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Santé - Page 117

  • Mineurs en fin de vie : euthanasie ou accompagnement jusqu'au bout ?

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org du 28 mars 2014 :

    Euthanasie des mineurs ou accompagnement "jusqu'au bout"? 

    Il y a presque douze ans, la Belgique autorisait l'euthanasie pour les adultes. En février dernier, c'est l'euthanasie pour les mineurs en fin de vie qui a été adoptée (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 14 février 2014). Dans un dossier, l'hebdomadaire Pèlerin a tenté de comprendre une telle évolution et met en parallèle une unité hospitalière française, qui, elle, choisit de soigner jusqu'au bout les adolescents en fin de vie. 

    Le politologue Pascal Delwit explique cette évolution par le fait que "depuis 2000, les démocrates-chrétiens ne dominent plus l'échiquier politique. Ceci reflète une déchristianisation récente mais forte de la population. [...] Désormais, ce sont des partis très laïques, liés à la franc-maçonnerie, libéraux de droite ou socialiste qui gouvernent". Désormais, déplore le P. Eric de Beukelaer, chanoine de Liège et blogueur, "le pragmatisme ultralibéral l'a emporté sur l'humanisme social. L'individu n'est plus vu que comme un être autonome qui fait ses choix seul". 

    Selon Marie-Geneviève Pinsart, vice présidente du Comité consultatif de bioéthique de Belgique (CCBB), cette nouvelle loi "crée un espace de liberté supplémentaire. Elle n'oblige personne. Et elle dépénalise sous conditions ce qui est très différent de distribuer un permis de tuer".

    Pour autant, des voix discordantes essayent de se faire entendre. Ainsi en a-t-il été de 200 pédiatres sur les 1200 que compte le pays, qui ont signé une pétition contre la loi ou encore du Pr Eric Sariban, cancérologue pédiatrique: "j'ai suivi jusqu'au bout 84 jeunes atteints de tumeurs cérébrales. Pas un ne m'a adressé une telle demande [i.e demande d'euthanasie]. Parce que nous savons désormais briser ces 'souffrances intolérables' dont parle la loi". 

    Pour d'autres, comme le pédopsychiatre Philippe Van Meerbeeck, c'est l'absence de limite d'âge qui est dangereux. Cette "liberté de choix sans limite d'âge ne vaut pas en droit, pour un enfant."On sait bien que ce sont ses parents et ses médecins qui vont décider" expliquent les juristes Etienne Dujardin et Drieu Godefrifi, fondateur du mouvement des Dossards jaunes.

    Alors que la Belgique étend l'euthanasie aux mineurs, certaines unités, elles, soignent "jusqu'au bout" des adolescents. Ainsi en est-il à l'unité Coquelicot de l'hôpital Saint-Louis à Paris. Le Pr Nicolas Boissel, chef du service d'hématologie pour "adolescents et jeunes adultes", explique: "je dirais que nos patients sentent la vie jusqu'au dernier instant". Cécile Perrier, Psychologue clinicienne précise: "Depuis cinq ans que l'unité existe, nous n'avons jamais eu de demande d'euthanasie ni même d'arrêt des soins". Dans cette unité, l'équipe s'interdit de dire: "C'est fini, il n'y a plus rien à faire". "Lorsqu'on n'est plus dans les chimiothérapies lourdes, les attentes de greffes, on privilégie leur confort et leurs désirs. Ce message-là, nos patients l'entendent souvent mieux que les parents". 

    source : Pèlerin (Sophie Laurant) 27/03/2014

  • Euthanasie des mineurs : les lois enfoncent les parents d'enfants handicapés dans le désespoir

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    Sur Euthanasie STOP :

    Les lois sur l'euthanasie enfoncent les parents d'enfants handicapés dans le désespoir

    par Sophie LUTZ, maman

    Sophie Lutz, vous êtes mère d'une petite Philippine, 14 ans, polyhandicapée, diagnostiquée in utero. Vous avez publié deux livres-témoignages dans lesquels vous évoquez Philippine.

    Vous avez écrit sur Twitter que la loi sur l'euthanasie des enfants, telle qu'elle s'apprête à être promulguée en Belgique, est « une claque affreuse pour tous les parents qui accompagnent leurs enfants souffrants : elle les enfonce dans le désespoir ». Pouvez-vous nous expliquer ?

    Parce que je sais par ma propre expérience que, même si l'on est convaincu de la dignité de la personne et de l'existence de son enfant, il y a en même temps, au fond de soi, cette petite question terrible qui revient régulièrement : « Est-ce qu'il ne vaudrait pas mieux qu'il ou elle meure ? » On est déjà bien désespéré, mais on peut garder la tête hors de l'eau, rester debout, si tout le monde vous soutient et dit avec vous : « On ne sait pas si ce serait mieux, et personne ne sait. » Cette loi, elle, prétend « savoir » ; elle franchit le pas d'après, le pas dans le vide. Et sous prétexte de tout résoudre, elle plonge dans une détresse sans nom.

    La loi en question prévoit que l'initiative doit venir de l'enfant, mais que la décision appartient aux parents qui doivent donner leur consentement...

    La première partie montre déjà qu'en soi, et même pour ceux qui y seraient favorables, la loi est absurde. Quid, dans ce cas, des enfants qui ne peuvent pas parler ? Quant au reste... Qu'est-ce que cela signifiera ? Que les parents qui ne voudront pas faire mourir leur enfant seront des parents tortionnaires, indifférents aux souffrances de celui-ci ? Quelle sorte de lien filial va ressortir de tout cela ? À vrai dire, ce sont des choses que j'ai déjà ressenties quand j'attendais Philippine. Nous savions qu'elle allait être handicapée mais nous voulions la garder... Pour certains, nous étions coupables. Sur Twitter, on me dit que la loi ne contraint pas, donc que je ne devrais pas m'inquiéter. Mais la loi me dira : c'est possible et d'autres le font, pourquoi pas toi ? Si je ne veux pas euthanasier ma fille, suis-je une mère abusive, égoïste, qui ne pense qu'à elle ? Cette loi s'introduit dans la conscience pour ébranler l'interdit de tuer, qui est une sécurité pour ceux qui souffrent.

    Il n'y a pas qu'en Belgique que l'euthanasie est au cœur de l'actualité. Vincent Lambert, en France, fait les gros titres. Cette affaire vous touche ?

    Bien sûr. Car, comme le disent les médecins, Vincent Lambert n'est pas mourant mais handicapé. Il est finalement comme ma petite fille. Les « parents intégristes » qui veulent que leur enfant vive, ce sera nous dans quelques années, quand la loi sur l'euthanasie sera passée en France. Car être contre l'euthanasie, c'est être « intégriste ». Un qualificatif que la presse a mis trois semaines à trouver... C'était presque long, je commençais à m'étonner.

    C'était bon d'entendre la voix de Philippe Pozzo di Borgo 1 sur RTL. Il a une voix tellement paisible pour dire qu'il est heureux de ne pas avoir été débranché, que sa vie immobile, très contemplative, lui convient, qu'elle est riche sur le plan relationnel et qu'il progresse personnellement. J'ai été touchée qu'il dise l'importance de sa famille, des soignants autour de lui. Je me dis que ma fille peut ressentir ces bienfaits-là aussi et aimer sa vie.

  • Belgique : 80% des arrêts d'alimentation et d'hydratation (AAH) pratiqués sans l'accord du patient

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org (25 mars 2014) :

    80% des AAH sont pratiquées en Belgique sans consultation du patient

    Une récente étude publiée dans le Journal of Medical Ethics révèle que la plupart des décisions d’arrêt d’alimentation et d’hydratation (AAH) sont pratiquées en Belgique, dans 80% des cas, sans l’accord du patient, et en dépit de leur droit. Cette décision conduit pourtant à la mort de celui-ci.

    Cette étude a été menée par des chercheurs de l’Université de Bruxelles et de l’Université de Ghent. Ils ont établi que si les patients n’avaient pas été consultés, c’était en raison de leur état de démence (40%), d’inconscience (35%), ou bien parce que cette décision "était le meilleur choix dans l’intérêt du patient" (8%).

    Pour les auteurs de cette étude, le consentement du patient est "vital" et une consultation plus approfondie, nécessaire. Ainsi ils recommandent que le personnel médical, les patients et leurs familles mènent une ample discussion sur les options de traitements et la possibilité de procéder à une AAH. Ils suggèrent que cette discussion intervienne plus en amont, dans le cadre d'un planning préalable des soins, et non à la toute fin de vie du patient.

    source : BioEdge (Xavier Symons) 22/03/2014 – Journal of medical Ethics 13/03/2014

  • Royaume-Uni : des foetus utilisés comme matériau de chauffage dans des hôpitaux

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    RU: des foetus utilisés comme matériau pour chauffer les hôpitaux

    Une émission de TV sur la chaîne Channel 4 vient de révéler au Royaume-Uni que des milliers de fœtus morts, soit par IVG soit par fausse couche, ont été utilisés en tant que"carburant pour chauffer des hôpitaux britanniques". Il s’agirait d’environ 15 500 fœtus dans 27 hôpitaux. Le Département de la santé du Royaume-Uni a immédiatement ordonné l’interdiction de cette pratique.

    source : International Business Times (Reissa Su) 24/03/2014.

  • Pourquoi il faudrait emboiter le pas au New Hampshire qui a rejeté l'euthanasie et le suicide assisté

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    Lu ICI :

    Un ancien membre de la Chambre des représentants explique pourquoi le Québec devrait emboîter le pas au New Hampshire en rejetant le suicide assisté et l'euthanasie

    MONTREAL, March 17, 2014/PRNewswire/ --

    Par 219 voix contre 66, l'État du New Hampshire a massivement rejeté le suicide assisté le 6 mars 2014. Élue à trois reprises à la Chambre des représentants, Nancy Elliott a expliqué pourquoi le New Hampshire a rejeté le suicide assisté et exposé les raisons qui devraient conduire des sociétés progressistes comme le Québec à dire non à l'euthanasie.

    Il existe de nombreuses similitudes entre la législation du New Hampshire et celle du Québec Les deux projets ouvrent grand la porte à des dérapages dans les hôpitaux. Les conditions à remplir, telles que définies dans les deux projets de loi, sont à la fois vagues et très ouvertes. Les prévisions médicales ne sont pas toujours justes. De nombreuses personnes jugées condamnées ont survécu aux prévisions des médecins. Dans certaines pathologies, les malades ne sont pas nécessairement mourants et peuvent vivre encore de nombreuses années si elles sont soignées. Mme Elliott a ainsi donné l'exemple de Richard Bloom du New Hampshire. Atteint d'un cancer du pancréas, on lui donnait 18 mois à vivre. Après s'être vu refuser tout traitement, dans un premier temps, il a obtenu d'être traité après avoir longuement bataillé contre les prestataires de soins médicaux et, 9 ans plus tard, se porte bien.

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  • ONU : Grégor Puppinck dénonce les infanticides, les avortements tardifs et les atteintes à la liberté de conscience

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org (18 mars)

    Infanticide, avortement tardif et atteinte à la liberté de conscience dénoncés devant l'ONU

    A l'occasion d'un premier débat sur la violence contre les enfants et d'un autre sur la liberté de conscience et de religion dans le monde, qui se sont déroulés le 14 mars dernier devant le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève, Grégor Puppinck, directeur du European Center for Law and Justice (ECLJ) a souhaité dénoncer les infanticides, avortements tardifs et atteintes à la liberté de conscience.

    Lors du premier débat, le directeur de l'ECLJ a invité le Conseil à "condamner [l]es violations graves des droits des enfants causées par les infanticides et les avortements tardifs, et à s'engager pour l'interdiction universelle de l'avortement au-delà du seuil de viabilité". En effet, il a été constaté, d'une part que de nombreux "enfants naissent vivants après des avortements et sont abandonnés à la mort sans soins ou tués" et d'autre part que "certaines méthodes d'avortements tardifs, extrêmement violentes, constituent de véritables actes de tortures".  
    Actuellement, un enfant prématuré à 21 semaines peut être sauvé. Or, dans des pays comme en Suède ou au Royaume-Uni, "l'avortement sur demande est légal jusqu'au delà du seuil de viabilité", ou encore comme en France, jusqu'à la fin de la grossesse en cas de malformations. Ainsi, en Angleterre, en 2005, 66 enfants sont nés vivants après un avortement, 622 au Canada entre 2000 et 2011: "tous ont été abandonnés à la mort ou tués par injection ou asphyxie". En Angleterre d'ailleurs, l'asphyxie ou l'injection létale est même une pratique recommandée aux médecins par le Royal College of Obstetricians and Gynaecologists, pour les bébés nés vivants après un avortement. Pourtant, souligne Grégor Puppinck, ce sont ces mêmes médecins qui "mettent tout en oeuvre pour sauver des enfants prématurés nés au même terme. Tuer un enfant né vivant est un infanticide". 

    Lors du second débat sur la liberté de conscience et de religion dans le monde, Grégor Puppinck a notamment dénoncé "les atteintes au droit à l'objection de conscience des médecins, infirmières et pharmaciens face à l'avortement". 
    En premier lieu, le directeur de l'ECLJ a tenu à faire part de sa crainte que "les pays occidentaux soient confrontés à une nouvelle idéologie qui s'oppose à la liberté de conscience et en particulier au droit à l'objection de conscience". Pour justifier son propos, G. Puppinck cite la Suède qui "refuse de reconnaître le droit des médecins à ne pas pratiquer l'avortement" ou encore la France qui "refuse de reconnaître le droit des pharmaciens à ne pas collaborer à l'avortement, quand un pharmacien, un médecin ou une infirmière sont licenciées à cause de leur objection de conscience". 
    Ainsi, G. Puppinck demande au Conseil des droits de l'homme "de veiller davantage au respect du droit à l'objection de conscience en matière morale qui est gravement remis en cause dans plusieurs pays occidentaux". 

    (Zenit.org 17/03/2014)

  • La dignité de la fin de vie en danger. Vraiment ?

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    La dignité de la fin de vie en danger. Vraiment ?

    via Euthanasie STOP

    Willem LEMMENS
    Prof. Universiteit Antwerpen, Centrum voor Ethiek

    Maintenant que l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs est acquise, le lobby pro-euthanasie passe à la vitesse supérieure, emmené par le professeur gantois Etienne Vermeersch. Selon lui, la moindre critique s'inscrit dans une campagne de dénigrement contre une loi qui a fait atteindre à notre pays des « sommets éthiques inégalés ». Il considère que les voix discordantes sont soit mal informées, soit de mauvaise foi. Vermeersch va jusqu'à qualifier le dépôt d'une plainte auprès du parquet ou de l'Ordre des Médecins de « stratégie funeste ». Enfin, il a créé un site Web, « Eerbied » (respect), qui recueille des signatures pour défendre ce qu'il appelle « la dignité de la fin de vie en danger ».

    Or, force est de constater qu'un nombre croissant de personnes sont sincèrement inquiètes face à la pratique toujours plus répandue de l'euthanasie dans notre pays, en raison de la multiplication des interventions contraires à la dignité humaine dans le domaine des soins cliniques.Un grand nombre de pédiatres ont manifesté leur totale désapprobation à l'égard de l'extension de la loi aux mineurs. Certains proches parents de patients euthanasiés ont fait part du traumatisme provoqué chez eux par l'absence de toute oreille attentive à leur point de vue. Une fin de vie digne suppose pourtant le respect de la liberté et de la dignité de tous : du patient, bien entendu, mais aussi du médecin, du personnel soignant et des proches.

    Le professeur Willem Lemmens de l'Universiteit Antwerpen, soutenu par plus de cinquante cosignataires, a rédigé une réponse à l'article de Vermeersch.

    Vous pouvez lire son texte ici : "Het waardig levenseinde in gevaar. Hoezo?" (lien vers le texte)

    Vous pouvez également marquer votre accord avec ce texte en signant ci-dessous.

    N'hésitez pas à FAIRE CIRCULER largement !

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  • "Chère future Maman" : une video pour la journée de la trisomie 21

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    Via Liberté Politique :

    Pour la 3e édition de la Journée internationale de la trisomie 21, le 21 mars 2014, la Fondation Jérôme-Lejeune participe à une campagne de communication européenne «Chère Future Maman». Une quinzaine d’acteurs, porteurs de la trisomie 21, s’adressent à une mère qui vient d’apprendre que l’enfant qu’elle porte est atteint de cette pathologie. Leur message va la rassurer.

    Cette campagne a pour objectif de transmettre un message réconfortant et fort aux femmes enceintes qui attendent un enfant atteint de trisomie 21 et s’interrogent sur son bonheur possible.

    Ces informations sont essentielles en France en raison de la course à l’hyper-diagnostic prénatal, soutenu par l’Etat, qui laisse à penser que cette pathologie est insupportable à vivre, et qui conduit à l’élimination de masse des enfants trisomiques avant leur naissance.

    Une réalisation européenne

    La vidéo «Chère future maman» a été réalisée à Milan les 20 et 21 février par l’agence Saatchi & Saatchi Italie. D’une durée de 2’30’’, elle rassemble des acteurs italiens, espagnols, anglais et français tous porteurs de trisomie 21. Pour la France, Robin (23 ans) Ségolène (26 ans) et Inès (16 ans, photo ci-jointe) ont délivré un message plein de grâce et d’humour !

    Cette campagne européenne est financée et soutenue par une dizaine d’associations. Pour la France le Collectif des Amis d'Eléonore et la Fondation Jérôme-Lejeune ; pour l’Italie l’association CoorDown ; pour l’Espagne Fundacion Sindrome de Down ; pour l’Angleterre Down Syndrome Education International & Down Syndrome Development Trust ; pour l’Allemagne Arbeitskreis Down-Syndrom ; pour la Croatie DSC Pula ; pour l’Irlande Down Syndrome ; aux US Jérôme Lejeune Fundation et Down Syndrome International ; en Nouvelle Zélande Saving Downs ; en Russie Down Side Up.

    Et puisque tout va par 3, la campagne «Chère Future Maman» complète deux autres évènements importants : trois livres consacrés aux personnes trisomiques sortiront le 21 mars : chez Max Milo,Triso et alors ! d’Eléonore Laloux, Eloge des phénomènes – Trisomie : un eugénisme d’État, de Bruno Deniel-Laurent, et chez Nouvelle cité, Ces surdoués de la relation, de Julien Perfumo.

    Ces livres seront présentés au cours d’un petit-déjeuner de presse qui ouvre un colloque exceptionnel « Plus belle ta vie – Plus belle ta ville » du Collectif Les Amis d’Eléonore, le vendredi 21 mars.

    Contacts :
    http://www.lesamisdeleonore.com/
    solen@fondationlejeune.org

  • Plus de 210.000 personnes ont signé la pétition demandant au roi de ne pas sanctionner la loi sur l'euthanasie des mineurs

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  • Les dernières publications sur Euthanasie Stop (16 février)

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    •    Cette proposition de loi est une véritable imposture.
      Imposture enfin de motiver par un pathos écervelé une loi idéologique proposée au pas de course à quelques mois des élections. Imposture de faire croire qu'il y a une demande de terrain réelle, alors...
       
    •    "Il n'y a pas d'âge à la souffrance..."
      ... donc pas de limite d'âge à l'euthanasie. Et tout est dit. Voilà comment, par le détour d'une poignée de mots biens choisis, un habile politicien est récemment parvenu à réduire un débat complexe ...
       
    •    D'autres solutions que la barbarie ?
      Thérapeute familiale rencontrant toutes sortes de familles dans l'épreuve, je ne peux qu'exprimer mon appréciation à la prise de position de Madame Marie-Christine Marghem, et parue dans la Libre Belg...
       
    •    Je suis pour le progrès... donc je suis contre l'euthanasie !
      Depuis quelques jours, en Belgique, on peut assister à un débat animé autour des « actions » de chrétiens qui s'opposent à l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs d'âge. Une des idées la pl...
       
    •    Oui, il faut des médecins compétents qui maîtrisent parfaitement la douleur !
      En quelques jours plus de 175 spécialistes (pédiatres, cancérologues, spécialistes de soins intensifs pédiatriques etc.) signent un papier dans lequel ils écrivent textuellement : « Nous sommes aujour...

  • Euthanasie des mineurs : l'Eglise belge K.O. ?

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    Sur le site de La Croix, Isabelle de Gaulmyn l'affirme :

    L’Eglise belge est K.O.

    Après le vote par le parlement  de l’extension de la loi sur l’euthanasie, pour permettre à des enfants malades (dont le décès est prévu à brève échéance) de demander à mourir, elle doit bien faire un constat d’impuissance. Les termes de son communiqué,  «déçus », « crainte » reflètent même une sorte de désarroi. Comme le relève le P.Tommy Scholtes, porte-parole de l’épiscopat, « nous n’avons jamais pu réellement nous faire entendre, le parlement a été peu dialoguant, dans un pays à la laïcité si forte, nos arguments étaient par avance discrédités ».

    Lire la suite sur le site de La Croix