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  • Le Pape François a autorisé la promulgation de plusieurs décrets du dicastère pour les Causes des saints

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    De Vatican News (Tiziana Campisi) :

    24 janvier 2024

    Le Pape approuve plusieurs décrets: Marie-Léonie Paradis sera canonisée

    Le Pape François a autorisé la promulgation de plusieurs décrets du dicastère pour les Causes des saints reconnaissant un miracle attribué à l'intercession de la bienheureuse Marie-Léonie Paradis qui fonda l'Institut des Petites sœurs de la Sainte-Famille au Canada, mais aussi l'assassinat in odium fidei du père Michał Rapacz, qui sera proclamé bienheureux, ainsi que les vertus héroïques de deux religieux capucins dont un évêque arménien d'un prêtre espagnol et d'une moniale italienne.

    Ce mercredi matin, au cours d’une audience accordée au cardinal Marcello Semeraro, préfet du dicastère pour les Causes des saints, le Pape François a autorisé la promulgation du décret reconnaissant un miracle survenu grâce à l'intercession de la fondatrice au Canada de l'Institut des petites sœurs de la Sainte-Famille à la fin du 19e. Mère Marie-Léonie Paradis sera canonisée.  François a également autorisé les décrets relatifs au martyre de Michał Rapacz, prêtre tué en haine de la foi le 12 mai 1946 à Cracovie qui sera donc béatifié, et aux vertus héroïques des serviteurs de Dieu désormais Vénérables que sont: Mgr Cyrille Jean Zohrabian, évêque titulaire d'Acilisène qui fut missionnaire auprès des réfugiés arméniens ; Don Gianfranco Maria Chiti, un général italien qui se fit capucin ; Sebastián Gili Vives, prêtre fondateur de la Congrégation des Augustines Filles du Secours ; Madeleine de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, religieuse de la Congrégation des Filles de l'Église.

    Une femme dévouée au soutien des prêtres

    Béatifiée par Jean-Paul II le 11 septembre 1984 à Montréal, la religieuse canadienne Marie-Léonie Paradis sera canonisée. On attribue à son intercession la guérison miraculeuse d'un nouveau-né de sexe féminin à la suite d'une «asphyxie périnatale prolongée avec défaillance de plusieurs organes et encéphalopathie» à Saint-Jean-sur-Richelieu, au Québec, en 1986. Née le 12 mai 1840 à L'Acadie, au Canada, elle est entrée dans la Congrégation des Sœurs marianites de Saint-Laurent à Montréal, la branche féminine de la congrégation de la Sainte-Croix dédiée au service domestique dans les maisons des "Prêtres de la Sainte-Croix" et à l'éducation des jeunes gens alors qu'elle n'avait que 14 ans. Elle est envoyée dans diverses maisons au Canada et, en 1862, à New-York aux États-Unis où, sept ans plus tard, elle vit la séparation des religieuses de la province de l'Indiana d'avec la maison mère française, qu'elle rejoint peu de temps après. Sœur Marie-Léonie rejoint le Canada à l'invitation du père Camille Lefebvre, c.s.c., pour prendre en charge les religieuses et les jeunes femmes qui assument les travaux domestiques du Collège Saint-Joseph dont il a la charge. Les vocations se font nombreuses et la religieuse accepte la suggestion de l'archevêque de Montréal de fonder une nouvelle communauté. Le 31 mai 1880, la Congrégation des Petites sœurs de la Sainte Famille est fondée, dans le but spécifique de servir dans les communautés religieuses, les collèges et les séminaires. De nouvelles communautés s'ouvrent, dans lesquelles Mère Marie-Léonie recommande d'aider les prêtres matériellement et spirituellement, et ainsi, dans les presbytères et les séminaires, on respire l'atmosphère propre à la Sainte Famille de Nazareth, faite de transparence et de paix, d'ordre et de discrétion. Mère Marie-Léonie meurt le 3 mai 1912 à Sherbrooke, à l'âge de 72 ans, laissant 600 religieuses en deuil. L'Institut qu'elle a fondé se répand alors non seulement au Canada, mais aussi au Honduras, en Italie et aux États-Unis.

    Un prêtre martyr dans la Pologne communiste

    Né le 14 septembre 1904 à Tenczyn, en Pologne, le père Michał Rapacz entre au séminaire de Cracovie en 1926 et a été ordonné prêtre cinq ans plus tard. Envoyé à Płoki comme curé adjoint de la paroisse de la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie, il exerce ensuite son ministère à Rajcza, mais en 1937, il revient à Płoki comme administrateur de la paroisse. En raison de l'occupation allemande, il est obligé de réduire son activité pastorale, car l'enseignement de la religion catholique, les mariages entre Polonais et Allemands, ainsi que toutes les célébrations et activités de l'après-midi des paroisses et institutions catholiques sont interdits. À la fin de la guerre, le régime communiste s'est installé en Pologne, sous la domination de l'Union soviétique de Staline, qui a ouvertement déclaré la guerre à la religion et à l'Église. Dans la nuit du 11 mai 1946, un groupe d'hommes armés pénètre dans le presbytère de Płoki, et enlève le père Michał, le tuant dans une forêt voisine. Le prêtre, conscient du risque qu'il courait et prêt à l'affronter et à donner sa vie pour rester fidèle au Christ et à l'Église, a été assassiné en raison de son activité pastorale, que le régime n'aimait pas, et son exécution n'était pas un événement isolé, mais faisait partie de l'activité du gouvernement visant à "libérer" la Pologne de l'influence de l'Église et de ses représentants les plus importants.

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  • "Chrétiens, repositionnez-vous" : c'est ainsi que le cardinal Ouellet cède au monde

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    De Roberto Marchesini sur la Nuova Bussola Quotidiana :

    NOUVEAUX PARADIGMES

    " Chrétiens, repositionnez-vous " : c'est ainsi que Ouellet cède au monde

    Pour le cardinal Ouellet, l'ère du christianisme est terminée, il faut se repositionner sous la bannière du pluralisme et sans exclusivité. Une capitulation devant le monde anti-évangélique.

    25 janvier 2024

    Nous vivons une époque très intéressante, où il nous arrive de lire des choses extraordinaires. C'est la première chose qui m'est venue à l'esprit en lisant un article du cardinal Ouellet dans la prestigieuse revue théologique Communio.

    L'article, bien que complexe, est digne d'intérêt et de réflexion. Après un paragraphe d'introduction, il commence par un coup d'éclat : "L'ère du christianisme est terminée". Une affirmation qui fait frémir ou rire aux éclats, selon le point de vue. Comment l'ère du christianisme peut-elle prendre fin ? Toute l'histoire est chrétienne, puisque le Christ est l'alpha et l'oméga. Certes, le cardinal a attiré notre attention.

    Une nouvelle ère s'est ouverte, explique-t-il, dans laquelle les chrétiens doivent se repositionner par rapport à leur environnement s'ils veulent transmettre l'héritage culturel et spirituel du christianisme. Le christianisme est étranger à cet environnement, il est accueilli avec indifférence, voire hostilité, même dans les pays traditionnellement catholiques". Relisons calmement. "Le christianisme est étranger à cet environnement ; il est accueilli avec indifférence ou même hostilité, même dans les pays traditionnellement catholiques. De quel "environnement" s'agit-il ? Peut-être le monde ? Dans ce cas, il n'y aurait rien d'étrange : "Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui lui appartient ; mais comme vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai choisis dans le monde, c'est pour cela que le monde vous hait" (Jn 15, 18-19). Donc, si le monde déteste le christianisme (ce qui est tout à fait naturel), "les chrétiens doivent se repositionner" ? Et que signifie "se repositionner" ?

    Il l'explique un peu plus loin : "Nous devons réfléchir à l'avenir du christianisme dans un contexte qui attend des chrétiens qu'ils adoptent un nouveau paradigme pour témoigner de leur identité. C'est pourquoi nous devons regarder la diversité culturelle et religieuse avec une disponibilité au dialogue et offrir la vision chrétienne en toute liberté et avec le souci de la fraternité humaine".

    Ainsi, le monde (en supposant que c'est ce que signifie le "contexte") demande au christianisme d'"adopter un nouveau paradigme". L'expression fait froid dans le dos et est "expliquée" comme suit : "Pour cela, nous devons regarder la diversité culturelle et religieuse avec une volonté de dialogue et offrir la vision chrétienne librement et avec le souci de la fraternité humaine". Pourquoi "devons-nous" ? Depuis quand l'Église doit-elle répondre aux attentes du monde ? Et puis : l'apostolat a toujours été ouvert au dialogue (bien que presque toujours unilatéral), libre (et payé cher) et attentif à la fraternité humaine. Ce n'est pas un " nouveau paradigme " : c'est ce que les chrétiens ont toujours fait.

    C'est peut-être dans la suite que l'on perçoit ce que le cardinal Oullet entend par " nouveau paradigme " lorsqu'il affirme que " les repères rationnels traditionnels ne peuvent plus prétendre à l'exclusivité ". Le changement d'époque, en bref, envisage le pluralisme comme un élément constitutif de toute société dans le monde globalisé". Là encore, nous sommes confrontés à un non sequitur. Le fait que "le changement d'époque envisage le pluralisme comme un élément constitutif" est important jusqu'à un certain point. Et on ne voit pas pourquoi la revendication de l'exclusivité des "points de référence rationnels traditionnels" ne serait plus recevable. Il suffit de jeter un coup d'œil à la déclaration Dominus Jesus pour se rendre compte qu'elle est non seulement possible, mais nécessaire.

    En bref, Son Éminence utilise des tonalités et des phrases importantes - "l'ère du christianisme est terminée", "les chrétiens doivent se repositionner", "nouveau paradigme"... -, mais on ne sait pas très bien où il veut aller. Il n'est pas bon d'utiliser le terme "supercazzola" (bistouriquette) lorsque l'auteur est un cardinal ; cependant, il semble que ce soit le cas. Et tonitruant. Au milieu de tous ces slogans, qui ne sont pas faciles à déchiffrer, une image claire et précise me vient à l'esprit : une enseigne accrochée à un magasin. Sur ce panneau, une inscription : "Fermé pour faillite". Je l'ai compris ainsi : "S'ils veulent transmettre l'héritage culturel et spirituel du christianisme", les chrétiens doivent cesser de transmettre l'héritage culturel et spirituel du christianisme ; s'ils veulent "témoigner de leur identité", ils doivent cesser de témoigner de leur identité. Le sel de la terre doit perdre sa saveur pour être jeté et foulé par les hommes (Mt 5,13).

    En conclusion, l'article prend un ton normatif : "Cette nouvelle situation doit être acceptée comme permanente". Il est difficile de savoir à quelle situation le cardinal fait référence : à la haine du monde pour le christianisme ? À un obscur "nouveau paradigme" ? Au fait qu'un prince de l'Église s'exprime comme le comte Mascetti ? Une chose est claire : "Cette nouvelle situation doit être acceptée comme permanente". C'est ainsi que les choses sont, c'est ainsi qu'elles doivent être.

    Ce qui est encore plus inquiétant, c'est que l'article a l'intention de lancer une conférence qui se tiendra au Vatican les 1er et 2 mars, avec la participation du pape François (et du cardinal Fernández), intitulée "Image de Dieu de l'homme et de la femme. Vers une anthropologie des vocations". Si les prémisses sont celles indiquées par Ouellet, il n'y a pas de quoi être serein.

    Quelqu'un, à ce stade, citera Lénine et demandera : "que faire ?" Pour ma part, je n'ai aucun doute : "Celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé" (Mt 24, 13).

  • Comment être chrétien dans une société apostate ?

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    De Jean-Pierre Maugendre sur le site de l'Homme Nouveau :

    ÊTRE CHRÉTIEN DANS UNE SOCIÉTÉ APOSTATE

    24 janvier 2024

    Les éditions Contretemps viennent de publier sous le titre Après la chrétienté, les Actes de la XXIIe université d’été de « Renaissance catholique ». L’occasion pour son directeur général de revenir sur cette question essentielle : faut-il vraiment se résigner à vivre sous un État religieusement « neutre » ?

    C’est devenu une évidence que d’évoquer La Fin de la chrétienté (Chantal Delsol), La France d’après (Jérôme Fourquet) ou, plus emphatiquement, le processus de « décivilisation » (Emmanuel Macron) en cours. 

    La fin de la chrétienté

    Que cela nous plaise ou non, nous vivons dans une société postchrétienne. « Seize siècles de chrétienté s’achèvent », écrit Chantal Delsol. Comme l’a parfaitement analysé Patrick Buisson dans deux ouvrages très éclairants, La Fin d’un monde et Décadanse, la société française a opéré en quelques décennies une remise en cause radicale de son art de vivre traditionnel et de ses croyances ancestrales fondées sur le christianisme. Qui aurait imaginé il y a cinquante ans la banalisation du mariage homosexuel ou la constitutionnalisation de l’avortement ? Personne !

    Ce fait observé – la disparition d’une société dont les institutions, plus ou moins consciemment, étaient encore imprégnées par les valeurs de l’Évangile et du christianisme –, deux écoles se font face parmi les catholiques. 

    Un bienfait ?

    Répondant à la question d’un séminariste sur le problème que constitueraient les traditionalistes, Mgr de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims et président de la Conférence des évêques de France répondait le 2 décembre dernier : « Le décret de Vatican II sur la liberté religieuse est très clair. Le Christ n’est pas venu bâtir des nations catholiques mais il est venu fonder l’Église. Ce n’est pas la même chose. À force de traîner la nostalgie d’un État catholique, on perd notre énergie pour l’évangélisation. »

    Lointain écho d’une déclaration d’un de ses prédécesseurs à la tête de la CEF, le cardinal Etchegaray, archevêque de Marseille : « Après l’État chrétien, dont la déclaration conciliaire sonne le glas, après l’État athée qui en est l’exacte et aussi intolérable antithèse, l’État laïc, neutre, passif et inengagé, a été certes un progrès ». Comme le note Chantal Delsol : « L’Église a honte de la chrétienté comme pouvoir et comme contrainte et elle aspire à d’autres formes d’existence ». La fin de la chrétienté apparaît alors non seulement comme un fait, mais aussi comme un bienfait. 

    Ou un méfait ?

    Cet avis cependant n’est pas général. Il se heurte en particulier à deux objections majeures.

    Tout d’abord une objection doctrinale. Dans son encyclique Quas Primas du 11 décembre 1925 sur la royauté sociale du Christ, le pape Pie XI invitait « les hommes et les sociétés » à « reconnaître en particulier et en public le pouvoir royal du Christ ». Il n’est pas là question d’État « neutre et inengagé », bien au contraire. Nous laissons les spécialistes se pencher sur la continuité entre la déclaration conciliaire sur la liberté religieuse Dignitatis humanae et cette encyclique dont nous célébrerons le centenaire de la publication l’année prochaine…

    Ensuite une objection pratique : c’est à la suite de leurs princes et gouvernants (Constantin, Clovis, Charlemagne, Vladimir, Étienne, etc.) que les peuples sont entrés, en masse, dans l’Église. Les faits sont peut-être cruels mais incontournables : il n’existe pas de conversion d’un peuple au christianisme sans soutien, ou a minima neutralité bienveillante, des pouvoirs publics.

    La situation du catholicisme en Asie est à cet égard très éclairante : le catholicisme est très présent dans les pays historiquement et politiquement liés au christianisme (Philippines, Vietnam), mais marginal dans les pays où les pouvoirs publics se sont opposés à son développement (Chine, Japon).

    Après la chrétienté

    Providentiellement viennent d’être publiés, sous le titre Après la chrétienté, par les éditions Contretemps, les Actes de la XXIIe université d’été de « Renaissance catholique ». Ce sujet est, plus que jamais, d’une brûlante actualité. La question se pose, en effet, de savoir d’une part si la notion même de chrétienté est un idéal à poursuivre et d’autre part comment, en tout état de cause vivre notre christianisme dans une société apostate dans laquelle l’État impose une législation de plus en plus éloignée du simple respect de la loi naturelle et a fortiori de l’Évangile.

    Au fond, la question posée par ces travaux est celle de savoir si l’évangélisation de tout un peuple est possible face à l’hostilité des pouvoirs publics. Bref, « après la chrétienté », comment demeurer intégralement chrétiens et continuer à partager ce trésor qui donne un sens à nos vies ? 

    Sous la direction de Michel De Jaeghere, philosophes, journalistes, ecclésiastiques, universitaires, hommes politiques et acteurs de terrain ont cherché à répondre à quelques-unes de ces questions :

    « Qu’est-ce que la chrétienté ? » (Arnaud Jayr), « L’État moderne est-il antichrétien ? » (François Vallançon), « Quelles sont les caractéristiques de la politique contemporaine ? » (abbé de Tanoüarn), « Quels sont les rapports entre l’Église, l’État et la loi naturelle ? » (Guillaume de Thieulloy), « Quels modes d’apostolat pour l’Église d’aujourd’hui ? » (abbé Barthe), « Quelle place, dans notre résistance, pour l’objection de la conscience ? » (Joël Hautebert), « Quels sont les défis géopolitiques du catholicisme ? » (Aymeric Chauprade), « Comment transmettre la culture chrétienne ? » (François-Xavier Bellamy), « Pourquoi Pie XI a-t-il institué la fête du Christ-Roi ? » (chanoine Merly), « Quel avenir pour la chrétienté ? » (Jean-Pierre Maugendre).

    Sans omettre, au moyen de tables rondes le témoignage de nombreux acteurs engagés dans le combat pour la chrétienté :

    « La résistance à la dénaturation du mariage » (Marie-Amélie Brocard et Jean Vallier, maître Triomphe, etc.), « Résister à la culture de mort » (Jeanne Smits, Grégor Puppinck, etc.), « Agir en politique » (Jean-Pierre Maugendre, Jacques Bompard, Bruno Gollnisch, etc.), « Être journaliste et catholique » (Michel De Jaeghere, Laurent Dandrieu, Philippe Maxence, etc.), « Quelle école catholique pour demain » (Gabrielle Cluzel, Michel Valadier, etc.) ?

    Ce volume est le 21e publié dans le cadre des Actes de ces universités d’été qui constituent une véritable contre-encyclopédie, constituée de 7 700 pages de texte, soit 270 contributions de 115 auteurs différents.


    20231110 ACTES 2013 CT Couverture chrétien
    Après la chrétienté, Contretemps, 490 pages, 24 €.
    Contretemps, 25A, rue Montebello 78000 Versailles