John-Henry Newman (1801-1890) (fêté le 9 octobre) (source : http://www.pasaj.ch)
Veiller avec le Christ
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John-Henry Newman (1801-1890) (fêté le 9 octobre) (source : http://www.pasaj.ch)
Veiller avec le Christ
L'enseignement de Benoît XVI, dans l'encyclique « Deus Caritas Est », § 9-11, éclaire les lectures du jour :
« Tous deux ne feront plus qu'un »
Dans la Bible, la relation de Dieu avec Israël est illustrée par les métaphores des fiançailles et du mariage ; et par conséquent, l'idolâtrie est adultère et prostitution. Mais l'amour-eros de Dieu pour l'homme est en même temps totalement l'amour-agapè. Non seulement parce qu'il est donné absolument gratuitement, sans aucun mérite préalable, mais encore parce qu'il est un amour qui pardonne. Dans la Bible, donc, nous nous trouvons d'une part devant une image strictement métaphysique de Dieu : Dieu est en absolu la source originaire de tout être ; mais ce principe créateur de toutes choses, la raison primordiale, est d'autre part quelqu'un qui aime avec toute la passion d'un véritable amour. De la sorte, l'amour-eros est ennobli au plus haut point, mais, en même temps, il est ainsi purifié jusqu'à se fondre avec l'amour-agapè. La première nouveauté de la foi biblique consiste dans cette image de Dieu ; la deuxième, qui lui est essentiellement liée, nous la trouvons dans l'image de l'homme.
Le récit biblique de la création parle de la solitude du premier homme, Adam, aux côtés duquel Dieu veut placer une aide... L'idée que l'homme serait en quelque sorte incomplet de par sa constitution, à la recherche, dans l'autre, de la partie qui manque à son intégrité, à savoir l'idée que c'est seulement dans la communion avec l'autre sexe qu'il peut devenir « complet », est sans aucun doute présente. Le récit biblique se conclut ainsi sur une prophétie concernant Adam : « À cause de cela, l'homme quittera son père et sa mère, il s'attachera à sa femme et tous deux ne feront plus qu'un » (Gn 2,24).
Deux aspects sont ici importants : l'eros est comme enraciné dans la nature même de l'homme ; Adam est en recherche et il « quitte son père et sa mère » pour trouver sa femme ; c'est seulement ensemble qu'ils représentent la totalité de l'humanité, qu'ils deviennent « une seule chair ». Le deuxième aspect n'est pas moins important : selon une orientation qui a son origine dans la création, l'eros renvoie l'homme au mariage, à un lien caractérisé par l'unicité et le définitif ; ainsi, et seulement ainsi, se réalise sa destinée profonde. À l'image du Dieu du monothéisme, correspond le mariage monogamique. Le mariage fondé sur un amour exclusif et définitif devient l'icône de la relation de Dieu avec son peuple et réciproquement : la façon dont Dieu aime devient la mesure de l'amour humain.
SAINTE MARIE FAUSTINE KOWALSKA (1905-1938) (fêtée ce jour)
Soeur Marie Faustine, apôtre de la Miséricorde Divine, compte aujourd'hui parmi les Saints les plus célèbres de l'Église. Par son intermédiaire, le Seigneur Jésus transmet au monde entier Son grand message de la Miséricorde Divine et montre un modèle de perfection chrétienne fondée sur la confiance en Dieu et sur une attitude miséricordieuse envers le prochain.
Elle est née le 25 août 1905, troisième des dix enfants de Marianna et Stanisław Kowalski, agriculteurs dans le village de Głogowiec. Au baptême, dans l'église paroissiale de Świnice Warckie, elle a reçu le prénom d'Hélène. Depuis son enfance, elle se distingua par l'amour de la prière, l'assiduité, l'obéissance et par une grande sensibilité à la misère des hommes. A neuf ans, elle a fait sa Première Communion qu'elle a profondément vécue, consciente de la présence de l'Hôte Divin dans son âme. Elle a fréquenté l'école pendant moins de trois ans. Adolescente, elle a quitté la maison familiale pour gagner sa vie et pour aider ses parents comme servante dans des familles aisées à Aleksandrów, Łódź et Ostrówek.
Testament de saint François (1226) (fêté ce jour)
source : http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Fdassise/testament.html
1 Voici comment le Seigneur me donna, à moi frère François, la grâce de commencer à faire pénitence. Au temps où j'étais encore dans les péchés, la vue des lépreux m'était insupportable.
2 Mais le Seigneur lui-même me conduisit parmi eux; je les soignai de tout mon coeur;
3 et au retour, ce qui m'avait semblé si amer s'était changé pour moi en douceur pour l'esprit et pour le corps. Ensuite j'attendis peu, et je dis adieu au monde.
4 Et le Seigneur me donna une grande foi aux églises, foi que j'exprimais par la formule de prière toute simple:
5 Nous t'adorons, Seigneur Jésus-Christ, dans toutes tes églises du monde entier, et nous te bénissons d'avoir racheté le monde par ta sainte Croix.
On fait aujourd'hui mémoire des Anges gardiens (voir ICI)
Sur le blog de Petrus Angel :
Les fondements bibliques de la croyance en l'existence des Anges ?
Au chapitre "Textes Bibliques", vous trouverez les extraits de l'Ancien et du Nouveau Testament qui concernent les Anges. Une étude très complète sur ce sujet nous a été envoyée par une fidèle correspondante : vous trouverez cette étude ICI, également disponible sur cette page en téléchargement.
La position de l'Eglise catholique sur les Anges ?
Vous trouverez sur ce site :
Sur prierenfamille.com :
Dans la tradition de l'Eglise, le mois d'octobre est plus particulièrement consacré au Rosaire, c'est-à-dire à la prière par Marie.
Sur Eglise catholique en France :
En ce mois d'octobre 2012, l'intention de prière universelle du pape Benoît XVI est pour le développement et le progrès de la Nouvelle Evangélisation, son intention de prière missionnaire est pour la Journée Missionnaire Mondiale.
Universelle - La Nouvelle Evangélisation
Prions le développement et le progrès de la Nouvelle Évangélisation dans les pays d'ancienne tradition chrétienne.
Missionnaire - La Journée Missionnaire Mondiale
Pour que la célébration de la Journée Missionnaire Mondiale soit l'occasion d'un engagement renouvelé d'évangélisation.
PRIER AU CŒUR DU MONDE donne chair aux intentions de prière que le Pape nous confie, et nous aide à prier.
24 septembre : Notre-Dame de la Merci
Historique (source : missel.free.fr)
Dans l’expression Notre-Dame de la Merci, le mot Merci traduit l’espagnol merced qui signifie grâce, ou le latin merces qui signifie rançon. A l’origine de l’Ordre des Mercédaires[1] qui s’occupèrent de racheter les chrétiens captifs des musulmans, Notre-Dame apparut à saint Pierre Nolasque[2], à saint Raymond de Penyafort[3] et au roi Jacques I° d’Aragon[4].
Un hymne au Père Charles de Foucauld qui a cherché la dernière place :
Aimer
Comme Lui nous a aimés,
Et par amour, choisir
La dernière place,
Être pauvre et serviteur,
Frère de Jésus
Chercher
Comme Lui la vie cachée,
Et par amour, partir
Où l’Esprit appelle,
N’être rien qu’un voyageur
Passant dans la nuit.
Prier
Longuement le Bien-Aimé,
Et par amour, s’ouvrir
Au plus grand silence,
Adorer Jésus Sauveur
Dans l’Eucharistie
Porter
L’Evangile aux affamés
Et par amour, cueillir
Tous les mots d’un peuple
Où le Verbe aussi demeure
Et germe sans bruit.
Donner
Jusqu’au bout sa vie donnée,
Et par amour, mourir
En offrant au Père
L’abandon jailli d’un cœur
Libre a l’infini.
Lire le commentaire de cet hymne : l'hymne à Charles de Foucauld
Historique : missel.free.fr :
Chacun se souvient comment la vraie croix avait été retrouvée par sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin[1] (voir au 18 août). En 335, l'empereur Constantin, invite pour le trentième anniversaire de son avènement, les Pères réunis à Tyr à la dédicace des deux basiliques[2] qui doit avoir lieu le 13 septembre à Jérusalem.
Le lendemain de la dédicace, le dimanche 14 septembre, l'évêque de Jérusalem montre pour la première fois à la foule le bois sacré de la Croix (l'hyposis) et, sur ordre de Constantin, les Pères décrètent la célébration annuelle de la dédicace et de l'exaltation, au 14 septembre. Un morceau de la Croix étant apporté à Constantinople, on y célèbre la même fête avec l'hyposis. Cette fête est répandue dans tout l'Orient dès le VII° siècle, et on la trouve à Rome au plus tard au temps du pape Serge I° (687-701) à la notice duquel, dans le Liber pontificalis, on trouve la mention suivante : En la sacristie du bienheureux apôtre Pierre, se trouve un reliquaire où est renfermée un précieuse et considérable portion du bois salutaire de la croix du Sauveur ... Au jour de l'Exaltation de la sainte croix, le peuple chrétien baise et adore cette relique dans la basilique constantinienne du Saint-Sauveur[3].
Source : "réflexion chrétienne"
Ce fils de pauvres paysans brabançons fut très tôt réputé pour sa Charité, si bien que dès l'âge de 15 ans, on le surnommait « l'ange du village » d'Anderlecht. Ce village était situé à l'époque dans le duché de Brabant, et faisait partie du comté ou vicomté de Bruxelles et fait aujourd'hui partie de cette ville.
Un jour, un riche négociant lui proposa de le prendre à son service en disant qu'avec un travail rétribué il lui serait plus facile d'aider les pauvres. Quelques jours plus tard, la cargaison dont Guy avait la responsabilité fit naufrage dans la Senne et son employeur le chassa.
Il deviendra alors pèlerin, se rendra à Rome et à Jérusalem. À Rome, il rencontre le doyen d'Anderlecht, Wonedulphe ou Onulphe, qui le supplie de revenir dans son village pour le faire profiter de ses conseils de piété. Au cours du voyage, tous ses compagnons de pèlerinage meurent et Guy rentre seul en Flandre. Le 12 septembre 1012, il meurt de dysenterie à Anderlecht après de longues années d'enseignement.
Dans les années qui suivirent sa mort de nombreux miracles se produisirent sur sa tombe et la vénération des fidèles ne fit que croître. Aujourd'hui il est vénéré dans l'église du couvent d'Anderlecht.
À Anderlecht, la collégiale Saints-Pierre-et-Guidon lui est dédiée; la collégiale a donné son nom au quartier populaire du centre d'Anderlecht et à la station de métro qui le dessert. Il est le saint patron des commerçants, des marchands de bestiaux, des paysans, des domestiques, des sacristains, des carillonneurs et sonneurs de cloches, des pèlerins et des transporteurs de marchandises. On l'invoque également contre la dysenterie. Les reliques de ce saint homme sont conservées dans la basilique Saint-Servais, à Grimbergen, sous l'autel de saint Servais. On le fête le 12 septembre. Guidon a été Canonisé le 24 juin 1112, sous Odart évêque de Cambrai, ceci explique pourquoi on a fêté longtemps la Saint Guidon le 24 juin.
Ta Nativité, Mère de Dieu, a révélé la joie à l'univers,
car de Toi s'est levé le Soleil de Justice,
le Christ, notre Dieu.
De la malédiction, Il nous délivre
et nous ouvre à son amour,
Vainqueur de la mort, Il nous donne la Vie.
(Tropaires pour la Nativité de la Mère de Dieu)