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Au rythme de l'année liturgique - Page 240
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Te voir, Seigneur
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Les intentions de prière du pape pour mars 2013
INTENTIONS DE PRIERE POUR MARS
(VIS). L'intention de prière générale de Benoît XVI pour mars est: "Pour que grandisse le respect de la nature, l’œuvre de Dieu confiée à la responsabilité humaine".
Son intention missionnaire est: "Pour que les évêques, les prêtres et les diacres soient des annonciateurs infatigables de l’Evangile jusqu’aux extrémités de la terre".
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La seule cohérence qui tienne
Homélie du jour par le Père Joseph-Marie Verlinde - Homélies.fr
Homélie (Archive 2007)
Les premières paroles de l’extrait du prophète Isaïe que nous avons entendu en première lecture résonnent comme un coup de clairon : « Ecoutez la Parole du Seigneur ! » Et à qui s’adresse cette injonction ? A ceux « qui ressemblent aux chefs de Sodome », c’est-à-dire à ceux qui font le mal sans scrupule, qui prétendent avoir dépassé l’opposition entre le bien et le mal, qui se vantent d’avoir instauré enfin un relativisme moral libérateur. Le Seigneur ne se répand cependant pas contre eux dans un flot d’invectives ou d’accusations : il se contente de les interpeller vigoureusement : « Ecoutez la Parole du Seigneur », c’est-à-dire reconnaissez l’altérité divine et prêtez l’oreille à ses propos.Pour convertir les pécheurs, Dieu commence par leur manifester sa paternité en les convoquant autour de sa Parole. Certes, il propose un enseignement, mais il ne nous impose pas un monologue moralisateur : « Venez donc et discutons, dit le Seigneur ». Le père est celui qui ouvre le dialogue : il parle et donne la parole, et c’est dans cet échange de paroles qu’il veut nous faire découvrir à la fois la vérité et notre responsabilité personnelle devant elle.
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La chaire de saint Pierre
On fête aujourd'hui, et c'est de circonstance, la chaire de saint Pierre. Missel.free en retrace l'historique :Il convient ici de rappeler que la chaire est le siège éminent réservé à l’évêque lorsqu’il préside une assemblée. Il importe peu de savoir s’il y eut jamais, à Rome, une chaire regardée comme la vraie chaire de saint Pierre, mais il faut souligner que l’on y fit grand cas de chaires qui rappelaient le magistère suprême de Pierre que, dès le IV° siècle on célébrait par une fête particulière, Natale Petri de Cathedra, fixée au 22 février.
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Comment revenir au Seigneur ?
Evangile du jour : Luc 5, 27-32
Jésus remarqua un publicain (collecteur d'impôts) du nom de Lévi assis à son bureau de publicain. Il lui dit : « Suis-moi. » Abandonnant tout, l'homme se leva et se mit à le suivre. Lévi lui offrit un grand festin dans sa maison ; il y avait une grande foule de publicains et d'autres gens attablés avec eux. Les pharisiens et les scribes de leur parti récriminaient en disant à ses disciples : « Pourquoi mangez-vous et buvez-vous avec les publicains et les pécheurs ? » Jésus leur répondit : « Ce ne sont pas les gens en bonne santé qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je suis venu appeler non pas les justes mais les pécheurs, pour qu'ils se convertissent. »
Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde - Homélies.fr - (Archive 2007)
Mercredi nous nous sommes mis en route en réponse à l’appel du Seigneur : « Revenez à moi de tout votre cœur » (Jl 2, 12). Mais comment faire pour nous arracher à notre inertie ? Et même si nous le pouvions, où nous diriger ? Comment, pauvres aveugles que nous sommes, pourrions-nous retrouver le chemin qui conduit à Dieu ? Comme Lévi, le douanier, nous sommes assis non pas entre deux pays, mais entre deux appartenances.
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l'Homélie du pape Benoît XVI lors de la célébration des Cendres
C'est sur le site de La Croix (qui a précédé Vatican.va) :
« Frères vénérés
Chers frères et sœurs,
Aujourd’hui, Mercredi des Cendres, nous entamons un nouveau chemin de Carême, chemin qui se déroule sur quarante jours et nous conduit à la joie de la Pâque du Seigneur, à la victoire de la Vie sur la mort. Selon la très ancienne tradition romaine des “stations” de Carême, nous sommes rassemblés pour la célébration de l’Eucharistie. Cette tradition prévoit que la première “station” ait lieu dans la basilique de Sainte-Sabine, sur la colline de l’Aventin. Les circonstances ont suggéré de se rassembler dans la Basilique Vaticane. Ce soir, nous sommes nombreux autour de la tombe de l’apôtre Pierre afin, aussi, de lui demander son intercession pour le chemin de l’Église en ce moment particulier, renouvelant notre foi dans le pasteur suprême de l’Église, le Christ Seigneur. Pour moi, c’est un moment approprié pour remercier chacun, spécialement les fidèles du diocèse de Rome, alors que j’apprête à conclure mon ministère pétrinien et pour demander un soutien particulier dans la prière.
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40 jours de compassion avec les chrétiens en détresse

...PRIER EN COMMUNION AVEC LES CHRÉTIENS EN DÉTRESSE
Chers amis,
En cette Année de la Foi, Benoît XVI nous dit, dans son message pour le Carême 2013 : "Le chrétien est une personne conquise par l'amour du Christ et donc, mû par cette amour, il est ouvert de façon concrète et profonde à l'amour pour le prochain."
C'est ainsi que je vous propose de vivre un Carême différent,tourné vers les chrétiens du monde qui souffrent par amour du Christ.
En vous inscrivant, vous recevrez chaque matin une prière à l’intention des chrétiens d’un pays, ainsi que des informations sur leur situation.
Qui d'autre que nous, chrétiens, pourra prier pour eux ?
Pour rejoindre la communauté de prière :
- Inscrivez-vous sur www.40joursdecompassion.org et remplissez le formulaire en haut à droite 1 jour, 1 pays, 1 prière. Une fois inscrit, vous recevrez chaque jour par courriel une intention de prière pour les chrétiens d’un pays.
- Vous pouvez aussi déposez une prière sur le Mur de Partagepour les chrétiens persécutés dans un pays ou une région du monde, ou la personne de votre choix. Partagez votre prière avec vos proches pour qu'ils s’associent à cette dernière.
Pour sensibiliser le plus grand nombre à la situation des chrétiens dans le monde, et aux actions possibles pour les aider, n'hésitez pas à partager notre courte vidéo, visible surwww.40joursdecompassion.org.
Merci infiniment pour votre prière, et bon Carême à tous !
Marc Fromager,
Directeur de l’AED
« Priez avec une confiance inébranlable et avec un seulcœur qui englobe d’amourtoute la terre. Et le Seigneur se tournera vers nous et sa miséricorde n’aura pas de limites »
Père Werenfried, fondateur de l'AED (1913-2003)
PS : nos frères vivent chaque jour le chemin de croix... Ne les oublions pas.
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9 propositions pour vivre le carême en ligne
La Croix présente neuf formules pour vivre le carême en profitant des apports journaliers de prières, textes et méditations proposées par diverses initiatives (carmes, dominicains, jésuites, renouveau...): Neuf-propositions-pour-vivre-un-Careme-en-ligne
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Jésus n’est pas venu pour chercher l’approbation des hommes
ROME, 3 février 2013 (Zenit.org) - « Amour et vérité sont les deux noms de la même réalité, deux noms de Dieu », explique Benoît XVI qui a commenté, avant l’angélus de midi, ce dimanche 3 février, place Saint-Pierre, l’évangile du jour : Jésus à Nazareth.
Paroles de Benoît XVI en italien avant l’angélus :
Cher frères et sœurs,
L’évangile d’aujourd’hui – tiré du chapitre 4 de saint Luc – est dans le prolongement de celui de dimanche dernier. Nous nous trouvons encore dans la synagogue de Nazareth, le village où Jésus a grandi et où tous les connaissent lui et sa famille. Or, après une période d’absence, il revient de façon nouvelle : au cours de la liturgie du sabbat, il lit une prophétie d’Isaïe sur le Messie, et il en annonce l’accomplissement, laissant entendre que cette parole de réfère à Lui.
Ce fait suscite l’étonnement des Nazaréens : d’une part, « tous lui rendaient témoignage et étaient en admiration devant les paroles pleines de grâce qui sortaient de sa bouche » (Lc 4, 22). Saint Marc rapporte que beaucoup disaient : « D'où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée ? » (Mc 6, 2). Mais d’autre part, ses concitoyens le connaissent trop bien : « C’est quelqu’un comme nous, disent-ils. Sa prétention ne peut être que présomption » (L’Enfance de Jésus, 11). « N'est-il pas le fils de Joseph ? » (Lc 4, 22), cela revient à dire : quelles aspirations peut bien avoir un charpentier de Nazareth ?
Justement parce qu’il connaît cette fermeture, qui confirme le proverbe « personne n’est prophète en son pays », dans la synagogue Jésus adresse aux gens des paroles qui résonnent comme une provocation. Il cite deux miracles accomplis par les grands prophètes Elie et Elysée en faveur de personnes qui n’étaient pas des Israélites, pour démontrer qu’il arrive qu’il y ait davantage de foi en dehors d’Israël. A ce moment-là, la réaction est unanime : tous se lèvent et le chassent, et ils cherchent même à le jeter du haut d’un précipice, mais Lui, avec un calme souverain, passe au milieu de la foule furieuse et il s’en va.
On se demande spontanément à ce moment-là : comment Jésus a-t-il pu vouloir cette rupture ? Au commencement, les gens l’admiraient, et il aurait peut-être pu obtenir une certaine approbation… Mais justement, voilà le point : Jésus n’est pas venu pour chercher l’approbation des hommes mais, comme il le dira à la fin à Pilate, pour « rendre témoignage à la vérité » (Jn 18, 37). Le vrai prophète n’obéit à personne d’autre qu’à Dieu et il se met au service de la vérité, prêt à payer de sa personne. Il est vrai que Jésus est le prophète de l’amour, mais aussi l’amour a sa vérité. Et même, amour et vérité sont les deux noms de la même réalité, deux noms de Dieu.
Dans la liturgie d’aujourd’hui résonnent aussi ces paroles de saint Paul : « L'amour prend patience ; l'amour rend service ; l'amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil ; il ne fait rien de malhonnête ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s'emporte pas ; il n'entretient pas de rancune ; il ne se réjouit pas de ce qui est mal, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai » (1 Co 13, 4-6). Croire en Dieu signifie renoncer à ses préjugés et accueillir le visage concret par lequel il s’est révélé : l’homme Jésus de Nazareth. Et cette voie conduit aussi à le reconnaître et à le servir dans les autres.L’attitude de Marie est éclairante à ce propos. Qui plus qu’elle a été familier de l’humanité de Jésus ? Mais elle n’en a jamais été scandalisée comme ses concitoyens de Nazareth. Elle conservait le mystère en son cœur et elle a su l’accueillir toujours davantage et toujours à nouveau, sur le chemin de la foi, jusqu’à la nuit de la croix et à la pleine lumière de la résurrection. Que Marie nous aide nous aussi à marcher avec fidélité et avec joie sur ce chemin.
© Libreria Editrice Vaticana- Traduction de Zenit : Anita Bourdin
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Lumière pour illuminer les nations
1. Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser s'en aller ton serviteur en paix, selon ta parole.
2. Car mes yeux ont vu ton salut que tu prépares à la face des peuples.
3. Lumière pour éclairer les païens et gloire d'Israël ton peuple.
4. Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit.
5. Au Dieu qui est, qui était et qui vient, pour les siècles des siècles. Amen.
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Un regard catholique sur la foi chrétienne
CHRISTUS, un excellent site que nous vous recommandons : http://christus-web.com/
"À la suite de l'appel de la première lettre de Pierre invitant le chrétien à rendre compte de l'espérance qui est en lui,Christus, website chrétien catholique, cherche à donner des éléments de réponse aux interrogations que toute personne peut se poser sur la foi chrétienne sans toujours savoir où chercher."
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Tite et Timothée
Sur le très précieux Missel.free.fr :
Saint Timothée et saint Tite, compagnons de voyage et amis de saint Paul, furent choisis par l’Apôtre pour gouverner, l’un l’Eglise d’Ephèse et l’autre l’Eglise de Crète. Autrefois, le premier était fêté le 24 janvier et le second le 4 janvier.
Né à Lystres d’un père païen, fut, avec sa mère (Eunice) et sa grand-mère (Loïs), juives et croyantes, converti par saint Paul qui, sur la recommandation des prophètes de la communauté de Lystres, le prit comme compagnon de voyage. Saint Paul lui confia des missions près des communautés (Thessalonique, Macédoine, Corinthe) et l’utilisa comme secrétaire pour rédiger les épîtres. Après avoir partagé sa première captivité, il accompagna saint Paul jusqu’à ce que celui-ci lui demandât de rester à Ephèse dont il fut le premier évêque. La tradition dit qu’il fut massacré à coups de massue et de pierres dans une émeute populaire, pour avoir voulu dissuader le peuple de se mêler aux désordres d’une fête païenne. Le corps de saint Timothée fut enterré près de celui de saint Jean, à Ephèse, où il resta jusqu’à ce qu’on le transportât à Constantinople (356).
Né dans le paganisme, aurait été, selon une ancienne tradition, de parents nobles, de la race royale de Minos, roi de Crète. Cette même tradition ajoute qu’il aurait fait de solides études en lettres profanes quand il aurait entendu une voix mystérieuse lui ordonnant de quitter son pays et de sauver son âme, ajoutant que la science profane des Grecs lui serait peu utile pour son salut. Il aurait attendu un an au bout duquel la même voix lui aurait dit de lire les Ecritures des Hébreux. Son oncle, proconsul de Crète, ayant appris la naissance du Messie d’Israël, l’aurait envoyé à Jérusalem où il aurait connu le Seigneur qui l’aurait compté parmi ses soixante-douze disciples. Témoin de la vie publique de Jésus, de sa Passion, de sa Résurrection et de son Ascension, il aurait été consacré par les Apôtres et adjoint à saint Paul.
Plus probablement, on pense que Tite, né païen, fut converti par saint Paul qui, quatorze ans plus tard, l’ayant rencontré à Antioche, l’emmène jusqu’à Jérusalem où il assiste au fameux « concile » qui rejette la circoncision des païens. A partir de ce moment là, il accompagne saint Paul dans ses voyages et lui sert de messager, singulièrement vers les communautés de Corinthe et d’Ephèse. Après la première captivité de saint Paul, il aborda en Crète avec l’Apôtre qui l’y laissa jusqu’à ce qu’il l’envoie en Dalmatie. Après le martyre de saint Paul, Tite revint en Crète où, disent les byzantins, il mourut dans un âge très avancé (quatre-vingt-quatorze ans). Le corps de saint Tite resta dans la cathédrale de Gortyne jusqu’à ce que la cité fût détruite par les musulmans (823) ; on ne retrouva que la tête de Tite qui fut transportée à Venise où elle est vénérée à Saint-Marc.
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