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Eglise - Page 1279

  • Paris : la Basilique du Sacré-Coeur vandalisée

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    Lu sur lefigaro.fr :

    La Basilique de Montmartre vandalisée ou la banalisation des actes anti-chrétiens

    Julie Graziani, porte-parole d'Ensemble pour le Bien Commun réagit à la profanation de la Basilique du Sacré-Coeur par des groupuscules anarchistes.

    Julie Graziani est porte-parole d'Ensemble pour le bien commun, une association de jeunes laïcs catholiques notamment à l'origine de la supplique présentée au pape François.

    Il y a quelques semaines "Ensemble Pour le Bien Commun" dénonçait, dans une supplique adressée au Pape François, la prolifération des actes et des paroles antichrétiens et se faisait l'écho du malaise de nombreux catholiques en France, obligés de constater l'indifférence générale dans laquelle se perpétraient des profanations d'églises, voire même l'indulgence médiatique et politique réservée à leurs auteurs.

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  • 22-23 mars : Pères de famille en marche avec le pape François

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    DSC_0198.jpg"Pères de famille en marche avec le pape François"

    Les pères (et futurs pères) de familles de Belgique sont tous invités à participer à la 11ème marche organisée spécialement pour eux samedi 22 et dimanche 23 mars.

    Ils pourront rejoindre des équipes de Bruxelles, Namur, Arlon, Liège qui se retrouveront pour arpenter les chemins de grande randonnée de cette belle région

    Partant de Spa ils rejoindront le sanctuaire de Banneux.  En cours de route, le frère Roger-Marie donnera différents enseignements sur le thème

    "Pères de famille en marche avec le pape François".  Le message du Pape François (notamment celui de la lettre apostolique 'la joie de l'Evangile') sera au coeur de cette marche.

    Arrivés à Banneux, les pères reprendront des forces autour du désormais célèbre apéritif qui les y attend.

    Ils pourront confier leur vie et leur famille au Coeur de Jésus au cours d'une veillée d'adoration qui suivra le souper.

    Dans cette prière, comme le disait encore Benoît XVI, leur âme d’hommes continue à se nourrir « d’amour, de vérité, de paix; elle se nourrit d’espérance, parce que Celui devant lequel nous nous prosternons ne nous juge pas, ne nous écrase pas, mais nous libère et nous transforme. »

    Dimanche 23 mars, les pères se rendront à Tancrémont avant de retourner au sanctuaire de Banneux pour partager un repas tiré du sac avec les familles qui les rejoindront.

    La messe de clôture aura lieu à 14h30 au prieuré des frères de Saint-Jean - 50 rue de la Sapinière 4141 Banneux.

    Inscription et renseignements - www.marchedesperes.be

  • Le pape ne ferait pas l'unanimité

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    C'est ce qui ressort d'un article publié par BDO sur le site de La Vie :

    Le pape François et ses opposants

    Derrière l'engouement populaire pour le pape François se cacheraient de sévères critiques internes. C'est en tout cas l'avis de l'historien Andrea Riccardi.

    Voici quelques jours que l'on commente avec attention les initiatives tant organisationnelles que « missionnaires » du pape François.

    Dans le réputé magazine italien Famiglia Christiana, le tout aussi réputé historien des religions et par ailleurs fondateur du mouvement international Sant'Egidio Andrea Riccardi a voulu mettre en avant une autre caractéristique du pontificat de François : les résistances internes à l'Église auxquelles il doit faire face.

    Rappelant que la volonté du pape de nous amener à « sortir » des espaces habituels pour rencontrer l'Autre est sans nul doute son vrai programme, le professeur affirme que François est le pontife qui doit affronter le plus de critiques internes depuis le début du XXe siècle. Même Paul VI ne devait pas faire face à de telles critiques tant, à ce moment-là, elles étaient d'une autre nature et se caractérisaient par une contestation générale envers tout et tous.

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  • Les canonisations du pape François

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    A lire, sur le site Chiesa Espresso de S. Magister :

    En quelques mois six nouveaux saints canonisés en dehors des règles

    C’est-à-dire sans qu’un miracle ait été dûment constaté après leur béatification. Il s’agit d’une procédure exceptionnelle, qui n’a été utilisée qu’en de rares occasions au cours de l’histoire. Mais le pape François y a recours avec une fréquence sans précédent.

    Extrait : 

    ... le pape François, même s’il aime la simple appellation d’évêque de Rome, exerce pleinement les prérogatives qui lui reviennent en sa qualité de souverain pontife de l’Église universelle, y compris en ce qui concerne la politique de canonisations. Or cette politique est particulièrement délicate parce que, d’après la doctrine actuellement en vigueur et en dépit des opinions contraires que l’on trouve chez les théologiens, les canonisations engagent –contrairement aux béatifications – le magistère infaillible de l’Église.

    à lire sur chiesa.espressonline

  • La Vierge de Sart-Station : L'évêque de Liège appuie l'expertise de l'Université de Liège

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    Sur le site de la RTBF :

    Vierge à Jalhay: l'Evêque de Liège favorable à l'expertise de l'ULg

    C'est ce mardi que le bourgmestre de Jalhay rencontre des représentants de l'Université de Liège afin de déterminer les modalités des analyses qui vont être effectuées sur la fameuse statuette de la vierge de Sart. Cette statuette lumineuse a fait se déplacer de nombreux curieux. Plusieurs scientifiques vont donc se pencher sur ce phénomène, que certains spécialistes attribuent déjà à de la peinture phosphorescente.

    En tous les cas, cette expertise est appuyée favorablement par l'évêque de Liège. Selon lui, ces analyses s'imposaient: "Il y a eu un emballement à la fois médiatique et à la fois d'affluence autour de cette vierge. Il faut donc essayer de comprendre pourquoi les personnes viennent et il faut essayer aussi de canaliser tout cet essor de dévotion. Je crois que c'est important d'y voir clair sur l'origine du phénomène".

    Lire la suite sur le site de la RTBF

  • "Qui suis-je pour juger ?"

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    On sait combien cette interrogation du pape a été médiatisée. Il y est revenu lors de l'homélie prononcée à Sainte-Marthe le 17 mars (zenit.org):

    "Qui suis-je pour juger ?"

    « Qui suis-je pour juger ? Qui suis-je pour médire... ? Qui suis-je, moi qui ai fait les mêmes choses ou pire ? » : c'est l'attitude « miséricordieuse » que le pape a recommandée, hier, 17 mars 2014, lors de la messe à Sainte-Marthe.

    Le pape a commenté l’Évangile du jour, où Jésus exhorte la foule : « Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux » (Lc 6,36-38).

    La honte est une grâce

    « Pour être miséricordieux deux attitudes sont nécessaires » : « La première est la connaissance de soi ». Le chrétien est invité à reconnaître qu'il « a fait beaucoup de choses qui ne sont pas bonnes », qu'il est « pécheur ». Même s'il n'a pas commis « de meurtre », il commet « tant de petites choses, tant de péchés quotidiens, de tous les jours… » et il doit avoir conscience de sa responsabilité : « Peut-être l'autre m'a-t-il aidé, a facilité la route pour le faire, mais c'est moi qui l'ai fait. »

    Il s'agit de constater que l'on a un « petit cœur » et d'en « avoir honte devant Dieu » car « cette honte est une grâce ». « C'est simple, mais si difficile de dire: ‘Je suis pécheur, j'ai honte devant Toi et je te demande pardon’ ». Avec « cette attitude de repentir », l'homme est plus à même « d’être miséricordieux », car il sent sur lui « la miséricorde de Dieu » : devant le repentir, « la justice de Dieu se transforme en miséricorde et pardon ».

    Savoir élargir son cœur

    Le pape a donné une deuxième attitude, qui découle de la première : « élargir son coeur », car « un petit cœur égoïste est incapable de miséricorde ». Le grand cœur au contraire « ne condamne pas mais il pardonne, il oublie », car « Dieu a oublié ses péchés. Dieu a pardonné ses péchés ». Si celui qui est pardonné ne pardonne pas à son tour, il risque d'être « hors jeu ».

    « L'homme et la femme miséricordieux ont un coeur large : ils excusent toujours les autres et pensent à leurs péchés. "Tu as vu ce qu'il a fait ?". "Moi j'en ai assez avec ce que j'ai fait, je ne m'en mêle pas !" ». Le maître mot de cette attitude est : « Qui suis-je pour juger ? Qui suis-je pour médire sur cela ? Qui suis-je, moi qui ai fait les mêmes choses ou pire ? »

    « Si tous les peuples, les personnes, les familles, les quartiers », laissaient « de la place à la compréhension et à la miséricorde », « que de paix il y aurait dans le monde, que de paix dans les cœurs ! Car la miséricorde porte à la paix. »

    En outre, comme le dit le Seigneur : « Donnez, et vous recevrez : une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans votre tablier » : « Plus ton coeur est large, grand, plus tu peux recevoir », a conclu le pape.

  • Cafouillage à la pastorale familiale de l'Eglise de France

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    De Stéphanie Le Bars (Le Monde) sur son blog ("Digne de Foi") :

    Fabienne Brugère, philosophe à l’université de Bordeaux-III, devait intervenir,  mercredi 19 mars, dans le cadre d’une formation de responsables catholiques spécialistes des questions de famille, proposée par la conférence des évêques de France (CEF), à Paris et intitulée « Prendre soin de l’autre, un appel lancé à tous ». Mme Brugère est connue pour ses travaux sur l’éthique du « care ». Suite aux "inquiétudes" mises en avant par certains cercles, pas uniquement ultra-conservateurs, et à une « supplique » relayée par le site intégriste Le Salon beige, Mgr Brunin, évêque du Havre et président du conseil Famille et société a décidé d’annuler cette intervention. Les contestataires dénonçaient la proximité de Mme Brugère avec la spécialiste des études de genre, Judith Butler, son engagement pour le mariage pour tous ou pour la défense du droit à l’avortement. Mgr Brunin a estimé, « que les conditions du dialogue » n’existaient pas et qu’il était plus sage d’éviter des « crispations ».

    Cet incident, diversement apprécié des croyants, démontre que les fortes dissensions, mises à jour à l’occasion du débat sur le mariage pour tous, persistent au sein de l’Eglise catholique sur la volonté de s’ouvrir au dialogue avec la société et sur la capacité des croyants à dialoguer entre eux. Dans un éditorial, le journal La Croix s’est ému de cette « reculade sous la pression d’une minorité érigée en police de la pensée » et regretté « une occasion perdue de dialoguer ». "On ne pouvait pas faire comme si ces peurs n'existaient pas et passer outre", indique de son côté Monique Baujard, directrice du service national Famille et Société pour la CEF, qui reconnait aussi que la décision n'a été "ni facile, ni agréable à prendre". "Nous avons préféré la patience à l'affrontement. C'est un pas de côté, pas un pas en arrière", nous indique-t-elle encore. Mme Brugère réagit à cette affaire.

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  • Benoît Mariage ou quand un cinéaste va à la messe...

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    Des Echos Sainte-Julienne (Salzinnes) - Dimanche n°2, mars-avril 2014 (version papier)

    Benoît Mariage, un cinéaste à la messe

    En pleine campagne promotionnelle de son film Les rayures du zèbre, Benoît Mariage évoque l'origine de son retour à la foi.

    Benoît Mariage, vous allez à la messe ?

    Benoît Mariage. Ça fait très longtemps que je n'y allais plus surtout. Plus de trente ans ! Pourtant, j'ai eu une éducation chrétienne, j'ai été enfant de chœur à la paroisse de Jambes Montagne, puis à l'adolescence, j'ai quitté l'église pour y retourner à cinquante ans...

    Qu'est-ce qui s'est passé ?

    En fait, j'ai très souvent ressenti une entrave profonde au bonheur, comme des blessures, des freins qui m'empêchaient d'être pleinement présent et d'avoir une vraie joie. Et je me suis dit : comment guérir de ces blessures ? Longtemps, j'ai consulté et ai été voir des thérapeutes. J'ai fait tout un travail psychologique où j'ai nommé les choses pour aller vers la vérité de mon histoire. Souvent, je me suis dit : «J'ai un cœur de pierre et qui va me guérir de ce cœur de pierre ?» Et je me suis tout doucement rapproché, par des lectures et des rencontres du spirituel, comme outil de guérison. Pour sauver, en quelque sorte ma peau... Aujourd'hui, très modestement, je prie et... je vais à la messe, malgré une vraie réticence de départ liée à un fort penchant à l'autonomie et l'individualité. Un ami m'a dit un jour : «Attends, être chrétien, ce n'est pas être seul dans son coin». Titillé par ces propos, je suis allé une première fois à la messe, et puis si j'y retourne aujourd'hui, c'est parce que l'office dégage beauté et profondeur. J'aime tout particulièrement la chorale, je suis sensible à la sensualité de cette messe...

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  • L'indien Juan Diego et Notre-Dame de Guadalupe

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    L’indien Juan Diego et Notre-Dame de Guadalupe(source)

    voir L’indien Juan Diego et Notre-Dame de Guadalupe
    Auteur : Jean Mathiot
    Editeur : TEQUI
    Paru en : mars 2014
    15.50 €  
     
    Résumé

    Le sanctuaire de Guadalupe, au Mexique, est le plus grand pèlerinage du monde : chaque année, plus de vingt millions de personnes viennent prier la Sainte Vierge, apparue en 1531 à un Aztèque parmi les plus humbles, Juan Diego. 

    Pourquoi Marie a-t-elle choisi d’apparaître à un modeste Indien de 57 ans ? Qui était-il et quelle fut la mission qui lui fut confiée, à lui, un simple laïc récemment converti ? Dans quel contexte historique et comment se sont déroulées ces apparitions, qui ont lancé en Amérique latine une immense vague d’évangélisation - neuf millions de baptêmes durant les neuf années qui suivirent ? Quels sont les mystères insondables de l’Image que la Vierge laissa sur la tunique de Juan Diego ? Quels miracles fait encore aujourd’hui sainte Marie de Guadalupe ? 

    Cet ouvrage, à la fois instructif et empreint de spiritualité, répond à toutes ces questions, avec clarté et simplicité. Par le témoignage de Juan Diego, il montre combien est immense le rôle apostolique des laïcs dans la vie de l’Église.  

    Cette nouvelle édition revue et augmentée intègre un encart photos couleur et donne aussi des explications sur le dernier miracle à Guadalupe, le 24 avril 2007.  

  • Un nouveau rôle pour le pape émérite ?

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    De BDO sur le site de La Vie :

    Un nouveau rôle pour Benoît XVI ?

    C'est ce que certains déduisent de l'interview du pape François accordée au Corriere della Serra.

    Qu'on le regrette ou non, Benoît XVI ne devrait plus nous adresser la parole directement et publiquement aux côtés du pape François. Fidèle à lui-même, fidèle à ses engagements, il étudiera, écrira et priera pour son Église, dans une discrétion maximale et dans le calme des jardins du Vatican.

    Pourtant, on le sait aussi, François aime venir consulter « El viejo » comme il surnomme son prédécesseur (le patriarche à qui on vient demander des conseils). « Benoît XVI n'est pas une statue de musée » a-t-il ainsi expliqué début mars au quotidien italien le Corriere della Serra.

    Est-ce dans la foulée de ces conseils réguliers qu'ils ont décidé de revoir ensemble le rôle du pape émérite ? Car dans la suite de l'interview accordée au Corriere, on apprend que François et Benoît en ont parlé et qu'ils ont décidé ensemble qu’il serait « préférable » que ce dernier « rencontre des gens, qu’il sorte, et qu’il participe à la vie de l’Église. […] Certains auraient voulu qu’il se retire dans une abbaye bénédictine, loin du Vatican raconte François. J’ai pensé aux grands-parents qui, par leur sagesse et leurs conseils, donnent de la force à leur famille et qui ne méritent pas de finir dans une maison de retraite ».

    Quelques jours plus tard, sortait d'ailleurs de presse un texte inédit de Benoît XVI, intégré dans un livre sur Jean-Paul II*. Il n'en fallait pas plus pour susciter les passions.

    Ainsi, le célèbre vaticaniste italien Sandro Magister s'est-il intéressé à l'accent mis par le pape allemand sur l'encyclique publiée en 1993, Veritatis Splendor, et sur la déclaration très critiquée à sa sortie en 2000 Dominus Jesus. Dans la première, explique le journaliste, il est question de fondements de la morale, alors que la seconde « résume les éléments non négociables de la foi catholique ».

    De même, lorsque le pape émérite loue le courage de Jean-Paul II qui « a agi en fonction de sa foi et de ses convictions [qui] était même prêt à recevoir des coups », et qui « n’a jamais regardé autour de lui avec inquiétude en se demandant comment ses décisions allaient être accueillies », certains veulent y lire une critique du pape argentin qui (toujours dans son interview au Corriere) reconnaissait n'avoir « jamais compris l'expression ‘valeurs non négociables’ ».

    D'autres, n'y verront que la mise en avant d'un pontificat unique de la part d'un de ses plus fidèles serviteurs. D'autres encore y retrouveront la richesse et les défis de l'Église, faite d'une diversité de pastorales, de sensibilités et de charismes, tous forgés sur le même socle : celui des Évangiles.

    Quoi qu'on en déduise, si des textes inédits de Benoît XVI pourraient encore venir éclairer le croyant sur la théologie, sur l'Église ou sur sa foi, il ne faut pas attendre pour autant du pape émérite qu'il reprenne un rôle de premier plan aux côtés de François.

    * Le livre : Accanto a Giovanni Paolo II. Gli amici e i collaboratori raccontano, sous la direction de Wlodzimierz Redzioch, Edizioni Ares, Milan, 2014, 236 pp., 15,90 euros.

  • Eglise: Vers un droit humain reconnu à la communion pour les divorcés-remariés ?

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    La problématique de la famille, sujet du prochain synode de l’Eglise catholique, va-t-elle se résumer à ouvrir la communion sacramentelle aux divorcés qui vivent dans les liens d’une nouvelle union ? Le cardinal Marx (photo)marx (1).jpg, l’un des bras droits du pape François, fait le forcing , comme le rapporte le site web de « Radio Notre-Dame » (Paris):

    Le cardinal Marx, proche du pape François, a ainsi déclaré, dans un entretien au quotidien allemand Die Welt, qu'il était favorable pour accorder le sacrement de l'eucharistie aux divorcés-remariés, qui en étaient exclus jusqu'à présent, après cependant une période de "pénitence". Le nouveau président de la Conférence des évêques allemande s'appuie ici sur une proposition du cardinal allemand Walter Kasper, qui déclarait en février dernier au Vatican que les "divorcés qui ont reconnu leur échec pourraient demander à être réintégrés aux sacrements, après une période de pénitence".

    Un discernement à faire "au cas par cas"

    Tout en reconnaissant que les réactions des différents cardinaux à ce sujet avaient été variées, le cardinal Marx a estimé que "c'est un chemin envisageable, mais qui doit toujours se faire au cas par cas". Avec cette proposition, le cardinal allemand rebondit directement sur la volonté du pape François de vouloir lancer une grande réflexion sur le sujet, en vue éventuellement d'une évolution.

    Le pape François appelle à ne pas condamner les divorcés-remariés

    Aujourd'hui tout le monde au sein de l'Eglise s'entend sur l'indissolubilité du mariage, mais beaucoup sont également conscients que ceux pour qui le mariage a échoué ne peuvent pas être exclus de l'Eglise aussi radicalement. "Quand l'amour échoue, car souvent il échoue, nous devons entendre la douleur de cet échec, accompagner les personnes qui ont connu l'échec de leur propre amour. Ne condamnez pas." avait déclaré le pape à ce sujet.

    Réf. Le cardinal Marx s'engage pour la communion des divorcés-remariés

    Encore un petit effort pour préciser la nature (si j’ose ce vilain mot obsolète) de l’ union « pénitente », eu égard aux implications de  la théorie du genre qui préoccupe aussi les théologiens subjectivistes. Archevêque de Munich et Président de la Conférence épiscopale d’Allemagne, Marx est aussi  Membre du C8  institué par François JPSC.  

  • Quand les Belges ne savent plus à quel saint se vouer…

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    Tout le monde en parle. Le témoignage de notre ami Jean-Pierre Snyers :

    1061744760_B972230125Z.1_20140313230947_000_GS923RQU5.2-0.jpgA quoi attribuer l'illumination le soir venu de la désormais célèbre statue de la Vierge à Sart-Jalhay ? Pour expliquer rationnellement ce mystère, on aura tout entendu : radioactivité, ondes, panneaux photovoltaïques... Bref, il ne manque plus que l'influence de la lune, le passage des grues et le sifflement du TGV pour satisfaire les esprits les plus opposés au surnaturel.  Figurez-vous que je suis allé deux fois « voir sur place ». La première : en pleine journée.  J'ai pu regarder tant et plus  et prendre en mains cette statue de plâtre qui fait couler tellement d'encre. Une trentaine de centimètre, brunâtre, un peu abîmée par le temps. Rien de très spécial. La deuxième : le 16 mars, le soir.  Environ 1500 personnes. Deux heures de file d'attente. Avec une trentaine d'autres visiteurs, me voici  enfin à nouveau face à cette représentation de la Vierge (telle que je l'avais vue). Puis voici que quelqu'un éteint. Tout est plongé dans l'obscurité totale... sauf que deux secondes plus tard, la statue est, de la tête aux pieds, remplie d'une lumière blanche, extraordinaire. Comme tant d'autres, je vous avoue que je suis bouleversé. Une personne la retourne pour nous faire constater que le dos n'est pas éclairé, et la remet ensuite face à nous, toute illuminée. Quelqu'un rallume. Tout redevient normal. A deux reprises, nous avons assisté à ce test. Qu'en conclure ? Une chose est sûre :  à voir nos visages et nos gestes de piété après avoir vu, une telle expérience n'est pas prête d'être oubliée. Alors quoi ? Surnaturel ? L'avenir nous  dira peut-être  si ce phénomène qui a débuté le 17 janvier (date anniversaire de l'apparition de la Vierge à Pontmain -France), est d'ordre divin ou non.  Autre question : pourquoi les caméras et les appareils photos ne parviennent-ils pas à capter l'image de cette statue lorsqu'elle est illuminée ?  Serait-ce parce que cette lumière n'est pas de ce monde ? En attendant, souvenons-nous de ces mots du philosophe Jean Guitton : « Le surprenant, c'est la négation préalable des esprits qui se disent scientifiques . »

     Jean-Pierre Snyers ,

    auteur de 22 livres religieux

    adresse blog : http://jpsnyers.blogspot.be/

    Aux dernières nouvelles, la statue phosphorescente a finalement été transférée à l’Université de Liège pour expertise (un spécialiste de l’Université Libre de Bruxelles avait déjà rendu un avis péremptoire, excluant a priori toute cause inexplicable du phénomène) JPSC.