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Spiritualité - Page 502

  • Belle prière à Jésus Crucifié

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    Lue sur le « Forum Catholique » :

    imagesCA7FLXRS.jpg « Prière à Notre Seigneur Jésus-Christ pour obtenir la guérison intérieure  selon le Père Gabriel Amorth

    Seigneur Jésus-Christ qui êtes venu guérir les cœurs blessés et éprouvés, je Vous prie de guérir tous les traumatismes qui ont pu troubler le mien. Je Vous prie, en particulier, de guérir ceux qui sont cause de péché. Je Vous demande d'entrer dans ma vie, de me guérir des traumatismes psychiques qui ont pu blesser ma petite enfance, et des blessures qu'ils ont provoquées tout au long de ma vie.

    Seigneur Jésus, Vous savez mes difficultés. Je les dépose toutes dans Votre Cœur de Bon Pasteur.

    Je Vous prie, par la grande plaie ouverte dans Votre Cœur, de guérir les petites blessures qui sont dans le mien.

    Seigneur Jésus-Christ, guérissez les blessures de mes souvenirs afin que rien de ce qui m'est arrivé ne me laisse dans la douleur, dans l'angoisse, ni en préoccupation.

    Seigneur Jésus-Christ, guérissez toutes les blessures qui, dans ma vie, ont été cause ou racine du péché. Je veux pardonner à tous ceux qui m'ont offensé ; regardez ces blessures intérieures qui m'empêchent de pardonner. Vous qui êtes venu guérir les cœurs affligés, guérissez mon cœur. Accordez-moi la guérison des douleurs qui m'oppressent au souvenir de la mort des personnes qui m'étaient chères. Faites que je puisse retrouver la paix et la joie dans la certitude que Vous êtes la Résurrection et la Vie. Faites de moi un témoin authentique de Votre Résurrection, de Votre victoire sur le péché et sur la mort, et de Votre présence vivante au milieu de nous.

    Amen » ( ill. Retable l'Issenheim, détail)

    Ici: Une belle prière qu'on m'a transmise

  • Parler de la création a-t-il encore un sens ?

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    La foi: "reconnaître la grandeur de Dieu et accepter notre petitesse"
    Catéchèse de Benoît XVI, mercredi 6 février 2013

    ROME, 6 février 2013 (Zenit.org) - « Vivre de la foi veut dire reconnaître la grandeur de Dieu et accepter notre petitesse, notre condition de créature, laissant le Seigneur la combler de son amour afin que croisse ainsi notre véritable grandeur », a expliqué Benoît XVI dans sa catéchèse de ce mercredi 6 février, en la salle Paul VI du Vatican.

    Le pape a en effet consacré sa catéchèse à l’article su Credo concernant la foi dans le Père « Créateur du ciel et de la terre ».

    Traduction intégrale de la catéchèse en italien

    Chers frères et sœurs,

    Le Credo, qui commence en qualifiant Dieu de « Père tout-puissant », (comme nous l’avons médité la semaine dernière) ajoute ensuite qu’il est le « créateur du ciel et de la terre », reprenant l’affirmation par laquelle s’ouvre la Bible. Dans le premier verset de l’Ecriture sainte, en effet, on lit : « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre » (Gn 1,11) : Dieu est l’origine de toutes les choses et sa toute-puissance de père aimant se déploie dans la beauté de la création.

    Dans la création, Dieu se manifeste comme un père, en tant qu’il est l’origine de la vie et, en créant, il montre sa toute-puissance. Les images utilisées dans l’Ecriture sainte à ce sujet sont très suggestives (cf. Is 40,12; 45,18; 48,13; Ps 104,2.5; 135,7; Pr 8 27-29; Jb 38-39). Comme un père bon et puissant, il prend soin de ce qu’il a créé avec un amour et une fidélité qui ne diminuent jamais ; c’est ce que répètent les psaumes (cf. Ps 57,11; 108,5; 36,6). Ainsi, la création devient le lieu où connaître et reconnaître la toute-puissance du Seigneur et sa bonté, et elle devient une invitation des croyants à la foi, pour que nous proclamions Dieu comme le Créateur.

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  • Carême: ni viande, ni poisson ?

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    Sur le site de “La Vie”, Natalia Trouillier épingle cette invitation à faire un bon carême écolo:

    “C'est la proposition, reprise sur le site officiel des évêques de France, de l'association Chrétiens unis pour la Terre: "En partenariat avec le réseau Bible et Création, C.OR.E. et Pax Christi, les Chrétiens unis pour la Terre proposent de 'redécouvrir la beauté du Carême par un chemin sans viande et sans poisson', à l'imitation des moines bénédictins ou des orthodoxes qui pratiquent une sobriété radicale depuis des siècles". Un livret d'accompagnement, signé par plusieurs personnalités catholiques, protestantes et orthodoxes accompagne les jeûneurs. "Des explications sur les enjeux écologiques suivent ces réflexions, avec une interpellation sur les conséquences de l'augmentation de la consommation de viande comme la déforestation et la disparition de la biodiversité, l'élevage industriel et le dérèglement climatique. L'énumération de pratiques sur la maltraitance des animaux ainsi que des chiffres sur la production industrielle alertent sur la relation des consommateurs avec la Création. Après ces constats, quelques conseils pratiques pour bien se nourrir avec des suggestions de menus et de recettes invitent à participer à un Carême engagé". Référence: Carême: ni viande ni poisson

    Ajoutons qu'en ce domaine, les dispositions du code de droit canonique postconciliaire (1983) sont les suivantes :

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  • Jésus n’est pas venu pour chercher l’approbation des hommes

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    ROME, 3 février 2013 (Zenit.org) - « Amour et vérité sont les deux noms de la même réalité, deux noms de Dieu », explique Benoît XVI qui a commenté, avant l’angélus de midi, ce dimanche 3 février, place Saint-Pierre, l’évangile du jour : Jésus à Nazareth.

    Paroles de Benoît XVI en italien avant l’angélus :

    Cher frères et sœurs,

    L’évangile d’aujourd’hui – tiré du chapitre 4 de saint Luc – est dans le prolongement de celui de dimanche dernier. Nous nous trouvons encore dans la synagogue de Nazareth, le village où Jésus a grandi et où tous les connaissent lui et sa famille. Or, après une période d’absence, il revient de façon nouvelle : au cours de la liturgie du sabbat, il lit une prophétie d’Isaïe sur le Messie, et il en annonce l’accomplissement, laissant entendre que cette parole de réfère à Lui.

    Ce fait suscite l’étonnement des Nazaréens : d’une part, « tous lui rendaient témoignage et étaient en admiration devant les paroles pleines de grâce qui sortaient de sa bouche » (Lc 4, 22). Saint Marc rapporte que beaucoup disaient : « D'où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée ? » (Mc 6, 2). Mais d’autre part, ses concitoyens le connaissent trop bien : « C’est quelqu’un comme nous, disent-ils. Sa prétention ne peut être que présomption » (L’Enfance de Jésus, 11). « N'est-il pas le fils de Joseph ? » (Lc 4, 22), cela revient à dire : quelles aspirations peut bien avoir un charpentier de Nazareth ?

    Justement parce qu’il connaît cette fermeture, qui confirme le proverbe « personne n’est prophète en son pays », dans la synagogue Jésus adresse aux gens des paroles qui résonnent comme une provocation. Il cite deux miracles accomplis par les grands prophètes Elie et Elysée en faveur de personnes qui n’étaient pas des Israélites, pour démontrer qu’il arrive qu’il y ait davantage de foi en dehors d’Israël. A ce moment-là, la réaction est unanime : tous se lèvent et le chassent, et ils cherchent même à le jeter du haut d’un précipice, mais Lui, avec un calme souverain, passe au milieu de la foule furieuse et il s’en va.

    On se demande spontanément à ce moment-là : comment Jésus a-t-il pu vouloir cette rupture ? Au commencement, les gens l’admiraient, et il aurait peut-être pu obtenir une certaine approbation… Mais justement, voilà le point : Jésus n’est pas venu pour chercher l’approbation des hommes mais, comme il le dira à la fin à Pilate, pour « rendre témoignage à la vérité » (Jn 18, 37). Le vrai prophète n’obéit à personne d’autre qu’à Dieu et il se met au service de la vérité, prêt à payer de sa personne. Il est vrai que Jésus est le prophète de l’amour, mais aussi l’amour a sa vérité. Et même, amour et vérité sont les deux noms de la même réalité, deux noms de Dieu.

    Dans la liturgie d’aujourd’hui résonnent aussi ces paroles de saint Paul : « L'amour prend patience ; l'amour rend service ; l'amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil ; il ne fait rien de malhonnête ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s'emporte pas ; il n'entretient pas de rancune ; il ne se réjouit pas de ce qui est mal, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai » (1 Co 13, 4-6). Croire en Dieu signifie renoncer à ses préjugés et accueillir le visage concret par lequel il s’est révélé : l’homme Jésus de Nazareth. Et cette voie conduit aussi à le reconnaître et à le servir dans les autres.L’attitude de Marie est éclairante à ce propos. Qui plus qu’elle a été familier de l’humanité de Jésus ? Mais elle n’en a jamais été scandalisée comme ses concitoyens de Nazareth. Elle conservait le mystère en son cœur et elle a su l’accueillir toujours davantage et toujours à nouveau, sur le chemin de la foi, jusqu’à la nuit de la croix et à la pleine lumière de la résurrection. Que Marie nous aide nous aussi à marcher avec fidélité et avec joie sur ce chemin.

    © Libreria Editrice Vaticana- Traduction de Zenit : Anita Bourdin

  • Lumière pour illuminer les nations

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    1. Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser s'en aller ton serviteur en paix, selon ta parole.

    2. Car mes yeux ont vu ton salut que tu prépares à la face des peuples.

    3. Lumière pour éclairer les païens et gloire d'Israël ton peuple.

    4. Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit.

    5. Au Dieu qui est, qui était et qui vient, pour les siècles des siècles. Amen.

  • Les intentions de prière du Pape Benoît XVI pour le mois de février 2013

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    Intention universelle : Les familles de migrants

    Pour que les familles de migrants, les mères en particulier, soient soutenues et accompagnées dans leurs difficultés.

    Intention missionnaire : La construction de la paix

    Pour que ceux qui souffrent de guerres et de conflits soient les protagonistes d'un futur de paix.

    (Commentaire ici : http://www.apostolat-priere.org/index.php/derniere-minute.html )

  • 2 février : Journée de la Vie consacrée

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    Aleteia.org développe la signification de cette journée :

    « Pourquoi ont-ils dit oui à la vie monastique ? », « Où s’engager quand on est appelé par le Christ ? », « Des moines, pour quoi faire ? ». Ce sont quelques-uns des reportages à découvrir sur le site du Jour du Seigneur à l’occasion de la Journée de la vie consacrée, célébrée ce 2 février dans le monde entier.

    Initiative de Jean-Paul II lancée en 1997, la journée de la vie consacrée sera aussi l’occasion, en cette Année de la foi, de « promouvoir la vie consacrée », explique le site de la Corref, Conférence des religieux et religieuses de France.

    Dans un message publié en vue de cette journée, le Frère Jean-Pierre Longeat, président de la Corref, évoque « ceux qui ont reçu vocation à mener une vie consacrée dans l’Eglise » comme des « guetteurs, des passeurs et des éveilleurs ». « Leur souci n’est plus de préserver des acquis aussi précieux soient-ils, mais de les transmettre quelle que soit la forme sous laquelle ils se développeront par la suite », affirme-t-il.

    Pour en savoir plus, une mine de témoignages est aussi à lire sur mavocation.org.

    Enfin, pourquoi la journée de la vie consacrée est célébrée le 2 février, en la fête de la Présentation du Seigneur au temple. La réponse est sur le site de l’Eglise catholique en France.

  • Malmedy: premier dimanche du mois aux capucins

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    MALMEDY 

    PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE

    Célébrée par M. l’abbé Jean Schoonbroodt  

    DIMANCHE 3 FÉVRIER 2013 À 18 HEURES 

    ÉGLISE DES CAPUCINS

    Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy 

    MESSE DE LA SEXAGÉSIME 

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    Evangile de la Parabole du Semeur  (St Luc, 8, 4- -15)

    Propre grégorien de la messe « Exsurge »

    Kyriale XI (XIVe s.)« cum jubilo ». Credo I (XIe s.)

    Motet « Jesu Salvator Mundi » à trois voix  (Menegali, circa 1700)

    Motet « Ave Maria » à deux voix (Reiman, 1820-1885)

    Motet de communion « Garde mon cœur pour la vie éternelle », d’après une mélodie de Joseph Haydn (1732-1809)

    Motet « Gegrüsset seist Königin » (Stein, Köln 1852)


     

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  • Conférences 2013 Quelle âme pour l'Europe ?

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    Première conférence Les racines de l'identité chrétienne par Gérard-François Dumont de l'Université Paris IV le lundi 11 février 20h00 à Louvain-la-Neuve le mardi 12 février 20h00 à Bruxelles.

    L’Europe a-t-elle des racines spirituelles, et plus précisément des racines chrétiennes ?

    Les invasions germaniques qui ont suivi la chute de l’Empire romain ont bouleversé l’Europe. Le christianisme, et plus spécifiquement l’Église latine, s’est alors affirmé comme fondement de valeurs créatrices d’une culture commune, enracinée dans une histoire des peuples où la mémoire biblique et l’héritage chrétien jouent un rôle majeur. De multiples questions émergent de ce constat : la référence au christianisme est-elle d’abord affaire de foi ou affaire de valeurs ? Quelle est dans ce contexte la place de la culture antique, grecque et romaine ? Quel est le rôle d’autres religions, tels le judaïsme et l’Islam ? Quel rapport y a-t-il entre la spiritualité et l’expansion mondiale de l’Europe, à partir de l’an mil et des croisades ? Quel est le rôle du développement du rationalisme et de la laïcité ? Qu’est-ce qui a déclenché la naissance de l’Union européenne ?

    Pour répondre à ces questions, la Fondation Sedes sapientiae, de la Faculté de théologie de l’UCL (Université catholique de Louvain), organise un cycle de quatre conférences, qui seront données chacune à Louvain-la-Neuve (le lundi) et à Bruxelles (le mardi), en février-mars 2013. Le cycle fera l’objet d’une publication aux éditions Lumen Vitae.

    Un cycle, deux localisations :

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  • Pater omnipotens ?

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    Qu’est-ce que la Toute-puissance de Dieu? Benoît XVI répond dans sa catéchèse du mercredi 30 janvier 2013 (Extraits)

    (…) Je voudrais donc réfléchir maintenant avec vous sur la première définition de Dieu que nous présente le Credo et qui est fondamentale : Dieu est Père.

    Il n’est pas toujours facile aujourd’hui de parler de paternité. Surtout dans le monde occidental, les familles décomposées, les obligations professionnelles toujours plus prenantes, les préoccupations et souvent la difficulté à équilibrer le budget familial, la présence envahissante des mass media dans la vie quotidienne avec leurs distractions, font partie des nombreux facteurs qui peuvent empêcher un rapport serein et constructif entre les parents et les enfants. La communication se fait parfois difficile, la confiance s’affaiblit et le rapport avec la figure paternelle peut devenir problématique ; et il devient tout aussi problématique d’imaginer Dieu comme un père si l’on n’a pas de modèles de référence justes (…).

     Mais la révélation biblique aide à dépasser cette difficulté en nous parlant d’un Dieu qui nous montre ce que signifie vraiment être « père » ; et c’est surtout l’Evangile qui nous révèle ce visage de Dieu comme Père qui aime (…) . C’est dans l’amour du Seigneur Jésus que se montre en plénitude le visage bienveillant du Père qui est dans les cieux. C’est en le connaissant, lui, que nous pouvons connaître aussi le Père (cf. Jn 8,19;14,7), c’est en le voyant que nous pouvons voir le Père, parce qu’il est dans le Père et que le Père est en lui (cf. Jn 14,19-11). Il est « l’image du Dieu invisible », comme le définit l’hymne de la Lettre aux Colossiens, « Premier-né de toute créature… Premier-né d'entre les morts », « en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés » et la réconciliation de toutes choses, de « tous les êtres pour lui, aussi bien sur la terre que dans les cieux, en faisant la paix par le sang de sa croix » (cf. Col 1,13-20).

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  • Le rapport au père souvent problématique

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    Le pape, lors de l'audience générale de ce mercredi, a évoqué cette réalité :

    (Vatican Information Service - VIS) Le Saint-Père a consacré la catéchèse de la l'audience générale à la définition fondamentale que le Credo donne de Dieu: Père Tout Puissant. Il n'est pas toujours facile, a-t-il dit, "de parler aujourd'hui de paternité". Le rapport avec la figure paternelle peut devenir problématique, ainsi que "la perception de Dieu comme père, par défaut d'un modèle correct. Qui a connu un père trop autoritaire, indifférent, peu affectueux, voire absent, a du mal à envisager sereinement Dieu comme un père, à s'abandonner à lui et à lui faire confiance.

    Or la Bible nous permet déjà de dépasser la difficulté lorsqu'elle décrit un Dieu qui démontre ce qu'être père signifie. Mais c'est surtout l'Evangile qui révèle la paternité de Dieu, de ce Dieu qui aime au point d'offrir son propre Fils pour le salut de l'humanité... Dieu est notre père parce qu'il nous a bénis et choisis dès avant la création du monde. Ils nous a fait ses fils véritables en Jésus, et nous accompagne comme un père au long de notre existence, nous offrant sa Parole, sa grâce et son Esprit... Il est bon au point de faire briller le soleil sur les mauvais comme sur les bons, sur les injustes comme sur les justes, de manière que nous pourrons toujours nous en remettre à son pardon paternel chaque fois que nous prenons le mauvais chemin". L'amour de Dieu est pour toujours, "et il ne fait jamais défaut, ne se fatigue jamais de nous... La foi nous donne la certitude qu'il est un rocher sûr dans la construction de notre existence. A tout moment nous pouvons faire face au danger et aux difficultés, faire l'expérience du doute et de la souffrance, mais nous serons soutenus par le fait certain que Dieu est proche et qu'il ne nous abandonne pas. Il est là pour nous conduire à la vie éternelle".

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