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La synthèse de son homélie prononcée lors de la messe de minuit est diffusée par Belga : mgr-leonard-deplore-l-omission-de-jesus-a-noel
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La synthèse de son homélie prononcée lors de la messe de minuit est diffusée par Belga : mgr-leonard-deplore-l-omission-de-jesus-a-noel
On pouvait lire sur le monde d'hier :
Le cardinal Giafranco Ravasi, "ministre" de la culture du Vatican, a cité, à l'occasion de Noël, un écrit de Jean-Paul Sartre sur la naissance de Jésus et plusieurs images féminines de Dieu dans la Bible, dans une tribune de presse originale consacrée à la "tendresse de Dieu".
Dans ce texte publié ce week-end dans le quotidien italien Il Sole 24 Ore et repris lundi dans plusieurs médias du Vatican, le prélat italien, connu pour son intérêt culturel à 360 degrés et son foisonnement d'idées, rapporte cette fois un écrit du prisonnier de guerre Jean-Paul Sartre au stalag XX-D où il était interné enAllemagne, et qui a été publié dans Baronia ou le fils du tonnerre (1940).
Le cardinal Ravasi cite ces phrases de Sartre, qui décrit l'étonnement de la Vierge Marie devant l'enfant à qui elle vient de donner le jour : "Elle pense : ce Dieu est mon fils, cette chair divine est ma chair (...) Il me ressemble et Dieu me ressemble. Un Dieu tout petit qu'on peut prendre dans les bras et couvrir de baisers". Selon le prélat, ce texte de celui qui allait devenir l'écrivain existentialiste le plus célèbre met en lumière une "valeur en déclin dans nos jours un peu vulgaires : la tendresse, et ses déclinaisons diverses, comme la douceur, la délicatesse, l'affection, la modération".
Mgr Ravasi relève aussi l'importance dans la Bible de la symbolique nuptiale et reproductrice pour décrire l'action de Dieu. Rappelant que le pape Jean Paul Ieravait déconcerté le monde catholique quand il avait évoqué durant son unique mois de pontificat en 1978 le caractère "maternel" de Dieu, le "ministre de la culture" du pape cite plusieurs passages des livres d'Isaïe. Il mentionne notamment l'un d'eux, qui donne de Yahvé, à côté d'un dieu guerrier tout-puissant, l'image d'un Dieu qui "crie comme une femme qui accouche, respirant et aspirant en même temps".
Metablog (de l'abbé de Tanoüarn) publie aujourd'hui ce texte de Jean-Paul sartre en entier. C'est d'une grande beauté et cela interroge sur tout ce qui peut traverser le coeur d'un homme pourtant classé comme "athée et critique de l'aliénation religieuse".
LA « SAINTE CURIOSITÉ » POUR SE « HÂTER » VERS DIEU (ZENIT.ORG).
Saluant la « sainte curiosité » des bergers venus voir le nouveau-né Jésus, Benoît XVI invite à « se hâter pour les choses de Dieu », car « il est la réalité la plus importante, l’Unique qui, en dernière analyse, est vraiment important ».
« Avons-nous vraiment de la place pour Dieu, quand il cherche à entrer chez nous ? Avons-nous du temps et de l’espace pour lui ? » : c’est la question posée par le pape lors de la messe de la nuit de Noël, ce 24 décembre, en la basilique Saint-Pierre au Vatican.
Question qu’il relie à l’accueil de l’autre, notamment à la "question morale" de « l'accueil des personnes déplacées, des réfugiés et des immigrés ». En effet, "il s’adresse à nous dans les pauvres de ce monde".
Mais ce n’est pas tout : le pape questionne également « la place pour Dieu » dans la « pensée » de l’homme, ainsi que dans son « sentiment » et dans son « vouloir ».
L’enjeu de la place réservée à Dieu est décisif : « la paix sur la terre entre les hommes est en relation avec la gloire de Dieu au plus haut des cieux », par conséquent « là où on ne rend pas gloire à Dieu, là où Dieu est oublié ou même renié, il n’y pas non plus de paix », affirme le pape.
Les chrétiens fêtent la naissance du Christ le 25 décembre. Cela signifie-t-il que nous ayons une certitude historique attestant que c'est bien la date précise de sa naissance ? Peut-être pas et, honnêtement, ça nous est égal car, ce qui compte, c'est le fait qu'Il soit venu en ce monde même si nous n'avons pas la date précise. Que la fête de Noël coïncide avec le moment où l'on fêtait le "Dies natalis solis invicti" nous réjouit puisque le Christ est lumière et qu'avec sa venue la victoire des ténèbres est définitivement compromise. Alors, qu'on s'amuse, sur la Libre ou ailleurs, à ergoter mesquinement sur la question de la date est sans importance sinon que cela manifeste une profonde méconnaissance du christianisme.
Pour aller plus loin, nous avons trouvé des informations pleines d'intérêt sur un site bien documenté et également ICI.
Mise au point opportune de notre collaborateur :
Je ne suis nullement historien mais la lecture du texte péremptoire d’Itinerarium, auquel il est fait référence ci-dessus ("ICI"), m’avait laissé, instinctivement très dubitatif . Je me range à l’avis exprimé à ce sujet par Yves Daoudal, dont je découvre la réaction sur le « Forum Catholique », intitulée « Vouiii, sauf que… » «… Ce n'est pas Aurélien qui a inventé le Sol invictus, qui était déjà célébré à Rome au Ier siècle (dans le culte de Mithra... qui reprend sans doute, entre autres, des éléments du christianisme). « … On ne connaît pas une seule ligne du fameux Sextus Julius Africanus, dont l'oeuvre est perdue. On ne connaît que ce qui en a été repris par Eusèbe de Césarée, sans pouvoir dire ce qui vient de l'un et de l'autre. « … Ce n'est pas du tout la même chose qu’un auteur émette l'hypothèse que l'Annonciation ait eu lieu un 25 mars, et que l’Eglise institue une fête liturgique le 25 mars. (A supposer qu’il s’agisse de Sextus Julius Africanus, et non d’Eusèbe qui ferait écho à une fête qui commence à se répandre). « …La Nativité fut d'abord célébrée le 6 janvier dans toute l'Eglise, que c'était encore le cas à Constantinople du temps de saint Grégoire de Nazianze, et que c'est encore le cas chez les coptes (dont le calendrier particulier fait correspondre la nativité au 7 janvier). « Et surtout l'expression Sol invictus correspond parfaitement au Christ, Oriens et Sol justitiae. Donc je ne vois pas où est le problème, et cela ne me gênerait aucunement que l'Eglise ait choisi le 25 décembre pour lutter contre le Sol invictus païen en montrant qu'elle est fondée sur le véritable Sol invictus, le véritable vainqueur des ténèbres. « Il est seulement normal que les solstices et équinoxes aient été sacralisés et soient devenus des fêtes, ce qui permet de louer Dieu à travers le cosmos qu’il a créé et d’ancrer le symbolisme spirituel sur les réalités cosmiques. A la naissance de Jean Baptiste au solstice d’été (il faut qu’il croisse et que je diminue) correspond la naissance de Jésus Soleil invaincu au solstice d’hiver, à la conception de Jésus à l’équinoxe de printemps correspond la conception de Jean Baptiste à l’équinoxe d’automne (le 23 septembre chez les byzantins : cette fête est absente du calendrier romain parce que le calendrier romain ne fête que ce qui est saint et que Jean Baptiste n’a pas été conçu sans péché ; elle est plus ou moins remplacée par celle de saint Michel qui a été la grand fête du passage de l’été à l’automne) ». Ce qui est certain, c’est que l’Evangile selon saint Matthieu situe la naissance de Jésus avant la mort d’Hérode-le-Grand (à ne pas confondre avec son fils, le tétrarque Hérode Antipas) qui est indubitablement décédé en l’an 4… « avant Jésus-Christ » (comput erroné du calendrier de notre ère par Denys le Petit) ! Quant au jour et à l’heure de la naissance du Seigneur, c’est encore une autre paire de manches, sans doute historiquement insoluble.
A solis ortus cardine
Adusque terrae limitem
Christum canamus
Principem
Natum Maria Virgine
Du point où le soleil se lève
Jusqu’à la limite de la terre,
Chantons le Christ
Prince
Né de la Vierge Marie
Beatus auctor saeculi
Servile corpus induit,
Ut carne carnem liberans
Non perderet quod condidit…
Le bienheureux auteur du monde
Revêt un corps d’esclave
Afin que libérant la chair par sa Chair
Ce qu’il avait créé ne se perde pas…
Paroles de Benoît XVI avant l’angélus (en italien) (ZENIT.org) :
Chers frères et sœurs,
En ce IVe dimanche de l’Avent, qui précède de peu la naissance du Seigneur, l’Evangile raconte la visite de Marie à sa parente Elisabeth. Cet épisode n’est pas un simple geste de courtoisie, mais représente avec grande simplicité la rencontre de l’Ancien avec le Nouveau Testament. Les deux femmes, toutes deux enceintes, incarnent en effet l’attente et l’Attendu. Elisabeth âgée symbolise Israël qui attend le Messie, tandis que la jeune Marie porte en elle l’accomplissement de cette attente, au profit de toute l’humanité. Dans les deux femmes, ce sont d'abord les fruits de leurs seins, Jean et le Christ, qui se rencontrent et se reconnaissent. Le poète chrétien Prudencio commente : « L’enfant contenu dans le sein âgé salue, à travers la bouche de sa mère, le Seigneur fils de la Vierge » (Apotheosis, 590: PL 59, 970). L’exultation de Jean dans le sein d’Elisabeth est le signe de l’accomplissement de l’attente : Dieu vient visiter son peuple. A l’Annonciation, l’archange Gabriel avait parlé à Marie de la grossesse d’Elisabeth (cf. Lc 1,36) comme preuve de la puissance de Dieu : la stérilité, malgré l’âge avancé, s’était transformée en fertilité.
On sait que "bethleem" signifie "maison du pain"; l'occasion de relire ce superbe poème de l'inoubliable Marie Noël.
Cantique du pain
La Boulangère en son logis pieux,
Avril venant, reçut le grain de Dieu.
L’a mis à l’ombre en son humble grenier.
L’a serré là, pendant neuf mois entiersLE CHOEUR
" Faites-nous le Pain,
Marie, ô Marie !
Faites-nous le Pain,
Car nous avons faim. "La Boulangère a pris un long chemin
pour s’en aller à la Maison du Pain,
Pour le pétrir elle a peiné la nuit.
L’a mis au monde, environ la minuit.LE CHOEUR
" Cuisez-nous le Pain,
Marie, ô Marie !
Cuisez-nous le Pain,
Car nous avons faim. "L’a cuit trente ans au feu de sa maison,
A la chaleur de sa belle saison,
A la douceur de son coeur le plus doux,
Le tendre Pain, le Pain blond, le Pain roux.LE CHOEUR
" Portez-nous le Pain,
Marie, ô Marie !
Portez-nous le Pain,
Car nous avons faim. "Après trente ans, l’ayant du four ôté,
Son fils unique, en ville, l’a porté
A tous les gens affamés d’alentour,
Le Pain nouveau, le Pain tout chaud d’Amour.LE CHOEUR
" Servez-nous le Pain,
Marie, ô Marie !
Servez-nous le Pain,
Car nous avons faim. "Pour trente sols, le marchand l’a vendu.
Pour trente sols, mille dents l’ont mordu
Au grand repas qui fut un vendredi
Servi pour l’homme à l’heure de midiLE CHOEUR
" Livrez-nous le Pain,
Marie, ô Marie !
Livrez-nous le Pain,
Car nous avons faim. "Mais quand l’a vu meurtri, rompu, détruit
Le Pain vivant qu’elle avait fait de nuit,
Comme un agneau par les loups dévoré,
La Boulangère en grand deuil a pleuré.LE CHOEUR
" Pleurez sur le Pain,
Marie, ô Marie !
Pleurez sur le Pain,
Car nous avons faim. "
La fête liturgique de Noël tombe le 25 décembre de chaque année. Cette fête est née à Rome, autour de l’an 330, peut-être précisément cette année-là. Elle fut très probablement célébrée pour la première fois dans la basilique Saint-Pierre, dont la construction était à peine terminée.
La célébration de Noël s’est ensuite diffusée à partir de Rome, lentement, dans les provinces orientales de l’Empire romain et, petit à petit, elle a été insérée dans le calendrier liturgique des Eglises principales. Certaines de ces Eglises célébraient la naissance du Christ le 6 janvier – l’Epiphanie – et ont continué à donner davantage d’importance à cette date, même après avoir accepté la date du 25 décembre.
Cette année encore KTO a la joie de vous offrir la possibilité de suivre en direct les célébrations de la nativité se déroulant à Rome et à Paris. De plus, KTO profite de cette période intense pour vous offrir une programmation exceptionnelle. Joyeux Noël sur KTO !
Lundi 24 décembre | Mardi 25 décembre | ||
8h : Messe de l'Aurore | |||
La Messe de l'Aurore, retransmise depuis Saint-Gervais, constitue la 2ème messe de la Nativité du Seigneur.
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18h : Messe des familles | 11h : Messe de la Nativité | ||
Présidée par Mgr Jacquin à Notre-Dame de Paris. À l'issue de la célébration, les enfants rejoindront la crèche en procession pour y déposer l'Enfant-Jésus. |
Messe de la Nativité à Notre-Dame de Paris. En signe d'unité, la messe est diffusée avec Le Jour du Seigneur (France Télévision).
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22h : Messe de la nuit de Noël | 12h : Bénédiction Urbi et Orbi | ||
Participez à la messe de la nuit à la Basilique Saint-Pierre de Rome, célébrée par le pape Benoît XVI.KTO vous invite à fêter la naissance du Christ, à être en communion avec l'Église universelle.
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La bénédiction solennelle « à la ville et au monde » prononcée par le pape Benoît XVI du haut du balcon de la basilique Saint-Pierre. Le pape s'exprime à la fois en tant qu'évêque de Rome et en tant que pasteur universel de l'Église.
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17h45 : Vêpres Solennelles de la Nativité | |||
Vêpres solennelles de Noël à Notre-Dame de Paris. |
KTO est la seule chaîne française à diffuser en direct à 22h00 la messe de la nuit de Noël célébrée par le Pape, à suivre également sur le site www.ktotv.com et sur votre téléphone mobile (mobile.ktotv.com).
24 décembre à 20h15
Jésus de Nazareth
Un film de Franco Zeffirelli Une exclusivité diffusée uniquement à l'antenne |
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Un portait convaincant de la vie et de la mort du Christ (Robert Powell) tracé à partir de sa naissance, à travers son pélerinage d'enfance, son baptême par Jean le Baptiste (Michael York), les miracles, et qui cumine avec sa crucifixion et sa résurrection. Quatre années de production ont été nécessaires à cette épopée puissante, acclamée par la critique et saluée par les responsables religieux du monde entier pour sa sensibilité, sa passion et sa déférence œcuménique. Cette version télévisée de la vie du Christ réalisée par Franco Zeffirelli, de renommée internationale et primée, a confondu les critiques par sa majesté et son honnêteté historique et religieuse.
Entendu sur France Inter (Guyonne de Montjou) :
Avez-vous remarqué que nous étions entrés cette semaine dans le temps si caractéristique de Noël ? Une période qui peut apparaître cette année particulièrement anxiogène, non pas pour la fête elle-même, souvent familiale, festive, et parfois associée à des vacances bien méritées… non, je dis anxiogène à cause du terrible mouvement consumériste qui s’apprête à rouler sur nous en cette fin d’année.
N’avez-vous pas remarqué qu’alors que notre pays se déclare en faillite, qu’on nous demande des suppléments d’impôts, un effort national, eh bien on agite en même temps, sous notre nez une obligation de consommer pas utile… Voilà qui est fâcheux : en temps de crise, Noël devrait être une fête sobre, douce, de communion, d’entraide. Et en fait, comme chaque année, dès la fin novembre, le bruyant et fébrile marché aux tentations s’étale sous nos yeux. Il suffit de passer sur les champs Elysées en ce moment, c’est un spectacle édifiant : Depuis 3 jours, vous ne pouvez presque plus avancer sur les trottoirs, envahis de touristes et de badauds dès la place de la concorde, car des petites cahutes trop éclairées vous proposent 1001 gadgets, gourmandises, bibelots qui termineront au grenier. Tout semble lourd dans cette période : les sacs trop remplis, la queue aux caisses des grands magasins, le froid aux mains chargées, les papiers cadeaux à faire, les revues, toutes flanquées d’un supplément cadeaux de Noel, la nuit qui n’arrive jamais car les arceaux bleus luminescents autour des arbres et les feuilles vertes et rouges qui s’allument et qui s’éteignent l’en empêchent…. Bref tout cela revêt à mon sens un aspect vaguement oppressant, comme si on nous hurlait aux oreilles, à longueur de jour et de nuit « achetez, achetez, achetez » … A chaque fois, il faut tenter d’y résister mais à l’approche des dites fêtes, on finit par rejoindre cette masse informe des consommateurs à l’affût, le temps d’un après-midi onéreux. Bref, Noël au départ, c’est un enfant qui naît sur la paille, dans une crèche… et à l’arrivée, XXI siècles plus tard, on se retrouve de toutes les façons sur la paille !
Nous souhaitons donner l’occasion aux chrétiens d’aller à la rencontre des habitants de leur quartier et de leur entourage en partageant leur foi par un geste simple. Nous espérons permettre à plus d’un million de personnes d’entendre le sens profond du message de Noël pour leur donner une chance d’être touchées par lui.
Ce projet est porté par Argos Production, P.U.S.H. et les Editions Mediaclap.
Voir les autres vidéos : http://www.youtube.com/user/ThePUSHLIVE
Des centaines de personnes, de paroisses et d'institutions participent à ce projet.
Plus de 200.000 CDs déjà écoulés en francophonie à ce jour. L'opération en cours jusque début janvier. Redonnons une signification à la fête de Noël dans un contexte religieux, ou moins religieux comme les marchés de Noël, redonnons du sens à la naissance de Jésus, fils de Dieu fait petit enfant !
Offrons un CD vendu à prix coûtant. CD à partir de 0,50 € pour 1.000 ou 1,00€ pour 1 unité (prix dégressif en fonction de la quantité) Frais de port en sus, livré sous 24h à réception du règlement.
Contact en Belgique : famille@galloy.be ou 04 374 23 74
Regardez l’interview et le clip tourné en Terre Sainte sur la RTBF Une le 25 décembre à 23h55 dans l’émission « il était une foi ».
Pour plus d’informations, écouter les 6 morceaux, et consultez les vidéos et dessins animés de ce beau projet : http://www.etoilesdenoel.com/