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Spiritualité - Page 521

  • Encore une attaque médiatique contre le célibat sacerdotal

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    Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage. Sur le site de “La Vie” Jean Mercier s’y colle à son tour, dans une “paposcopie” du 5 mars (extraits):

    “ C'est un documentaire qui promet une flambée d'audimat. Diffusé par France 2 le 6 mars, il a pour thème « La vie amoureuse des prêtres ». Il est si tentant de connaître la vie intime de ceux qui se sont volontairement astreints au célibat, et donc à la chasteté... Le moins qu'on puisse dire est que le film est croustillant. Il s'ouvre sur des images d'un couple en automobile. Un prêtre et une femme racontent comment ils se cachent pour se retrouver dans l'intimité, jusqu'à s'échapper à l'étranger.

    Kilien et Christine, dont les noms sont donnés en clair, auront sans doute sous-estimé l'impact de ces images sur un diocèse de Lille encore assez bouleversé par le départ de Kilien. Le téléspectateur apprend d'emblée que le documentaire a été tourné alors que Kilien était encore en poste. Il va donc assister en temps réel à la défection du curé... (…)

    Le cinéaste, qui ne brille pas par sa discrétion, ne répugne pas à nous faire entrer dans l'intimité d'un autre couple composé d'un prêtre septuagénaire, qui a attendu la retraite pour épouser celle qu'il aime depuis des lustres. L'ancien Père Gabriel raconte qu'il a demandé à Jacqueline de coucher avec lui – sans qu'ils soient déjà amoureux – et qu'elle a accepté. Là encore, était-il vraiment indispensable de nous partager cette confidence ? (…)

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  • Un cantique d'autrefois

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    Pourquoi ai-je envie de vous partager ce cantique à Marie que nous chantions autrefois?

    Vierge douce et secourable
    Ecoute mon chant d'amour !
    Brille en ma nuit misérable,
    Toi l'aurore, Toi le jour.
    Nos coeurs sont froids et nos membre las :
    Pitié pour Tes enfants, ne les abandonne pas !
    Sois, ô tendre Mère
    L'azur de notre ciel
    Et viens à l'heure amère
    De notre dernier sommeil.
    Fleur immaculée,
    Parfume nos coeurs !
    Fontaine scellée,
    Recueille nos pleurs !
    Astre aux rayons d'or
    Guide ma nacelle au port !

  • Curieux carême à la liégeoise...

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    Voici l'invitation adressée par les dominicains de Liège (cloître Saint-Jean) pour leurs activités durant ce carême. On sait peut-être que la communauté dominicaine de la Cité Ardente est en charge de la pastorale universitaire. Toutefois, cette proposition nous interroge vraiment.

    "Eucharistie et repas Logos, ce mercredi 7 mars à 19h.30. L'Eucharistie sera célébrée dans la crypte. Ensuite, nous nous retrouverons au 42 pour partager un délicieux plat asiatique, suivi d'une soirée de folie...  Les déguisements sont les bienvenus !!!!! Bloquez déjà la soirée indienne le 14 mars et la soirée de printemps "pré-carré ordinesque" ce 21 mars !"

    Est-ce cela qu'il faut entendre par nouvelle évangélisation à la mode "d'amon nos ôtes" ?

  • La pérennité de la tradiction bénédictine sous le ciel de Provence

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    Un reportage qui nous emmène à des lieues d'abbayes vides ou désertées comme il s'en trouve parfois chez nous...

    «Nous ne sommes pas plus grands que nos Pères» (merci à "Riposte catholique")

    source : 30giorni.it par Giovanni Ricciardi

    À Le Barroux, près d’Avignon, la communauté bénédictine fondée par dom Gérard Calvet fleurit depuis quarante ans, sous le signe de la stricte observance de la Règle et de l’amour pour l’ancienne tradition liturgique de l’Église

    Des fenêtres du monastère de Le Barroux, le ciel de Provence semble un drapeau bleu tendu au vent. Le monastère est battu par le mistral, parfois avec violence: certains jours d’hiver, sur les montagnes proches, il peut souffler jusqu’à trois cents kilomètres à l’heure. Les oliviers et les vignes semblent ne pas en souffrir mais, mis à part les cyprès qui ont été mis là pour rappeler que, de ces murs, on regarde vers le haut, la végétation est dans l’ensemble basse et donne au paysage son allure de garrigue. Sous le ciel, se dresse comme un cône régulier la masse sombre du Mont Ventoux...

    Lire la suite de ce beau reportage : http://www.30giorni.it/

  • Le saint patron de la Pologne et de la Lituanie

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    200px-Kazimieras.jpgSource : missel.free

    Saint Casimir, prince de la dynastie des Jagellons, troisième enfant et second fils des treize enfants du roi Casimir IV de Pologne (1427 + 1492)[1] et d'Elisabeth d'Autriche, naquit le 3 octobre 1458, à Cracovie. Pieusement élevé par sa mère, il fut formé par les leçons du chanoine Jean Dugloss, futur archevêque de Lemberg, et de l'humaniste Philippe Bonacorsi (Callimaque). Dévot à la sainte Vierge, méditant les mystères de la Passion, le prince Casimir se tenait constamment dans l'exercice de la présence de Dieu et, inviolablement attaché à la chasteté, domptait ses passions par une vie d'austères mortifications.

    En 1471, il accepta, pour complaire à son père, son élection au trône de Hongrie[2]. Or, à peine touchait-il les frontières de Hongrie, qu'il se retira parce qu'il avait appris, outre que le pape Sixte IV désapprouvait l'entreprise, que le plus grande partie du peuple hongrois était favorable au roi Matthias. Ses troupes furent battues en Slovaquie (1472) et il retourna en Pologne. Il se retira trois mois dans le château de Cobzki pour expier l'injustice de l'expédition. Puisque son frère Wladislas était roi de Bohême, il semblait que Casimir serait roi de Pologne où il prit part au gouvernement qu'il administra sagement pendant que son père s'assurait la Lituanie destinée au cadet Jean-Albert (1479-1483). Le prince Casimir refusa d'épouser la fille de l'empereur Frédéric III (1481). De mœurs très pures, habitué à la mortification, il était vivement attaché à la chasteté et puisait sa force et sa joie dans l'adoration du Saint-Sacrement et la dévotion à la Vierge Marie.

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  • Voyager au "Pays des Cèdres" avec l'Ordre Libanais Maronite du 16 au 23 avril

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  • Prisonniers des choses ?

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    Temps de carême, temps de conversion. Et si notre liberté spirituelle était hypothéquée par notre attachement aux choses? A méditer à nouveau, cette "vieille" chanson de Jean-Jacques Goldman reproduite ci-dessous. Mais comment se "désengluer"?

    Les choses

    Si j'avais si j'avais ça
    Je serais ceci je serais cela
    Sans chose je n'existe pas
    Les regards glissent sur moi
    J'envie ce que les autres ont
    Je crève de ce que je n'ai pas
    Le bonheur est possession
    Les supermarchés mes temples à moi

    Dans mes uniformes, rien que des marques identifiées
    Les choses me donnent une identité

    Je prie les choses et les choses m'ont pris
    Elles me posent, elles me donnent un prix
    Je prie les choses, elles comblent ma vie
    C'est plus 'je pense' mais 'j'ai' donc je suis

    Des choses à mettre, à vendre, à soumettre
    Une femme objet qui présente bien
    Sans trône ou sceptre je me déteste
    Roi nu, je ne vaux rien

    J'ai le parfum de Jordan
    Je suis un peu lui dans ses chaussures
    J'achète pour être, je suis
    Quelqu'un dans cette voiture
    Une vie de flash en flash
    Clip et club et clop et fast food
    Fastoche speed ou calmant
    Mais fast, tout le temps zap le vide
    Et l'angoisse

    Plus de bien de mal, mais est-ce que ça passe à la télé
    Nobel ou scandale ? on dit 'V.I.P'

    Je prie les choses...

    Des choses à mettre, à vendre, à soumettre
    Une femme objet qui présente bien
    Sans trône ou sceptre je me déteste
    Roi nu, je ne vaux rien

    Je prie les choses...

    Un tatouage, un piercing, un bijou
    Je veux l'image, l'image et c'est tout
    Le bon 'langage' les idées 'qu'il faut'
    C'est tout ce que je vaux

    Auteur et compositeur : Jean-Jacques Goldman
    Edition : JRG Editions musicales - Distributeur : Columbia

  • La trajectoire la plus incroyable dans l'Allemagne du XXe siècle

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    « Mon frère, le pape », par Georg Ratzinger et Michael Hesemann (source : ZENIT.ORG)

    En parlant avec Mgr Georg Ratzinger, Michael Hesemann s’est forgé deux convictions essentielles : d’un côté, il y a un « secret de famille » qui explique  la trajectoire impressionnante des deux frères Ratzinger ; de l’autre, la providence de Dieu, dès avant la naissance de Joseph, a posé les fondations qui l’ont mené jusqu’au Siège de Pierre.

    Il raconte à Zenit  « la carrière la plus incroyable de l’Allemagne du XXe siècle, à l’occasion de la publication du livre en anglais.

    Zenit – Quelle a été votre votre expérience personnelle avec Mgr Ratzinger : comment avez-vous transcrit ses souvenirs ?

    M. Heseman – Lorsque Benoît XVI a été élu et a annoncé qu’il viendrait en Allemagne pour la Journée mondiale de la jeunesse à Cologne, un de mes éditeurs m’a demandé d’écrire une biographie du nouveau pape. N’ayant que deux semaines pour mener à bien ce projet, je n’étais pas en mesure de faire une recherche en profondeur, mais cela m’a donné l’idée de faire un jour l’interview de Georg Ratzinger, premier témoin de la carrière la plus incroyable de l’Allemagne du XXème siècle – celle du fils d’un gendarme de campagne devenu le chef spirituel de plus d’un milliard de catholiques. Ce n’était encore qu’une idée et j’étais certain que, tôt ou tard, quelqu’un de bien plus proche de lui ferait ce travail et écrirait un livre avec lui. J’ai attendu longtemps, mais rien ne s’est passé.

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  • Mgr Monsengwo : Combattre le mensonge

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    COMBATTRE LE MENSONGE

    Cité du Vatican, 2 mars 2012 (VIS). La première partie des méditations du Cardinal Monsengwo Pasinya pour la retraite de la Curie romaine, prêchée depuis dimanche en présence de Benoît XVI aborde la communion du chrétien avec Dieu. Partant du signe de la croix, le prédicateur a proposé une réflexion sur Dieu comme vie, lumière, vérité et miséricorde, qui aime le monde. Puis il s'est penché sur le manque de foi en Jésus et sur le Christ face au manquements du prêtre. Le signe de croix, a-t-il dit, va bien au-delà d'une coutume car « il ajoute à chaque action la beauté de la conscience, et le dynamisme de la liberté... Signifiant sacrifice par amour, la mort pour la résurrection », ce geste de renoncer à la vanité et au succès, à la possession et à la domination, pour consacrer au Christ nos actions ».

    Puis, pour illustrer sa méditation sur Dieu, le Cardinal a évoqué certains des phénomènes dramatiques de notre temps, guerres, génocides et autres violences politiques, mais aussi l'avortement et les autres formes de manipulation de l'être humain. Invitant ses auditeurs à ne pas demeurer indifférents face à « l'exploitation de l'homme par l'homme...ni devant la répression ou l'exploitation des uns par les autres. Il ne faut jamais céder, même lorsque le mystère du péché paraît nous dépasser... Marcher dans la lumière signifie rejeter le péché » pour tendre à la vérité, qui transforme notre vie par une conversion continue ». Percevoir Dieu comme vérité interpelle surtout qui n'a plus conscience de ses péchés, qui a perdu le sens du péché en ne se posant plus la question de Dieu ». Sans plus de critères moraux, on tombe dans une « indifférence religieuse qui proclame que tous les religions se valent, et permet ainsi une morale souple ».

    Ensuite, l'Archevêque de Kinshasa a mis en garde les prêtres, qui ne sont pas exempts d'une telle erreur, «dans la mesure où l'aridité spirituelle porte souvent à ce genre d'erreurs, transformant le ministère sacerdotal en un fonctionnariat sans véritable sens de Dieu ». Prenant alors l'exemple des apôtres Pierre et Judas, il a rappelé que le premier « a fauté pour avoir été téméraire et s'être exposé de près au danger, mais...avoir aussitôt parti pleuré amèrement son péché... La générosité ne met pas à l'abri du péché et la prudence doit nous faire éviter d'être téméraire et pécheur. Où que ce soit, quoiqu'il arrive, le Seigneur est toujours là. La pire injure que nous puissions lui faire serait de douter comme Judas de sa miséricorde. Vivre dans la vérité c'est vivre selon les Béatitudes. Répudier le mensonge dans nos propos comme dans nos actions, c'est rejeter l'hypocrisie qui nous pousse à nous montrer différemment de ce que nous sommes ». L'Eglise doit aussi combattre le mensonge et la duperie, en elle et de par le monde « en luttant avant tout pour que la vérité de l'Evangile du Christ soit connue et vécue ».

  • La modernité du Christ

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    Source : VIS

    Récemment s'est tenu à Rome le congrès intitulé « Jésus, notre contemporain », organisé par le Projet culturel de la Conférence épiscopale italienne, à l'occasion duquel Benoît XVI avait fait parvenir un message au Cardinal Angelo Bagnasco, Président de la CEI : « Le nom comme le message de Jésus de Nazareth sont objets de grand intérêt, y compris chez qui ne parvient pas à adhérer à ses paroles de salut. C'est pourquoi nous devons susciter en nous d'abord une compréhension toujours plus profonde et précise du Jésus réel, qui découle de l'herméneutique de la foi mise en rapport avec la réalité historique. Ce pourquoi j'ai écrit deux ouvrages sur Jésus de Nazareth ».

    Durant mon pontificat, écrit encore le Pape, « j'ai souvent rappelé que la priorité est d'ouvrir une voie à Dieu dans le cœur et dans la vie des hommes... On ne saurait se confier à une entité supérieure et indéfinie, à une force cosmique, mais à Dieu qui s'est fait voir en son Fils, rempli de grâce et de vérité. Le Christ est la clef ouvrant la porte du savoir et de l'amour. C'est lui qui brise notre solitude et allume l'espérance face au mystère du mal et de la mort ». Etant donné que nombre de croyants sont aujourd'hui persécutés à cause de lui, « son nom ne peut rester relégué dans un lointain passé. Il est décisif pour la foi d'aujourd'hui ».

    Que signifie affirmer que Jésus nous est contemporain, alors qu'il vivait il y a deux mille ans, se demande Benoît XVI? Romano Guardini nous l'explique en écrivant : « L'éternité de sa vie est entrée dans l'éternité en se corrélant ainsi à tout instant du temps terrestre, que son sacrifice a racheté... Pour toujours, Jésus est entré dans l'histoire ». Il vit dans l'Eglise, « dans ce corps fragile et en perpétuel besoin de purification, mais rempli d'amour divin. En le louant dans la liturgie, l'Eglise reçoit la vie véritable. La modernité de Jésus se manifeste au plus haut point dans l'Eucharistie, où il est présent comme lors de sa passion, mort et résurrection. C'est cela qui rend également l'Eglise contemporaine et capable d'embrasser tous les êtres humains et toutes les périodes, guidée par l'Esprit afin de parachever l'oeuvre de Jésus dans l'histoire ».

  • Intentions de prière du pape pour mars 2012

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    Intention universelle: La contribution des femmes dans la société
    Pour que la contribution des femmes au développement de la société soit pleinement reconnue dans le monde entier.

    Intention missionnaire: Les chrétiens persécutés
    Pour que le Saint-Esprit accorde la persévérance à ceux qui, particulièrement en Asie, sont discriminés, persécutés et mis à mort à cause du nom du Christ. (voir le commentaire de cette intention ici)

    A propos de la prière, l'Evangile au Quotidien propose aujourd'hui ce beau texte de saint Jean Chrysostome :

    Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), prêtre à Antioche puis évêque de Constantinople, docteur de l'Église
    Homélies sur l'incompréhensibilité de Dieu, n°5 (trad. En Calcat)

    « Celui qui demande reçoit »

          C'est une arme puissante que la prière, un trésor indéfectible, une richesse intarissable, un port à l'abri des tempêtes, un réservoir de calme ; la prière est la racine, la source et la mère de biens innombrables... Mais la prière dont je parle n'est ni médiocre, ni négligente ; c'est une prière ardente, jaillie de l'affliction de l'âme et de l'effort de l'esprit. Voilà la prière qui monte jusqu'au ciel... Écoute ce que dit l'écrivain sacré : « J'ai crié vers le Seigneur quand j'étais dans l'angoisse, et il m'a exaucé » (Ps 119,1). Celui qui prie ainsi dans son angoisse pourra, après la prière, goûter en son âme une grande joie....

          Par « prière » j'entends non pas celle qui est seulement dans la bouche, mais celle qui jaillit du fond du cœur. Comme les arbres dont les racines s'enfoncent profondément ne sont ni brisés ni arrachés, même si les vents déchaînent mille assauts contre eux, parce que leurs racines sont fortement enserrées dans les profondeurs de la terre, de même les prières qui sortent du fond du cœur, ainsi enracinées, montent vers le ciel en toute sûreté et ne sont détournées par aucune pensée de manque d'assurance ou de mérite. C'est pourquoi le psalmiste dit : « Des profondeurs j'ai crié vers toi, Seigneur » (Ps 129,1)...

          Si le fait de raconter à des hommes tes malheurs personnels et de leur décrire les épreuves qui t'ont frappé apporte quelque soulagement à tes peines, comme si à travers les paroles s'exhalait une brise rafraîchissante, à combien plus forte raison si tu fais part à ton Seigneur des souffrances de ton âme trouveras-tu en abondance consolation et réconfort ! En effet, souvent les hommes supportent difficilement ceux qui viennent se plaindre et pleurer auprès d'eux ; ils les écartent et les repoussent. Mais Dieu n'agit pas ainsi ; au contraire il te fait approcher et t'attire à lui ; et même si tu passes toute la journée à lui exposer tes malheurs, il n'en sera que mieux disposé à t'aimer et à exaucer tes supplications.