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Eglise - Page 1281

  • Pourquoi on brûle des églises en Egypte

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    Du Figaro via Riposte Séfarade :

    Pourquoi brûle-t-on des églises en Égypte?

    En «représailles» à l’action de l’armée pour les déloger par la force de leurs sit-in au centre du Caire, les Frères musulmans s’en sont pris aux chrétiens d’Égypte, une communauté remontant au Ier siècle et à saint Marc. L’islam n’est arrivé sur les bords du Nil qu’à la fin du VIIe siècle, à la faveur des invasions arabes. Jusqu’au Moyen Âge, les coptes restèrent majoritaires en Égypte. Mais, notamment pour ne pas payer l’impôt réservé aux dhimmis (gens du Livre, protégés mais ne jouissant pas de l’égalité juridique), de nombreux chrétiens se convertirent et c’est ainsi que l’islam devint la religion majoritaire en Égypte. En brûlant des églises, des librairies et des couvents chrétiens à travers l’ensemble du pays, les Frères musulmans ont montré leur vrai visage. Un fanatique a même assassiné dans la rue une petite fille de dix ans, qui revenait du catéchisme, une bible sous le bras. Le scénario est toujours le même avec les islamistes dans le monde arabo-musulman. Quand ils sont confrontés à une force qui les dépasse, ils se vengent contre la minorité chrétienne, même si cette dernière n’est en rien responsable de leurs vicissitudes. On a vu le cas en Irak, en Palestine, au Pakistan, au Nigeria, etc.

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  • Lire les évènements d'Egypte avec Benoît XVI pour guide

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    C'est ce que propose Sandro Magister :

    Au Caire le discours de Ratisbonne retrouve son actualité

    Jamais aucun pape avant Benoît XVI n'avait fait preuve d'autant de clarté et de courage dans la mise en évidence des racines de la violence dans l'islam. Après non plus. Deux lectures indispensables pour décrypter la crise égyptienne 

    ROME, le 20 août 2013 – En l’espace de quelques jours, c’est par dizaines que des églises, des couvents, des logements de chrétiens ont été pris d’assaut ou incendiés en Égypte. Une tragédie dans la tragédie, après le coup d’état qui a plongé le pays du Nil dans une guerre civile qui a fait des centaines, si ce n’est des milliers, de victimes.

    Toutefois "L'Osservatore Romano" du 18 août, qui a mentionné les nombreux appels à la cessation des violences, n’est pas parvenu à en citer un seul qui provienne du monde musulman.

    Ce silence public des guides spirituels musulmans n’est pas surprenant. Il accompagne presque tous les actes de violence politique auxquels participent des musulmans, dans une région du globe ou une autre.

    C’est un silence qui ne s’explique pas uniquement par des calculs d’opportunité ou par la crainte de mesures de rétorsion. Ni par le seul fait qu’aujourd’hui, en Égypte, le principal conflit oppose deux factions musulmanes qui sont l’une comme l’autre bien décidées à mettre en œuvre par la force les préceptes de l'islam : parce que non seulement les Frères Musulmans du président déposé Mohamed Morsi conçoivent la lutte politique comme un jihad, comme une guerre sainte, mais c’est également le cas de leur adversaire Abdel Fattah Al Sisi, le général qui a été mis à la tête des forces armées par ce même Morsi qui le considérait comme le plus fidèle de tous les islamistes.

    Pour retrouver la racine ultime du silence des guides spirituels musulmans face à l’explosion de la violence d’inspiration musulmane, il suffit de faire quelque chose de simple. Il suffit de relire les premiers paragraphes du discours prononcé par Benoît XVI le 12 septembre 2006 dans le grand amphithéâtre de l'université de Ratisbonne.

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  • Curé et franc-maçon ou quand La Libre begaie

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    Ce matin, La Libre remet une fois encore le couvert au sujet d'un curé franc-maçon. Elle y tient et on pourrait se demander quelles sont les véritables raisons de cette insistance; qu'on en juge :

    Ce Monsieur espère à présent rencontrer le pape François censé, d'après lui, lui faire bon accueil. Il risque bien d'être déçu car, là comme ailleurs, les positions du pape sont celles du magistère de l'Eglise (rappelées ici : http://www.belgicatho.be/archive/2013/05/28/pourquoi-on-ne-peut-etre-chretien-et-franc-macon.html).

    Affaire à suivre donc et qui pourrait bien se révéler utilement éclairante...

  • Suivre la situation en Egypte sur les medias catholiques

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    Voici les liens :

  • La Déclaration de l'Eglise Catholique d'Egypte

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    Déclaration de l’Église catholique d’Égypte (source) :

    L’Église catholique d’Égypte suit avec douleur et anxiété mais dans l’espérance, les souffrances qu’endure notre pays du fait d’actes terroristes abjects qui tuent les personnes, brûlent les églises, les écoles et toutes les institutions de l’État. Du fond du cœur, par amour pour notre patrie et en solidarité avec tous nos frères égyptiens, chrétiens et musulmans, nous nous efforçons, à la mesure de nos possibilités et de nos moyens, d’entrer en contact avec de nombreuses organisations amies dans le monde, pour les éclairer en vérité sur la situation actuelle et nous voulons insister sur ce qui suit :

    - Notre soutien ferme, lucide et libre à l’égard de toutes les institutions du pays et tout particulièrement la police égyptienne et les forces armées qui déploient tous leurs efforts pour la protection de la patrie.

    - Nous apprécions le comportement des pays qui s’efforcent loyalement de comprendre le caractère spécifique des événements actuels et nous refusons absolument et catégoriquement toute tentative d’intervenir dans les affaires intérieures de l’Égypte ou d’influencer ses décisions souveraines, quel qu’en soit le but ou le prétexte.

    - Nous sommes reconnaissants à l’égard de tous les média égyptiens et étrangers qui communiquent les nouvelles et les événements avec objectivité et intégrité et nous condamnons les média qui propagent des mensonges et contrefont la vérité dans le but d’induire en erreur l’opinion générale mondiale.

    - Nous sommes reconnaissants à l’égard du partage citoyen de nobles musulmans qui se sont tenus à nos côtés, au maximum de leurs possibilités, pour défendre nos églises et nos institutions.

    - Enfin, nous interpellons la conscience mondiale et tous les responsables des pays, les exhortant à comprendre authentiquement et à accorder leur confiance au fait que ce qui se passe actuellement en Égypte n’est pas une lutte politique entre des factions rivales mais qu’il s’agit d’une lutte de tous les égyptiens contre le terrorisme.

    - En terminant, nous présentons nos condoléances à toutes les familles et aux proches des victimes, et nous demandons au Seigneur la guérison de tous les blessés.

    Vive l’Égypte libre. 

    + Ibrahim Isaac Sidrak (18 août 2013)

    Patriarche d’Alexandrie des Coptes Catholiques
    Président de l’Assemblée de la Hiérarchie Catholique d’Égypte

  • Les homélies d'un jeune curé

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    D'Eric de Beukelaer, sur son blog :

    Homélies d’un jeune Curé – recueil en trois volumes, éditions « Croix du Salut »

    Les éditions « Croix du Salut » sont des éditions on-line.  Elles m’ont contacté il y a quelques mois, en me proposant de publier les homélies de mes débuts. Il s’agit d’un recueil de sermons qui furent prononcés (principalement) entre 1995 et 1998 à la paroisse Saint-Hubert du Sart-Tilman (faubourg sud de la ville de Liège) – la première paroisse dont je fus Curé. Le texte de ces prédications fut jadis rassemblé et corrigé par un dévoué paroissien, Monsieur Léon Verstraelen. Il fut ensuite publié une première fois sous forme de collection privée. Le fruit de la vente fut intégralement reversé aux Conférences Saint-Vincent-de-Paul du Sart-Tilman.

    Grâce aux éditions « Croix du Salut », ce recueil est désormais publié en trois volume. Il peut être commandé, soit par internet, soit via votre libraire habituel. La différence de prix entre chaque volume s’explique – je pense – par la taille du livre. Les profits de la vente seront intégralement reversés par les éditions « Croix du salut » aux Conférences Saint-Vincent-de-Paul du Sart-Tilman. Ces dernières font un travail remarquable auprès des plus démunis du sud de Liège.

    Homélies d’un jeune Curé, Année A : Le cycle saint Matthieu, est vendu au prix de 29 euro.

    Homélies d’un jeune Curé, Année B : Le cycle saint Marc est vendu au prix de 19,8 euro

    Homélies d’un jeune Curé, Année C : Le cycle saint Luc est vendu au prix de 24,8 euro

  • Le message tonique du pape François au forum de Rimini : l'urgence, c'est de revenir au Christ

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    Communion et Libération tient actuellement son grand meeting annuel à Rimini sur le thème "l'homme, une urgence". Le pape a adressé un message aux participants dont voici un extrait :

    "Le Meeting pour l'amitié entre les peuples (à Rimini) pose cette année "l'homme, une urgence" au centre de sa réflexion: l'urgence de rendre l'homme à lui-même, de lui restituer sa haute dignité, d'affirmer l'unicité et la valeur précieuse de chaque vie humaine depuis la conception jusqu'à la mort naturelle. Il faut revenir à considérer le caractère sacré de l'homme et en même temps dire catégoriquement que ce n'est que dans la relation avec Dieu, dans la découverte et l'adhésion à sa vocation, que l'homme peut atteindre sa véritable stature. L'Eglise, à qui le Christ a confié sa Parole et de ses sacrements, détient le plus grand espoir et la possibilité la plus authentique pour l'homme de se réaliser, sous n'importe quelle latitude et à n'importe quel moment. Quelle grande responsabilité nous avons! Ne tenons pas pour nous ce trésor précieux dont tout le monde, consciemment ou non, est à la recherche. Allons hardiment à la rencontre des hommes et des femmes de notre temps, des enfants et des personnes âgées, des "savants" et des gens sans éducation, des jeunes et des familles. Sortons à la rencontre de tout le monde, sans attendre que les autres nous trouvent! Imitons à ce sujet notre divin Maître qui a quitté son ciel pour devenir homme et être proche de chacun. Non seulement dans les églises et les paroisses, donc, mais dans tous les milieux pour apporter le parfum de l'amour du Christ (cf. 2 Cor 2,15). Dans les écoles, les universités, les lieux de travail, les hôpitaux, les prisons, mais aussi dans les rues, sur les routes, les centres sportifs et dans les endroits où les gens se rassemblent. Ne soyons pas avares en donnant ce que nous avons reçu sans aucun mérite! Nous ne devons pas avoir peur d'annoncer le Christ à temps et à contretemps (cf. 2 Tim 4:2), avec respect et honnêteté.

    C'est la tâche de l'Eglise, et telle est la mission de chaque chrétien: servir l’homme en allant le chercher jusque dans les méandres sociaux et spirituels les plus cachés. C'est la condition de la crédibilité de l'Eglise dans sa mission en tant que mère et enseignante, c'est aussi sa fidélité au Christ. L'ouverture au monde est accompagnée par le souci d'obéir à la vérité que l'Église elle-même ne peut pas ne pas avoir. «L'homme, une urgence», cela signifie l'urgence du retour au Christ, pour apprendre de Lui la vérité sur nous-mêmes et sur le monde, et avec Lui et en Lui pour rencontrer les hommes, en particulier les pauvres, pour lesquels Jésus toujours manifesté une prédilection. Et la pauvreté n'est pas seulement matérielle. Il y a une pauvreté spirituelle qui frappe l'homme contemporain. Nous sommes pauvres en amour, assoiffés de vérité et de justice, des mendiants de Dieu, comme le serviteur de Dieu Mgr Luigi Giussani l'a toujours souligné. La grande pauvreté, c'est en fait manquer du Christ, et tant que nous n'aurons pas apporté Jésus aux hommes nous en aurons toujours fait trop peu pour eux.

  • Quand Jean-Pierre Snyers interpelle Gabriel Ringlet

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    Notre ami Jean-Pierre Snyers adresse une lettre à cette personnalité phare du "progressisme" belge. Elle est accessible ici : lettre à l'abbé Ringlet (pdf)

    Un extrait siginificatif :

    "... vos idées sont nuisibles, totalement incompréhensibles dans la bouche d'un prêtre « catholique ».  Vous n'êtes pas d'accord ? Dès lors, permettez-moi de vous citer...

    « Le purgatoire est une invention du Moyen Age ». « Saint Paul est le patron de tous les agités chroniques, de tous les m'as-tu vu, m'as-tu entendu ».  Les catholiques qui croient aux dogmes sont des "encorsetés dogmatiques". « La vie après la mort, une question tout à fait secondaire ». « L'Eglise est une belle-mère en total décalage avec le monde et le pape quelqu'un qui n'empêche pas de dormir » Ça, c'est dans votre livre : « L'Evangile d'un libre penseur ». Maintenant, voici ce que vous dites dans « Le Soir » du 20 avril 2010 : « Je regrette le refus d'un véritable débat de fond sur les questions les plus difficiles à savoir : l'ordination des femmes, l'interprétation des dogmes tels que l'infaillibilité, la virginité de Marie, voire le regard qu'on porte sur la divinité du Christ ». Eh oui, même la divinité du Christ (et donc la Trinité) n'y échappe pas.

    Fini ? Non, pas encore. Au sujet de la mort et de l'au-delà (sur le site « Psychologies.be »), vous affirmez : « Ce qui sépare un croyant d'un non-croyant est infime. Il y a parmi nous, vivant aujourd'hui, des gens qui ont déjà franchi le seuil, dont la générosité est telle que cela n'a plus aucun sens de parler de résurrection ». Donc, selon vous, croire que nous retrouverons un jour nos êtres chers ou croire qu'on ne les retrouvera jamais, c'est du pareil au même. Vous dites cela à des parents qui viennent de perdre leur enfant ?  Avouez une bonne fois pour toutes que votre langage n'est pas chrétien ! Ou bien vous avez raison et le Christ et les apôtres nous ont raconté des bobards, ou c'est vous qui dérapez complètement et dans ce cas-là, il est urgent de vous convertir..."

  • Repentir

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    Un billet proposé par notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Assis en face de moi, un curé. Il me tient un langage qui n'est plus catholique. Il me dit que les anges et le purgatoire, la transsubstantiation et l'assomption, bref que les dogmes de son Eglise, c'est de la foutaise. Tout en buvant mon café, je le laisse s'exprimer, réajuster sa cravate en ayant vis à vis de lui une espèce de pitié : celle qu'on éprouve à l'égard d'une homme qui, tombé dans un puits, refuserait la main qui lui est tendue. Seulement voilà, je sais qu'un jour viendra où il se dira : « J'ai raté ma mission ! J'ai été un mauvais prêtre ! Je devais fortifier la foi et j'ai semé le doute ! Je devais m'agenouiller face au tabernacle et je l'ai fait devant le monde ! Je devais célébrer dignement et j'ai trahi la liturgie ! Je devais...je devais..mais mon évêque ne m'a rien dit ! . Hélas, trop tard à présent ! Ah, si je pouvais recommencer ma vie ! Mais d'où je suis, je ne peux que supplier : « De grâce, ne faites pas comme moi ! ».

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • Faire la guerre à la guerre (20e dimanche du T.O.)

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    Pour une guerre contre la guerre

    Commentaire des lectures de la messe, dimanche 18 août 2013

    (Zenit.org) Mgr Francesco Follo

    Rite romain

    XXe dimanche du temps ordinaire – Année C – 18 août 2013

    1 L’épée transformée en charrue

    L’évangile de ce dimanche décrit Jésus, en chemin vers Jérusalem où l’attend la mort sur la croix, qui dit à ses disciples : « Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division (dans le texte de Matthieu 10,34, on parle d’ « épée »). Et il ajoute : « Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ; ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère » (Lc 12,51-53).

    En parlant ainsi, Jésus ne contredisait pas son enseignement, qui était et qui est le message de paix par excellence. C’est lui qui « est notre paix » (Ép 2,14), il est mort et ressuscité pour abattre le mur de l’inimitié et inaugurer le Royaume de Dieu qui est amour, joie et paix.

    En fait, Jésus-Christ voulait dire qu’il était venu apporter la guerre contre le mal, qui est offense, contre le malin qui tue l’âme et le corps, contre le monde qui suit le malin et devient un lieu de conflit permanent. Nous pouvons considérer ses paroles comme une déclaration de guerre à la guerre. Une guerre contre le mal, parce que la guerre humaine est un mal en surface, mais derrière, il y a le grand mal apporté par le diable[i], lui qui personnifie l’amour-du-néant.

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  • Comment va le monde ...

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  • Sauver le chant liturgique

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    chantres.jpg

    Excellente réflexion de Nicolas Bonnal sur Liberté Politique :

    Halte au massacre : sauvons l'excellence du chant chrétien

    C’est le temps des concerts en plein air ou dans les abbayes. Le temps aussi de redécouvrir la plénitude du chant liturgique, et du simple cantique à la messe de nos campagnes. Pour le meilleur, mais aussi parfois pour le pire. Comment chantons-nous, et pourquoi ? Profitons de l’été pour méditer sur l’excellence de nos chœurs, et la beauté de nos messes chantées…

    BEAUCOUP chantonnent à la messe le dimanche sans y prendre garde, laissant à des oreilles béotiennes et philistines le soin d’apprécier une véritable cacophonie de "bons choeurs" mais de voix éraillées. Si le prêtre et la chorale n’ont pas astreint l’assistance à une certaine discipline, cela peut à mon sens provoquer un véritable désastre sur le plan spirituel ; je le dis comme je le pense parce que de grandes voix et de grandes plumes se sont appliquées à dénoncer le chanté éraillé de la messe fatiguée qui n’honore pas Notre Seigneur.

    Il faut d’abord voir que la messe n’est pas une corvée, pas plus que le dimanche.

    Je me rappelle Sister Act, cette petite comédie osée racontant l’histoire d’une chanteuse réfugiée dans un couvent, et qui disait tout honnêtement que les gens préfèrent payer cent dollars au spectacle qu’aller écouter un chœur grelottant mais gratuit à la messe. C’est que le chœur – ou le cœur – n’y est pas. Le « catho » des médias, un peu oublieux de Bach et de Monteverdi, est alors le premier alors à collaborer à la mauvaise image qu’on a de lui, puisqu’il casse les oreilles de « son Dieu » comme de l’assistance.

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