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Eglise - Page 1276

  • BXL 19 septembre : rentrée académique à l'Institut Sophia

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    Communiqué :

    Investir dans une formation solide pour fonder sa vie en Christ

    Bonjour !

    La rentrée académique de l'année Sophia est fixée au jeudi 19 septembre 2013.


    Pour les  jeunes qui souhaitent poser leur candidature pour cette année
    c'est encore possible !

    Voici le contact pour rencontrer les responsables de l'année de formation :

    institutsophia@yahoo.fr  -Tél: +32 ( 0 ) 477 042 367

    Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de l'ensemble des activités de l'Institut Sophia.

    Belle rentrée!

    P.S. Les jeunes du Kot SOPHIA sur "You TUBE" =  ICI

  • Le témoignage d'un pèlerin à Lourdes

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    LOURDES.

    Lourdes, aujourd’hui comme hier et demain : le valide côtoie celui qui l’est moins. L’heureux aide celui qui le paraît de manière plus discrète, à moins que ce ne soit l’inverse.

    Le handicapé descend dans la rue !

    Son poing est-il levé ? Que revendique-t-il ? Rien, si ce n’est l’espérance, l’espoir d’un miracle ou à tout le moins d’une reconnaissance.

    Pas besoin de violence, pas besoin de slogan : un consensus général règne sur la ville. Il nous vient de sainte Bernadette, de la Vierge, de Dieu, de l’Eglise.

    Le regard interrogatif, craintif, agressif ou rempli de pitié du « normal », du « valide » ne pèse plus sur l’utilisateur de la chaise roulante : le malchanceux fait partie intégrante du décor, la différence s’estompe dans les faits, dans les gestes, mais surtout dans le regard des autres.

    La solidarité est présente. La joie est présente.

    Lourdes est la capitale mondiale de la tolérance, du véritable droit à la différence.

    Que ces mots sont aujourd’hui galvaudés, au point d’en devenir des poncifs d’une pensée unique détestable.

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  • 7 septembre, jour de jeûne et de prière pour la paix

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    C'est ce que le pape a décrété dimanche (1er septembre) lors de l'Angelus :

    ...Que le cri de la paix s’élève pour arriver au cœur de tous et que tous déposent les armes et se laissent guider par le souffle de la paix. Voilà pourquoi j’ai décidé d’organiser pour toute l’Eglise, le 7 septembre prochain, veille de la célébration de la Nativité de Marie, Reine de la Paix, une journée de jeûne et de prière pour la paix en Syrie, au Moyen Orient, et dans le monde entier, et j’invite aussi à s’unir à cette initiative, par la manière qu’ils retiendront la plus opportune, les frères chrétiens non catholiques, les adeptes des autres religions, ainsi que les hommes de bonne volonté. Place St.Pierre le 7 septembre, de 19 à 24 h, nous nous réunirons en prière et dans un es prit de pénitence pour invoquer de Dieu ce grand don pour le peuple syrien et pour toutes les situations de conflit et de violence en cours dans le monde. L’humanité a besoin de voir des gestes de paix et d’entendre des paroles d’espérance et de paix. Je demande à toutes les Eglises particulières qui, outre le fait de vivre cette journée de jeûne, d’organiser des actions liturgiques à cette intention. A Marie, demandons de nous aider à répondre à la violence, au conflit et à la guerre, par la force du dialogue, de la réconciliation et de l’amour. Mère, qu’elle nous aide à retrouver la paix. Nous sommes tous ses enfants. Aide-nous, Marie, à dépasser ce moment difficile et à nous engager à construire chaque jour et dans tous les domaines une culture authentique de la rencontre et de la paix. Marie, Reine de la paix, prie pour nous".

  • Christianisme

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    On le sait, les frontières du christianisme ne s'arrêtent pas au catholicisme. A l'image des protestants, on peut être chrétien sans croire en la transsubstantiation, en l'immaculée conception, en l'infaillibilité du pape ou aux sacrements. Des hommes aussi remarquables que C. S. Lewis ou Billy Graham nous montrent que c'est tout à fait possible. Par contre, il n'est absolument pas possible d'être chrétien sans croire d'abord et surtout que le Christ a été crucifié pour nous racheter du péché et de la mort éternelle. C'est avant tout cette réalité qui doit être proclamée à temps et à contretemps. Celui qui ne croit pas que le Fils de Dieu est mort à sa place pour le sauver, pour lui offrir dans les cieux la vie éternelle, nie le fondement de la prédication apostolique et ce faisant, croit en « un autre évangile » que celui annoncé par les apôtres (Galates 1, 8). Que veux-je dire ? Qu'à l'intérieur même des dénominations chrétiennes, certains (qu'ils soient laïcs, prêtres, pasteurs ou évêques),  sont chrétiens et d'autres non. Autrement dit, un catholique  qui croit en la rédemption est infiniment plus  proche d'un protestant ou d'un orthodoxe  qui y croit aussi que d'un « catholique » qui n'y croit pas. Le drame aujourd'hui est que beaucoup ont l'illusion d'être chrétiens en dépit du fait qu'ils n'acceptent pas le kérygme. Pire encore : beaucoup ne le connaissent pas parce que bon nombre de ceux qui ont la charge de l'annoncer le l'annonce pas. Vous avez dit « apostasie » ?...

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • Saint-Siège . Pietro Parolin secrétaire d’État : le changement, c’est maintenant ?

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    Un commentaire du « vaticaniste » Vini Ganimara, publié sur le sire « Riposte Catholique » (extraits) :

    « Six mois après son élection, le pape François vient de poser le premier acte significatif de son pontificat en faisant de Pietro Parolin, 58 ans, nonce au Venezuela, son secrétaire d’État (…).

    Pietro Parolin était  au cœur du système curial lorsque Benoît XVI fut élevé au souverain pontificat en 2005. Il était un des meilleurs éléments du point de vue des compétences de « l’écurie Sodano », qui l’avait placé à ce poste de sous-secrétaire pour les États.

    La secrétairerie d’État de Benoît XVI se configura alors comme ceci : le cardinal Bertone devint secrétaire d’État à la place du cardinal Sodano ; le substitut pour les Affaires générales était Mgr Filoni, qui remplaçait Mgr Sandri, aidé d’un assesseur Mgr Caccia ; le substitut pour les Rapports avec les États devint Mgr Mamberti, qui remplaçait Mgr Lajolo, aidé d’un sous-secrétaire, Mgr Parolin. Dans la Curie Bertone, Parolin se plaça, avec beaucoup de doigté, dans la ligne de Mgr Fernando Filoni, avec notamment Mgr Caccia, Mgr Carlo Viganò, Mgr Paolo Sardi, Mgr Polvani, qui tous freinaient des quatre fers tout ce qui semblait aller vers une « restauration » trop prononcée.

    Mais en 2009, les amis de Mgr Filoni sont promus… et écartés de la secrétairerie d’État : Mgr Parolin est nommé nonce au Venezuela ; Mgr Carlo Viganò est nommé au secrétariat du Gouvernement de l’État de la Cité du Vatican (il devra ensuite laisser sa place à Mgr Sciacca, de très mauvais gré, comme la première vague de « révélations » de documents personnels de Benoît XVI l’a fait connaître) ; Mgr Paolo Sardi, atteint par l’âge de la retraite (et qui a été souvent entendu par les enquêteurs sur lesdites « révélations »), est devenu patron de l’Ordre Souverain de Malte, poste qui lui fit revêtir la pourpre en 2010. Fernando Filoni lui-même quitta la secrétairerie d’État pour devenir préfet de la Congrégation pour l’Évangélisation des Peuples en 2011, et cardinal en 2012. 

    2013 : nouveau retour de balancier avec l’élection du pape François. Tous les observateurs pensaient qu’elle amènerait immanquablement la réapparition d’« opposants ». Mais lesquels ?

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  • Ce que tout chrétien devrait savoir à propos des livres du Nouveau Testament

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    (Source) 10 informations sûres à propos du canon du Nouveau Testament que tout chrétien devrait mémoriser :

    Cette liste, inspirée par Ten Basic Facts About the NT canon that Every Christian Should Memorize à retrouver ici en texte intégral peut être utile aux chrétiens dans leurs conversations avec des amis sceptiques ou curieux. En effet, l’un des principaux défis de toute discussion à propos du Nouveau Testament est d’expliquer ce qui rend ces 27 livres uniques. Voici les dix raisons : 

    à découvrir ici : http://new.unpoissondansle.net/?p=6957 (les 5 premières)

    et là : http://new.unpoissondansle.net/?p=6962 (les 5 suivantes)

  • 2 septembre : les martyrs des massacres de la Révolution française (Paris, 1792)

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    7-Massacres.jpg(EAQ) Après la chute de la Monarchie le 10 août 1792, la fièvre monte à Paris. De nombreux suspects sont arrêtés : laïcs, prêtres séculiers, religieux, souvent réputés réfractaires, même si ce n'est pas le cas de tous. Environ 350 ecclésiastiques sont ainsi incarcérés, dont plus de la moitié sont étrangers à la capitale. Entre le 2 et le 5 septembre, des bandes armées d'hommes et de femmes envahissent les prisons parisiennes pour se livrer à l'exécution collective des détenus au couvent des Carmes, à l'abbaye de Saint-Germain, au séminaire Saint-Firmin, aux prisons de la Force, rue Saint-Antoine.

    Le couvent des Carmes, avec son très vaste enclos, est le premier et le plus symbolique théâtre des tueries. Au témoignage de l'abbé Saurin, jésuite rescapé, le contraste est saisissant entre la sérénité qui règne au-dedans, parmi les ecclésiastiques prisonniers, groupés autour de trois évêques, et, au dehors, le hurlement de la foule, les canonnades, les roulements de tambour, et finalement, le 2, vers quatre heures du soir, le tocsin de Saint-Sulpice qui donne le signal aux émeutiers. La tuerie qui a commencé dans le jardin s'achève, après un simulacre de jugement, au pied du petit escalier faisant communiquer la chapelle, où les prisonniers ont d'abord reflué et se sont mutuellement donné l'absolution. « Je n'ai entendu se plaindre aucun de ceux que j'ai vu massacrés » écrira l'abbé de la Pannonie, blessé et rescapé de la tragédie des Carmes.

    Parmi les trois mille victimes de septembre 1792, cent quatre-vingt onze personnes mortes pour leur foi ont été béatifiées par Pie XI (Ambrogio Damiano Ratti, 1922-1939) le 17 octobre 1926. Quatre-vingt-six prêtres étaient membres du clergé parisien. Les quatre laïcs et de nombreux religieux béatifiés appartenaient aussi à l'Église de Paris.

    On peut vénérer ces béatifiés dans la crypte ossuaire érigée au XIXème siècle sous la chapelle de l'Église Saint-Joseph-des-Carmes (74, rue de Vaugirard, 6ème arr.).

    « L'escalier du martyre » marqué d'une plaque Hic ceciderunt (« Ici ils tombèrent ») est aujourd'hui inclus dans le jardin du séminaire universitaire de l'Institut catholique.

    À Paris également, vingt-et-un bienheureux martyrs furent massacrés le 2 septembre, à l’abbaye Saint-Germain-des-Près.

  • Le pape lance un vibrant appel à la paix

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    Ce dimanche 1er septembre, lors de l'Angelus, le pape a prononcé ces paroles :

    Paroles du pape François lors de l'angélus

    Chers frères et sœurs, je voudrais me faire aujourd’hui l’interprète du cri qui monte de toutes les parties de la terre, de tous les peuples, du cœur de chacun, de l’unique grande famille qu’est l’humanité, avec une angoisse croissante : c’est le cri de la paix ! Et le cri qui dit avec force : nous voulons un monde de paix, nous voulons être des hommes et des femmes de paix, nous voulons que dans notre société déchirée par les divisions et les conflits, explose la paix ; plus jamais la guerre ! Plus jamais la guerre ! La paix est un don éminemment précieux, qui doit être promu et préservé.

    Je vis avec une particulière souffrance et préoccupation les nombreuses situations de conflit qu’il y a sur notre terre, mais, ces jours-ci, mon cœur est profondément blessé par ce qui se passe en Syrie et angoissé par les développements dramatiques qui s’annoncent.

    J’adresse un appel fort pour la paix, un appel qui naît du plus profond de moi-même ! Que de souffrance, que de destruction, que de douleur a provoqué et provoque l’usage des armes dans ce pays affligé, particulièrement parmi les populations civiles et sans défense ! Pensons-y : que d’enfants ne pourront pas voir la lumière de l’avenir ! Avec une fermeté particulière je condamne l’usage des armes chimiques ! Je vous dis que j’ai encore imprimées dans mon esprit et dans mon cœur les terribles images de ces derniers jours ! Sur nos actions il y a un jugement de Dieu et aussi un jugement de l’histoire, auxquels on ne peut pas échapper ! Ce n’est jamais l’usage de la violence qui conduit à la paix. La guerre appelle la guerre, la violence appelle la violence !

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  • Acharnement antichrétien en République Centrafricaine

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    (Fides.org) - Une délégation du Diocèse de Bouar s’est rendue à Bohong – à 80 Km de Bouar, dans l’ouest du pays – localité que, Dimanche 18 août, les prêtres et les religieuses des Sœurs de la Charité avaient été contraints d’abandonner .

    Selon un communiqué envoyé à l’Agence Fides, avant d’arriver à Bouar, la délégation a rejoint Forte, un village se trouvant sur la trajet où, face à l’église des baptistes, elle a rencontré un groupe d’une cinquantaine de personnes réunies pour effectuer le recensement des évacués rentrés de la forêt et des maisons incendiées qui sont au total 206.« En traversant le village de Forte, en silence, nous avons regardé ces maisons et pensé à la souffrance des personnes qui, pendant la saison de pluie doivent se cacher dans la brousse, de retour au village ne trouvent que des scènes de désolation » indique le communiqué.

    « Le désastre commence à l’entrée de Bohong – continue le communiqué. Là, aucune maison en paille appartenant aux habitants non musulmans appelés « Gbaya » n’a été épargnée par les militaires de la Séléka, venus de l’extérieur. Sur toute l’étendue de la ville on assiste aux mêmes scènes : les maisons sans toiture, les mures noircis et vides. Plus de bruit, plus de mots, plus de joie… ».Dans le village de Bohong, la délégation a pu constater que, dans la Paroisse Sainte Jeanne Antide de Thouret, « le tabernacle et l’autel en bon état, aucun dégât. Par contre, dans la sacristie tous les objets du culte, les livres liturgiques… par terre ». « Dans la maison des Sœurs, la chapelle profanée : le tabernacle ouvert de force, les Hosties consacrées jetées par terre… ».

    Parmi les édifices saccagés, se trouvent l’école catholique, le dispensaire et le collège féminin. Un groupe de fidèles courageux monte la garde afin d’empêcher de nouvelles profanations des structures restantes de l’Eglise.Les autres confessions chrétiennes ont subi des dommages similaires. Le communiqué se conclut cependant sur une note d’espérance : « La Plate-forme Religieuse mise en place à Bouar en juillet dernier, travaillera aussi pour la réconciliation et la paix entre les différentes confessions religieuses présentes à Bohong et dans les villages voisins ».

  • Le problème n'est pas le manque de prêtres mais leur manque de zèle

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    Ce qui vaut aux Philippines n'est pas hors de saison ailleurs...

    (Source) Avec des accents que l’on aurait pu croire sortis de la bouche du pape François, le futur président de la Conférence des évêques catholiques des Philippines s’en est pris avec vivacité au « manque de zèle » du clergé philippin, dénonçant chez les prêtres une tendance à se transformer en « pasteurs du statu quo » et les appelant à « sortir » de leurs sacristies pour « secouer la société ».

    Vice-président de la Conférence épiscopale depuis 2011, Mgr Socrates B. Villegas est l’archevêque de Lingayen-Dagupan, diocèse de la côte ouest de Luzon, depuis 2009. Au 1er décembre prochain, il prendra la tête de l’épiscopat philippin, mais, dans une lettre rendue publique aujourd’hui et datée du 31 août, jour du douzième anniversaire de son ordination épiscopale, c’est à ses prêtres qu’il s’adresse. Commentant la crise que traverse en ce moment le pays avec le scandale du système du « pork barrel » (détournements des fonds publics par les élus du Congrès philippin), Mgr Villegas s’interroge sur les remises en cause que ce scandale devrait provoquer non seulement dans la société mais aussi dans l’Eglise elle-même, et en particulier les ministres du culte.

    « Nous, les prêtres, écrit-il, avons failli dans notre mission consistant à mener notre peuple à imiter le Christ. La prière qui ne s’accompagne pas d’une conversion morale n’est qu’une cloche qui sonne faux. Le credo qui ne va pas de pair avec une bonne conduite morale n’est que sécheresse et mort. Ce n’est pas la fumée de l’encens qui nous mènera au Ciel. Ce n’est pas la lecture des livres de prière qui nous fera devenir saints. Ce n’est pas l’éclat de nos chandeliers qui nous rendra meilleurs. Ce à quoi nous devons aspirer, c’est l’imitation du Christ. La finalité dans l’Eglise, c’est l’intimité avec le Christ et l’imitation du Christ. ».

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  • Les intentions de prière du pape pour septembre 2013

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    Intention de prière universelle : La valeur du silence

    Pour que les hommes de notre temps, souvent submergés par le bruit, redécouvrent la valeur du silence et sachent écouter la voix de Dieu et de leurs frères.

    Intention de prière pour l'évangélisation : Les chrétiens persécutés

    Pour que les chrétiens persécutés puissent être témoins de l'amour du Christ.

    Le Père Frédéric Fornos, coordinateur européen de l’Apostolat de la prière, commente pour Zenit le défi du silence. Celui concernant « les chrétiens persécutés » est traité dans le webmagazine « Prier au cœur du monde » dans la rubrique « Dernière minute »  http://www.apostolat-priere.org/index.php/derniere-minute.html

    S'éveiller au silence pour écouter

    Bruit ! Voitures, haut-parleurs dans la rue, télévision ou radio dans les maisons, machines, appareils électroniques partout, nous vivons noyés dans le bruit. Celui qui s’entend. Mais bruit aussi des images, des messages écrits, reçus, transmis en continu. Bruit subi, mais aussi bruit choisi. Or le silence nous décolle de nous-mêmes et ouvre l’oreille de notre cœur ; nous en avons besoin, autant que d’oxygène.

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  • Roberto de Mattei : « Sint ut sunt aut non sint »…

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    Lu sur le site « Riposte Catholique » (extraits) :

    En relation avec la douloureuse question des Franciscains de l’Immaculée (voir ici : Liturgie de la messe : François en contradiction avec Benoît XVI ?), le professeur Robert de Mattei va faire paraître dans la prochaine livraison de l’édition en français du mensuel Correspondance Européenne (10 septembre), un remarquable texte de controverse. Très hardi et très intéressant… Nous avons obtenu de l’éditeur, que nous remercions, la permission de le reproduire ici en avant-première… Bonne lecture ! À noter que la traduction en français de l’ouvrage fondamental du professeur de Mattei,Vatican II. Une histoire à écrire, vient de paraître aux Éditions Muller. Une formidable contribution d’un grand historien de l’Église à notre compréhension du dernier en date des conciles œcuméniques (…) :

    « Un pape franciscain, Clément XIV, supprima les Jésuites en 1773. Le Pape jésuite François sera-t-il celui qui supprimera ou, pire encore, “réformera”, un Institut franciscain en 2013 ? Les Franciscains de l’Immaculée n’ont pas le passé glorieux des Jésuites mais leur cas présente quelque analogie avec celui de la Compagnie de saint Ignace et représente surtout une expression symptomatique de la profonde crise dans laquelle se débat aujourd’hui l’Église catholique... 

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