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A l'occasion de son 10e anniversaire, l'archéoforum de la place Saint-Lambert à Liège se modernise. Vous pourrez dorénavant découvrir le site accompagné d'un Ipad qui vous délivrera des textes, commentaires, photos, films, et reconstitutions 3D. Vous pourrez notamment découvrir la reconstitution de la cathédrale St Lambert. Découvrez les premières images ci-dessus.
Les vestiges de quatre églises dédiées à saint Lambert ont été découverts lors des fouilles archéologiques. La 1ère église a été construite au début du 8e siècle, après la mort de saint Lambert. La 2e a été bâtie à la fin du 8e siècle. Lorsque Liège devient l’évêché. La 3e église a vu le jour aux environs de l’an mil, à l’initiative du prince-évêque Notger. En 1185, la 4e a été reconstruite suite à un incendie.
Deux tours jumelles, appelées aussi tours de sable, sont construites de part et d’autre de l’extrémité occidentale au milieu du 14e siècle. Une 3e tour sera ajoutée au sud-est. Elle abrite les cloches, dont la fameuse " Copareye ".
La cathédrale, appartenant au gothique français, avait des dimensions relativement modestes. L’édifice mesurait 96m sur 40m. Les tours jumelles atteignaient 60m, et la flèche de la grande tour orientale culminait à 130m.
Suite à l’embrasement révolutionnaire français arrivé à Liège, l’édifice de la cathédrale est démoli en 1794. Une destruction qui durera jusqu’en 1827 et le nivellement complet du site. Ce n’est qu’en 1907 que les fondations de la cathédrale ont été mises au jour. Ce sera le commencement de la redécouverte du passé millénaire de la cité…
Réf. Liège. Reconstitution de la Cathédrale St Lambert sur vidéo. Merci au correspondant et ami qui a attiré notre attention sur ce document.
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Lors de l'audience du mercredi 2 février 2011, Benoît XVI a consacré sa catéchèse à Sainte Thérèse de Jésus :
Chers frères et sœurs,
Au cours des catéchèses que j’ai voulu consacrer aux Pères de l’Eglise et aux grandes figures de théologiens et de femmes du Moyen-âge, j’ai eu l’occasion de m’arrêter également sur certains saints et saintes qui ont été proclamés docteurs de l’Eglise en raison de leur éminente doctrine. Aujourd’hui, je voudrais commencer une brève série de rencontres pour compléter la présentation des docteurs de l’Eglise. Et je commence par une sainte qui représente l’un des sommets de la spiritualité chrétienne de tous les temps: sainte Thérèse d’Avila (de Jésus).
Elle naît à Avila, en Espagne, en 1515, sous le nom de Teresa de Ahumada. Dans son autobiographie, elle mentionne elle-même certains détails de son enfance: la naissance de «parents vertueux et craignant Dieu», au sein d’une famille nombreuse, avec neuf frères et trois sœurs. Encore enfant, alors qu’elle n’avait pas encore 9 ans, elle a l’occasion de lire les vies de certains martyrs, qui lui inspirent le désir du martyre, si bien qu’elle improvise une brève fugue de chez elle pour mourir martyre et monter au Ciel (cf. Vie, 1, 4): «Je veux voir Dieu» déclare la petite fille à ses parents. Quelques années plus tard, Thérèse parlera de ses lectures d’enfance, et affirmera y avoir découvert la vérité, qu’elle résume dans deux principes fondamentaux: d’un côté, «le fait que tout ce qui appartient au monde ici bas passe» et de l’autre, que seul Dieu est «pour toujours, toujours, toujours», un thème qui revient dans la très célèbre poésie «Que rien ne te trouble,/ que rien ne t’effraie;/ tout passe. Dieu ne change pas:/ la patience obtient tout;/ celui qui possède Dieu/ ne manque de rien/ Dieu seul suffit!». Orpheline de mère à l’âge de 12 ans, elle demande à la Très Sainte Vierge de lui servir de mère (cf. Vie, 1, 7).
SOMMAIRE
Editorial : qu’est-ce qui est essentiel pour la foi ?
Secrétaires de Rédaction : Jean-Paul Schyns et Ghislain LahayeEditeur responsable: SURSUM CORDA a.s.b.l. , Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 LIEGE.La revue est disponible gratuitement sur simple demande :Tél. 04.344.10.89 e-mail : sursumcorda@skynet.beLes dons de soutien sont reçus au compte IBAN: BE58 0016 3718 3679 BIC: GEBABEBB de Vérité et Espérance 3000, B-4000 Liège |
C'est ce que l'on peut conclure à la lecture de ce qui suit et a été publié sur chiesa.espresso par le vaticaniste Sandro Magister :
TROIS RAISONS POUR UNE INQUIÉTUDE
Dans le domaine de la liturgie, le pape Bergoglio a pris jusqu’à maintenant deux décisions publiques.
La première est celle qui a fait le plus de bruit : l’interdiction faite à la congrégation des religieux franciscains de l'Immaculée de célébrer la messe selon le rite ancien :
> Pour la première fois François contredit Benoît
Cette interdiction a été perçue comme une limitation apportée à la liberté de célébrer la messe selon le rite ancien que le pape Benoît a donnée à tout le monde par le motu proprio "Summorum pontificum" de 2007.
L'intention du pape Ratzinger – exprimée dans une lettre adressée aux évêques du monde entier – était de rendre à la liturgie catholique la "splendeur de vérité" masquée par de très nombreuses innovations postconciliaires, grâce à un enrichissement réciproque des deux formes du rite romain, l’ancienne et la moderne.
En revanche l'opinion du pape François à ce sujet est plus restrictive. Dans l’interview qu’il a accordée à "La Civiltà Cattolica", il a déclaré que la possibilité de célébrer la messe selon le rite ancien est une simple concession à la nostalgie de "personnes qui ont cette sensibilité".
Bergoglio n’est pas tendre avec les traditionalistes. Dans la même interview, il a jugé "préoccupant le risque d’idéologisation du 'vetus ordo', son instrumentalisation". Et, en deux autres occasions, il les a qualifiés de partisans d’une "restauration d’attitudes et de formes dépassées qui, même au point de vue culturel, ne peuvent pas être significatives".
*
La seconde décision qui a été prise par le pape François dans le domaine de la liturgie a été de remplacer en bloc les cinq consulteurs du service des célébrations pontificales.
Alors que les consulteurs précédents étaient en harmonie avec la manière de célébrer de Benoît XVI, on voit au contraire réapparaître, parmi les nouveaux, quelques-uns des plus ardents partisans des innovations introduites pendant le pontificat de Jean-Paul II sous la direction de Piero Marini, qui était alors maître des cérémonies pontificales.
Qu’est-ce qu’une relique ? À quoi servent les reliques ? Comment s’est développé leur culte ? Quelles sont les grandes reliques vénérées en Europe ? D’un abécédaire à un dictionnaire des grandes reliques, sous des allures à la fois de manuel ou d’ouvrage scientifique universitaire, ce livre se propose de répondre à tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sujet.
Le Moyen Âge a vécu un long développement du culte des saints, qui imprègne les mentalités. Les reliques y ont joué un rôle considérable, car le saint est considéré comme présent et puissant par leur intermédiaire. Si les ossements sont les reliques par excellence, il existe toute une série d’autres reliques. Le Saint Suaire et la Sainte Croix sont bien connus, et les ostensions ou les pèlerinages séculaires gardent parfois actualité. Trop souvent ne fut retenu que l’aspect spectaculaire des reliques : leur trafic passe pour scandaleux à nos yeux. Mais le domaine de recherche est immense et les centres d’intérêt historique multiples. Les reliques sont des instruments de communication exceptionnels et leur puissance médiatique est profonde dans la société. Le culte des reliques traverse toutes les périodes de l’histoire, depuis l’Antiquité tardive ; il concerne le Christ et chaque saint, groupes de saints, à travers la dévotion vouée par les religieux comme par les laïcs. Les reliques sont devenues un nouveau et vrai champ historique.
La publication systématique des trésors d’églises en cours apporte de nouveaux documents. Ouvrir les châsses avec doigté archéologique permet d’en inventorier le contenu avec rigueur et d’en publier les résultats. Les sources écrites retrouvées éclairent parfois l’histoire d’un édifice religieux ou d’une œuvre d’art – le contenant, le reliquaire – et elles mentionnent des noms de saints, de lieux et de personnages, sans oublier leur intérêt paléographique évident. Les objets archéologiques les accompagnant sont divers. Ici se dessinent « les routes de la foi » et, plus largement, se révèlent les traces des contacts humains, un puzzle extraordinaire à reconstituer et qui sort largement du domaine strictement hagiologique. La circulation des biens et des personnes et les réseaux mis en place sont révélés par ces traces matérielles multiformes, qui concourent grandement à la connaissance du passé. Ici commence « le métier d’historien ».
LIEGE - EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
DIMANCHE 6 OCTOBRE 2013 À 10 HEURES MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS |
XXe Dimanche après la Pentecôte
Propre grégorien de la messe «Omnia quae fecisti »
Parmi toutes les messes dominicales de l’automne liturgique, celle-ci est certainement la plus recueillie, toute empreinte de la nostalgie du ciel et des douleurs de l’exil, avec l’offertoire extrait du célèbre psaume 136 qui évoque l’exil du peuple juif à Babylone : « super flumina Babylonis », sur les bords des fleuves de Babylone nous étions assis et nous pleurions, nos harpes suspendues aux saules tandis que nous évoquions ton souvenir, Sion. L’Alléluia, particulièrement beau, évoque, en regard de la peine, l’espérance : « paratum cor meum », mon cœur est prêt à recevoir le Seigneur à son retour ; nous touchons déjà les cordes pour célébrer l’éternel cantique de Pâques… |
SCHOLA DU SAINT-SACREMENT -
À L’ORGUE, PATRICK WILWERTH, Professeur au Conservatoire de Verviers
MALMEDY |
PREMIER DIMANCHE DU MOIS - PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE
Célébrée en latin (missel de 1962) par M. l’abbé Jean SCHOONBROODT, Chapelain au Sanctuaire de Banneux et à l’église du Saint-Sacrement à Liège
DIMANCHE 6 OCTOBRE 2013 A 18 HEURES EGLISE DES CAPUCINS Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy |
CELEBRATION DU VINGTIEME DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE
Propre grégorien de la messe « Omnia qua fecisti nobis, Domine » (Seigneur, tout ce que tu as fait pour nous) et Kyriale XI « Orbis factor » Motets polyphoniques « Panis angelicus» (Claudio Casciolini, 1697-1760) et « Jesu, Salvator Mundi » (Menegali, circa 1700) Cantiques « Tandis que le monde proclame »» et «Maria zu lieben» Schola des capucins - A l’orgue : Michèle Baron et Léonard Aussems |
Renseignements : L. Aussems tél. 080.33.74.85
L'oeuvre majestueuse de l'architecte et Serviteur de Dieu Antonio Gaudi (ci-dessous) va-t-elle enfin aboutir ? Débutés en 1882, les travaux de construction de la Sagrada Familia (Barcelone) devraient toucher à leur fin en 2026. S'il faudra encore attendre treize ans avant de voir l'oeuvre de Gaudi, la magie de la technologie nous permet de découvrir ce à quoi ressemblera la célèbre basilique, monument phare de la capitale catalane.
En 1mn30, la vidéo effectue un tour complet du bâtiment, partant de ce à quoi il ressemble actuellement pour arriver au résultat final. Les travaux de la Sagrada Familia ont été interrompus à la mort de Gaudi, en 1926, avant d'être repris puis arrêtés par différents architectes. Le chantier, placé sous la direction de Jordi Bonet i Armengol, n'a plus été interrompu depuis 1987.
Le procès de béatification d'Antonio Gaudi a été ouvert en 2000.
Nous en avions déjà parlé ici L'abbaye de Fontgombault reprend l'abbaye Saint-Paul de Wisques et l’essaimage se concrétise cet automne, aux portes de la Belgique :
« Depuis le mois de janvier dernier, tous les deux mois environ, les frères de Fontgombault destinés à venir en aide à notre communauté sont venus, par équipe de quatre, passer trois semaines-un mois chaque fois, à l’Abbaye Saint Paul, en vue de préparer leur arrivée définitive. C’est ainsi que l’orgue de la chapelle vient d’être restaurée, grâce à la générosité de l’Association des Amis de Wisques.
L’arrivée des frères est fixée au Jeudi 10 octobre prochain. Dom Jean Pateau, Abbé de Fontgombault, accompagné de son prédécesseur, Dom Antoine Forgeot, conduira les 13 frères qu’il a choisis pour mener à bien la reprise de notre Abbaye.
À 9 h 45 notre évêque, Mgr Jaeger, présidera la messe où les prêtres des deux communautés concélébreront. Tous les fidèles qui le désirent pourront assister à cette eucharistie et s’unir à notre prière.
Par la suite, mais en privé, dans la salle du Chapitre, le Père Abbé de Solesmes, Dom Philippe Dupont, supérieur général de la Congrégation bénédictine de Solesmes, nommera Dom Jean Pateau, Abbé de Fontgombault, comme « Abbé administrateur de l’Abbaye Saint Paul ». Et il reviendra à ce dernier d’organiser le monastère en donnant à chacun de ses moines les diverses charges nécessaires à la bonne marche de l’Abbaye.
A compter du Vendredi 11 octobre, l’Abbaye Saint Paul adoptera les us et coutumes de l’Abbaye de Fontgombault ; en particulier la messe selon le ‘Rite extraordinaire’.
La communauté se recommande à vos prières et vous assure des siennes. »
Réf. : Wisques (Nord Pas-de-Calais) arrivée des frères de l’Abbaye Notre Dame de Fontgombault
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