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Au rythme de l'année liturgique - Page 240

  • Quand EVA devient AVE

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    (Via Evangile au Quotidien) Saint Aelred de Rievaulx (1110-1167), moine cistercien 
    Sermon 59, 3ème pour l'Annonciation dans la collection de Durham (trad. cf coll. Pain de Cîteaux, n°23, p. 172) 

    EVA changée en AVE

    Aujourd'hui, le Père souverain nous a envoyé le véritable Joseph « pour revoir ses frères et les troupeaux » (Gn 37,14). Assurément, il est bien ce Joseph aimé par son père « plus que tous ses frères » (v. 3)... C'est lui, plus aimé que tous, plus sage que tous, plus magnifique que tous ; c'est bien lui que Dieu le Père a envoyé aujourd'hui... « Qui donc enverrai-je, dit Dieu le Père, et qui ira pour nous ? » (Is 6,8) Le Fils répond : « Voici que j'irai moi-même à la recherche de mes brebis » (Ez 34,11). Quittant le plus haut des cieux, il descend « dans la vallée d'Hébron » (Gn 37,14).

    Adam avait escaladé la montagne de l'orgueil ; le Fils de Dieu descend dans la vallée de l'humilité. Il trouve aujourd'hui une vallée où descendre. Où se trouve-t-elle ? Non pas en toi, Ève, mère de notre malheur, non pas en toi..., mais en la bienheureuse Marie. Elle est bien cette vallée d'Hébron en raison de son humilité et à cause de sa force... Elle est forte parce qu'elle participe à la force de celui dont il est écrit : « Le Seigneur est fort et puissant » (Ps 23,8). Elle est cette femme vaillante ardemment désirée par Salomon qui disait : « Une femme vaillante, qui la trouvera ? » (Pr 31,10)...

    Ève, bien que créée dans le paradis, sans corruption, sans infirmité ni douleur, s'est révélée si faible, si infirme. « Qui trouvera donc la femme vaillante ? » Pourra-t-on trouver dans le malheur d'ici-bas ce qu'on n'a pas pu trouver dans le bonheur de là-bas ? Pourra-t-on la trouver en cette vallée de larmes, alors qu'on n'a pas pu la trouver en la béatitude du Paradis ?... Aujourd'hui, oui aujourd'hui, elle a été trouvée. Dieu le Père a trouvé cette femme pour la sanctifier ; le Fils l'a trouvée pour l'habiter ; l'Esprit Saint l'a trouvée pour l'illuminer... L'ange l'a trouvée pour la saluer ainsi : « Salut, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi ». La voici, la femme vaillante. En elle, le sérieux, l'humilité et la virginité s'opposent à la curiosité, la vanité, la volupté. « L'ange entra chez elle », est-il écrit. Elle n'a donc pas été trouvée tournée vers l'extérieur, au-dehors ; elle était à l'intérieur, dans sa chambre secrète où elle priait son Père dans le secret (Mt 6,6).

  • Noël, fête de la lumière et de l'inauguration du temple véritable

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    Pneumatis partage une très bonne réflexion sur Noël :

    Noël approche et je ressentais le besoin de partager un peu ces derniers moments d'Avent avec toi. Je trouve qu’il est difficile de se placer dans cette attitude d’attente et d’adoration, face au mystère qui vient. Si peu de choses y contribuent pour nous. Noël fête commerciale, Noël sujet de débat religieux…

    D’avoir lu par exemple ce qui est paru dans la presse au sujet du dernier ouvrage de Benoit XVI (qui restera inaccessible pour moi, emballé au pied du sapin, jusqu’au 25 décembre), cette « surprise » des rédactions autour de la datation de la naissance du Christ, m’a laissé sans voix. Il me semblait qu'on apprenait ça à l'école, bon sang ! C’est, je crois l’une des raisons d’être de l’appel à la nouvelle évangélisation : on entend dire toutes sortes de choses sur Noël, tantôt nourries d'une insondable ignorance (l'un des articles va même jusqu'à parler d'année 0, abomination historique), tantôt frappées du sceau du savoir scientifique, qui tendent à nous éloigner de ce mystère… Noël, comme le Christ, est plus méconnu que jamais. Plus que jamais parce que tout un chacun croit le connaitre, et qu’avant de transmettre la bonne nouvelle, il faut comme arracher du cœur des gens ce qui y est installé comme une mauvaise nouvelle, comme un tissu de préjugés.

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  • Dans quelques jours, nous fêterons Noël...

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    Georges_de_La_Tour_001.jpgDu pape, hier (dimanche 16/12), lors de la messe célébrée à la paroisse Saint-Patrick à Rome (VIS) :

    "Dans quelques jours, nous fêterons Noël, la fête de la venue de Dieu qui s'est fait petit enfant et notre frère pour être avec nous et partager notre condition humaine. Nous devons nous réjouir de sa proximité, de sa présence et chercher à mieux comprendre qu'il nous est réellement proche, pour être ainsi pénétrés de la réalité de la bonté de Dieu, de la joie que le Christ est avec nous. Saint Paul dit avec force dans une autre lettre que rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu qui s'est manifesté dans le Christ. Seul le péché nous éloigne de lui, mais il s'agit d'un facteur de séparation que nous introduisons dans notre rapport avec le Seigneur. Mais, même lorsque nous nous éloignons, il ne cesse de nous aimer et continue de nous être proches avec sa miséricorde, avec sa disponibilité à pardonner et à nous accueillir de nouveau dans son amour. C'est pourquoi nous ne devons jamais nous angoisser, nous pouvons toujours exposer au Seigneur nos requêtes, nos besoins, nos préoccupations par des prières et des suppliques. Et c'est un grand motif de joie de savoir qu'il est toujours possible de prier le Seigneur et de savoir qu'il nous écoute, que Dieu n'est pas loin mais écoute réellement, nous connaît, et de savoir qu'il ne repousse jamais nos prières, même s'il n'y répond pas toujours comme nous le voudrions, mais qu'il répond... La joie que le Seigneur nous communique doit trouver en nous un amour reconnaissant. En effet, la joie est pleine lorsque nous reconnaissons sa miséricorde, lorsque nous devenons attentifs aux signes de sa bonté... Celui qui accueille les dons de Dieu de façon égoïste ne trouve pas la vraie joie; mais qui les utilise pour l'aimer avec une sincère gratitude et pour communiquer aux autres son amour, a, lui, le cœur vraiment rempli de joie".

  • 3e dimanche de l'Avent : réjouissons-nous...

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    Voir ici : http://www.introibo.fr/3eme-dimanche-de-l-Avent

    Lire l'homélie du Père Verlinde : http://www.homelies.fr/homelie,3e.dimanche.de.l.avent,3315.html

  • Ah si vous aviez écouté mes commandements...

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    Une homélie très actuelle du père Joseph-Marie Verlinde (homelies.fr) (voir les lectures du jour) :

    Le Seigneur se fait suppliant ; par la voix du prophète Isaïe, il déverse la plainte de son cœur de Père : « Ah si vous aviez écouté mes enseignements, si vous vous étiez attachés à mes commandements, vous marcheriez sur des chemins de justice et de paix durables. Vous seriez “comme un arbre planté près d’un ruisseau, qui donne du fruit en son temps, tout ce que vous entreprendriez réussirait” (Ps 1). Hélas vous n’avez pas écouté ma voix : refusant de vous laisser guider, et méprisant mes conseils, vous avez préféré décider vous-mêmes de la voie à suivre, n’écoutant que la malice de vos cœurs enténébrés par le péché. Vous vous êtes fourvoyés dans vos pensées tortueuses, vous entraînant les uns les autres sur des chemins de perdition ».

    Non seulement nous sommes rebelles et refusons d’écouter notre Dieu, mais nous prétendons même lui dicter le comportement qu’il devrait adopter. C’est bien ce que Jésus dénonce à travers la parabole des jeux d’enfants. Le jeu consiste pour un des groupes à mimer par la danse ou les pleurs, la tonalité de la musique entonnée par l’autre. Celui qui ne reconnaît pas la mélodie ou se trompe d’attitude, est exclu. A travers cet exemple, Jésus reproche à ses auditeurs de ne plus laisser d’espace à l’imprévu de Dieu, de ne plus être ouverts aux initiatives toujours déconcertantes par lesquelles le Seigneur conduit l’histoire sur des chemins qui ne sont pas les nôtres. Au lieu de se laisser interpeller par la parole prophétique du Baptiste les appelant à la conversion, les contemporains de Jean-Baptiste se sont fermé les oreilles en prétextant qu’il était possédé ; au lieu de se laisser toucher par la miséricorde de Jésus qui mange à la table des exclus, ils l’accusent de complicité avec « les publicains et les pécheurs ». Par leur attitude, les scribes et pharisiens trahissent qu’ils se sont érigés eux-mêmes en norme ultime de comportement. Prétendant posséder la clé d’interprétation des Ecritures et parler en leur nom, ils se posent en maîtres de justice, « connaissant le bien et le mal » (Gn 3, 5). Ils n’ont de comptes à rendre à personne, pas même à Dieu dont ils ont orgueilleusement usurpé la place. Notre-Seigneur aurait beau leur donner tous les signes qu’ils réclament : cela n’y changerait rien, car ils sont aveuglés par leur soif de pouvoir.

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  • Fêter Noël dans le diocèse de Tournai

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    Célébrations liturgiques  
       
    Veillée et Messe de Noël à Rouveroy   24 décembre 2012
    Veillée et messe de minuit / Jamioulx   25 décembre 2012
       
     
     Conférences  
    Conférences d'Avent : Découvrir la prière du Rosaire avec le Pape Jean-Paul II / Tongre ND   13 décembre 2012
    Conférences d'Avent : Découvrir la prière du Rosaire avec le Pape Jean-Paul II / Tongre ND   20 décembre 2012
       
     Manifestations culturelles  
    42è Concert de Noël / Jamioulx   16 décembre 2012
    Concert de Noël - Merbes-le-Château   16 décembre 2012
    Michael Lonsdale à Charleroi - Concert spirituel   24 février 2013
       
     Manifestations religieuses  
    Concert de Noël au Séminaire   12 décembre 2012
    Pérégrination Vierge Pèlerine Région des Collines   13 décembre 2012
    Concert de Noël Mouscron   14 décembre 2012
    Veillée de Noël / Comines   15 décembre 2012
       
     Divers / Autres  
    Exposition sur le thème de la Nativité / Comines   10 décembre 2012au 6 janvier 2013
       
    Les autres événements de cette section ...
     source : http://tournai.diocese.be

  • L'évangile de l'Enfance et sa dimension historique

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    Le message du pape lors de l'Angelus du dimanche 9 décembre (ZENIT.org) :

    Dans le temps de l’Avent, la liturgie met en avant, de manière particulière, deux figures qui préparent la venue du Messie : la Vierge Marie et Jean-Baptiste. Aujourd’hui, saint Luc nous présente ce dernier, et il le fait avec des caractéristiques différentes des autres évangélistes.

    « Les quatre évangiles mettent au commencement de l’activité de Jésus la figure de Jean-Baptiste et le présentent comme son précurseur. Saint Luc a anticipé le lien entre les deux figures et leurs missions respectives, en les situant dans les deux récits de l’enfance. Déjà dans leur conception et dans leur naissance, Jésus et Jean sont mis en relation entre eux » (L’enfance de Jésus, p. 29).

    Cette organisation aide à comprendre que Jean, comme fils de Zacharie et d’Elisabeth, tous deux de familles sacerdotales, est non seulement le dernier des prophètes, mais il représente aussi le sacerdoce de l’Ancienne Alliance tout entier et, en cela, il prépare les hommes au culte spirituel de la Nouvelle Alliance, inauguré par Jésus (cf. id. p.35-36).

    En outre, Luc démytifie toute lecture mythique qui est souvent faite des évangiles, et il situe historiquement la vie du Baptiste : « L'an quinze du principat de Tibère César, Ponce Pilate étant gouverneur de Judée … sous le pontificat d'Anne et Caïphe » (Lc 3, 1-2). C’est à l’intérieur de ce cadre historique que se situe le véritable grand événement, la naissance du Christ, que ses contemporains ne remarquent même pas. Pour Dieu, les grands de l’histoire servent de décor pour les petits !

    Jean-Baptiste se définit comme la « Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers » (Lc 3, 4). La voix proclame la Parole mais, dans ce cas-ci, la Parole de Dieu précède, dans la mesure où c’est elle qui descend sur Jean, fils de Zacharie, au désert (cf. Lc 3, 2). Il a donc un grand rôle, mais toujours en fonction du Christ. Saint Augustin fait ce commentaire « Jean est la voix, mais le Seigneur, au commencement, était le Verbe. Jean est une voix dans le temps ; le Christ était au commencement la Parole éternelle. Enlève la Parole, que devient la voix ? Vidée de tout sens, elle n'est que vain bruit. Sans la Parole, la voix frappe l'oreille, elle n'édifie pas le cœur » (Discours 293, 3). C’est à nous que revient la tâche, aujourd’hui, d’écouter cette voix pour laisser à Jésus, la Parole qui nous sauve, un espace dans notre cœur pour l’accueillir.

    En ce temps de l’Avent, préparons-nous à voir, avec les yeux de la foi, dans l’humble grotte de Bethléem, le salut de Dieu (cf. Lc 3, 6). Dans notre société de consommation, où l’on est tenté de chercher la joie dans les choses matérielles, le Baptiste nous enseigne à vivre de manière essentielle, afin que Noël soit vécu non seulement comme une fête extérieure, mais comme la fête du Fils de Dieu, venu apporter aux hommes la paix, la vie et la véritable joie.

    Confions à Marie, Vierge de l’Avent, notre chemin vers le Seigneur qui vient, pour être prêts à accueillir, dans notre cœur et dans toute notre vie, l’Emmanuel, le Dieu-avec-nous.

  • La Translation de la Sainte Maison de Lorette

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    Du site "Marie de Nazareth", une synthèse rédigée par F. Breynaert :

    Le rayonnement de ce sanctuaire italien est si grand que le calendrier liturgique catholique romain propose une mémoire liturgique pour célébrer la "Translation de la Sainte Maison de Lorette", le 10 décembre.

    Le mot "translation" signifie "transport" : l'actuel sanctuaire, construit au XV° et XVI° siècle, abrite une maison, "la sainte Maison", dont les pierres sont une relique de la maison de la Vierge Marie de Nazareth.

    Sixte V (pape de 1585 à 1590), fit graver en lettres d'or sur façade de la Basilique à peine achevée : « Maison de la Mère de Dieu où le Verbe s'est fait chair ».

    Il est tout à fait saisissant d’entrer en ce lieu, de se prosterner là, et de penser qu’entre ses pierres, quand la Vierge prononça son Oui, le Verbe s’est fait chair dans son sein virginal, et qu’il a vécu parmi nous.

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  • Le Noël solidaire de Caritas

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    noel_solidaire_fr.jpg

    Noël solidaire pour les victimes de conflits

    Maintenant que Noël arrive, symbole de l’arrivée de la lumière et de l’espoir dans les moments sombres, Caritas International souhaite porter une attention particulière aux victimes des conflits entre autres en Syrie, dans l’Est du Congo ou à Gaza et en Israël. Avec notre action 1 Millions d’Etoiles, avec autant de bougies que possible, nous souhaitons pointer du doigt la pauvreté scandaleuse dans le Sud, souvent conséquence de la violence et de la guerre qui conduisent les victimes à fuir et à être plongées dans la misère.

    Cliquer sur ce lien : http://www.caritas-int.be/fr/e-file/solidaire-kerst

  • Quand une nouvelle année liturgique ravive la douce mémoire du Christ

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    La préparation à Noël dans la tradition occidentale et la tradition byzantine (Osservatore Romano)

    Une mémoire douce et vivante

    Toute la vie de l’Eglise se déroule dans le souvenir du Christ, dans sa « douce mémoire – une memoria suavitatis, pour reprendre l’expression de saint Bernard – sans que le temps, qui passe, ne parvienne jamais à l’épuiser ou à l’atténuer. Et en effet, Jésus est le contemporain de l’étendue des siècles, qui se déroulent tous en sa présence.

    L’Eglise le rencontre en particulier dans l’Ecriture, née comme réévocation des « événements » du Seigneur (cf. Luc, 1, 1). L’Eglise le rencontre dans les signes sacramentaux qui, à leur tour, sont valables et efficaces grâce à la présence actuelle de celui qui en a été et continue d’en être l’auteur. Les croyants retrouvent le Seigneur sous diverses autres formes, mais c’est ici au caractère de signe sacramentel de l’année liturgique elle-même que nous nous intéressons. Avec ses festivités, l’Eglise a comme refaçonné les jours et les semaines ; elle a incliné et plié au service de Jésus les mois et les années.

    Et la tradition liturgique byzantine elle aussi – bien qu’elle n’ait pas en elle-même une période liturgique précédant Noël, avec des particularités eucologiques propres – dans la période allant du 15 novembre au 24 décembre encadre ce qui s’appelle le « Carême de Noël », où nous trouvons une série de tropaires appelés theotòkia — c’est-à-dire dédiés à la Mère de Dieu – très riches d’un point de vue théologique.

    La liturgie byzantine prépare à la Nativité de manière très discrète, très humble. Une très belle série de tropaires nous fait goûter par anticipation le mystère de l’Incarnation : l’attente confiante, la pauvreté de la grotte, les personnages ainsi que les lieux vétérotestamentaires qui apparaissent à cette période. A travers des images poétiques et des réminiscences bibliques nous sommes placés face au mystère de notre salut, au mystère indicible de Dieu qui, par amour, s’incarne, se fait l’un de nous, se fait homme, « se fait petit » comme les Pères aiment à le dire.

    source : osservatoreromano.va

  • Affichons Noël

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    Comme les années précédentes, Aide à l'Eglise en Détresse/Kerk in Nood propose gratuitement des affiches à placer bien en vue :

    1061217223059.jpgAFFICHE NOËL 2012

    Comme nous, l'approche de la Noël vous remplit de joie ? Pourquoi ne pas partager ce message de paix et de joie avec vos voisins ? Demandez-nous l'affiche gratuite 'Noël dans la cité'. Vous voyez ci-contre une image de cette affiche. Nous nous ferons un plaisir de vous envoyer cette affiche au format A3. 

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