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  • Quand les GAFAM et autres NATU prennent le pouvoir

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    De sur l'Incorrect :

    LE COUP D’ÉTAT DES GAFAM

    Il n’y a pas eu de coup d’État aux États-Unis. L’assaut du Capitole par les partisans de Donald Trump n’aura point renversé la première démocratie du monde. D’aucuns pensent que le véritable coup d’État de ces derniers jours tient en la prise du pouvoir par les GAFAM et autres NATU, acronymes désignant les géants de la Silicon Valley. Ce serait méconnaître l’histoire récente, tant ces entreprises dominent déjà le monde sans partage.

    Qui n’utilise pas Facebook, Twitter, Amazon, Instagram ou YouTube ? Nos vies ont été bouleversées par l’apparition de ces compagnies informatiques américaines, en un peu moins d’une vingtaine d’années. Les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla et Uber), nouvelles têtes de pont de la « disruption numérique », et les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft), sont aujourd’hui des acteurs déterminants, habituellement plus conscients que les décideurs politiques de l’ampleur de la révolution technologique à l’œuvre, des changements anthropologiques que provoque la connexion en temps réel de la planète entière. Comme le note l’économiste Paul Veltz, « les apports du numérique sont d’une autre nature que ceux de l’automobile ou de l’électroménager, par exemple. Ils sont davantage comparables, par leurs implications ubiquitaires, à ceux de l’imprimerie », soulignant leur dimension proprement « disruptive » ou révolutionnaire.

    Google affiche désormais une capitalisation de plus de 1 000 milliards de dollars. Les bénéfices enregistrés par Alphabet, maison mère de Google, sont supérieurs aux PIB de plus d’une centaine d’États. En 2017, Amazon dépensait 22,6 milliards de dollars en recherche et développement, soit plus que des pays comme Israël ou la Corée du Sud. Mais ce n’est pas le poids économique délirant de ces champions du numérique qui doit nous inquiéter le plus, leur position monopolistique et notre dépendance étant des questions autrement pressantes. L’Union européenne, au contraire de la Chine ou de la Russie qui ont su développer des alternatives aux services américains, est une véritable colonie numérique américaine. Nous sommes soumis à des entreprises « hors limites » qui tiennent l’information, le commerce en ligne ou la production de logiciels.

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  • USA : un coup d'état qui ne dit pas son nom ?

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    De François Martin (journaliste et conseiller municipal) sur Smart Reading Press :

    LE COUP D’ÉTAT AMÉRICAIN

    Sous réserve qu’il agisse d’ici le 20 janvier à midi, dans un dernier coup de poker – et cela reste possible, puisqu’il sera le légitime président des États-Unis jusque-là –, Donald Trump n’aura pas réussi son pari. Pour autant, il y a bien eu un coup d’État pendant l’élection présidentielle américaine, mais ce n’est pas celui que l’on pense.

    De ce que les événements nous montrent jusqu’à présent, et malgré la tentative acharnée (mais tout à fait constitutionnelle) de Donald Trump pour démontrer la fraude à l’occasion de l’élection présidentielle américaine, normalement les jeux sont faits : Joe Biden devrait être le 20 janvier prochain le prochain président des USA.

    DE GRAVES SOUPÇONS DE FRAUDE

    Il est à remarquer que toute la fin de la campagne1 a été entachée par les soupçons de fraude. Il est très étonnant que la presse française ait traité cette question à la légère, en ressassant le leitmotiv d’un président «enfantin et mauvais perdant», qui «s’accroche au pouvoir» et «ne veut pas partir».

    Il eût été à tout le moins juste et honnête de se demander si ces allégations étaient purement fantaisistes ou si elles avaient des chances d’être vraies. Un examen, même superficiel, de la situation aurait permis de voir qu’elles étaient multiples et très importantes, concernant par exemple l’arrêt brusque des comptages pendant la nuit du vote dans les «swing states2», pour ressurgir ensuite avec des «paquets» de dizaines de milliers de votes Biden d’un seul coup, ou bien les bulletins photocopiés ou achetés en Chine (et livrés au Canada et au Mexique), les livraisons de camions de bulletins d’un État à un autre (avouées par un chauffeur), ou encore le vote multiple, celui des morts, des étrangers à l’État concerné ou au pays. Mais aussi la fraude aux adresses, et surtout la fiabilité plus que douteuse des machines de vote Dominion3, les liens financiers de la société propriétaire de Dominion avec la Chine, le décompte de bulletins hors de la vue des scrutateurs républicains4, ou encore le «don» de Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, de 500 millions d’USD (on lit bien…) aux fonctionnaires des bureaux de vote5 pour, supposément, «améliorer et moderniser le processus de vote»…


    Dans presque tous les cas, les cours de justice n’ont même pas examiné les preuves de fraude du camp Trump, mais simplement rejeté les demandes.


    Toutes ces allégations de fraude ont été compilées dans de multiples rapports, dont l’un, le rapport Navarro, fait une synthèse complète6. Il est tout de même étonnant que jamais la presse française n’en ait fait état, et que ce rapport n’ait même pas été traduit en français… Il est extrêmement curieux qu’elle se soit contentée de dire que, lors des presque soixante procès intentés, le camp Trump «n’apportait pas de preuves» de ses allégations, sans vérifier que, dans presque tous les cas, les cours de justice n’avaient même pas examiné les dites preuves (ni le FBI diligenté les enquêtes), mais simplement rejeté les demandes7 au motif qu’elles comportaient des vices de forme ou que les délais était trop courts.

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  • Une nouvelle saison d’études sur l'action de Pie XII en faveur des Juifs

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    D' sur zenit.org :

    « La liste de Pie XII » : L’Osservatore Romano salue « une nouvelle saison d’études »

    Dévoilement des Archives historiques de la Secrétairerie d’État

    Le quotidien du Vatican évoque deux « cas » parmi les « histoires des très nombreux juifs qui s’adressèrent au Vatican, pendant la seconde guerre mondiale » pour solliciter l’aide et la protection du pape. Le premier récit précise que « Pie XII lut personnellement la lettre ». Le second met en lumière « une perspective intéressante », à savoir que l’homme qui adressait sa requête au pape considérait Pie XII « comme l’unique autorité encore en mesure d’intervenir avec succès dans un cas humanitaire aussi complexe et surprenant ».

    Voici notre traduction de l’article publié dans L’Osservatore Romano en italien.

    HG

    « La liste de Pie XII » (de Matteo Luigi Napolitano)

    Transgresser les ordres venus d’en-haut transforme l’ancien adage latin en son contraire : ubi minor maior cessat. Les documents du Vatican en fournissent un exemple paradoxal. Pendant la seconde guerre mondiale, le gouvernement slovaque offre la charge de conseiller d’État à Mgr Ján Voitaššak ; or l’évêque de Spiš avait des sympathies nazies. En raison de son rôle, l’évêque devrait refuser, mais il accepte, demandant le consentement de Pie XI seulement après les faits.

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  • L'actualité du message de Banneux

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    De KTO :

    A Banneux, non loin de Liège, en Belgique, la Vierge est apparue entre le 15 janvier et le 8 mars 1933. Le message de celle qui se présente comme "La Vierge des pauvres" est simple et puissant : "Je viens soulager la souffrance". KTO a choisi de retransmettre ce vendredi 15 janvier, date anniversaire, la messe depuis Banneux suivie d'un entretien avec le recteur du sanctuaire, le Père Leo Palm. Il raconte brièvement ces apparitions et explique leur forte consonance avec l'actualité et l'attention que le pape nous invite à porter aux plus pauvres.

  • 13 chrétiens tués par jour pour leur foi

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    De  sur le site du Figaro :

    La persécution des chrétiens dans le monde s’aggrave

    Selon un rapport, le nombre de tués en raison de leur foi a augmenté de 60 % en 2020.

    Année après année, les statistiques publiées par l’association protestante évangélique Portes ouvertes, membre de la Fédération protestante de France et présente depuis 66 ans dans 70 pays pour aider les chrétiens persécutés, laissent un goût amer. Son «Index mondial de persécution des chrétiens», portant sur les chiffres de 2020 et publié le 12 janvier, montre que le nombre de chrétiens tués en raison de leur foi est passé de 2.983 à 4.761, soit une augmentation de 60 %. «Sur un plan mondial, cela fait 13 chrétiens tués par jour pour leur foi», commente l’un des responsables de l’association.

    Avec un terrible record, au Nigeria, où 3.520 chrétiens ont été assassinés en une année. Ce pays est en proie aux islamistes de Boko Haram et à la radicalisation des Fulanis, un peuple de bergers nomades majoritairement musulmans, surnommés les Peuls. «91 % des chrétiens tués l’ont été sur le continent africain en 2020», souligne l’association. C’est «la montée en puissance des groupes djihadistes en Afrique subsaharienne» qui explique cette forte augmentation des chrétiens tués en 2020, car ces mouvements «ont profité des mesures prises pour lutter contre l’épidémie de Covid pour étendre leurs champs d’opération».

    Si les églises, autre élément statistique, ont été moins ciblées en 2020, passant de 9.488 à 4.488, cela vient du fait que l’année 2019 avait atteint un sommet en la matière, par destruction pure et simple, par fermeture administrative ou par élimination des croix. La palme des attaques contre les églises revient cette année à la Chine. L’index recense 3.088 églises ciblées dans ce pays en 2020, pour 5.576 en 2019. «Nombre d’églises fermées n’ont pas rouvert cette année, précise Portes Ouvertes, il y a donc moins de “cibles”.» Quant à ces «attaques», elles vont «de l’obligation d’enlever les croix, souligne le rapport, à la destruction complète.Près de 18.000 églises ont été ciblées depuis sept ans en Chine».

    Enfin, troisième indice annuel, celui des chrétiens emprisonnés «arbitrairement» pour leur foi: ils sont passés de 4.811 en 2019 à 4.277 en 2020, soit une légère baisse. L’association conclut: «Plus de 340 millions de chrétiens ont été fortement persécutés ou discriminés en raison de leur foi dans les 50 pays répertoriés.» Elle ajoute - à partir de critères très précis et maintenant rodés depuis plus d’une décennie - que «la violence antichrétienne a subi une intensification de 10 % par rapport à 2019».

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  • Les Belges d'origine belge : une espéce en voie d'extinction ?

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    Du site "Pour un école libre au Québec" :

    15 Jan 2021

    La population de la Belgique au 1er janvier était de 11 492 641 habitants, celle de la Flandre était de 6 629 143, de la Région de Bruxelles-Capitale nationale de 1 218 255 et enfin de la Wallonie de 3.645.243 habitants.

    Statbel, l’office belge de statistique, publie une nouvelle statistique sur l’origine de la population belge. Au 1er janvier 2020, la population belge se composait comme suit : 67,9 % de Belges d’origine belge, 19,7 % de Belges d’origine étrangère et 12,4 % de non-Belges. Cela représente respectivement 7 806 078, 2 259 912 et 1 426 651 habitants.

    En 2011, ces pourcentages étaient de 74,3 %, 15,5 % et 10,2 %, respectivement.

    En Région de Bruxelles-Capitale, la part des Belges d’origine belge est de 25,7 %, les Belges d’origine étrangère y représentent 22,9 % de la population. Quant aux personnes de nationalité étrangère, leur part à Bruxelles grimpe à 35,3 % alors qu’elle se situe à 10,4 % en Wallonie et 9,3 % en Flandre.

    Sont considéré Belges d’origine belge, les personnes qui sont actuellement Belges, sont nées Belges et dont les parents sont nés Belges. 

    Les Belges issus de l’immigration et les non-Belges à 60 % non européens à Bruxelles

    Les Belges d’origine étrangère et les non-Belges se répartissaient comme suit entre les groupes de nationalité. 20,5 % appartenaient au groupe de nationalité d’un pays voisin, 28,2 % au groupe de nationalité de l’Union européenne UE27 (à l’exclusion de la Belgique et des pays voisins) et 51,3 % au groupe de nationalité hors UE27. Quelques autres constatations intéressantes au niveau des régions :

    • La Région flamande semble avoir une plus faible proportion de personnes ayant comme groupe de nationalité d’origine l’UE27 (à l’exclusion de la Belgique et des pays voisins) : 20,7 % contre 28,2 % au niveau national. Dans le même temps, la Flandre a une part plus importante de personnes dont la nationalité d’origine se situe en dehors de la zone UE27 : 56,9 % versus 51,3 % au niveau belge.
    • On observe le schéma inverse en Wallonie ; une part plus importante issue d’un pays de l’UE27 : 39,6 % et une part plus faible issue d’un pays situé en dehors de la zone UE27, à savoir 37,4 %.
    • La Région de Bruxelles-Capitale a la plus faible proportion de personnes issues d’un pays voisin : 13,7 % contre 20,5 % au niveau national. Cette région affiche également la plus forte proportion de personnes dont la nationalité d’origine se situe en dehors de la zone UE27 : 60,7 % contre 56,9 % en Flandre et 37,4 % en Wallonie.

    ` La proportion des extra-Européens augmente lentement de recensement en recensement : 

    • Ces 10 dernières années, la part de personnes appartenant au groupe de nationalité des pays voisins a légèrement diminué : de 23,8 % en 2011 à 21,9 % en 2016 et à 20,5 % en 2020. À l’inverse, on observe une légère augmentation du groupe de nationalité d’origine en dehors de la zone UE27, qui passe de 47,6 % en 2011 à 49,3 % en 2016 pour atteindre 51,3 % en 2020.
    • La part du groupe d’origine belge d’origine étrangère avec une première nationalité enregistrée belge et dont les deux parents ont une première nationalité enregistrée étrangère a légèrement augmenté de 9,5 % en 2011 à 12,3 % en 2020 et est principalement tirée vers le haut par des personnes du groupe de nationalité d’origine en dehors de l’UE27.

      Les Belges nés belges sont plus vieux que la population moyenne

    Dans les différents groupes d’origine, la proportion d’hommes et de femmes semble être répartie équitablement. La répartition est moins égale en ce qui concerne l’âge. La part de Belges d’origine belge augmente clairement avec l’âge : elle atteint 54,3 % chez les 0-17 ans, 66,3 % chez les 18-64 ans et 87,3 % chez les plus de 65 ans.La part des non-Belges est la plus élevée chez les 18-64 ans, à savoir 14,6 %. Ils sont suivis par les 0-17 ans avec 11,6 % et les plus de 65 ans avec 6,4 %. 

    Pyramide des âges

     

    À noter qu’il y a relativement peu de jeunes non belges, les enfants des Non-belges étant pour la plupart des Belges d’origine étrangère, l’accession de la nationalité belge étant très facile.
     Source : Statbel
  • Crèche... (suite) : offices de l'étoile et de la circoncision du Seigneur (feuillets pour le temps du confinement)

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