions sont souvent très laconiques, cela peut être utile : lexique des termes religieux sur "geneawiki" : http://fr.geneawiki.com/index.php/Lexique_des_termes_religieux
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Le saint nom de Jésus
1. Iesu, dulcis memoria,
dans vera cordis gaudia,
sed super mel et omnia,
eius dulcis praesentia.
1. Jésus, de douce souvenance,
Donnant les vraies joies du cœur :
Mais plus que le miel et plus que tout,
Sa présence est douce.
2. Nil canitur suavius,
nil auditur iucundius,
nil cogitatur dulcius,
quam Iesus Dei Filius.
2. Rien ne se chante de plus suave,
Rien ne peut s'entendre de plus agréable,
Nulle pensée n'est plus douce,
Que Jésus, Fils de Dieu.
3. Iesu, spes paenitentibus,
quam pius es petentibus !
quam bonus te quaerentibus !
sed quid invenientibus ?
3. Jésus, espérance des pénitents,
Combien tendre à ceux qui vous implorent !
Si bon pour ceux qui vous cherchent !
Mais, que n'êtes-vous pas pour ceux qui vous trouvent ?
4. Nec lingua valet dicere,
nec littera exprimere :
expertus potest credere,
quid sit Iesum diligere.
4. Nulle parole ne peut dire,
Aucun mot ne saurait exprimer,
Seul comprendra qui l'a éprouvé
Ce que veut dire aimer Jésus.
5. Sis, Iesu, nostrum gaudium,
qui es futurus praemium :
sit nostra in te gloria,
per cuncta semper saecula. Amen.
5. Soyez, Jésus, notre joie
Vous, notre récompense future ;
Que notre gloire soit en Vous,
A jamais dans les siècles. Ainsi soit-il.
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Dimanche 6 janvier 2013 : l’adoration des mages
ÉGLISE DU SAINT-SACREMENT À LIÈGE
Boulevard d’Avroy, 132
DIMANCHE 6 JANVIER 2013 À 10 HEURES
EPIPHANIE
MESSE FESTIVE
(missel de 1962)
PROPRE GRÉGORIEN DE LA FÊTE
par la schola du Saint-Sacrement
MISSA BREVIS DE Léo DELIBES, 1836-1891
pour deux voix et orgue
interprétée par Isabelle André, soprano et Patricia Moulan, alto
(conservatoire de Verviers)
Contribution unique (1875) du célèbre auteur de "Lakmé" à la musique sacrée, composée pour choeur et voix de femmes ou d'enfants, dans un style aérien et intérieur à la fois
MOTETS ANCIENS ET CLASSIQUES
« Nascere, nascere » de Giovanni-Battista Bassani, 1647-1716
par Patricia Moulan, alto
"O salutaris" de Gabriel Fauré, 1845-1924 et
"Panis angelicus" de César Franck, 1822-1890
par Isabelle André, soprano
À L’ORGUE
Patrick Wilwerth
(professeur au conservatoire de Verviers)
« STELLA SEMPER RUTILANS… »
Du Christ, une vieille séquence de noël chante qu’Il est « sol occasum nesciens », le soleil qui ne connaît pas de déclin, « stella semper rutilans », l’étoile toujours resplendissante : cette image fait le lien avec l’Epiphanie fêtée ce dimanche 6 janvier 2013.
A propos de cette grande fête qui, dans l’histoire de la liturgie, fut célébrée la première, avant même celle de Noël, Benoît XVI nous rappelle ceci : « L'Epiphanie, la « manifestation » de notre Seigneur Jésus Christ, est un mystère multiforme. La tradition latine l'identifie avec la visite des mages à l'Enfant Jésus à Bethléem, et l'interprète donc surtout comme une révélation du Messie d'Israël aux peuples païens. La tradition orientale en revanche privilégie le moment du baptême de Jésus dans le fleuve du Jourdain, lorsqu'il se manifesta comme Fils unique du Père céleste, consacré par l'Esprit Saint. Mais l'Evangile de Jean invite à considérer comme « épiphanie » également les noces de Cana, où Jésus, changeant l'eau en vin, « manifesta sa gloire et ses disciples crurent en lui » (Jn 2, 11) ». Et, nous-mêmes, sommes aujourd’hui encore les témoins de cette « épiphanie » du Seigneur dans la sainte Eucharistie, sacrement mystérieux dans lequel Jésus révèle et cache en même temps sa gloire…
En cette fête de l’Epiphanie, Benoît XVI nous invite à prêter une attention particulière au symbole de l'étoile, si important dans le récit évangélique des mages (cf. Mt 2, 1-12) et il explique :
« Les Pères de l'Eglise ont vu dans ce singulier épisode raconté par saint Matthieu une sorte de « révolution » cosmologique, causée par l'entrée du Fils de Dieu dans le monde. Cela signifie que les étoiles, les planètes, l'univers tout entier ne sont pas gouvernés par une force aveugle, ils n'obéissent pas aux dynamiques de la seule matière. Ce ne sont donc pas les éléments cosmiques qui doivent être divinisés, mais, bien au contraire, en toute chose et au-dessus de toute chose, il y a une volonté personnelle, l'Esprit de Dieu, qui dans le Christ s'est révélé comme Amour (cf. Enyclique Spe salvi, n. 5). La pensée chrétienne compare l'univers à un « livre » - c'est également ce que disait Galilée -, en le considérant comme l'œuvre d'un Auteur qui s'exprime à travers la « symphonie » de la création. A l'intérieur de cette symphonie, on trouve, à un certain moment, ce que l'on appellerait en langage musical un « solo », un thème confié à un seul instrument ou à une voix ; et il est tellement important que la signification de toute l'œuvre en dépend. Ce « soliste » c'est Jésus, à qui correspond, justement, un signe royal : l'apparition d'une nouvelle étoile au firmament. Jésus est comparé par les auteurs chrétiens antiques à un nouveau soleil. Selon les connaissances astrophysiques actuelles, nous devrions le comparer à une étoile encore plus centrale, non seulement pour le système solaire, mais pour tout l'univers connu. Dans ce dessein mystérieux, à la fois physique et métaphysique, qui a conduit à l'apparition de l'être humain comme couronnement des éléments de la création, Jésus est venu au monde : « né d'une femme » (Ga 4, 4), comme l'écrit saint Paul. Le Fils de l'homme résume en lui la terre et le ciel, la création et le Créateur, la chair et l'Esprit. Il est le centre de l'univers et de l'histoire, parce qu'en Lui s'unissent sans se confondrent l'Auteur et son œuvre. »
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La paroisse de Bolland (diocèse de Liège) a renoué avec la tradition
Lu sur catho.be :
Depuis 10 ans, la paroisse de Bolland (près de Herve dans le diocèse de Liège) n’avait plus connu de messe de Noël à Minuit. Le 24 décembre, la paroisse a renoué avec la tradition de célébrer la solennité de la Nativité à Minuit. Et cette année, c’était la seule célébration du milieu de la nuit pour l’ensemble de l’Unité pastorale de Herve! Gilbert Lesoinne, ancien directeur du Collège Saint-Hadelin à Visé, en paroissien attentif, livre un écho enthousiaste de la fête de Noël à Bolland.
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A Barcelone, un temple dévolu à la Sainte Famille
"Le promoteur en fut Josep Maria Bocabella i Verdaguer, un libraire dévot et très cultivé qui en 1866 fonda "l'Association Spirituelle des Dévots de Saint Joseph", une institution qui prétendait contribuer à la diffusion du Catholicisme à une époque où la religion traditionnelle devait faire face aux nouvelles idées induits par les changements sociaux consecutifs à Révolution Industrielle. Il s'agissait donc d'une approche plutôt d'idéologie conservatrice.
L'activité que Josep Maria Bocabella a développé pour propulser son idée l'ont emmené 1872, a rendre une visite au Saint Père de Rome pour lui offrir, au nom de l'Association une image en argent de la Sainte Famille.
Au retour il a visité la ville de Loreto, dont la basilique lui inspire l'idée de construire à Barcelone un "temple expiatoire dédié á la Sainte Famille". Cette idée n'eut pas de suite mais, finalement Josep Bocabella chargea l'architecte Francesco de Paula i de Villar du projet d'un temple qui ne serait la copie servile d'aucun autre." (http://www.gaudiallgaudi.com/FA012.htm)
Quant à l'architecte, aujourd'hui en voie de béatification (voir commentaire de Stéphanie ci-dessous) :
"Antoni Gaudí est connu pour être "l’architecte de Dieu". Bien que que l’on puisse admirer son style très personnel et authentique à travers toutes ses constructions, aucune d’elles n’arrivent à la cheville de l’extraordinaire Sagrada Familía.
Gaudí a toujours été célèbre pour son dévouement religieux et sa foi en l’Eglise catholique romaine plus forte de jour en jour. Né en 1852, il décéda malheureusement avant de pouvoir achever la Sagrada Familía, renversé par un tramway alors qu’il se rendait à la messe à l’église Saint-Philippe Néri. Il perdit conscience et fut emmené à l’Hôpital de la Santa Creu. Bien qu’il dédia sa vie à la recherche de la beauté véritable, il ne prenait plus soin de son apparence physique. Ce jour-là, il portait des vêtements usés, avait un aspect négligé, et ne possédait pas de papiers d’idendité. Il fut par conséquent pris pour un mendiant et ne fut pas secourru immédiatement. Un prêtre de la Sagrada Familía le reconnut finalement mais son état était cependant trop critique. Antoni Gaudí décéda le 10 juin 1926 à l’âge de 73 ans." (http://www.maisonsetluxe.com/barcelona-antonio-gaudi-sagrada-familia/)
Lire aussi : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1345444?fr=y
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