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  • Buxelles (cathédrale), 22 mars : prière pour les victimes des attentats du 22 mars 2016

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    A défaut de messe(s) célébrée(s) à cette intention comme cela se fait dans les pays voisins :

    nous répercutons ici l'invitation suivante :

    ATTENTATS DU 22 MARS : INVITATION À LA PRIÈRE ANNIVERSAIRE

    Mercredi 22 mars 2017, au premier anniversaire des attentats qui ont endeuillé Bruxelles, tous les chrétiens de Bruxelles et tous les hommes et femmes de bonne volonté sont invités à se rassembler dans la cathédrale des Saints Michel et Gudule de Bruxelles à 18 h pour un temps de prière pour les victimes des attentats.

    Cette veillée de prière sera présidée par le Cardinal Jozef De Kesel.
    Soyez tous les bienvenus.

    Mgr Jean Kockerols, évêque auxiliaire pour Bruxelles

    Infos : Paul Emmanuel Biron : 02 533 29 06 – commu@catho-bruxelles.be

  • P. Simon Noël, osb : contra spem in spe

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    Jésus calme la tempête.jpg«Contra spem in spe », dit saint Paul : contre l'espérance dans l'espérance. Le P. Simon Noël (Chevetogne) a posté ce billet sur son blog, au retour d’une session charismatique, marquée par la crise qui ébranle l’Eglise en Belgique et ailleurs en Europe : 

    « Je reviens de deux journées d'une session charismatique de louange et de guérison pour enfants et leurs parents. Cela m'a permis de prendre un peu la température de notre Église. La session avait lieu dans un lieu où vivent des religieux âgés ou malades. J'ai eu des contacts avec ceux-ci aussi bien qu'avec les participants de la session.

    Quelles conclusions tirer des conversations auxquelles j'ai pris part ? D'abord beaucoup de témoignages désabusés sur la situation actuelle de l’Église de la part des religieux qui nous accueillaient : plus de vocations, une pratique religieuse vieillissante et en baisse constante. La sécularisation ne cesse de s'affirmer. Ainsi un home proche pour personnes âgées, qui portait un nom chrétien, y a renoncé récemment pour adopter un nom plus neutre. Pax Christi vient aussi de changer son nom en Be.Pax. Les religieux en question craignent eux-mêmes de devoir aller bientôt dans une maison de repos, où, semble-t-il, ils ne disposeront plus d'une chapelle. Et tant d'autres choses furent dites qui vont dans le sens d'une apostasie qui se généralise et d'une confusion au sein même de l’Église.

    Et puis, il y eut tant de belles choses, prometteuses d'un avenir meilleur, dans la session des enfants et de leurs parents. Des petits et des grands qui vivent en profondeur le sacrement de la réconciliation. Des enfants initiés à l'adoration du Saint Sacrement et à la prière du rosaire. Des adultes qui se sont relayés jour et nuit devant le Saint Sacrement pour la louange et l'intercession. De nombreuses grâces de délivrance et de guérison. Une écoute patiente et priante de tant de souffrances humaines, de la part des accompagnateurs, prêtres, religieuses et laïcs.

    Alors que dire ? La situation est bien contrastée. D'une part, la mort spirituelle, d'autre part, la vie de l'Esprit. Oui la crise est réelle mais l'avenir de l’Église est entre les mains de Dieu.

    Je conclus par ce que m'a dit un des prêtres accompagnateurs de la session. La crise est grave, et pourrait s'aggraver, au point qu'à un moment donné, tout humainement semblera perdu. Alors ce sera l'intervention directe, inattendue et miraculeuse de Dieu, qui semble dormir pour l'instant au fond de la barque de Pierre. Un renouveau extraordinaire s'ensuivra et fera notre émerveillement.

    Par notre prière, notre silence et notre fidélité, que soit hâtée la venue de ce jour. Gardons confiance et restons calmes. »

    Ref. Une session charismatique

    Volens nolens, l’Europe passera aux « barbares », en fait des peuples souvent plus religieux  que  le monde aux cheveux blancs qui s’étiole sous nos yeux. Les chrétiens ne sont pas absents de ces migrations venues d’outre mers : déjà, dans nos paroisses et communautés, ils partagent la jeunesse et la conviction de leur foi vivante avec les minorités de souche restées fidèles. Quelqu’un a dit « noli timere, pusillus grex », n’aie  pas peur, petit troupeau: j’ai vaincu le monde. L’identité qui nous intéresse c’est celle du Christ.

    JPSC

  • Le "Trumpcare" assurera la protection du caractère sacré de la Vie

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    Lu ICI :

    USA / IVG : « Le caractère sacré de la vie sera protégé sous le Trumpcare » 

    Le vice-président américain Mike Spence a assuré aux dirigeants pro-vie que l’abrogation de l’« Obamacare » et l’introduction du « Trumpcare », l’alternative de la loi sur le système de santé du président Trump, assureront la protection du « caractère sacré de la vie ».

    En chrétien convaincu, il a tenu ce que son Bureau décrit comme une « séance d’écoute » avec plusieurs leaders pro-vie opposés à l’avortement, jeudi dernier.

    « La conversation a porté l’importance de veiller à ce que le caractère sacré de la vie soit respecté et inclus dans les efforts pour abroger et remplacer l’Obamacare », a déclaré le Bureau du vice-président dans un communiqué.

    « Nous sommes tellement reconnaissants d’avoir une administration à Washington qui veut vraiment protéger les enfants à naitre et travaille à mettre fin aux mandats déraisonnables sur l’avortement de l’Obamacare », a déclaré Horatio Mihet, vice-président des affaires juridiques de Liberty Counsel.

  • Ordonner des "viri probati" ? Cela ne résoudrait pas le problème...

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    De Clémence Houdaille sur le site du journal La Croix :

    Ordination d’hommes mariés : « Ce n’est pas la solution car ce n’est pas le problème »

    Mgr Francis Bestion, évêque de Tulle (Corrèze), est membre de la Commission pour les ministres ordonnés et les laïcs en mission ecclésiale de la Conférence des évêques de France

    Cette question de viri probati n’est pas du tout nouvelle, elle se pose depuis le Concile Vatican II. Dans son interview à Die Zeit, le pape François dit que le célibat optionnel n’est pas la solution. Je le comprends. Ce n’est pas la solution car ce n’est pas le problème. On se focalise sur les vocations et sur le célibat des prêtres, alors que le problème est une Église qui se soucie de la survie de ses structures au lieu de chercher à être missionnaire. Si notre inquiétude est de maintenir des structures qui existent depuis des siècles, c’est dramatique.

    A LIRE : Le pape François envisage une réflexion autour de l’ordination…

    Mon problème, en tant qu’évêque d’un diocèse rural, ce n’est pas d’avoir moins de prêtres, mais de ne pas avoir de jeunes prêtres. Je peux déjà ordonner des hommes mariés diacres, et les candidats ne se bousculent pas à ma porte. Même si l’on ouvrait l’ordination à des viri probati, je n’aurais sans doute pas beaucoup de candidats. Et même si j’ordonnais des viri probati, cela ne résoudrait pas le problème, qui est que nos communautés sont devenues des assemblées de personnes âgées. Ce n’est pas surprenant qu’il n’y ait pas de jeunes dans les séminaires, quand on voit la composition des assemblées ! L’inverse serait surprenant. Mais si l’on n’a aucun jeune prêtre, qui va être le ferment de la mission ? Même les laïcs engagés sont beaucoup plus investis dans la survie des structures existantes que dans l’évangélisation. Le défi est de faire vivre notre baptême, d’appeler davantage de jeunes, plutôt que de nous épuiser à faire survivre des structures héritées des siècles passés et qui ne correspondent plus à la vie d’aujourd’hui. En milieu rural, les jeunes pratiquants sont prêts à faire des kilomètres pour se rendre dans une paroisse où ils se sentent bien. Ils ne demandent pas à avoir un prêtre dans leur village.

    Crise profonde de la foi

    Ce qui me soucie n’est pas le célibat des prêtres, c’est qu’il n’y a personne pour annoncer l’Évangile. Le vrai problème est la crise profonde de la foi que traversent nos sociétés occidentales. Alors dans beaucoup de diocèses, on essaie de boucher les trous en faisant venir des prêtres de l’étranger. Mais ce n’est pas cela qui va répondre à la problématique essentielle : l’Église doit continuer à être fraternelle, missionnaire et appelante. Il ne s’agit pas de perdurer mais d’annoncer le Royaume de Dieu, même s’il faut pour cela laisser mourir un mode de fonctionnement passé.

    Il faut aussi savoir regarder ce qui est en train de naître. Mon grand espoir, aujourd’hui, est le nombre grandissant de catéchumènes adolescents et adultes. C’est là qu’il doit y avoir un travail d’accompagnement de la part de nos communautés.

  • Bruxelles (Stockel), 20-26 mars : Retraite de Carême animée par la Communauté Saint-Jean

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  • Rome : premières rencontres de chant grégorien avec une large participation belge

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    L’Académie de Chant grégorien de Belgique (Communauté Wallonie-Bruxelles) a proposé, en collaboration avec la Chorale Cum Jubilo de Watou (Flandre occidentale), une session à Rome à l’occasion de l’entrée en Carême. Le succès de la manifestation a surpris les organisateurs: 80 chanteurs, venus de 12 pays ont participé à l’événement. Lu sur "cathobel" le site interdiocésain francophone de Belgique, ce 13 mars 2017 :


    Gregorien-a-Rome-768x343.jpg« Au cours de cette session de 5 jours, les participants ont préparé le répertoire grégorien du Mercredi des Cendres. Les différents Offices de la journée, laudes, tierces, sextes, nonnes ainsi que la messe ont été chantés dans différentes basiliques de la ville, notamment Sainte Marie Majeure et Saint Paul hors les murs ainsi que Saints Jean et Paul al Celio, dont Mgr Joseph De Kesel est le Cardinal-prêtre. Ce fut donc une journée de pèlérinage chantant à travers toute la Ville Sainte. Une expérience inoubliable.

    Un des grands moments du séjour romain, fut aussi la messe du lundi 27 février que les grégorianistes ont chantée en la Basilique Saint-Pierre à 17h.

    Les portes de toutes ces belles églises se sont ouvertes grâce à l’aide précieuse de Monseigneur Dirk Smet, recteur du Collège pontifical belge à Rome, qui accepta de célébrer lui-même certains des offices.
    La Schola était composée de chanteurs venus de toute l’Europe, Belges francophones et néerlandophones, Lituaniens, Estoniens, Hollandais, Hongrois, Français, Allemands, Anglais, Polonais, Espagnols et Suisse, dirigés par le chef estonien Jaan-Eik-Tulve.

    Le séjour fut aussi l’occasion de s’intéresser au rôle de l’Eglise dans le monde. Gérald Messiaen, Président de l’Académie de chant grégorien , avait choisi comme thème de la session « Loquetur pacem gentibus » (Za. 09,10) (Il annoncera la paix aux nations) dans la cadre du centenaire de la guerre 1914-1918. C’est ainsi que Philippe Chenaux, professeur d’histoire de l’Église moderne et contemporaine à l’Université du Latran a parlé des «Tentatives de paix de Benoît XV et de Mgr. Pacelli (le futur pape Pie XII) en 1917» lors d’une brillante conférence qui s’est tenue à la Résidence de l’ambassade de Belgique auprès du Vatican, rehaussée par la présence de l’Ambassadeur, Monsieur Jean Cornet.

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