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  • Pouvons-nous apprendre de l’histoire ?

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    De David Engels sur le Tagespost :

    Pouvons-nous apprendre de l’histoire ?

    Les Polonais ont décidé de s'adapter à la situation idéologique et politique de l'Europe occidentale, explique David Engels.

    28 octobre 2023

    La Pologne a voté - et si le PiS reste le parti le plus fort en termes absolus malgré deux législatures au pouvoir (une première dans l'histoire de la Pologne), le taux de participation élevé n'a finalement pas joué en sa faveur. L’opposition précédente a obtenu une majorité confortable pour prendre le pouvoir et, plus important encore, un climat est apparu en Pologne qui rend impossible aux partis de gauche et de droite du PiS de conclure une alliance avec elle.

    Quiconque préférait voter pour un parti autre que le PiS le faisait en sachant pertinemment qu'il votait contre l'ancienne orientation patriotique-chrétienne-sociale et qu'il promouvait plutôt une coalition de partis dont l'idéologie pouvait être décrite au sens le plus large comme celle de la gauche verte. -libéral pas tout à fait différent du feu tricolore allemand. Cette impression d'abandon délibéré de la voie précédente est renforcée par le fait que seulement 40 pour cent des Polonais ont participé au référendum, qui a eu lieu en même temps que les élections, même s'il s'agissait de questions fatidiques comme l'acceptation de l'immigration de masse, l'abandon de la libéralisation « sauvage » de l'après-communisme ou l'abaissement de l'âge de la retraite. Quelle que soit la manière dont vous voulez tourner les choses : les Polonais ont décidé de s'adapter à l'état idéologique et politique actuel de l'Europe occidentale, et même s'ils ont reçu une aide (non) douce à travers les sanctions de l'UE et le barrage médiatique de gauche libérale, cette décision a eu lieu mais en grande partie volontaire.

    Perte de crédibilité

    Cela soulève une fois de plus une question centrale en philosophie de l’histoire, à savoir : peut-on apprendre de l’histoire ? Quiconque s’intéresse à la Pologne devra probablement répondre à cette question par la négative. Malgré la transformation effrayante de l’Europe occidentale à travers les migrations de masse, la polarisation sociale, l’éclatement des familles, le matérialisme et le super-État européen, les Polonais ont opté pour un nouveau gouvernement qui ne veut plus entraver le « compromis migratoire » européen et entend lancer une nouvelle vague. de libéralisation, toutes les questions de genre - et approuve l'idéologie LGBTQ, veut repousser encore plus l'influence déjà affaiblie de l'Église et promet de se soumettre enfin aux directives de Bruxelles.

    Bien sûr, le gouvernement sortant a perdu une partie de sa crédibilité à cause de nombreuses erreurs qu’il a commises en défendant pleinement les valeurs qu’il est censé défendre, mais cette dissonance cognitive n’est qu’une faible justification du volte-face qui s’opère actuellement. .

    Il faut plutôt souligner que la « grande transformation » de l’Occident fait partie d’une dynamique culturelle inévitable à laquelle toute notre civilisation est soumise et qui, grâce aux smartphones, au consumérisme et aux médias de masse, pénètre jusque dans les coins les plus reculés de l’Europe. et bien sûr le monde.

    Vous ne pouvez évidemment apprendre que de vos propres erreurs, pas de celles des autres, même si les enseignants et le destin veulent raccourcir ce chemin.

    Apparemment, cela s'applique aussi à l'histoire : aussi déprimantes que soient les images des banlieues parisiennes, les cuisines des sans-abri de Charleroi, les crèches de Berlin, le système audio Netflix d'Hollywood ou les salles de réunion bruxelloises, il semble que ces tendances soient désormais des changements doivent également être répétés à Varsovie avant qu'une véritable réflexion à long terme puisse avoir lieu ici aussi - s'il n'est pas trop tard alors...

  • France : quand Macron s’occupe activement d’inscrire le droit à l’IVG dans la Constitution

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    De Chantal Delsol sur le site du Figaro (via le site Memorabilia) :

    Chantal Delsol: «L’IVG dans la Constitution ou le triomphe de la posture morale»

    12/03/2023,  mis à jour  le 29 octobre 2023

    TRIBUNE – Alors qu’Emmanuel Macron a annoncé ce dimanche son intention de présenter un projet de loi pour «graver dans notre Constitution la liberté des femmes à recourir à l’IVG», nous republions ce texte. Dans un pays où le droit à l’avortement n’est aucunement menacé, une telle mesure sociétale ne relève que de la posture, estime la philosophe.


    Chantal Delsol est membre de l’Institut.


    Alors que l’école et l’hôpital, ces deux piliers de notre vie commune, sont l’un et l’autre en état de mort cérébrale et réclameraient d’urgence des réformes radicales, le président Macron, au lieu de cela, s’occupe activement d’inscrire le droit à l’IVG dans la Constitution.

    Comme ces réformes dites sociétales ont bon dos! Elles ne coûtent pas un sou, elles sont applaudies par la rue et par la ville, et elles attirent une gloire de carton sur leurs auteurs, convaincus dès lors d’avoir terrassé les dragons de la Réaction. On entendra des discours vibrants de triomphe historique et si nous avons encore des foules d’adolescents analphabètes et des lits d’hôpitaux raréfiés, nous aurons au moins écrasé l’Infâme. Tout cela est tellement français.

    On peut penser que cette décision est de bonne guerre dans le combat interminable que livre la modernité contre l’ancienne morale chrétienne. Certains événements récents ont conduit à cette décision. Profitant de la législation décentralisée des pays fédéralistes, des États américains reviennent sur la légalisation de l’IVGOn s’aperçoit donc, avec stupéfaction, et dans les rangs progressistes, avec effroi, que la roue de l’Histoire n’est pas forcément une roue crantée: il arrive que des peuples désirent «revenir en arrière».

    Or le droit à l’IVG est considéré comme une conquête essentielle de la postmodernité. Afin d’éviter la menace des retournements américains, la seule solution est d’inscrire ce droit dans la Constitution. Même si, bien sûr, il n’y a pas de menace de ce genre en France, d’abord parce que la France est un pays centralisé où une région ne saurait se donner sa propre loi, ensuite parce que les opposants à l’IVG n’y représentent, contrairement à la situation américaine, qu’un infime pourcentage.

    Au fond il y a chez les postmodernes occidentaux une grande peur du retour en arrière, un cauchemar du triomphe réactionnaire revenu. Nous nous trouvons dans l’ambiance du «pas de liberté aux ennemis de la liberté». Il ne faut pas croire cependant que les lois devraient aller toujours dans le sens de la plus grande liberté. Il faut seulement comprendre que ce sont les progressistes postmodernes, et eux seuls, qui décrètent les allées et venues de la liberté – complaisance pour la pédophilie dans les années 1970, criminalisation de la pédophilie aujourd’hui.On peut s’étonner de constater que la liberté de pensée est si mal accueillie en Europe. La diversité d’opinions est plus grande entre les États américains qu’elle n’a le droit de l’être entre les pays d’Europe

    Au-delà des circonstances, que signifie cette constitutionnalisation? Essentiellement, que le débat est clos ; fermez le ban ; on ne discute plus de ce sujet, on ne tolère plus le débat. C’est une décision d’intolérance.

    Et cette situation dépasse le cadre français. On peut s’étonner de constater que la liberté de pensée est si mal accueillie en Europe. La diversité d’opinions est plus grande entre les États américains qu’elle n’a le droit de l’être entre les pays d’Europe. La Hongrie d’Orban est détestée et constamment vilipendée pour ses lois conservatrices et notamment celles qui protègent la famille, et la Pologne subit le même sort parce qu’elle interdit l’IVG. En Amérique, on n’est pas contraint de suivre en tout point une pensée pure de l’Oncle Sam, mais en Europe, il faut penser exactement comme Bruxelles, faute d’être considéré comme un méchant canard, toujours menacé de perdre ses droits. Autrement dit, l’Europe institutionnelle est, du point de vue des opinions, plus centralisée qu’un pays fédéral.

    D’où vient donc que l’Europe soit devenue (il faut le dire, sous l’impulsion majeure de la France) ce bastion d’intolérance? Pourquoi n’aurait-on pas la liberté de mettre en cause certaines clauses ou conditions de l’IVG? Pourquoi n’a-t-on pas le droit de penser et de dire que l’interruption médicale de grossesse, qui s’étend jusqu’à neuf mois, peut alors être considérée comme un infanticide? Serait-il criminel de croire, et de dire, que la dignité d’un embryon déjà formé passe avant la volonté individuelle de sa mère? Que la dignité d’un être humain ne serait pas une affaire extérieure, dépendant seulement de l’attention qu’on veut bien lui prêter, mais une qualité intérieure, indépendante des circonstances? Ne serait-ce pas là une question qui se discute, dont on peut parler, même si l’opinion régnante n’est pas de ce côté?

    Le conflit autour de ces questions sociétales est si violent, l’enjeu en est si primordial, que nul ne parvient à cet égard à une politique d’équilibre et de prudence. Dans un pays comme la Pologne, où a été élu un gouvernement anti-IVG, la radicalité des mesures prises les rend, à mon sens en tout cas, indéfendables. On oscille d’un excès à l’autre. C’est une guerre de civilisation, voilà pourquoi. Dont la liberté de pensée s’avère la victime sacrificielle.

    La tolérance, telle que décrite par Locke et par d’autres, n’avait pas seulement pour fondement l’incertitude face à la vérité ; mais aussi et peut-être surtout, la glorification de la «personne» à laquelle on doit laisser sa conscience et ses raisons. On ne trouve pas cette grandeur de la tolérance dans d’autres cultures que la nôtre. À l’heure où nous parlons, l’idée est pourtant en grand danger. La philosophie occidentale aurait à repenser le statut de la tolérance. Faut-il croire que, comme le disent les héritiers de l’Inquisition, «il y a des maisons pour ça»? Les artisans même des Lumières, devenus les fanatiques des Lumières, ont renoncé à appliquer la tolérance au nom du «pas de liberté pour les ennemis de la liberté», devenant eux-mêmes de ce fait des ennemis de la liberté. Seule l’Amérique demeure à ce jour capable de laisser parler les adversaires, de leur faire une place dans le débat public, et de leur permettre d’ériger leurs lois s’ils sont majoritaires. Quant à la France, pays de Robespierre et resté si robespierriste, elle s’étale dans la posture morale (c’est-à-dire l’imposture): déclamant sur la liberté et la tolérance à longueur de décennies, et privant de liberté ses adversaires.

  • Le Synode est fini et la grande question demeure : qu'aura-t-il apporté à l'Église ?

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    D'Andrea Gagliarducci sur le Monday Vatican :

    Le pape François à la recherche d'une méthode synodale

    30 octobre 2023

    À l'heure où nous écrivons ces lignes, le document de synthèse de la première partie du Synode sur la synodalité n'a pas encore été publié. Cependant, la Lettre au Peuple de Dieu a été mise en ligne. Plusieurs conférences de presse ont mis en évidence les différentes positions. Il y a eu des débats. Nous pouvons donc au moins essayer de résumer cette expérience synodale, en essayant de comprendre ce que signifie être à la recherche d'une méthode.

    Si l'on entend par méthode synodale la consultation de l'ensemble du peuple de Dieu, ou du moins de larges segments représentatifs de celui-ci, cette méthode existait déjà.

    Les congrégations vaticanes et les conseils pontificaux, comme on les appelait, étaient composés de membres, de fonctionnaires et de conseillers (consultori), souvent des laïcs qui étaient consultés chaque fois qu'il y avait un problème particulier à analyser. Les membres sont toujours des cardinaux et des archevêques ; les fonctionnaires peuvent également être des laïcs, de même que les conseillers, choisis parmi les meilleurs experts en la matière.

    Le pape François a souhaité que des laïcs soient sélectionnés comme membres des départements, interprétant leur appartenance comme celle d'une sorte de "conseil d'administration" et considérant la question de l'inclusion des laïcs comme un "fossé entre les sexes". Mais là n'était pas la question. Les membres étaient des évêques parce qu'ils devaient gouverner en communion hiérarchique avec le pape, lui aussi évêque. Les consultants étaient en fait le peuple de Dieu qui participait aux décisions, qui était impliqué.

    Si l'on entend par méthode synodale ce nouveau modèle d'assemblée, déjà testé à petite échelle lors du consistoire d'août 2022 sur les réformes de la Curie, il s'agit bien d'une nouvelle méthode mais aussi d'une méthode problématique.

    Personne n'a de vision générale des sujets. Tout le monde est divisé en groupes et traite d'un thème particulier. Ils le font en profondeur, c'est vrai, mais ils n'ont pas de vision générale des choses. C'est une sorte de réforme positiviste de la structure de l'Eglise.

    Je l'appelle structure positiviste parce que le positivisme crée la différenciation des sciences, la fragmentation et le détail au lieu du global. Il s'agit d'une réforme que l'on peut observer dans de nombreux détails. Par exemple, dans la manière dont le pape François a réformé la Congrégation (aujourd'hui Dicastère) pour la Doctrine de la Foi, avec quatre bureaux indépendants et un bureau disciplinaire très structuré, mais qui traite la discipline comme un but en soi. Auparavant, même les mesures disciplinaires devaient découler d'une vision globale et partagée qui incluait les questions de foi. Aujourd'hui, la sanction passe avant l'explication de la foi.

    Le fait est que, dans le désir de créer une Église plus ouverte, l'Église est assimilée à une association, une "ONG miséricordieuse", comme le dit le pape François.

    La synodalité devient donc synonyme de création d'une para-démocratie dans laquelle les majorités peuvent être manipulées. Il y avait aussi cette idée au Concile Vatican II lorsque les participants étaient regroupés en petits lobbies. Mais au Concile, tout a été surmonté avec le principe de communion et surtout avec une vision chrétienne claire. Et puis il y a eu les papes, en particulier Paul VI, qui ont voulu que les ouvertures du Synode s'insèrent dans la tradition de l'Église et non pas contre la tradition de l'Église.

    Ce n'est pas un hasard si l'on a souvent parlé de communion, et la recherche d'une méthode devrait également déboucher sur un modèle communautaire. Il reste à déterminer comment cela peut fonctionner. On a parfois l'impression qu'il n'y a pas de véritable discussion. Mais il en a été ainsi dans d'autres circonstances, comme avec les statuts internes présentés au Conseil des cardinaux qui avaient déjà été approuvés par le Pape, sans un minimum de discussion. Il faut trouver un équilibre entre les différentes positions.

    En quoi peut consister la méthode synodale ? Jusqu'à présent, le discernement personnel a été dramatiquement mis en avant, avec la prière et les espaces vides qui servent à comprendre les raisons de l'autre dans une recherche du politiquement correct et de l'absence de conflit, ce qui ne peut pas donner de bons résultats. À tout le moins, il n'y a pas de décisions claires.

    Par exemple, le cardinal Christoph Schoenborn, archevêque de Vienne, a déclaré que le pape déciderait de l'éventuelle bénédiction des couples homosexuels, mais que l'Église ne peut en aucun cas exclure qui que ce soit. L'archevêque de Belgrade, Laszlo Nemet, va jusqu'à dire qu'il aurait fallu parler davantage des abus. Les autres thèmes abordés sont ceux de notre époque, de la paix aux migrations.

    Est-ce que c'est cela que le Synode doit aborder ? Ou bien le Synode est-il appelé à fournir des outils doctrinaux et pratiques sur l'orientation à donner à l'Église afin que personne ne se sente exclu ?

    Regarder les signes des temps est une approche légitime, et c'est devenu une façon de se regarder soi-même. Il n'est donc pas surprenant que le Synode sur la communion, la participation et la mission n'ait pas fait beaucoup parler de lui, sauf dans certains médias catholiques, alors que tout était concentré sur ce qui était tangentiel au Synode, des demandes de paix aux questions de migration.

    C'est une limite que l'on retrouve également dans la Lettre au Peuple de Dieu, qui s'affaiblit dans sa recherche d'inclusion et ne laisse que vaguement émerger l'idée de structurer un chemin pour le prochain Synode. Qui sait s'il s'agit d'un choix délibéré, avec l'idée de reporter la discussion à l'année prochaine, ou s'il s'agit plutôt d'une décision dictée par les événements.

    À la fin du Synode, la grande question demeure : qu'aura-t-il apporté à l'Église ? Certains disent qu'il n'est pas nécessaire d'obtenir quoi que ce soit et qu'il est toujours agréable de converser. Mais converser, c'était déjà fait avant. Alors, tout a-t-il changé ? Dans l'émotion d'être ensemble ? Dans la possibilité de ne pas porter la soutane pendant la réunion synodale ? Ou bien y a-t-il quelque chose qui change dans la manière de gouverner l'Église ?

    Ces questions restent et resteront brûlantes tout au long de l'année de préparation du prochain Synode.

  • Pogrom du 7 octobre 2023 : Les événements du peuple d’Israël ont-ils une signification prophétique pour nous, catholiques ? (Arnaud Dumouch)

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    Pogrom du 7 octobre 2023 : Les événements du peuple d’Israël ont-ils une signification prophétique pour nous, catholiques ? (52 mn), par Arnaud Dumouch

    https://youtu.be/jeNAhaZapJc  

    Le 7 octobre 2023, un événement considérable frappe Israël, par le massacre barbare de près de 1500 civils, lors d’une attaque terroriste du Hamas. On me pose la question de la signification de cet événement pour la foi catholique, puisqu’il touche le peuple Juif qui est le peuple de Jésus.

    Cette vidéo aborde quatre points :

    - 1° Ce qui est de foi catholique : « Israël reste, à son corps défendant et jusqu’à la fin du monde, pour le meilleur et pour le pire, un peuple établi par Jésus pour donner une prophétie au monde » (Pie XII et Rm 11, 29).

    - 2° Les horribles pogroms font partie de la prophétie depuis 2000 ans, avec une signification prophétique pour notre âme (1 P 5, 8.) et pour l’Eglise catholique (CEC 675).

    - 3° Il existe 7 prophéties données par l’Ecriture sur Israël avant le retour du Christ. Leur réalisation est 1° matérielle et 2° sera datable. Les quatre derniers signes, liés à une bénédiction pour Israël, ne sont pas encore réalisés : 

    1- La destruction du Temple (70 ap JC) (Mt 24, 15) ; 

    2- Dispersion des Juifs (135 ap JC) (Lc 21, 24) ; 

    3- Shoah (70 ap. JC et 1941-1944, un tiers des Juifs morts) (Lc 23, 28.) ; 

    4- Retour dans la Terre promise (1948) et Jérusalem Juive (pas encore réalisé) (Lc 21, 24) ; 

    5- L’Arche d’alliance retrouvée (2 Mac 2, 4-7) ; 

    6- Le Temple de Jérusalem rebâti (2 Mac 2, 8) ; 

    7- La conversion d'Israël au Christ (Lc 13, 35 ; Rm 11).

    - 4° Peut-on prophétiser une signification pour l’événement du 7 octobre et sa suite ?