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Au rythme de l'année liturgique - Page 245

  • 8/7/2012 14e dimanche du temps ordinaire: "Ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse"

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    Source: Evangile au Quotidien

     

    Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 12,7-10.

    Et les révélations que j'ai reçues sont tellement exceptionnelles que, pour m'empêcher de me surestimer, j'ai dans ma chair une écharde, un envoyé de Satan qui est là pour me gifler, pour m'empêcher de me surestimer.
    Par trois fois, j'ai prié le Seigneur de l'écarter de moi.
    Mais il m'a déclaré : « Ma grâce te suffit : ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse. » Je n'hésiterai donc pas à mettre mon orgueil dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi.
    C'est pourquoi j'accepte de grand cœur pour le Christ les faiblesses, les insultes, les contraintes, les persécutions et les situations angoissantes. Car, lorsque je suis faible, c'est alors que je suis fort.


    Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 6,1-6.

    Jésus est parti pour son pays, et ses disciples le suivent.
    Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. Les nombreux auditeurs, frappés d'étonnement, disaient : « D'où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ?
    N'est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à cause de lui.
    Jésus leur disait : « Un prophète n'est méprisé que dans son pays, sa famille et sa propre maison. »
    Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains.
    Il s'étonna de leur manque de foi. Alors il parcourait les villages d'alentour en enseignant.



    Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

  • 4 juillet: Sainte Elisabeth, Reine du Portugal (1271-1336)

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    Source: levangileauquotidien.org

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    Sainte Elisabeth de Portugal, par Francisco de Zurbaran

    Sainte Élisabeth reçut ce nom à son Baptême, en souvenir de sainte Élisabeth de Hongrie, sa tante. À l'âge de huit ans, elle récitait chaque jour l'office divin et conserva cette pratique jusqu'à sa mort ; elle méprisait le luxe, fuyait les divertissements, soulageait les pauvres, multipliait ses jeûnes et menait une vie vraiment céleste. Toutes les œuvres de piété d'Élisabeth étaient accompagnées de larmes que l'amour faisait monter de son cœur à ses yeux. Le temps que ses exercices religieux lui laissaient libre, elle aimait à l'employer à l'ornementation des autels ou aux vêtements des pauvres.

    Élevée sur le trône de Portugal par son mariage avec Denys, roi de ce pays, elle fut d'une patience remarquable dans les épreuves qu'elle eut souvent à subir de la part de son mari, et ne lui montra jamais, en échange de ses procédés injustes, qu'une amabilité croissante, une douceur toute affectueuse et un dévouement sans bornes, qui finirent par triompher de ce cœur rebelle. Élisabeth est célèbre par le don que lui fit le Ciel de rétablir la paix entre les princes et les peuples.

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  • Angélus du 1er juillet: allocution de Benoît XVI

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    Source : ZENIT.ORG

    Ce dimanche, l’évangéliste Marc nous présente le récit de deux guérisons miraculeuses que Jésus accomplit en faveur de deux femmes : la fille d’un des chefs de la synagogue, nommé Jaïre, et une femme qui souffrait d’hémorragie (cf. Mc 5,21-43). Ces deux épisodes présentent deux niveaux de lecture ; le niveau purement physique : Jésus se penche sur la souffrance humaine et guérit le corps ; et le niveau spirituel : Jésus est venu pour guérir le cœur de l’homme, pour donner le salut et encourager la foi en Lui.

     

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  • Le "testament spirituel" de saint Paul

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    Catéchèse du 27 juin 2012 de Benoît XVI sur la prière

    Source : ZENIT.ORG

    Extraits

    Aujourd’hui, je voudrais parler d’un des chants ou hymnes les plus antiques de la tradition chrétienne, que saint Paul nous présente dans ce qui est, d’une certaine manière, son testament spirituel : la Lettre aux Philippiens. Il s’agit, en effet, d’une lettre que l’apôtre dicte pendant qu’il est en prison, peut-être à Rome. Il sent sa mort proche puisqu’il affirme que sa vie sera offerte en libation (Ph 2, 17).

    En dépit de cette situation de grand danger pour sa sécurité physique, saint Paul, dans tout cet écrit, exprime la joie d’être disciple du Christ, de pouvoir aller à sa rencontre, au point de voir la mort non pas comme une perte mais comme un gain. Saint Paul écrit : « Réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur, je le dis encore, réjouissez-vous » (Ph 4, 4). Mais comment peut-on être joyeux face à une condamnation à mort désormais imminente ? D’où, ou plutôt de qui, saint Paul tire-t-il la sérénité, la force, le courage d’aller au-devant du martyre et de l’effusion de sang ?

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  • Fête des Saints Pierre et Paul

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    La Solennité des saints Pierre et Paul sous le signe de l'unité des chrétiens

    À l'occasion de la solennité des saints Pierre et Paul, patrons de Rome, le Pape célèbrera la messe dans la basilique Saint-Pierre ce vendredi matin à 9h. Comme le veut la tradition, Benoît XVI remettra le pallium à 44 nouveaux archevêques métropolitains. Parmi eux un français, Mgr Pascal Wintzer, archevêque de Poitiers, et trois canadiens, dont le nouvel archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine. Cette année, la fête des saints Pierre et Paul sera placée sous le signe de l’unité des chrétiens. Le choeur de la célèbre abbaye de Westminster, personnellement invité par le Pape chantera avec celui de la chapelle Sixtine pendant la messe célébrée par le Pape. Une délégation orthodoxe de haut niveau sera présente dans la Basilique Saint Pierre. Comme chaque année, une délégation du Patriarcat œcuménique de Constantinople assistera à la célébration. Emmenée par le Métropolite de France, Mgr Emmanuel, la délégation a été reçue en audience par Benoît XVI ce jeudi. Quelques légères modifications ont été apportées au rite de la célébration. La bénédiction et la remise des palliums se dérouleront avant le début de la messe et non pas après l’homélie. Cela permettra d’abréger le rite, d’éviter d’interrompre la célébration eucharistique, et de bien montrer qu’il ne s’agit pas d’un rite à valeur sacramentelle. La messe sera accompagnée des chants du coeur de la chapelle Sixtine mais aussi ceux de la chorale de l’Abbaye de Westminster, invitée spécialement.
     
    source : news.va
  • Cyrille, gardien de la vraie foi

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    Benoît XVI a consacré une catéchèse au Père de l'Eglise fêté aujourd'hui, Saint Cyrille d’Alexandrie, lors de l'audience générale du 3 octobre 2007. (Texte original italien dans l’Osservatore Romano du 4 octobre. Paru dans La Documentation Catholique n° 2391 du 2/12/2007, p. 1040. (*) :

    Chers Frères et Sœurs,

    Poursuivant notre itinéraire sur les traces des Pères de l’Église, aujourd’hui encore nous rencontrons une grande figure : saint Cyrille d’Alexandrie.

    Lié à la controverse théologique qu’il soutint au Concile d’Éphèse en 431, et ultime représentant de premier plan de la tradition alexandrine, Cyrille fut plus tard défini dans l’Orient grec comme « gardien de l’exactitude », ce qui doit être compris comme « gardien de la vraie foi », et même comme « symbole des Pères ». Ces expressions anciennes expriment bien une donnée concrète qui est caractéristique de Cyrille : la référence constante de l’évêque d’Alexandrie aux auteurs ecclésiastiques qui l’ont précédé (parmi lesquels, en premier lieu, Athanase), cela dans le but de montrer la continuité de sa théologie avec la tradition. Il s’insère résolument et explicitement dans la tradition de l’Église, dans laquelle il trouve la garantie de continuité avec les Apôtres et avec le Christ lui-même. Vénéré comme un saint, aussi bien en Occident qu’en Orient, saint Cyrille fut proclamé en 1882 Docteur de l’Église par le Pape Léon XIII qui, simultanément, attribua le même titre à un autre important représentant de la patristique grecque, saint Cyrille de Jérusalem. Par ces proclamations, étaient mis en relief l’attention et l’amour que portait aux traditions chrétiennes orientales ce Pape qui, par la suite, voulut encore proclamer Docteur de l’Église saint Jean Damascène, montrant ainsi que la tradition orientale, tout comme le fait la tradition occidentale, exprime la doctrine de l’unique Église du Christ.

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  • Léon III, pape aux alentours de 800

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    Du "Propre de la ville de Rome", le récit de la vie du saint Pape (795-816) fêté aujourd'hui. (source : abbaye-saint-benoit.ch)

    "Léon, troisième du nom, naquit à Rome et eut pour père Asuppius. Il fut élevé dès son enfance dans les dépendances de l'Eglise patriarcale de Latran, et formé à toutes les sciences divines et ecclésiastiques. Moine de saint Benoit, puis prêtre cardinal, il fut enfin, d'un accord unanime, créé souverain pontife le jour même de la mort d'Adrien, l'an sept cent quatre-vingt-quinze. Il occupa le siège vénéré de saint Pierre vingt ans, cinq mois et dix-sept jours.

    Il fut dans le pontificat ce qu'il s'était montré avant son élévation, plein de bienveillance et de douceur , adonné à Dieu, charitable au prochain, prudent dans les affaires. Il fut le père des pauvres et des malades, le défenseur de l'Eglise, le promoteur du culte divin. Pour Jésus-Christ et l'Eglise son zèle entreprit les plus grandes choses, et sa patience supporta les dernières extrémités.

    Laissé à demi-mort par des impies, les yeux crevés, couvert de blessures, il se trouva guéri le lendemain par un insigne miracle ; ses prières obtinrent la vie aux parricides auteurs de l'attentat. Il déféra à Charlemagne roi des Francs l'Empire romain. Il construisit un vaste hospice pour les étrangers, et consacra aux pauvres son patrimoine avec d'autres biens. Les basiliques de Rome, surtout celle de Latran, dans le palais de laquelle il bâtit le triclinium célèbre entre tous, ces édifices sacrés et d'autres encore, furent comblés par lui de tant de richesses précieuses, qu'on peut à peine le croire. Enfin il couronna sa vie si pieuse par une sainte mort, la veille des ides de juin, l'an du Seigneur huit cent seize ; on l'ensevelit au Vatican."

  • Barnabé : un vrai saint et un faux évangile

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    Voici, d'abord, la biographie de Barnabé, saint apôtre vénéré aujourd'hui (source : missel.free) :

    Barnabé était un juif de la tribu de Lévi, né dans l’île de Chypre où une importante colonie juive s’était installée à l’époque d’Alexandre le Grand. Il reçut dans sa jeunesse une culture hellénique. Il vint à Jérusalem et fit partie de la première communauté chrétienne : « Joseph, surnommé par les apôtres Barnabé - ce qui veut dire fils de consolation - lévite originaire de Chypre, possédait un champ ; il le vendit, apporta l’argent et le déposa au pied des apôtres » (Actes des Apôtres IV 36-37). Dès lors, tout au long de ses courses apostoliques, il vécut du travail de ses mains, comme le dit saint Paul dans sa première lettre aux Corinthiens (IX 6).

    Certaines traditions affirment que Barnabé étudia la torah à l’école de Gamaliel, à Tarse où il rencontra Saul qui devint saint Paul. Toujours est-il que c’est Barnabé qui présenta Paul à Jérusalem : « Barnabé l’ayant pris avec lui, le mena aux apôtres et leur raconta comment, sur le chemin, Saul avait vu le Seigneur qui lui avait parlé et avec quel courage il avait à Damas prêché le nom de Jésus » (Actes des Apôtres IX 27).

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  • BXL, 10 juin : procession du Saint-Sacrement

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    affiche fete-dieu 2012 im.jpg

    ...et aussi : une autre procession ce 10 juin : à Molenbeek, départ 15h de l'église St-Rémi (métro Ribaucourt). Présence des frères de St-Jean du couvent de Jette.

  • C'est une erreur d'opposer célébration et adoration eucharistiques

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    318064_348965118510792_771331560_n.jpgEucharistie : ne pas opposer la célébration et l'adoration

    Source : http://www.zenit.org/article-31063?l=french

    Le pape a présidé ce mercredi soir la messe de la fête du Saint-Sacrement – appelée plus souvent à Rome la fête du « Corpus Domini, puis la procession eucharistique de la cathédrale de Rome jusqu’à la basilique Saint-Marie-Majeure.

    Le pape a proposé une réflexion sur deux points : d’une part « sur la valeur du culte eucharistique, en particulier de l’adoration du Saint-Sacrement » et d’autre part sur « le caractère sacré de l’Eucharistie ».

    Considérant précisément le caractère sacré de l’Eucharistie, le Saint père a déclaré ceci : « Une interprétation unilatérale du concile Vatican II a pénalisé cette dimension en réduisant la pratique de l’Eucharistie au moment de la célébration. En effet, il a été très important de reconnaître le caractère central de la célébration, à laquelle le Seigneur convoque son peuple, où le rassemble autour de la double table de la Parole et du Pain de vie, le nourrit et l’unit à lui dans l’offrande du Sacrifice. Cette mise en valeur de l’assemblée liturgique dans laquelle le Seigneur agit et réalise son mystère de communion, demeure naturellement valable, mais elle doit être resituée dans un juste équilibre ».

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  • Norbert, un modèle d'évangélisation pour aujourd'hui ?

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    Très implanté chez nous, l'ordre de Prémontré conjugue vie en communauté monastique et apostolat en paroisse en suivant la règle des chanoines réguliers de saint Augustin. Cela pourrait inspirer les apôtres de la "nouvelle évangélisation". C'est une formule qui aurait pu se réaliser au Val Dieu (Aubel, diocèse de Liège), après le départ des derniers moines cisterciens, si de mesquines oppositions n'avaient pas empêché l'installation d'une communauté de chanoines réguliers prête à y résider.

    On fête aujourd'hui saint Norbert dont missel.free.fr retrace la carrière très féconde : http://missel.free.fr/Sanctoral/06/06.php

    L'occasion de rappeler l'importance de l'ordre de Prémontré en Belgique :

  • Les intentions du pape pour juin 2012

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    L'intention de prière générale de Benoît XVI pour juin est: "Pour que les croyants sachent reconnaître dans l’Eucharistie la présence vivante du Ressuscité, qui les accompagne dans la vie quotidienne".

    Son intention missionnaire est: "Pour que les chrétiens d'Europe redécouvrent leur identité et participent avec plus d’élan à l’annonce de l’Evangile".

    Commentaire de l'intention missionnaire proposé par Fides.org :

    Au cours de ces dernières décennies, les pays d’antique tradition chrétienne en Europe ont subi et continuent de subir une forte crise d’identité. Au niveau politique, on a prétendu priver l’Europe de ses racines chrétiennes. Outre à être une trahison par rapport à la vérité historique, cet acte constitue une tentative visant à créer une Europe sécularisée, sans aucune référence à Dieu dans ses constitutions et dans la vie publique de ses ressortissants. Il est indéniable, comme l’affirma le Bienheureux Pape Jean Paul II que « l’Europe a été largement et profondément pénétrée par le christianisme » (Ecclesia in Europa, 24).

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