Patrimoine religieux - Page 202
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Versailles - jusqu'au 14 juillet : le Trésor du Saint-Sépulcre
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Confirmé : l’abbaye de Wisques (Pas-de-Calais) passe à la forme extraordinaire des rites liturgiques
Lu sur le site du diocèse d’Arras :
"Lors du dernier conseil presbytéral, Mgr Jaeger avait invité le père abbé de Fontgombault Dom Jean Pateau à présenter le présent et l’avenir de l’abbaye de Wisques.
La difficulté de renouvellement de l’actuelle communauté saint Paul, et le décès de l’abbé Lugez ont amené les bénédictins à revoir l’avenir de l’abbaye. Fallait-il fermer ou trouver une autre communauté ? L’actuelle abbaye de Wisques avait été fondée par des pères de Fontgombault fin XIXème siècle.
L’abbaye de Fontgombault est née en Berri, de l’impulsion donnée par Pierre de l’Etoile et ses compagnons, ermites, en 1091. Elle eut son apogée aux XII-XIIIème siècles. C’est une longue histoire avec de nombreuses vicissitudes durant près de 1.000 ans.
Fontgombault
En 1948, après la seconde guerre mondiale, l’abbaye redevient bénédictine avec l’installation de 22 moines venus de Solesmes. La communauté, très nombreuse songe a essaimer, fonder une nouvelle abbaye, dans le souci de répondre à la demande de Jean-Paul II pour une nouvelle évangélisation. Le déclin de Wisques, avec une moyenne d’âge de plus de 75 ans, à la différence de Fontgombault (âge moyen de 51 ans) provoque la réflexion du père abbé de Fontgombault. C’est ainsi que plusieurs moines feront des “stages” à Wisques au cours du premier semestre 2013 et qu’une solution de reprise était envisagée. Ce passage de plusieurs groupes de religieux durant 4 semaines devait permettre de mûrir le projet. Les contacts furent très bons et l’installation de 13 moines à l’automne 2013 est donc envisagée.
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Patrimoine religieux et historique : une pénible (et indigne) histoire belge
La famille d’Arenberg en guerre contre le « propriétaire » de « son » couvent
Il est des situations si absurdes qu’il est souvent plus simple de croire à une mauvaise plaisanterie. C’est ce qu’à sans doute espéré le Duc Léopold d’Arenberg, en apprenant il y a quelques jours que des tableaux familiaux qu’il croyait en sécurité chez les Capucins allaient être mis en vente aux enchères, hier, dans une galerie anversoise. Mise de départ d’une des pièces : 80 000€.
Mais dans ce dossier du «Couvent des Capucins», à Enghien, l’illustre famille n’en est plus à un paradoxe près, elle qui se voit refuser l’entrée de la crypte abritant septante-deux sépultures de ses aïeuls.
L’affaire nécessite un rappel historique.
Créés à l’initiative de Charles d’Arenberg et Anne de Croÿ en 1616, le couvent et sa nécropole ont été confié à la gestion des Pères Capucins afin d’y assurer l’entretien ainsi que la prière des défunts de la famille Arenberg. En 1932, le Duc Engelbert-Marie d’Arenberg cède la propriété du couvent aux Capucins, ainsi que des sommes importantes, tout en leur confiant la garde d’une série d’objets d’art.
Vu le manque de vocation dans leur Ordre, dans les années 90, les Pères Capucins quittent le couvent enghiennois. La Maison d’Arenberg se serait alors retrouvée devant un fait accompli : les religieux ont vendu la partie «nouvelle» du couvent (datant du 19e siècle) à une société immobilière d’Asse, propriété de Marc Labeeuw, frère laïc d’un des Pères Capucins. Depuis lors, des appartements ont été construits dans le jardin.
La partie «ancienne» du couvent, y compris l’église des Capucins et la nécropole d’Arenberg, est apportée dans une asbl appelée «Memoriaal Karel van Arenberg», dans le but d’en faire un musée. Cette asbl est gérée par Marc Labeeuw et plusieurs membres de sa famille, ainsi que des Pères Capucins.
La Ville d’Enghien s’y engage financièrement pour un montant d’un million de francs belges, dans le but de soutenir la mise en valeur de ce patrimoine. En 2005, constatant un manque de transparence dans la gestion financière de cette ASBL, elle se retire. Les Capucins n’en sont également plus membres à l’heure actuelle.
Les cercueils devront-ils être évacués dans un container ?
Cette ASBL aurait entre-temps vendu la partie ancienne du Couvent à... la société immobilière de ses gestionnaires. Une opération illégale selon le Duc Léopold d’Arenberg, qui porte plainte pour «enrichissement sans cause». Comble de l’ironie, le tribunal de Première Instance et la Cour d’Appel de Mons estiment que la famille n’a pas la qualité de «tiers intéressé», alors que ses «morts» reposent en ces lieux. L’affaire est devant la Cour de Cassation.
La Maison d’Arenberg est engagée dans trois autres procédures judiciaires dans ce dossier. Elle demande notamment la révocation de l’acte de donation de 1932 aux Capucins pour inexécution des clauses, afin de récupérer le contrôle du caveau familial auquel il n’a plus accès, ainsi que les objets d’arts. Le Duc actuel déplore la dilapidation à des fins lucratives de ces pièces d’art appartenant toujours aux Pères Capucins, ainsi que le manque d’entretien des bâtiments historiques, pourtant classés patrimoine wallon depuis 2011. «Récemment, le Couvent des Augustins a posé des problèmes de stabilité. Bientôt, sans intervention, ce sera celui des Augustins qui s’effondrera. Ce jour-là, je devrais venir avec un container pour récupérer les 72 cercueils de ma famille!»
En complément : lire : http://www.rtbf.be/info/regions/detail_enghien-polemique-autour-de-la-vente-d-uvres-d-art-du-couvent-des-capucins?id=7991913
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Restaurer la liturgie n’intéresserait pas le nouveau pape
Lu sur le site de « Pro Liturgia » ce mardi 7 mai 2013 :
« Que le Pape François ne soit pas absorbé par les questions liturgiques comme l’était Benoît XVI est devenu une évidence. Il semble que l’actuel Souverain Pontife ne soit pas sensible outre mesure à l’ « ars celebrandi » que les évêques du monde entier avaient demandé de respecter au point que Benoît XVI y avait consacré plusieurs lignes dans son Exhortation post-synodale « Sacramentum Caritatis ».
Pour autant, il y a peu de risque de voir le Pape François introduire dans la liturgie les fantaisies qu’on trouve dans les paroisses de France et qui sont, de la part de nos évêques au premier chef, les marques d’une claire opposition au Concile.
Que fera le Pape ? « Wait and see », disent certains. N’étant pas lui-même un grand « liturge », on peut espérer qu’il se laissera guider par les experts qui sont au Vatican et confirmera la mission de ceux qui sont à la Congrégation pour le Culte divin.
Si tel ne devait pas être le cas - ce qu’à Dieu ne plaise - les conséquences seraient catastrophiques pour l’Eglise qui est en France : tout une partie du clergé proprement iconoclaste qui sévit depuis des années dans nos paroisses se sentirait conforté et continuerait, comme il l’a fait jusqu’ici, à priver les fidèles de la liturgie de l’Eglise.
Quant aux « traditionalistes » attachés à la forme extraordinaire du rite romain, ils pourraient alors avoir d’excellentes raisons de refuser définitivement l’usage du missel de « Paul VI ».
Mais c’est du côté des jeunes prêtres qu’il y aurait le plus de problèmes : avec Benoît XVI, ils se sentaient soutenus, appuyés. Ils « osaient » mettre en œuvre la liturgie actuelle selon une « herméneutique de continuité », en la célébrant en latin et grégorien selon les demandes. Mais que feront ces jeunes prêtres s’ils constatent que leurs initiatives pour redresser la situation de la liturgie - initiatives déjà contrecarrées par certains fidèles et certains évêques - ne sont pas ouvertement soutenues par les déclarations et le bon exemple du Souverain Pontife ?
N’est-il pas urgent de réfléchir à ces questions dans une France qui voit la vie liturgique - et avec elle la vie de foi - s’effondrer dans des diocèses entiers ?
Réflexion d’une religieuse bénédictine qui a eu l’occasion de discuter avec plusieurs cardinaux : « Avec le Pape François, il n’y aura rien concernant la liturgie : il laissera les choses en l’état (…) »
C’est bien cela qui est inquiétant, et pas seulement pour l’Eglise de France. Que va devenir le patient effort entrepris par Benoît XVI ? Lex orandi, lex credendi…
Photo : Les deux papes, Benoît XVI et François, en prière dans la chapelle du couvent « Mater Ecclesiae », la nouvelle résidence du pape émérite. La disposition de l’autel laisse clairement voir que le Pape émérite Benoît XVI y célébrera la Messe « versus orientem ».
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Plain-chant sur Liège le samedi 11 mai : un double rendez-vous à ne pas manquer au Boulevard d’Avroy
Dixième anniversaire : un concert et une messe
L’Académie de Chant grégorien à Liège fête le dixième anniversaire de son existence. Depuis 2003, elle a accueilli plus de trois cents élèves dans ses cycles de cours annuels.
Pour célébrer l’événement elle organise le samedi 11 mai prochain à 16 heures un concert à l’église des Bénédictines (Boulevard d’Avroy, 54), suivi d’une messe célébrée selon le missel de 1962, à 18h en l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy,132), par l’abbé Jean-Pierre Delville, professeur à la faculté de théologie de l'Université catholique de Louvain (U.C.L.).
églises des Bénédictines (gauche) et du Saint-Sacrement (droite)
académie de chant grégorien à Liège
Au cours de cette double manifestation, l’Ensemble vocal « Psallentes ♀ » (dir. Hendrik Vanden Abeele, professeur aux Conservatoires de Leuven, Rotterdam et La Haye) et les trente-cinq élèves du cycle 2012-2013 de l’académie de chant grégorien à Liège(dir. Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers) illustreront le répertoire des chants de pèlerinage au temps des cathédrales (XIIe-XVe siècles).
Un thème : les chants de pèlerinage (XIIe-XVe siècles)
Au programme : plain-chant et déchant extraits du Codex Calixtinus (photo) de Compostelle (XIIe s.), du Livre Vermeil de Montserrat (XIVe s.), de l’office et de la messe de saint Jacques le majeur (graduel et antiphonaire de l’abbaye de Solesmes) et de l’office liégeois primitif de la Fête-Dieu (manuscrit de Tongres, XIIIe )
Une découverte : l’Ensemble « « Psallentes ♀ »
L’Ensemble « Psallentes ♀ » (photo)a vu le jour en 2007. Fondé et dirigé, comme sa
branche masculine, par Hendrik Vanden Abeele, cet Ensemble vocal est voué à l’interprétation des chants liturgiques du moyen âge. Il est composé de jeunes musiciennes professionnelles, particulièrement remarquées lors du dernier festival international de chant grégorien de Watou, en 2012. Le Festival des Flandres l’a inscrite à son programme pour 2013.
Aux orgues « Le Picard » (XVIIIe s.) des Bénédictines et Thomas du Saint-Sacrement on pourra aussi entendre Patrick Wilwerth (professeur au conservatoire de Verviers).
cliquez ici pour voir les affiches du concert et de la messe chantée
Entrée libre aux deux manifestations et à la réception de clôture
Pour des renseignements complets sur le programme, cliquez ici :
Journée grégorienne à Liège le samedi 11 mai 2013
Contacts : e-mail jpschyns@skynet.be ou tél. 04.344.10.89
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Libramont, 17-19 mai : découvrir le chant grégorien
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Liège, 11 mai : le plain chant à l'honneur
PLAIN-CHANT SUR LIEGE LE SAMEDI 11 MAI 2013
Concert à 16h, église des Bénédictines, Bd d’Avroy, 54
Grande messe chantée à 18h, église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy,
Au cours de cette double manifestation, l’Ensemble « Psallentes ♀ », dir. Hendrik Vanden Abeele, professeur aux Conservatoires de Leuven, Rotterdam et La Haye, chercheur à l’Université de Leyde et les trente-cinq élèves de l’académie de chant grégorien à Liège, cycle 2012-2013, dir. Stéphan Junker, professeur au Conservatoire de Verviers illustreront :
LES CHANTS DE PÈLERINAGE
AU TEMPS DES CATHÉDRALES
XIIe – XVe SIÈCLESen interprétant un florilège de mélodies grégoriennes, diaphoniques et polyphoniques extraites du Codex Calixtinus de Compostelle (XIIe s.), du Livre Vermeil de Montserrat (XIVe s.), de l’office et de la messe de saint Jacques le majeur (graduel et antiphonaire de l’abbaye de Solesmes), et de l’office liégeois primitif de la Fête-Dieu (Jean de Cornillon, 1246).
Aux orgues « Le Picard » (XVIIIe s.) des Bénédictines et Thomas du Saint-Sacrement : Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers.
Pour entendre l’Ensemble vocal féminin placé sous la dir. d’Hendrik Vanden Abeele, cliquez ici « Psallentes » ♀, et pour voir les affiches ici : affiches du concert et de la messe chantée.
Entrée libre aux deux manifestations et à la réception de clôture
Pour des renseignements complets sur le programme, cliquez ici :
Journée grégorienne à Liège le samedi 11 mai 2013
Contacts : e-mail jpschyns@skynet.be ou tél. 04.344.10.89
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Insolite
L’Italie n’a pas le monopole des manifestations du merveilleux dans la dévotion chrétienne. Jean-Pierre Snyers l’a constaté récemment, non loin de nos contrées, dans un petit bourg lorrain :
Sierck-les-Bains: charmante localité française de 1700 habitants située dans le département de la moselle, à un jet de pierre des frontières allemandes et luxembourgeoises. Dans cette petite cité médiévale, un mystérieux visage attire depuis plus d'un quart de siècle curieux et touristes en quête de sensationnel.
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France : un nouveau monastère bénédictin traditionaliste s’édifie près d'Agen.
C’est un essaimage de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux : Sainte-Marie de la Garde, à Saint-Pierre de Clairac, dans le Sud-Ouest, à 12 kilomètres d’Agen. Le prieuré grandit, dans la prière, le calme et la ferveur, comme nous l’avions vu faire au Barroux dans le Vaucluse, voici plus de trente ans par les premiers fils de Dom Gérard. Loin des agitations de l’Eglise et du monde. « Semper idem », un goût d’éternité.
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Malmedy: messe grégorienne du 1er dimanche du mois aux Capucins
MALMEDY
PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE
Célébrée en latin (missel de 1962) par M. l’abbé Claude Germeau,
Directeur du foyer des jeunes de Herstal et prêtre auxiliaire à l’église du Saint-Sacrement à Liège
DIMANCHE 5 MAI 2013 A 18 HEURES
EGLISE DES CAPUCINS
Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy
CELEBRATION DU CINQUIÈME DIMANCHE APRÈS PÂQUES
L'icône évoque la dernière rencontre de st Pierre avec le Christ ressuscité au bord du lac de Tibériade (Jn,21).
Propre grégorien de la messe « Vocem Iucunditatis »
Kyriale du Temps Pascal, Credo I
Motets : « Verbum Supernum » et « Ave Maria » polyphoniques (W.-A. Mozart, 1756-1791), Reine des Cieux, « Königin im Himmelreich »
A l’orgue : Michèle Baron et Léonard Aussems
Renseignements : L. Aussems tél. 080.33.74.85
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Liège, samedi 27 avril 2013 à 20h: le Choeur Universitaire de Liège à l'église Saint-Jacques
Considérée comme le deuxième point culminant des compositions sacrées de Mozart (1756-1791), apres ou a côté de son célèbre Requiem, cette messe en ut est écrite pour un double choeur, un quatuor de solistes (deux sopranos, ténor et basse) et un grand orchestre.
En 1re partie du concert : le psaume 113 “In Exitu Israel” de Jean-Noël Hamal également écrit pour double choeur, solistes et orchestre, cette oeuvre n'a plus été présentée chez nous depuis plus de 30 ans. C'est donc une (re)création qui a toute son importance car le compositeur Jean-Noël Hamal est un pur liégeois du 18e siècle (1709-1778). Cette œuvre écrite pour la musique à la cathédrale Saint-Lambert, est une petite merveille.
par le Choeur Universitaire de Liège, l'Ensemble instrumental Tempus Musicale, Julie Mossay, Margareth Sitniak, soprano, Nicolas Bauchau, ténor
Marc Tissons, basse, sous la direction de Patrick WilwerthÉglise Saint-Jacques à Liège, samedi 27 avril 2013 à 20h
Réservations
17€ (1re catégorie) et 22€ (2e catégorie) choeur@ulg.ac.be - 0498 42.34.17
FNAC - Belle-Île -
Chrétienté, réveille-toi !
Le Père Aidan Nichols, dominicain, est l'un des plus brillants théologiens britanniques actuels. Il est l'auteur prolifique d'une quarantaine de livres sur des sujets très variés, dont la pensée de Joseph Ratzinger. La publication deChristendom Awake a fait grand bruit dans le monde anglo-saxon, car ce livre programme invite l'Eglise à redynamiser toute la culture contemporaine, de l'architecture à la famille, de la philosophie à la spiritualité, ou de l'art à la politique. La sortie de son édition française était attendue. Les titres des chapitres sont autant d'appels à retrouver sa capacité de transformation et de renouvellement de toutes les activités humaines : réassocier foi et culture, réenchanter la liturgie, reconstituer une société de foyers, resacraliser la culture matérielle, repenser le féminisme, reconcevoir l'oecuménisme, reconquérir la Bible, recréer la vie religieuse, sauver les Saints Innocents, réimaginer l'Etat de chrétienté etc. C'est dans un dialogue permanent avec la culture contemporaine (y compris dans de ce qu'elle peut avoir de contestable) que le Père Aidan Nichols repense à frais nouveaux une nouvelle évangélisation intégrale (mais non intégriste). La « chrétienté » qu'il appelle de ses voeux n'est pas un rêve nostalgique d'un état historique disparu, mais une société qui prend au sérieux la Résurrection du Christ. (via "Chrétiens dans la Cité")
Chrétienté, réveille-toi !
Redynamiser l’Église dans la culture
Aidan Nichols o.p.
Ed. de L'HHomme Nouveau, 320 p., 28 €
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