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Spiritualité - Page 524

  • Les paroles fortes du pape lors du consistoire de ce 18 février

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    Cité du Vatican, 18 février 2012 (source : VIS). A 10 h 30', le Saint-Père a présidé en la Basilique vaticane le sixième consistoire ordinaire public pour la création de vingt deux Cardinaux, auxquels il a remis la barrette, l'anneau et le titre ou diaconie. Après la prière introductive et la lecture de l'Evangile, Benoît XVI a prononcé l'allocution dont voici de larges extraits :

    « Tu es Petrus, et super hanc petram aedificabo Ecclesiam meam... C’est sur ces paroles du chant d'entrée que s'est ouvert le beau rite consistorial... Ce sont les paroles par lesquelles Jésus a constitué Pierre comme fondement solide de l’Eglise. De ce fondement, la foi représente le facteur qualificatif. De fait, Simon devient Pierre, le roc, car il a professé sa foi en Jésus Messie et Fils de Dieu... Les paroles que Jésus adresse à Pierre mettent bien en évidence le caractère ecclésial de l’événement d’aujourd’hui. Les nouveaux Cardinaux, en effet, par l’attribution du titre d’une église de cette ville, sont insérés à tous les effets dans l’Eglise de Rome, guidée par le Successeur de Pierre, pour coopérer étroitement avec lui au gouvernement de l’Eglise universelle... Dans cette tâche délicate, le témoignage de foi donné à travers sa vie et sa mort par le Prince des Apôtres, qui, par amour du Christ, s’est donné totalement lui-même jusqu’au sacrifice ultime, sera pour eux un exemple et une aide... C’est en ce sens qu’il faut comprendre aussi l’imposition de la barrette rouge. Aux nouveaux Cardinaux est confiée le service de l’amour, l'amour pour Dieu, l'amour pour son Eglise, l'amour pour le prochain avec un dévouement absolu et sans condition, jusqu’à l’effusion du sang, si nécessaire, comme le dit la formule de l’imposition de la barrette et comme l’indique la couleur rouge de leurs habits. En outre, il leur est demandé de servir l’Eglise avec vigueur, avec la clarté et la sagesse des maîtres, avec l’énergie et la force morale des pasteurs, avec la fidélité et le courage des martyrs. Il s’agit d’être d’éminents serviteurs de l’Eglise qui trouve en Pierre le fondement visible de l’unité.

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  • Le pape a nommé deux évêques « de tradition » sans consulter l’assemblée de la congrégation des évêques.

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    C'est le pape qui a choisi directement, avec le cardinal Ouellet, préfet de ce dicastère. Ce qui n’invalide en rien son choix mais traduit  peut-être ce qu’il pense de l’assemblée de cette congrégation romaine… Sur son site « Chiesa », le vaticaniste Sandro Magister commente :

    CITÉ DU VATICAN, le 17 février 2012 – Après la nomination “personnelle” de l’évêque Francesco Moraglia en tant que patriarche de Venise, Benoît XVI a pris une décision analogue pour l’Église de France.

     Il l’a fait samedi dernier, 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, lorsqu’il a désigné le nouvel évêque du diocèse où se trouve ce célèbre sanctuaire marial, celui, justement, de Tarbes et Lourdes. À ce poste, le pape Joseph Ratzinger a nommé Mgr Nicolas Brouwet, 50 ans le 31 août prochain, évêque auxiliaire, depuis le mois d’avril 2008, de Nanterre, diocèse où il est né et a été ordonné prêtre en 1992.

    Cette nomination est arrivée plus tôt que prévu, le prédécesseur de Brouwet, Mgr Jacques Perrier, en charge du diocèse depuis 1997, ayant atteint l’âge de la retraite, 75 ans, le 4 décembre dernier et ayant donc eu à peine deux mois de "prorogatio".

    D’autre part, pas plus que celui de Moraglia, le choix de Brouwet n’a fait l’objet d’un examen par les cardinaux et évêques de la congrégation dont c’est la tâche, lors de l’une des réunions qu’ils tiennent chaque jeudi. Moraglia et Brouwet prendront l’un comme l’autre possession de leur diocèse respectif le 25 mars prochain, fête de l'Annonciation.

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  • Le nouvel évêque de Lourdes répond à l’hebdomadaire « Famille chrétienne » :

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    Mgr Nicolas Brouwet a été nommé évêque de Tarbes-et-Lourdes le 11 février en la fête de Notre-Dame de Lourdes. Il sera installé le 25 mars, jour de l’Annonciation. Premières réactions de l’actuel évêque auxiliaire de Nanterre publiées dans « Famille chrétienne », sous la signature de Sophie le Pivain :

    « Dans quel état d’esprit avez-vous accueilli la nouvelle de votre nomination ?

    Je l’ai accueillie à la fois dans la confiance et dans la joie. Dans la confiance, parce que c’est la foi qui me fait dire « oui », et parce que le Seigneur m’accompagne. Enfin, je suis dans la joie d’avoir un tel ministère et de rejoindre Lourdes, que j’aime particulièrement.

     Quel est votre lien avec le sanctuaire ?

    J’y suis souvent allé en pèlerinage quand j’étais jeune, avec mes grands-parents, ma sœur. Ma foi a beaucoup grandi là-bas. C’est à Lourdes que j’ai découvert le mystère de l’Église, qui s’accomplit dans la liturgie et le service des malades. Dans les processions du Saint Sacrement à Lourdes, le Christ est au cœur, mais les malades sont au premier rang : on y découvre une Église vivante, décomplexée, dans son universalité et sa catholicité. Les pèlerins de Lourdes portent de gros fardeaux, et je ne parle pas que des maladies physiques, mais ils montrent une foi qui apparaît sans fard, dans toute son authenticité. Lourdes est un lieu propice pour vivre sa foi sans se cacher.

     Vous avez manifesté une certaine proximité avec la sensibilité traditionnelle. Comment concevez-vous votre rôle d’évêque dans un sanctuaire où passent des pèlerins de tous horizons ?

    Avec 6 millions de visiteurs par an, s’il se passe quelque chose à Lourdes, c’est bien la communion. En tant qu’évêque, je suis acteur de la communion dans l’Église, et mes goûts personnels sont tout à fait secondaires. Par exemple, mon prédécesseur ouvrait chaque année le sanctuaire à la Fraternité Saint-Pie-X pour son pèlerinage, je continuerai. De même pour tous les catholiques : j’aimerais que chaque catholique, d’où qu’il vienne et quelle que soit sa sensibilité, se sente chez soi dans le sanctuaire, et je m’y emploierai.

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  • "Magnificat" propose un CAREME sur iPHONE

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    compagnoncareme2012grand.pngMAGNIFICAT propose de vivre le Carême sur iPhone grâce à l’application COMPAGNON DE CARÊME, disponible sur l’App store. Elle s’adresse à ceux qui désirent prendre du temps pour Dieu, et approfondir le chemin qui mène à Pâques, tout en s’adaptant à leur mode de vie actif.

    POUR CHAQUE JOUR DU CAREME, L’APPLICATION COMPAGNON DE CARÊME PROPOSE :

    • PRIERES – avec les prières du matin et du soir

    • MESSE – avec les textes de la messe du jour, pour prier chez soi ou à l’Eglise

    • MEDITATION – avec un texte original écrit pour chaque jour de Carême par des auteurs de talents (P. Guy Gilbert, P. Pascal Ide, Marie-Noël Thabut,...)

    • CHANTS – avec des chants pour Carême et Pâques en format audio, à écouter tout en continuant à prier Le phénomène MAGNIFICAT

    • L’Application MAGNIFICAT pour iPhone a été téléchargée plus de 90 000 fois

    • Née en France il y a presque 20 ans, la revue compte aujourd’hui près d’un million de lecteurs qui chaque jour prient ensemble sur les cinq continents en cinq langues.

    • La revue mensuelle MAGNIFICAT veut être le compagnon de la vie spirituelle que l’on peut emmener partout avec soi. Elle se présente chaque mois, comme un livre de poche superbement imprimé sur papier Bible. On peut la retrouver également sur Internet et iPhone.

    Infos pratiques Disponible sur l’App Store 0,79 € Application-test gratuite pour la presse sur demande

    Des chiffres: MAGNIFICAT sur iPhone c’est : - Près de 90 000 téléchargements - 415 000 pages vues par mois"

  • Pour vivre le carême avec les enfants

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    couvvivrelecaremeb.jpgLes Dossiers Transmettre

    Vivre le Carême avec les enfants - par l'équipe de Transmettre

    NOUVELLE EDITION 2012 REVUE ET AUGMENTEE

    Ce dossier numérique (PDF) complet propose d'approfondir le sens et la spiritualité du
    Carême, propose des pistes pour le vivre avec les enfants, répond à quelques questions courantes (la différence entre Carême et Ramadan, pourquoi jeûner...) et comprend 3 chemins de Carême différents qui peuvent être complétés par les enfants.

    SOMMAIRE

    Qu'est-ce le Carême ?

    • Comprendre et vivre le temps du Carême
    • Notre Carême selon l'Evangile
    • Trois questions sur le Carême : quoi, pourquoi, comment ?
    • Une chance à saisir : 40 jours au désert

    Le Carême et les enfants

    • Le Carême des tout-petits
    • Deux idées : la tirelire et le chapelet à offrandes
    • Quel Carême pour les enfants ?

    Questions d'enfants

    • Le Mercredi des Cendres
    • Carême et Ramadan
    • Les 3 P du Carême
    • Pourquoi jeûner ?

    Chemins de Carême

    • Je monte vers Pâques
    • Mon Carême avec Jésus
    • Mon chemin de Carême

    Acheter le PDF 5€ ttc 

  • Diocèse de Liège : plusieurs demeures dans la maison du Père

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    Lu dans « La Libre » -Gazette de Liège de ce 15 février :

    imagesCA1GSOU4.jpg« La messe traditionnelle en latin sera célébrée à Malmedy dès le 26 février. Il a fallu plaider le dossier à tous les niveaux de la hiérarchie, jusqu’à Rome.

    A partir du 26 février, premier dimanche du carême, la messe traditionnelle en latin sera de retour, une fois par mois, à la chapelle des Capucins à Malmedy. Une possibilité qui reste rare et résulte ici de longues démarches, bien que le rite antérieur au concile Vatican II ait été libéralisé par un motu proprio du pape Benoît XVI.

    La demande est partie de la chorale malmédienne Royale Caecilia, dont le répertoire s’harmonisait difficilement avec la liturgie ordinaire. Elle s’est étendue à des fidèles de la cité du Cwarmê et de ses environs. Mais il ne suffisait pas de demander. Le dossier, dont nous avons pu prendre connaissance, a dû être plaidé à tous les niveaux de la hiérarchie, depuis le doyen de Malmedy Henri Bastin jusqu’à la commission pontificale Ecclesia Dei à Rome présidée par le cardinal Joseph Levada, en passant par l’évêque de Liège Mgr Aloys Jousten !

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  • Académie de Chant grégorien : trois jours à l’abbaye de Clervaux

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    abbayeareienne.jpgL’académie de Chant grégorien de Belgique organise du 25 au 28 août prochains à l’abbaye bénédictine de Clervaux (Grand Duché de Luxembourg), une session  sur le thème des « offices des saints au moyen-âge ». La session sera dirigée par le professeur David Eben, fondateur et directeur de la Schola gregoriana Pragensis.

    Le thème

    La dévotion vouée aux saints joue un rôle majeur dans la civilisation européenne. Les saints font partie du paysage culturel de l’Europe.
    Ils y occupent tout l’espace géographique et spirituel. Le culte des saints a trouvé son expression liturgique dans les offices qui ont été créé en leur honneur. Ces offices sont appelés très justement hystoriae – la première fois déjà par Amalaire (†850) : ils exposent l’histoire du Saint et l’héritage spirituel qu’il laisse à la postérité. Ce genre liturgique prend déjà forme à l’époque carolingienne, mais c’est plus tard – avec la multiplication des fêtes des Saints – qu’il prendra toute sa dimension. Il s’arrêtera au XVe siècle.

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  • La vieillesse, une vocation à un plus grand amour de Dieu

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    "Il faut traiter la vieillesse comme une  vocation à un plus grand amour de Dieu
    et du prochain. Dieu possède vis-à-vis des personnes âgées d’autres projets pour les enrichir,
    en leur révélant, les yeux dans les yeux, Sa vie intérieure.
    Le seul acte efficace dont nous sommes capables est la prière.
    Dans cette passivité active tout se prépare, tout se décide, tout se travaille.
    Le Ciel sera pour nous le « Notre Père»."

    C'est ce que prêchait le bienheureux Michel Sopocko que l'on fête aujourd'hui.

  • Une retraite avec Thérèse d'Avila à Bois-Seigneur-Isaac, les 10et 11 mars

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  • Aimer librement : un week-end organisé par le Chemin Neuf

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  • Ennuyeuse, la messe ?

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    FIC65644HAB40.jpgVoici un livre pour redécouvrir la messe :

    Aimer la messe, Didier van Havre, 16,00 €, 2011, Artège, 216 pages.

    Présentation de l'éditeur

    Le secret de l'Eucharistie est de découvrir la proximité vertigineuse de Jésus Christ, lui qui est présent dans le prêtre, dans l'assemblée, dans la lecture de la Parole de Dieu et sous les espèces du pain et du vin ! Pour entrer dans ce mystère, il faut pouvoir répondre ainsi à une série de questions fondamentales : Pourquoi la messe ? Que signifient les différents gestes et prières liturgiques ? Quelles sont les attitudes que nous devons adopter, aux différents moments de la messe ? Comment vivre les différents temps liturgiques ? Cet ouvrage propose un accompagnement pour chaque étape de la messe. Une première partie rappelle l'enseignement de l'Église sur le mystère qui se déroule. La deuxième partie explique la signification de chaque geste, de chaque prière, en faisant le lien avec la vie de Jésus et avec les grands événements de l'histoire sainte et se termine par un guide spirituel pour progresser dans l'intimité avec le Christ. L'auteur fait appel à un grand nombre de textes des Écritures, du Missel romain, du Catéchisme de l'Église catholique et de son Abrégé, des enseignements du Concile Vatican II et des principaux documents de Jean-Paul II et de Benoît XVI sur l'Eucharistie. Ce livre est un outil pratique et précieux pour aimer la messe. Né à Anvers en 1941, Didier van Havre a obtenu successivement une licence en sciences politiques et sociales, une licence en sciences économiques, un doctorat en urbanisme et aménagement du territoire et un doctorat en théologie. Ordonné prêtre par le Pape Jean-Paul II à Rome en 1984, il a exercé son ministère pastoral à Bruxelles et à Anvers. Il est actuellement aumônier du Centre Culturel Groenendael et vicaire à la paroisse Notre-Dame au Sablon à Bruxelles.
  • France : un nouvel évêque pour le diocèse de Lourdes

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                               Sous lintitulé "un évêque summorum pontificum "mgr-brouwet.jpg, le site « Riposte Catholique » claironne :« De Rome nous parvient une excellente nouvelle ! Mgr Nicolas Brouwet, jusqu’ici évêque auxiliaire de Nanterre, vient d’être nommé aujourd’hui par le Pape Benoît XVI à la tête du diocèse de Tarbes et Lourdes. Cet évêque, né en 1962, a participé à de nombreuses reprises comme prêtre et comme évêque au pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté, de Paris à Chartres, à la Pentecôte. À Noël dernier, il célébrait encore la messe dans l’usus antiquior.

    Sa nomination à Lourdes, diocèse internationalement connu, d’une grande visibilité, représente un tournant significatif pour l’Église de France. Elle renforce les évêques qui veulent œuvrer dans le sens impulsé par le Pape Benoît XVI depuis le début de son pontificat.

    Jeune évêque, il appartient à la génération de ceux qui comme Mgr Schneider, qui a prononcé une vigoureuse allocution le 15 janvier dernier à Reunicatho (et qui vient d’être publiée intégralement par le journal L’Homme Nouveau), n’ont pas hésité à célébrer la messe dans l’usus antiquior. Nous demandions depuis longtemps la nomination d’un évêque « Summorum Pontificum », appellation symbolique qui dépasse de loin la seule question liturgique. Nous l’avons enfin ! Puisse d’autres évêques venir dans ce sens. L’Église en France en a bien besoin. »

    Un évêque ne devrait jamais être l’homme d’une faction, et Mgr Brouwet ne l’est sans doute pas, mais franchement traditionnel et sans a priori partisan : nous saluons sans réserve ce type de nomination, trop rare pour ne pas s’en réjouir.